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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 09:35

 

00 PORTES DE LA SAGESSE

Un roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent.

Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un vieux sage.

 

« Eclaire-moi sur le sentier de la Vie » demanda le Prince.

 

 

Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant, je veux bien te donner quelques indications : sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d’elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu seras condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton cœur et dans ta chair. Vas maintenant. Suis cette route droit devant toi. Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :

 

CHANGE LE MONDE !

 

 

« C’était bien là mon intention, pensa le prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas ». Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.

 

 

Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du cœur.

Il réussit à changer certaines choses, mais beaucoup d’autres lui résistèrent.

 

 

Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur ton chemin ? »

- J’ai appris, répondit le prince à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas.

- C’est bien, répondit le Vieil Homme, utilises tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublies ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut.

 

 

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire :

 

CHANGE LES AUTRES !

 

« C’était bien là mon intention, pensa-t-il, les autres sont sources de plaisir, de joie et de satisfaction, mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration ».

Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts.

Ce fut là son deuxième combat.

 

 

Bien des années passèrent. Un jour alors qu’il méditait sur l’utilité de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :

« Qu’as-tu appris sur ton chemin ? »

- J’ai appris, répondit le prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que le révélateur ou l’occasion. C’est en moi que prennent racines toutes ces choses.

 

 

- Tu as raison, dit le sage, par ce qu’ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi- même. Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance et frustration, car à travers eux la vie t’enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. Et le Vieil Homme disparut.

 

 

Peu après le Prince arriva devant la porte où figurait ces mots :

 

CHANGE-TOI TOI-MÊME !

 

« Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, se dit-il ».Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.

 

 

Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès, mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : « Qu’as-tu appris sur le chemin ? »

- J’ai appris, répondit le prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser.

- C’est bien, dit le sage.

- Oui, poursuivit le prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.

- C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut.

http://www.choix-realite.org/7117/lhistoire-des-trois-portes

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 09:03

 


 

00 LOGO PETITE DOUCEUR DU COEUR

 

« J'ai toujours eu comme principe que la vie est une grande école. Les leçons que nous avons à apprendre sont parfois fort amères. On blâme alors les événements, les personnes, les rendant responsables de tous nos malheurs. Et si plutôt, on considérait chacun comme un « professeur de vie », placé sur notre route pour nous aider à faire certaines prises de conscience... »

 

 

Le premier principe : « Quiconque vous rencontrez est la bonne personne. »

 

Ceci signifie que personne n’arrive dans notre vie par hasard. Tout personne près de nous, toute personne avec qui nous rentrons en contact, est là pour nous enseigner quelque chose ou pour nous aider à améliorer une situation présente.

 

 

 

Le second principe : « Peu importe ce qui est arrivé, c’est la seule chose qui pouvait arriver. »

 

Rien, absolument rien de ce que nous avons expérimenté n’aurait dû être autre chose. Il n’y a pas de « si seulement j’avais agi différemment, ça aurait été différent. » Non. Ce qui s’est passé est la seule chose qui aurait pu et a dû prendre place dans notre vie pour apprendre la leçon et avancer. Chacune des circonstances de notre vie est absolument parfaite, même si cela défie notre compréhension et notre ego.

 

Le troisième principe : « Chaque moment est le bon moment. »

 

Toute chose commence exactement au bon moment, ni trop tôt, ni trop tard. Quand nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c’est là, prêt à débuter.

 

Quatrième et dernier principe : « Ce qui est terminé est terminé. »

 

C’est simple. Lorsque quelque chose se termine dans notre vie, c’est que l’expérience nous a permis d’évoluer et de nous enrichir. Elle n’a donc plus d’utilité, il vaut mieux lâcher prise et avancer.

 

Soyez bon pour vous-même. Aimez de tout votre être. Soyez toujours heureux.

 

  « La sagesse de la vie est toujours plus profonde et plus large que la sagesse des hommes. »

Maxime Gorki 

  

« Même un flocon de neige ne tombe accidentellement au mauvais endroit. »

                   00 POUR LA SPIRITUALITE INDIENNE


 

 

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/article-les-4-principes-de-la-spiritualite-indienne-122827117.htm

 


 

 


 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 09:30

00 A PROPOS DES EPREUVES

 

Comme chacun sait, la vie comporte des vicissitudes et des épreuves. Aucun être humain, quels que soient sa nationalité, son rang social, ses croyances religieuses, ses opinions politiques, n’est épargné. Vous-même, qui lisez ces quelques lignes, en avez certainement connues et en connaissez : problèmes familiaux, professionnels, matériels, de santé… Autant de difficultés et de soucis, voire d’angoisses, qui empêchent d’être sereins et pleinement heureux. Que nous le voulions ou non, la vie n’est pas “un long fleuve tranquille”. Pour nombre d’individus, elle s’apparente souvent à un torrent, avec heureusement des périodes d’accalmies, durant lesquelles les eaux prennent un cours moins agité.

 

 

 En relation avec une épreuve particulièrement pénible, on entend assez souvent dire : « Mais qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ? » Cette interrogation exprime le fait que l’on a alors tendance à rechercher la cause de cette épreuve et à faire un lien entre elle et notre comportement. Il est vrai que la plupart de celles que nous rencontrons sont dues à des mauvais choix de notre part. Parfois nous le savons, parfois nous l’ignorons. A titre d’exemple, une personne qui fume trop ne peut s’étonner d’avoir un jour un cancer des poumons. En revanche, une personne atteinte d’une maladie génétique ne se sent pas responsable de cette maladie et peut même éprouver un sentiment d’injustice.

 

 

D’un point de vue rosicrucien, toute épreuve qui engage notre responsabilité est dite karmique, en ce sens qu’elle est l’effet d’une cause que nous-mêmes avons générée par une mauvaise application de notre libre arbitre. Quant aux épreuves que nous rencontrons “sans les avoir méritées”, elles résultent, non pas de notre karma, mais du fait qu’il est impossible de vivre sur Terre sans être confronté à des difficultés et des problèmes divers. Par ailleurs, le fait de vivre en société nous confronte aux autres, de sorte qu’il nous arrive de subir les effets de leur mauvais comportement. Même les plus grands sages n’ont pas été épargnés : Jésus a été crucifié, Socrate condamné à boire de la ciguë, Gandhi assassiné, etc.

 

 

 Comment savoir si une épreuve est karmique ou non ? La première chose à faire consiste à nous analyser, afin de voir s’il y a un lien entre cette épreuve et notre comportement. Si c’est le cas, il faut en changer, de manière à mettre fin à la cause du problème auquel nous sommes confrontés. Si, après mûre réflexion et même méditation, nous ne parvenons pas à comprendre en quoi nous en sommes à quelque degré que ce soit responsables, il ne faut pas spéculer davantage, d’autant que certaines épreuves peuvent avoir leur origine dans notre vie antérieure.

 

 

 Qu’une épreuve soit karmique ou non, le meilleur moyen de la « gérer » consiste à l’affronter, en ayant à l’esprit qu’elle est une opportunité d’exprimer ce qu’il y a de meilleur en nous en termes de courage, de volonté, de persévérance, de confiance, de patience, etc. Mieux encore, nous devons partir du principe qu’elle est un moyen de nous transcender et d’acquérir des leçons utiles à notre évolution. En outre, l’école de la vie est ainsi faite que tout individu dispose généralement de la force intérieure voulue pour surmonter les épreuves auxquelles il est confronté à un moment ou à un autre de son existence.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-des-epreuves/

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 10:10

00 LOGO PETITE DOUCEUR DU COEUR

Il y a certains jours où il est plus difficile de croire à la joie et au bonheur.


On dirait alors que tous les efforts passés pour réorienter notre vie n’ont servi à rien.


Nous croyons fermement que nous avons tout essayé en vain.

 

Quand nous nous trouvons ainsi aux portes du désespoir, accordons-nous du repos.

Physiquement, si possible.

Sinon, recueillons-nous quelques instants et déposons notre fardeau. Nous ne sommes pas seuls.

Faisons appel à l’invisible.


Guide intérieur, maître de vie, ange gardien, étoile de l’espoir, intelligence et sagesse universelles, voilà autant de noms pour désigner la même présence accueillante et positive dans notre vie.


 

Choisissons l’image qui nous convient le mieux pour rejoindre cette partie de nous qui est intemporelle et qui régit notre vie.

 

 


 

En toute humilité, demandons que nous soient envoyées des réponses ou des personnes qui nous aideront à retrouver la voie.

 Même si c’est difficile, renouvelons notre confiance en la vie. Ensuite, demeurons réceptifs aux réponses.


Peut-être quelqu’un frappera-t-il à notre porte, peut-être le téléphone sonnerat-il, peut-être aurons-nous une intuition que nous suivrons. Gardons vive la flamme de l’espoir.

 

— Recueil de pensées quotidiennes / Magazine 7 jours


| www.lapetitedouceur.org


 

 

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 09:12

0 A PROPOS DU DROIT D INGERENCE

 

Régulièrement, l’actualité internationale revient sur le droit d’ingérence, le plus souvent en relation avec une guerre qui oppose un pays agressé à un pays agresseur, une ethnie à une autre, un peuple à une dictature, etc. Face aux massacres, aux tueries et aux tortures, de plus en plus de nations se mobilisent et réagissent, généralement par gouvernements interposés. Il est également de plus en plus fréquent que les populations elles-mêmes manifestent de par le monde pour en appeler à la paix et à la fraternité dans les pays concernés.

 

 

Il n’y a pas si longtemps, on ne faisait pas grand cas des guerres et des dictatures qui sévissaient aux quatre coins de la planète, à moins d’avoir des intérêts économiques ou autres à défendre. La plupart des gens les “regardaient” de loin sans réagir, et les gouvernements évitaient de s’en mêler ouvertement, au motif de l’indépendance et de la souveraineté des pays en souffrance. Certes, ce genre d’attitude est loin d’avoir disparu, mais il faut néanmoins reconnaître que les consciences ont beaucoup évolué et que le sort des peuples opprimés ou en état de guerre ne laisse plus indifférent.

 

 

Comment mettre fin aux massacres causés dans un pays par la guerre ou par l’oppression tyrannique d’un dictateur sur son peuple ? Malheureusement, il n’y a pas de “solution miracle”, d’autant que de tels massacres alimentent la haine, et avec elle le désir de vengeance. En principe, c’est aux belligérants eux-mêmes de trouver un terrain d’entente et de faire cesser les combats, ce qui nécessite un minimum de bonne volonté de part et d’autre. Mais vous savez comme moi qu’elle fait souvent défaut, de sorte qu’une ingérence venue de l’extérieur me semble alors nécessaire pour faire taire les armes et arrêter les tueries, dont on sait qu’elles touchent chaque fois un grand nombre de civils.

 

 

Comme de nombreux Rose-Croix, je suis donc favorable au droit d’ingérence, dès lors que l’on sait pertinemment que la diplomatie ne donnera rien pour mettre fin à une guerre fratricide ou à un génocide, et que le temps ne fera qu’aggraver la situation et multiplier les exactions et les crimes. Naturellement, aucune nation ne doit pouvoir s’arroger d’autorité ce droit et intervenir d’elle-même. Il lui faut pour cela un mandat international. De nos jours, c’est l’O.N.U. qui est censée accorder un tel mandat, mais force est de constater qu’elle est souvent impuissante à le faire en raison de son manque de cohésion et de ses clivages internes. Cette Organisation dite des Nations Unies est encore en proie aux divisions, et ses décisions restent sous l’influence d’intérêts particuliers, corporatifs ou nationaux.

 

De mon point de vue, le droit d’ingérence ne doit pas se limiter à intervenir pour mettre fin à des guerres entre pays et à des conflits internes. Lorsqu’il est avéré que des dirigeants ou des gouvernements spolient financièrement leur peuple, au point d’être responsables de son état de misère et de sa précarité, un mandat international devrait permettre d’agir pour y mettre fin et réintroduire dans l’économie du pays l’argent et les biens dont il a été injustement privé. Malheureusement, là encore, des intérêts multiples et variés font que les usurpateurs peuvent encore agir en toute impunité. Cela étant, je pense que les temps ne sont pas si loin où cela ne leur sera plus possible et où l’ingérence, mieux qu’un droit, sera considérée comme un devoir.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-du-droit-dingerence/

 

 

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 08:50

0 FEMME SUPERBE PAPILLONS

 

Tout être ressent le besoin de bonheur. C’est un appel de notre Âme, un souvenir inconscient de la Vérité de notre Être. Selon la personnalité nous allons rechercher le bonheur en essayant de combler nos manques. Cependant même si nous avons des biens matériels, sans l’amour, nous n’avons pas le bonheur. Même le fait de rechercher le pouvoir ou la gloire, n’est qu’une recherche erronée de l’amour. Nous avons besoin de donner de l’amour et d’en recevoir, à égalité, afin d’être épanoui dans notre vie.

 

Dans cette quête de l’amour, tout au long de notre vie, nous allons vivre bien des péripéties qui ne seront que des exercices de compréhension de qui nous sommes, et, qui est chacun d’entre nous.

 

Tout ce que nous vivons est le reflet de notre état de conscience, des sentiments et pensées qui sont nôtres. Lorsque nous nous incarnons nous avons déjà un long passé derrière nous. Nous descendons dans la matière avec un programme d’études. Ce programme peut être changé à tout instant par notre compréhension des lois qui régissent non seulement notre vie terrestre mais aussi la Vie dans sa globalité.

Prenons un exemple :

 

Une femme ne se sent pas aimée par sa mère. Elle peut toute sa vie, rechercher à recevoir l’amour de cette mère. Elle peut aussi développer une haine, ou une rancœur vis à vis de cette mère. Elle va alors s’autodétruire, par la recherche d’un amour qu’elle ne recevra pas. En fait nous avons les parents qui nous conviennent parfaitement pour ce que nous avons à apprendre. Le comprendre aide à la libération. Cette compréhension, libère et cette libération va permettre de vivre sa vie pleinement. Au cours de nos incarnations, nous prenons des rôles différents, parfois nous sommes le parent, parfois l’enfant, parfois le mari, parfois la maîtresse, etc.

 

Un autre exemple :

Une jeune femme va de déception en déception sentimentale. Elle me raconte toutes ses déconvenues. Cette personne est charmante, intelligente. J’essaie de lui expliquer qu’il faut changer sa façon de penser à elle. Elle ne comprend pas ce que j’essaie de lui expliquer. Elle est persuadée d’être tout à fait positive dans sa pensée puisqu’elle croit, à chaque rencontre, que c’est le grand amour et pourtant l’homme la trompe ou la laisse. Elle me dit qu’adolescente elle n’imaginait pas cela, et qu’elle ne l’a pas attiré par sa pensée. Elle oublie qu’elle est venue pour affronter cette situation bien définie. Le pourquoi de cet exercice appartient à son histoire personnelle. Certains diront qu’il faudrait remonter à ses vies antérieures pour comprendre le pourquoi. Cela est parfois ardu, voir dangereux. C’est le mental qui fait croire que tout doit passer par sa compréhension. Tout est très bien organisé, nous avons en nous-mêmes toutes les possibilités pour résoudre le problème même si nous sommes amnésiques du passé. Il y a, en chacun de nous, une intelligence infiniment grande qui nous guide avec sagesse, si nous acceptons de lui faire confiance.

 

Pour cette jeune femme, ses échecs sentimentaux se continueront jusqu’à ce qu’elle change ses sentiments et réactions. Il lui est nécessaire de se faire une nouvelle programmation afin qu’elle n’espère plus, mais soit sûre et certaine, qu’un compagnon qui lui correspond tout à fait, lui est destiné et qu’ils vont vivre un amour partagé dans le respect mutuel. Il va lui falloir se libérer des souffrances des blessures affectives qui appartiennent au passé en pratiquant le pardon. Nous attirons ce qui nous correspond. Lorsque nous avons un manque, une souffrance, nous attirons à nous les événements et conditions qui leurs correspondent. Donc changer complètement son état d’être est nécessaire à cette jeune femme.

 

Les exemples pourraient se multiplier. Ce qui est sûr, pour moi, c’est que rien n’arrive au hasard. Tout correspond à nous-mêmes. Pour changer l’extérieur, il nous faut changer à l’intérieur, car l’extérieur est le reflet de l’intérieur. Dans cela il n’est pas question de bien ou de mal, de bon ou de méchant, c’est simplement une loi universelle. Vibratoirement les êtres, les choses, les circonstances ne peuvent être ensemble, que s’ils sont en harmonie vibratoire.


Extrait du livre "L'Alchimie du bonheur - Et si les Licornes existaient"


Auteur :    Mili

Source : MESSAGESRECUS.com

 

 

 

 

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 09:10

00 LOGO PETITE DOUCEUR DU COEUR

 

L’inquiétude est quelque chose que nous connaissons tous et qui apporte un sentiment bien pesant,

voire extrêmement oppressant. Mais à quoi sert-elle cette inquiétude ? À RIEN !

 

 

Non seulement l’inquiétude ne nous protégera pas d’éventuelles difficultés (il arrivera de toute façon ce qui doit arriver,

 et ce n’est pas le fait d’être inquiet ou pas qui changera quoi que ce soit) mais en plus,quand nous sommes dans l’inquiétude,

 nous sommes tellement absorbés par elle que nous ne pouvons

être disponibles à l’instant présent, ce qui nous empêche de profiter des bonnes choses (petites ou grandes) qui surviennent entretemps sur notre route.

 

L’inquiétude arrive lorsque nos pensées nous emmènent vers des projections négatives sur l’avenir.

 

 

On craint de voir arriver un événement fâcheux ou douloureux, mais concrètement, il ne s’agit que d’une illusion, d’une possibilité oui,

 mais absolument pas d’une certitude sur l’avenir.

Ce n’est qu’un scénario possible parmi tellement d’autres envisageables et plus positifs.

 

 

 

Si quelque chose de négatif devait arriver, il sera toujours temps de s’en préoccuper. Il ne sert donc à rien de se tracasser pour quelque chose qui n’existe pas ici et maintenant et qui n’existera sans doute jamais.

 

L’inquiétude n’est pas une fatalité ; c’est à chacun d’agir pour recadrer ses pensées sur ce qui existe vraiment et dire « stop »

lorsque son esprit s’apprête à l’emmener vers un futur imaginaire fort sombre.

Tout est question de discipline intérieure.

 

 Plus on s’entraîne à barrer la route à ces pensées d’inquiétude qui ne font que nous pourrir la vie ; plus vite, on y parvient.

 

 

 Cependant, rien ne se fera contre notre volonté...

Chacun demeure libre de choisir sa route : soit de rester dans l’inquiétude ou de tenter une autre approche pour en sortir.

 

 

  • Laure Zanella / Blog Lavieetc.

     

     

    « Lorsque vous imaginez des scénarios négatifs,

    faites aussi l’effort d’imaginer les autres possibilités,

    incluant les scénarios positifs. »

  •  

     

     www.lapetitedouceur.org 

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 08:38

00 A PROPOS DE L ECHEC SCOLAIRE

 

Comme chacun sait, de plus en plus d’enfants sont dits « en échec scolaire ». Est-ce à dire que les élèves d’aujourd’hui sont moins intelligents que ceux d’hier ? Certainement pas. D’une manière générale, ils sont même plus éveillés que ne l’étaient ceux des générations précédentes. Alors, faut-il en déduire que les enseignants actuels sont moins compétents que ne l’étaient leurs aînés ? Non plus, même si nombre d’entre eux considèrent avoir été mal ou insuffisamment formés.

 

 

À quoi donc est dû l’échec scolaire ? Certains évoquent le manque de moyens à l’école ou au collège ; d’autres la maîtrise insuffisante de la langue française chez les enfants concernés ; d’autres encore la précarité socio-familiale… Une autre raison, et non des moindres, est liée au comportement des enfants. Étant de moins en moins bien éduqués par leurs parents, ils manquent de respect, d’obéissance, d’attention, de concentration, de courage, de persévérance, etc. Ceci a deux effets majeurs : 1) les élèves intègrent de plus en plus difficilement ce qui leur est enseigné. 2) les enseignants ont de plus en plus de difficulté à transmettre le savoir. Si on ajoute à cela que les programmes, tout du moins en primaire, ont été à maintes reprises déstructurés dans le contenu et la méthode, on ne peut être surpris que le nombre d’enfants en difficulté soit croissant.

 

 

Aussi contradictoire que cela paraisse, la solution à l’échec scolaire se situe en grande partie dans l’éducation que les parents doivent donner à leurs enfants. S’ils étaient élevés dans le respect des valeurs morales (ou éthiques) les plus élémentaires, ils seraient nécessairement plus réceptifs aux savoirs et aux savoir-faire qui leur sont transmis à l’école. Par ailleurs, les enseignants ne perdraient pas autant de temps et d’énergie à maintenir la discipline, de sorte qu’ils pourraient exprimer pleinement leurs compétences et mieux prendre en compte les élèves en difficulté.

 

 

De nos jours, nombre de parents n’ont plus le sens de l’éducation et se déchargent sur les enseignants pour palier leur carence dans ce domaine. Or, le rôle de ces derniers est avant tout d’instruire, c’est-à-dire de transmettre des connaissances. En France, l’appellation « Éducation Nationale » me semble d’ailleurs inappropriée pour traduire le rôle de l’enseignement. Il serait plus judicieux de parler d’« Instruction Nationale » ou d’« Instruction Scolaire ». Quoi qu’il en soit, la confusion est telle que nombre de parents, non seulement n’assument pas correctement l’éducation de leurs enfants, mais rendent les enseignants responsables des échecs qu’ils rencontrent dans leur scolarité.

 

 

Indépendamment du contenu des programmes et des méthodes employées, qui nécessitent certainement des améliorations et des adaptations, il faudrait introduire des cours d’éthique dans l’instruction scolaire, au même titre qu’il existe des cours d’orthographe, d’arithmétique, d’histoire, etc. Ces cours, officiels, structurés et présentés à tous les élèves comme une matière à part entière, contribueraient à faire que les enfants d’aujourd’hui deviennent plus tard des parents capables d’éduquer correctement leurs enfants, lesquels auraient alors de meilleures chances d’être de bons élèves. Quel paradoxe !

 

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-lechec-scolaire/

 

 

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 23:00

 

 

0 AMOUR UNIVERSEL

 

Une grand-mère

 

 

Une grand-mère est une femme qui n'a pas d'enfant à elle.


 

C'est pour ça qu'elle aime les enfants des autres.


 

Les grands-mères n'ont rien à faire, elles n'ont qu'à être là.


 

Quand elles nous amènent en promenade, elles marchent lentement

et elles ne disent jamais : "Avance plus vite, dépêche-toi !"


 

En général, elles sont grosses, mais pas trop pour pouvoir attacher nos souliers.


 

Elles savent toujours qu'on a besoin d'un deuxième morceau de gâteau, ou d'un plus gros.


 

Les grands-mères portent des lunettes, et parfois elles peuvent même enlever leurs dents.


 

Elles savent être sourdes quand il le faut, pour ne pas nous gêner

quand nous sommes maladroits et une vraie grand-mère se met en colère en riant.


 

Quand elles nous lisent des histoires, elles ne sautent jamais de bout,

et elles n'ont rien contre si on réclame la même histoire plusieurs fois.


 

Les grands-mères sont les seuls adultes qui ont du temps.

Elles savent faire le geste qui fait du bien quand on a mal.


 

Les grands-mères ne sont pas aussi fragiles qu'elles le disent, même si

elles meurent plus souvent que nous.


 

Tout le monde devrait essayer d'avoir une grand-mère, surtout ceux

qui n'ont pas de PlayStation !


 

 

 

1 POUR TEXTE AMITIE 

 

 

 

Bonne fête,  grand maman !

 

http://www.chezmaya.com/08/gr-mere.htm


 

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 08:22

 

 

00 LA SIMPLICITE

 

C’est toi qui choisis, toi qui grandis, toi qui deviendras de plus en plus simple, y compris dans les rôles qui te plaisent, dans les positions sociales les plus élevées, les plus élémentaires, dans les rencontres qui te nourriront… Car oui, la Simplicité est une nourriture de ton esprit !… Qu’elle te comble et te permettre d’ouvrir toutes les portes !…

 

 

La Lumière t’aime infiniment, Je te le dis tout simplement, comme si de rien n’était… Je suis ton «  JE SUIS » essentiel, et mon amour pour toi te rendra de plus en plus simple, c’est promis… car Oui, Je l’ai promis à ton Être, à ton Centre, au Point Zéro de l’Unique qui t’habite ; sache que Je tiens toutes mes promesses !…

 

 

Voyons maintenant de quelle Simplicité il s’agit d’instaurer en toi… :  Médite un instant sur le sens de la Simplicité, ce qu’elle évoque pour toi, trouve ta justesse de vue, le bon sens et le discernement, vois s’il y a une rectification à apporter, remercie-toi d’être là, rends grâce d’être sur la Terre en tant qu’élève et maître, pour l’instruction que tu en reçois ; dis Oui à tout ce qui vibre en toi et autour de toi, pour laisser le destin de chacun s’accomplir, pour que le tien se libère des tensions et des stress, des colères, injonctions et difficultés, pour que ton instant présent se respecte en tous domaines, que les mentalisations s’émoussent et laissent la place, beaucoup plus de place, à ton Cœur, à l’Amour Universel, à l’Inconditionnel…

 

 

Cet exercice de centrage et de concentration sur le sens de la Simplicité et ce que tu peux mettre en place ou utiliser pour être plus juste avec toi-même, mieux aligné/e aux Lois de l’Univers, te rappelle que tu peux Exister et non Paraître, Exister et non Survivre, Exister et non Exiger, Exister en restant accessible à toutes et tous… C’est là que Je t’attends, Moi ta Lumière, Moi l’Amour… C’est là que tu te ressourceras, au cœur de ton Cœur, au cœur de la Vie… en toute générosité, en toute liberté, en toute simplicité, sans compliquer ton quotidien, pour attirer de belles expériences…

 

 

Souviens-toi que la Simplicité est le reflet de Qui tu es réellement au fond de toi, de Comment tu le manifestes chaque jour… Si tu ressens que tout est compliqué, que des barrières sont devant toi, que des murs s’élèvent, que les autres ne te comprennent pas, peut-être as-tu à devenir plus simple, en tes choix, en tes pensées, en tes perspectives, en ton vocabulaire, en ce que tu véhicules, montres et destines… Peut-être verras-tu les occasions que la Vie ne manquera pas de te présenter ?… Peut-être ressentiras-tu la Simplicité de ton Enfant Intérieur ?… Peut-être comprendras-tu que tout va aller vers le vrai sens de la Fraternité, qui a besoin de relations ouvertes et simples ?… Les relations humaines n’ont de sens que si la Simplicité et l’Authenticité font écho au Cœur qui pense et agit en toute sécurité… Sécurité et Simplicité vont de pair… ; «Sécurité Intérieure », évidemment !…

 

 

Que la Paix s’éveille, se révèle, s’installe de plus en plus souvent en toi, s’adonne à l’expérience de la Simplicité !… Avec Amour… Je veille à cela, Je veillerai à ce que tu deviennes beaucoup plus que tu n’es et crois être actuellement, que tu montres ou démontres, et Je veillerai à te conduire vers l’authentique Simplicité, état de maturité évident et sacré…

 

Paix sur la Terre…. Paix en toutes et tous…

 

 http://lapressegalactique.net/2013/07/10/la-simplicite/

 

 

 

 

 

 

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