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19 novembre 2022 6 19 /11 /novembre /2022 10:15

 

 

Texte de Pierre Pradervand

 

 

Au réveil, bénissez votre journée, car elle déborde déjà d’une abondance de biens que vos bénédictions font apparaître. Car bénir signifie reconnaître le bien infini qui fait partie intégrante de la trame même de l’univers. Il n’attend qu’un signe de nous pour se manifester.

 

En croisant les gens dans la rue, dans le bus, sur votre lieu de travail, bénissez-les tous. La paix de votre bénédiction sera la compagne de leur chemin, et l’aura de son discret parfum une lumière sur leur route. Bénissez ceux que vous rencontrez dans leur santé, dans leur travail, leur joie, leur relation au divin, à eux-mêmes et aux autres. Bénissez-les dans leur abondance et dans leurs finances. Bénissez-les de toutes les façons concevables, car de telles bénédictions ne sèment pas seulement les semences de la guérison, mais, un jour, jailliront comme autant de fleurs de joie dans les espaces arides de votre propre vie.

 

En vous promenant, bénissez votre village ou votre cité, ceux qui la gouvernent et ses enseignants, ses infirmières et ses balayeurs, ses prêtres et ses prostituées. A l’instant même où quelqu’un exprime la moindre agressivité, colère ou manque de bonté à votre égard, répondez avec une bénédiction silencieuse. Bénissez-les totalement, sincèrement, joyeusement, car de telles bénédictions sont un bouclier qui vous protège de l’ignorance de leurs méfaits, et détourne la flèche qui vous est adressée.

 

Bénir signifie désirer et vouloir inconditionnellement, totalement et sans réserve aucune le bien illimité – pour les autres et les événements de la vie – en puisant aux sources les plus profondes et les plus intimes de votre être. Cela signifie révérer et considérer avec un émerveillement total ce qui est toujours un don du Créateur et cela quelles que soient les apparences. Celui qui est porté par votre bénédiction est mis à part, consacré, entier.

 

Bénir tout et tous, sans discrimination aucune, constitue la forme ultime du don, car ceux que vous bénissez ne sauront jamais d’où vient ce rayon de soleil qui soudain perça les nuages de leur ciel, et vous serez rarement témoins de cette lumière dans leur vie.

 

Quand, dans votre journée, quelque événement inattendu vous bouleverse vous autant que vos plans, éclatez en bénédictions, car la vie est en train de vous apprendre une leçon, même si sa coupe peut vous sembler amère. Car cet événement que vous pensez être si indésirable, vous l’avez en fait suscité, afin d’apprendre la leçon qui vous échapperait si vous hésitiez à le bénir. Les épreuves sont des bénédictions cachées, et des cohortes d’anges suivent leur traces.

 

Bénir signifie reconnaître une beauté omniprésente cachée aux yeux matériels. C’est activer la loi universelle de l’attraction qui, du fond de l’univers, amènera dans votre vie exactement ce dont vous avez besoin dans le moment présent pour grandir, progresser, et remplir la coupe de votre joie.

 

Quand vous passez devant une prison, bénissez ses habitants dans leur innocence et leur liberté, leur bonté, la pureté de leur essence et leur pardon inconditionnel. Car on ne peut qu’être prisonnier de l’image qu’on a de soi-même, et un homme libre peut marcher sans chaînes dans la cour d’une prison, tout comme les citoyens d’un pays libre peuvent être prisonniers quand la peur se tapit dans leur pensée.

 

Quand vous passez devant un hôpital, bénissez ses patients dans la plénitude de leur santé, car même dans leur souffrance et leur maladie, cette plénitude attend simplement d’être découverte. Et quand vous voyez une personne en pleurs ou apparemment brisée par la vie, bénissez-la dans sa vitalité et sa joie: car les sens ne présentent que l’inverse de la splendeur et de la perfection ultimes que seul l’œil intérieur peut percevoir.

 

Il est impossible de bénir et de juger en même temps. Alors maintenez en vous ce désir de bénir comme une incessante résonance intérieure et comme une perpétuelle prière silencieuse, car ainsi vous serez de ceux qui procurent la paix, et, un jour, vous découvrirez partout la face même de Dieu.

 

Texte de

Pierre Pradervand

 

P.S. Et par dessus tout, n’oubliez-pas de bénir cette personne merveilleuse, totalement belle dans sa vraie nature, et si digne d’amour que VOUS êtes.

 

http://www.gentleartofblessing.org/fr/le-texte

 

 

 

 Pensée de Matthieu Ricard

 

 

Moine bouddhiste

 

Un jour, je contemplais longuement un papillon posé sur une fleur qui oscillait doucement sous la brise. Il butinait, puis, sans raison apparente, s’envolait, voletait de-ci de-là̀ et revenait déployer ses belles ailes bleues sur le pistil orange. Ce manège, ré́pété à plusieurs reprises, évoqua en moi les instructions sur la façon de stabiliser l’esprit : « Lorsque tu t’aperçois que tu es distrait par des pensées nouvelles, reviens encore et encore vers l’objet de ta concentration. Si ton esprit se fatigue et que ta concentration se relâche, laisse-le simplement reposer dans son état naturel, préservant cette liberté́ intérieure, sans encourager les pensées ni tenter de les supprimer. Contemple la nature même de l’esprit. A-t-il une forme, une couleur, une localisation ? N’y trouvant rien, demeure à l’aise, détendu, dans cet “introuvable”. Laisse les pensées se défaire à mesure qu’elles se forment, comme un dessin tracé du doigt à la surface de l’eau.1»

 

Je ne suis guère poète, mais un jour j’écrivis ces lignes reflétant les divagations de mon esprit :

 

Las de combattre mes pensées, je leur demandai :

« N’allez-vous pas me laisser tranquille ? »

Comme une bande de gamines gouailleuses.

 

Elles éclatèrent de rire.

J’essayai de m’enfuir,

Elles me poursuivirent en se moquant de plus belle.

 

Fatigué, je m’assis au flanc d’une colline. «Vais-je jamais leur échapper ? »

Je regardai pensivement le ciel.

Soudain une idée me vint :

« Il suffirait que je devienne invisible :

Un morceau de ciel par exemple ! »

Mais je ne trouvai nulle part où accrocher

Mon petit bout de ciel dans le grand ciel.

 

À mesure, que, désarmé, je contemplais l’espace,

Mon esprit commença à se fondre en lui.

« Nous y sommes ! » me dis-je,

Riant de bon cœur à l’idée de la tête de mes pensées déconfites. Mais, bientôt, je ne riais plus,

Car je n’étais plus là.

 

[…]

 

L’une des grandes leçons que je tirai de ces années passées en retraite dans des ermitages de montagne, à méditer et à contempler la nature sauvage et, à l’opposé, plongé dans le chaos de la vie moderne, est celle de la simplicité.

 

Un jour, alors que j’étais assis sur le balcon de mon ermitage, je me fis cette réflexion : « Si une fée me proposait de prononcer trois vœux, uniquement sur le plan matériel, qu’est-ce que je pourrais bien lui demander ? » Vu la taille de mon ermitage, les possibilités étaient limitées : impossible d’y caser une chaîne hi-fi, ni même un ordinateur grand écran. J’ai un autel où sont disposées des statues, une vingtaine de livres, quelques vêtements et objets utiles. Au bout d’un moment, j’éclatai de rire : je ne trouvais rien à souhaiter qui présente un avantage et ne soit pas une simple source d’encombrement. Ainsi s’impose ce mantra qui me procure un immense sentiment de soulagement dès que je le récite une dizaine de fois: « Je n’ai besoin de rien ! je n’ai besoin de rien ! je n’ai besoin de rien ! » Vive la simplicité́ heureuse !

 

J’aime beaucoup ces mots de Henry David Thoreau2 : « Simplifier, simplifier, simplifier...» Simplifier nos pensées, simplifier nos paroles et simplifier nos actes, ce n’est pas diminuer notre créativité́ ou rétrécir notre existence, c’est apprécier intensément la sérénité sans égale d’un esprit au repos dans son état naturel. C’est déposer le fardeau, si longtemps coltiné, des constructions artificielles et distordues qui ne cessent de foisonner dans notre esprit, de le troubler, de l’agiter en tous sens, de le fragmenter, de le comprimer, de l’enchainer – en un mot de le tourmenter.

 

La simplicité, c’est de laisser nos pensées reposer dans la nature de l’esprit, tout comme les feuilles qui se détachent de l’arbre et tombent naturellement sur le sol ; c’est le soleil qui se lève au-dessus d’une mer de nuages ; c’est le miroir d’un lac aux eaux transparentes ; c’est l’air vif et pur de la montagne ; c’est le regard qui se fond dans un ciel sans nuages, ou s’étend au loin sur un enchaînement de collines boisées ; c’est le regard intérieur qui se pose dans la simplicité́ naturelle de l’esprit.

 

1 Traduit du tibétain d’après un enseignement oral de Dilgo Khyentsé Rinpoché.

 

2 Henry David Thoreau (1817-1862) est un philosophe, artiste, écrivain, essayiste et poète américain. Il tenait à marcher tous les jours trois ou quatre heures dans la nature. Voir son ouvrage le plus connu sur la vie simple, Walden ou la vie dans les bois [1854], Gallimard, 1921.

 

 

 

Nous vous souhaitons une belle journée,

et vous remercions de votre présence à nos côtés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 avril 2019 6 13 /04 /avril /2019 08:47

 

Texte d’Omraam Mikhël Aïvanov

 

 

Chaque jour, des phénomènes atmosphériques se produisent sur toute la surface de la terre. Et leur cause, c'est le soleil.

 

Le soleil chauffe l'air et la vapeur d'eau qui constituent l'atmosphère, l'air chaud tend à s'élever, créant des zones de basse pression tandis que l'air froid se comprime, se tasse contre le sol, créant des zones de haute pression. Alors, des hautes pressions vers les basses pressions circulent les vents.

 

Quand la différence de pression s'accentue, les vents deviennent très violents et il peut se produire des tornades et des ouragans.

 

De plus, sous l'effet de la chaleur du soleil, l'eau des océans, des mers, des lacs, des rivières s'évapore et monte. Lorsque l'air atteint un degré de saturation, la vapeur d'eau se transforme en neige ou en pluie, et les averses et les torrents agissent sur la terre et modèlent le relief.

 

En nous, le soleil correspond à l'esprit, l'air à la pensée, l'eau au sentiment, la terre au corps physique.

Lorsque l'esprit agit sur la pensée, la pensée entraîne à son tour le sentiment et le sentiment se jette sur le corps physique pour le faire courir, gesticuler, parler.

 

Donc, le corps physique se meut sous l'effet du sentiment, le sentiment est éveillé par la pensée, la pensée naît sous l'influence de l'esprit.

Ce mécanisme est là chaque jour sous nos yeux: sous l'influence de l'air (le vent), l'eau (les vagues) modèle la terre (les rochers), lui donne des formes, la sculpte.

 

On peut en tirer cette conclusion: si l'être humain savait interpréter et appliquer dans sa vie intérieure ce processus naturel, normal, de l'action du soleil sur la terre par l'intermédiaire de l'air et de l'eau, il pourrait opérer de grandes transformations en lui et en-dehors de lui.

 

Voilà en quoi consiste la puissance de la pensée!

Source: Source: www.baspirit.blogspot.com

 

 

 

 

 

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23 mars 2019 6 23 /03 /mars /2019 09:46

 

Joli texte de Boucar Diouf

 

Envoyé par mon amie Najet

 

 

À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir.

A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.

... et le mois est déjà fini.

... et l'année est presque écoulée.

... et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.

... et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.

et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ...

Alors... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...

N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...

Mettons de la couleur dans notre grisaille...

Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.

Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste. Essayons d'éliminer les "après" ...

Je le fais après ...

Je dirai après ...

J'y penserai après ...

 

 

On laisse tout pour plus tard comme si "après" était à nous.

Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :

Après, le café se refroidit ...

Après, les priorités changent ...

Après, le charme est rompu ...

Après, la santé passe ...

Après, les enfants grandissent ...

Après, les parents vieillissent ...

Après, les promesses sont oubliées ...

Après, le jour devient la nuit ...

Après, la vie se termine ...

Et après c’est souvent trop tard....

Alors...

Ne laissons rien pour plus tard.

 

Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments,

Les meilleures expériences,

Les meilleurs amis,

La meilleure famille...

Le jour est aujourd'hui...

L'instant est maintenant...

 

Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 décembre 2018 6 08 /12 /décembre /2018 09:33

 

 

Texte envoyé par un ami virtuel.

 

 

Les derniers mots de Steve Jobs, milliardaire, patron d'Apple, mort à 56 ans du cancer du pancréas :

 

"J'ai atteint le summum du succès dans le monde des affaires. Dans les yeux des autres, ma vie est une réussite.

 

Cependant, mis à part le travail, j'ai eu peu de joie. En fin de compte, la richesse n'est qu'un fait auquel je me suis habitué.

 

En ce moment, allongé sur mon lit d’hôpital, et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que toute la reconnaissance et la richesse dans laquelle j’ai pris tant de fierté, a pâli et est devenue insignifiante face à la mort imminente.

 

Vous pouvez employer quelqu'un pour conduire votre voiture ou gagner de l'argent pour vous mais c’est impossible d’engager quelqu'un pour supporter la maladie et mourir pour vous.

 

 

Les choses matérielles perdues peuvent être trouvées. Mais il y a une chose qui ne peut jamais être trouvée quand elle est perdue - "la vie ».

 

Quelle que soit l'étape de la vie à laquelle nous sommes actuellement, avec le temps, nous serons confrontés au jour où le rideau se ferme.

 

Aimez votre famille, votre conjoint et vos amis ... Traitez-les bien. Chérissez-les.

 

Au fur et à mesure que nous vieillissons, et devenons plus sages, nous réalisons lentement que porter une montre à 300 $ ou 30 $ - les deux donnent la même heure...

 

Que nous ayons un portefeuille ou un sac à main de 300 $ ou de 30 $ - le montant à l’intérieur est le même;

 

Que nous conduisions une voiture de 150 000 $ ou une voiture de 30 000 $, la route et la distance sont les mêmes, et nous arrivons à la même destination.

 

Que nous buvions une bouteille de vin à 1000.$ ou à 10 $, la gueule de bois est la même;

 

Que la maison dans laquelle nous vivons mesure 300 ou 3000 pieds carrés, la solitude est la même.

 

Vous réaliserez que votre véritable bonheur intérieur ne provient pas des choses matérielles de ce monde.

 

Vous voyagiez en première classe ou en classe économique, si l'avion tombe en panne, vous tombez avec lui ...

 

Par conséquent, j'espère que vous vous rendez compte, quand vous avez des amis, des copains et des vieux amis, frères et sœurs, avec qui vous discutez, riez, parlez, chantez, parlez du nord-sud-est ou du ciel et la terre, ....C’est le vrai bonheur !!

 

Cinq faits incontestables de la vie:

 

 

  1. N'éduquez pas vos enfants à être riches. Éduquez-les pour être heureux. Donc, quand ils grandiront, ils connaîtront la valeur des choses et non le prix.
  2. Mangez vos aliments comme médicaments. Sinon, vous devez manger des médicaments comme nourriture.
  3. Celui qui vous aime ne vous quittera jamais pour un autre, car même s'il y a 100 raisons d'abandonner, il trouvera une raison de se retenir.
  4. Il y a une grande différence entre un être humain et l'être humain.Seuls quelques-uns le comprennent vraiment.
  5. Vous êtes aimé quand vous êtes né. Vous serez aimé quand vous mourrez. Entre les deux, vous devez gérer!

REMARQUE: Si vous voulez juste marcher vite, marchez seul! Mais si vous voulez marcher loin, marchez ensemble!

 

Six meilleurs médecins au monde:

 

Lumière du soleil

Repos

Exercice

Régime

Confiance en soi

Amis.

 

Gardez-les à tous les stades de la vie et profitez d'une vie saine .

 

 

 

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 13:51

 

 

 

Ce poème m'a était envoyé par une très grande amie.

Poème de Mario de Andrade (San Paolo 1893-1945) Poète, romancier, essayiste et musicologue.

Un des fondateurs du modernisme brésilien.

 

 

 

 

J'ai compté mes années et j'ai trouvé que j'ai moins de temps à vivre d'ici que ce que j'ai vécu jusqu'à maintenant.

 

 

Je me sens comme cet enfant qui a gagné un paquet de bonbons: les premiers les mangent avec plaisir, mais quand il s'est rendu compte qu'il en restait peu, il a commencé à les goûter intensément.

 

 

Je n'ai plus de temps pour des réunions interminables où les statuts, les règles, les procédures et les règlements internes sont discutés, sachant que rien ne sera fait.

 

 

 

Je n'ai plus le temps de soutenir des gens absurdes qui, malgré leur âge chronologique, n'ont pas grandi.

Mon temps est trop court: je veux l'essence, mon âme est pressée. Je n'ai plus beaucoup de bonbons dans le paquet.

 

 

 

Je veux vivre à côté d'humains, de gens très humains qui savent rire de leurs erreurs et qui ne sont pas gonflés par leurs propres triomphes et qui prennent leurs responsabilités pour eux-mêmes. De cette manière, la dignité humaine est défendue et l'on vit dans la vérité et dans l'honnêteté

C'est l'essentiel qui rend la vie utile.

 

 

Je veux m'entourer de gens qui savent toucher les cœurs, de ceux à qui les durs coups de la vie ont appris à grandir avec de douces touches de l'âme.

 

Oui, je suis pressé, je suis pressé de vivre avec l'intensité que seule la maturité peut donner.

 

Je n'ai pas l'intention de gaspiller aucun des desserts restants. Je suis sûr qu'ils seront exquis, beaucoup plus que ceux mangés jusqu'ici.

 

 

Mon but est d'atteindre la fin satisfait et en paix avec mes proches et ma conscience.

Nous avons deux vies et la seconde commence quand vous réalisez que vous n'en avez qu'une.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bonjour à chacun de vous Chers (es) visiteurs (es)

Je vous souhaite de très belles vacances.

 

Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 juin 2018 4 07 /06 /juin /2018 08:27

 

 

 

 

 

 

 

Texte envoyé par une grande amie.

 

 

 

 

Il s'appelait DÉSIRÉ, c'était un pauvre fermier écossais.

 

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille,

 

il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.

 

Il laissa tomber ses outils, Y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.

 

 

Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

 

 

 

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.

 

Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.

 

Je veux vous récompenser, dit le noble.

 

Vous avez sauvé la vie de mon fils!

 

Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.

 

 

Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

 

 C'est votre fils? demanda le noble.

 

 Oui, répondit fièrement le fermier.

 

 Alors, je vous propose un marché.

 

 

Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils.

Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

 

Et le fermier accepta.

 

 

 

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l'Ecole de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres.

 

Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier.

 

Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

 

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.

 

Qui lui sauva la vie, cette fois ?... La pénicilline

 

Comment s'appelait le noble ?

 

Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.

 

 

Quelqu'un a dit un jour :

 

" Tout ce qui s'en va, revient... "

 

 

Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.

 

Aime comme si tu n'avais jamais été blessé.

 

Danse comme si personne ne te regardait.

 

 

Chante comme si personne ne t'écoutait.

 

Vis comme si le Ciel était sur la Terre.

 

 

Auteur inconnu

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 18:25

 

 

 

 

« Ne parle pas.

Laisse le silence venir,

Les mots disent si peu de choses

Ils ne savent que faire du bruit.

 

« Le silence, le plus grand luxe actuel. » 

 

« Dans le silence et la solitude on n’entend plus que l’essentiel. »

 

« Le silence est le contraire du néant : il est plénitude de vie. »

 

« Si le silence nous pèse, c’est que nous en avons terriblement besoin. »

 

 

« Ils ne savent pas tout ce qu’ils perdent ceux qui ne savent pas écouter le silence. »

 

 « L’homme courageux n’est pas celui qui n’a jamais peur. C’est celui qui accepte de faire le silence en lui. »

 

« Les gens qui parlent bien sont assurément fort rares ; plus rares pourtant encore sont ceux qui savent se taire ; mais infiniment plus rares, entre tous, ceux qui sont assez maîtres d’eux-mêmes pour ne par interrompre et laisser parler. »

 

« Ecouter, c’est donner ; voilà pourquoi l’on aime qui écoute ; mais écouter, c’est se donner : voilà pourquoi les bons écouteurs sont rares. »

 

« Le vrai silence n’est pas absence de bruit, mais présence de Dieu. »

 

« Ce n’est pas Dieu qui est silencieux, c’est nous qui sommes sourds. »

 

« Nous croyons trop souvent que Dieu n’écoute pas nos questions, c’est nous qui n’écoutons pas ses réponses. »

 

http://www.philosophie-poeme.com/

 

 

Vidéo :    Sound of Silence

 

 

Mettez le son  et écran plein,  détendez vous avec ces belles images

  UN  GRAND MOMENT ... mais  avec  le   son

 

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11 février 2018 7 11 /02 /février /2018 13:15

 

 

Texte envoyé par une amie très proche.

 

 

 

Je me sens toujours heureux, savez-vous pourquoi? Parce que je n'attends rien de personne; attendre fait toujours mal. Les problèmes ne sont pas éternels, ils ont toujours une solution, la seule chose qui n'a pas de remède est la mort. Ne permettez à personne de vous insulter, de vous humilier ou de diminuer votre estime de soi.

 

 

Les cris sont l'instrument des lâches, ceux qui ne pensent pas. Nous rencontrerons toujours des gens qui nous considèrent comme coupables de leurs problèmes, et chacun aura ce qu'il mérite. Nous devons être forts et ressusciter des chutes que la vie nous impose, pour nous rappeler qu'après le sombre tunnel plein de solitude, de très bonnes choses viennent "Il n'y a pas de mal qui ne passe pas au bien".

 

 

C'est pourquoi tu apprécies la vie parce qu'elle est très courte, alors aime-la, sois heureuse et sourie toujours, vis seulement intensément pour toi-même et pour toi-même, souviens-toi: Avant de discuter ...

 

 

Respirez Avant de parler ...

 

Écoutez Avant de critiquer ...

 

Examinez-vous Avant d'écrire ...

 

Pensez Avant de faire mal ...

 

Regardez Avant d'abandonner ...

 

Essayez Avant de mourir ..... LIVE !!

 

 

La meilleure relation n'est pas celle d'une personne parfaite, mais celle dans laquelle chaque individu apprend à vivre, avec les défauts de l'autre et admirant ses qualités. Qui ne valorise pas ce qu'il a, un jour il se plaindra de l'avoir perdu et celui qui souffrira un jour recevra ce qu'il mérite.

 

 

Si vous voulez être heureux, rendre quelqu'un heureux, si vous voulez recevoir, donnez un peu de vous-même, entourez-vous de bonnes personnes et soyez l'un d'entre eux.

 

 

Rappelez-vous, parfois, quand vous vous y attendez le moins, il y aura ceux qui vous feront vivre de bonnes expériences! Ne gâche jamais ton présent pour un passé sans avenir.

 

 

Une personne forte sait comment garder sa vie en ordre. Même avec des larmes dans les yeux, il s'adapte pour dire avec un sourire, JE SUIS BON.

 

 

Aujourd'hui est la journée mondiale de l'amitié: envoyez ce message aux gens que vous n'oublierez jamais et j'en fais partie!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 17:06

 

 

 

 

Publié le 15 novembre 2017 par LilaLuz

 

 

 

 

 

La plupart d’entre ceux qui se sont engagés sur une voie d’éveil sont confrontés au leitmotiv  de la petite voix intérieure qui ne cesse de répéter : « pardonne ! »

 

 

Pour l’avoir entendu pendant toute ma vie, malgré tous mes efforts conscients ; prières, lâchers prises, renoncements, sacrifices intérieurs, humiliations, changements d’habitude, de fréquentations, l’isolement, la compagnie, les lieux saints, l’alimentation ou le jeun … sans que la petite voix ne change son disque rayé, je me suis vraiment demandé si cette histoire de pardon n’était pas comme la carotte de l’âme que l’on veut faire avancer sur un chemin tortueux et que l’on essaye d’amadouer avec la possibilité d’une récompense :  Pardonner c'est retrouver la véritable liberté et le sentiment de légitimité divine qui s’y associe.

 

 

Alors on commence par ressasser pour voir ce que l’on aurait oublié de libérer. Quelle histoire ! Puis on envoie de l’énergie de compréhension, de gratitude, de « remise à zéro », à toutes les causes et à toutes les conséquences. Ensuite on sort de ses ressources humaines, on pense « mystique » et on prie. Peut-être que ce divin pardon n’est pas celui que l’on donne mais celui qu’il nous faut recevoir ? Avec humilité, calme et détachement. Rien n’y fait ! La voix continue à chaque occasion : « pardonne ! » Il m’est arrivé de croire qu’il s’agissait d’une sorte de torture mentale, ou qu’une personne s’était attachée à moi après sa mort…Alors rituel, qu’avais-je à perdre ? Mais quoique mes efforts fussent sincères et bien intentionnés  « pardonne ! » est revenu ! La nuit, le jour, en faisant du sport ou en mangeant… «Pardonnes!» est encore là.

 

 

J’en suis arrivée au fatalisme, je me suis résignée à n'être pas pardonnée...peut-être resterais-je une impardonnable forte tête, puisque ni les symboles, ni les rêves, ni les asanas ou les massages, ni les régimes, ni les prières, pas même les rencontres spirituelles ne changeaient cette voix et son discours bloqué? Quoi faire ?

 

 

 

La réponse m’est venue sous 2 formes.

La première partie de la réponse est une perle de sagesse qui m’a été attribuée alors qu’elle m’était promise si je remplissais les conditions pour la recevoir. Ce cadeau représente l’accès à un autre degré de détachement et d’accomplissement. C’est donc que toutes les procédures acceptées avaient eût leur utilité ! 

 

La seconde partie de la réponse m’est venue comme une évidence : le Pardon dépasse les niveaux de la compréhension ou de la gratitude, il doit également se produire une libération au niveau de l’énergie vitale et du corps physique.

 

 

Alors, j’ai cherché ce qui pourrait représenter un « manque de pardon » dans mon corps ; soit un blocage invisible, minuscule, une brisure, un manque de raccord quelque part… là ça ne manque pas ! Ainsi pardonner signifie effacer les traumatismes physiques causées par des personnes ou des situations. Il ne s’agit pas uniquement de dédramatiser sa souffrance, d’oublier les souvenirs douloureux ou de leur retirer leur nature délétère, il ne s'agit pas uniquement de se détacher du poids des injustices -que l'on subit ou que l'on inflige- il faut également réparer physiquement ce qui est possible pour retrouver la vitalité « d’avant » afin de démontrer que le Pardon est effectif.

 

 

Pardonner consiste à se libérer énergétiquement de tout ce qui est le résultat d’une souffrance –nouvelle ou ancienne- cela ne fait aucune différence. Notre énergie est pure seulement lorsque nous pardonnons, c’est-à-dire quand les marques physiques et énergétiques, psychiques et émotionnelles ont disparues et que l'on peut évoquer n'importe quel souvenir sans en ressentir aucune émotion ou réaction intense.  Alors, « Pardonnes ! » peut simplement signifier retrouver la santé initiale. Intégrer ce niveau de pardon entraîne une ascension immédiate.

 

C’était pourtant pas compliqué, faut croire que j’étais bloquée ! Lila

 

 

 

 http://www.lilaluz.net/2017/11/le-sens-veritable-de-par-donner.html

 

 

 

        

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 avril 2017 4 06 /04 /avril /2017 19:11

 

 

 

Texte de Raphaël Juste Être-Amour/Régis Violette

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il faut comprendre que l'âme est descendue en l'homme pour y apporter la lumière. Il a dû confronter les ténèbres, ces basses vibrations pour permettre aux autres plans de conscience d'évoluer, d'atteindre d'autres niveaux de conscience. Alors les âmes au service de la lumière entreprennent la descente dans la matière pour y instaurer la lumière. Ce qui provoqua des blessures de l'âme car l'homme avait à confronter les ténèbres.

 

 

 

Alors est né les croyances, les légendes dans lesquelles les hommes s'abreuvaient. En ce jour de grande transformation, en cette Ère du Verseau, l'homme est parvenu à se libérer des légendes, des croyances dans lesquelles se trouvaient les blessures de l'âme. Ne s'identifiant plus à toutes ces illusions, à toutes ces croyances, l'homme nouveau, libre de toutes blessures parvient à illuminer ce monde, cet univers, cet espace-temps de la lumière de l'amour. De plus en plus d'hommes, d'êtres vivent cet éveil.

 

 

Je suis bien heureux d'être cet éveilleur de conscience, ce guérisseur de l'âme. Le temps est venu, à toi de prendre ton envol, te libérer des croyances et des blessures, c'est ainsi que tu retrouveras tes ailes, toi, ange de lumière. Rejoins les rangs célestes, ne vois-tu pas qu'il y a encore plusieurs âmes qui attendent ce grand moment, de se libérer de leurs chaînes de croyances, de se guérir des plaies de leurs blessures ?

 

 

Chuchote en leur âme et conscience, la lumière de l'amour, la mélodie du bonheur, de la paix céleste, du ciel à la terre pour qu'ils puissent se libérer des illusions des croyances, qu'ils ressentent la guérison instantanée de leurs blessures. Lève-toi mon frère, ma sœur, je connais ton âme, elle est faite de lumière et non des ténèbres. Sers-toi de tes ailes et rejoins-nous dans ces retrouvailles, le temps est venu d'éclairer toutes les ombres en lumière.

 

 

http://www.choix-realite.org/7577/ne-vous-en-prenez-pas-a-lhomme-vehicule-de-lame

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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