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17 juin 2018 7 17 /06 /juin /2018 11:08

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Beaucoup d’entre nous avons été élevés dans une famille où le bien-être des autres passait avant le nôtre. Où, pour être aimés, il fallait répondre aux attentes des autres. Ces conditions ont favorisé notre dépendance affective à l’âge adulte. Ainsi, nous attendons souvent que les autres reconnaissent ou nous attribuent « notre valeur » (voir mon texte de mercredi sur ce sujet), que les autres comblent nos besoins et nous aiment plus que nous nous aimons.

 

 

Cela crée des relations affectives immatures, où l’insécurité prime, où les attentes prédominent, ce qui entraîne la plupart du temps déceptions, reproches et blâmes. Si vous cherchez à vouloir tout savoir de ce que fait, pense, dit, voit et décide l’autre, vous êtes dans une relation de dépendance affective. Si, au moindre délai de réponse à l’un de vos messages à l’autre, vous êtes en mode inquiétude, panique, scénarios catastrophes ou colère et irritation, vous êtes dans la dépendance affective. Si de surcroît vous êtes jaloux, possessifs, contrôlants, boudeurs ou manipulateurs, alors vous êtes dans une relation dépendante affectivement. Et probablement que vous souffrez. Beaucoup.

 

 

Personne n’est à blâmer si c’est ce que vous vivez. Surtout pas vous. Car la dépendance affective vient d’une faible estime de soi, laquelle entraîne … de la dépendance affective. L’autre a plus de valeur à vos yeux que vous-mêmes. Son opinion est plus importante que la vôtre. Et c’est terriblement souffrant.

 

 

 

Mais vous pouvez passer de la dépendance affective à l’indépendance émotionnelle. À partir du moment où vous devenez pour vous-même la principale source de votre bien-être, vous pouvez dès lors commencer à vivre en fonction de ce que vous êtes, de vos valeurs, de vos besoins surtout, de vos goûts, de vos désirs et de vos propres attentes.

 

 

Si vous ne savez pas comment y arriver, vous n’avez qu’à demander! Votre âme n’attend que votre signal pour vous faire vivre toutes sortes de situations et de circonstances qui vous motiveront fortement à devenir enfin indépendants et à vous reconnaître comme étant la principale source de votre bonheur.

 

 

 

Bien entendu, l’apprentissage ne se fait pas toujours dans la facilité, mais rester dans la dépendance non plus n’est pas chose facile car c’est tellement souffrant! Bien sûr, vous aurez probablement à affronter des abandons, des rejets, des jugements de la part des autres mais vous comprendrez que la dépendance affective se guérit en la vivant à outrecuidance pour devenir enfin décidés à s’en débarrasser pour de bon. Et puisque votre cœur sera ouvert à l’apprentissage, vous saurez que vous êtes en train d’apprendre une leçon fondamentale pour votre bonheur.

 

 

Probablement même l’apprentissage le plus important de toute votre vie : car il n’y a que vous qui savez le mieux comment répondre à vos besoins, savoir ce qui est bon pour vous et ce qui ne l’est pas, comment établir et respecter vos limites, comment apprendre à mieux vous aimer et à enfin, ENFIN, vous sentir libre et détaché du regard et de l’approbation des autres.

 

 

 

C’est l’ultime test. Celui après lequel les autres semblent plus simples ou moins douloureux car dès lors que nous devenons la source à laquelle nous nous abreuvons, nous devenons immensément plus forts pour faire face à tous les autres défis qui nous attendent. Car nous savons alors, hors de tout doute, que nous possédons toutes les forces intérieures qu’il faut pour vivre notre Vie tout en sachant profondément, intimement, que nous pourrons toujours compter sur la personne la plus importante de notre vie : nous-mêmes.

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 17:15

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’être humain n’aime pas souffrir. Et pourtant, c’est encore l’être vivant qui se fait le plus souffrir sur cette terre, et de son propre chef! Aucun autre être vivant ne se fait volontairement souffrir autant que l’humain! Et, paradoxalement, aucun être vivant ne cherche autant le bonheur que l’humain! Incroyable, n’est-ce pas?

 

 

Pourtant, ce qui nous fait tant souffrir, c’est notre propension phénoménale à distorsionner la réalité pour qu’elle nous convienne!

 

 

Nous passons notre temps à tenter de modifier la réalité pour qu’elle corresponde à ce que nous voudrions qu’elle soit. Nous ignorons les signes nous indiquant qu’une situation n’est pas bonne pour nous car nous voulons que cela fonctionne comme nous le souhaitons. Nous enjolivons ou empirons une situation actuelle ou passée de manière à ce qu’elle nous permette d’attirer davantage l’attention des autres.

 

 

Pour éviter de nous remettre en question, nous nous faisons croire que notre situation est telle que nous la désirons, annihilant ainsi des pans complets de la réalité qui nous déplaisent, afin de nous puissions vivre dans l’illusion que ce que nous vivons est exactement ce que nous voulons.

 

 

Mais quand la réalité nous rattrape, c’est tout une débâcle que nous subissons! Tout ce que nous refusions de voir nous est dévoilé d’un coup! Toutes les infinies tolérances que nous avons créées volent en éclat pour laisser la place à la vérité toute nue. Tous ces balayages sous le tapis n’ont rien donné de plus que de brasser de la poussière et de nous irriter les bronches.

 

 

Oui, le réveil est parfois brutal. Mais qui désire vraiment vivre dans le mensonge? Si nous sommes quelque peu conscients, ou si nous aspirons sincèrement à le devenir, ne vaut-il pas mieux regarder la réalité en face une fois pour toute et faire les choix appropriés quant à ce que nous voulons vraiment?

 

 

Combien d’échafaudages chambranlants se sont effondrés parce que bâtis sur du sable mouvant? Combien de situations se sont dénouées quand la vérité a éclaté au grand jour? Combien de relations se sont terminées quand la conscience et la lucidité ont fait équipe pour illustrer la vérité?

 

 

Quelles sont les situations dans votre vie qui mériteraient d’être éclairées au grand jour afin de diluer tout faux-semblant, tout mensonge, toute supercherie, toute fausseté? Ne méritez-vous pas mieux que ce qui est faux? Vous méritez toute la vérité : offrez-vous la sans culpabilité.

 

 

C’est le premier pas vers un changement de vie porteur de tous les espoirs!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 juin 2018 6 02 /06 /juin /2018 10:40

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Notre corps nous parle en permanence. Tous ces petits et grands maux cherchent à nous faire comprendre quelque chose que nous n’avons pas encore compris avec nos mots. Notre corps est notre allié, jamais notre ennemi. Quand il souffre, c’est pour que nous y prêtions attention. Il nous enseigne toujours que nous avons quelque chose à modifier dans notre vie.

 

 

Nos symptômes nous indiquent ce que nous ne voulons pas entendre. Et plus nous nous fermons à ce que nous devrions changer, plus les symptômes s’aggravent. Parfois nous avons tellement peur de changer ce qu’il faut pour être bien que nous pouvons aller jusqu’à nous faire mourir pour avoir raison ou par peur de vivre.

 

 

Quand un symptôme se manifeste, c’est le corps, et ultimement tout notre être, qui nous demande de lui prêter attention, d’en prendre soin et de prendre un temps d’arrêt pour accueillir ce que nous avons à changer dans notre vie. Peut-être nous sommes-nous oubliés toute notre vie et maintenant le corps nous dit de penser à nous. Peut-être notre orgueil nous fait-il croire que nous avons raison sur tout et le corps se rappelle à notre attention afin que nous nous assouplissions. Peut-être vivons-nous constamment dans le passé, le ressassant sans cesse et en parlant à tout moment, alors nos symptômes nous rappellent au moment présent, à ici et maintenant, et à laisser le passé là où il doit être.

 

 

Les symptômes aussi nous parlent fortement. Selon ce qu’ils nous font vivre, nous pouvons identifier ce sur quoi nous devons porter attention. Il existe de nombreux ouvrages sur le sujet et nous pouvons aussi identifier nous-mêmes ce qu’ils cherchent à nous dire : un mal de cou signifie souvent que nous en prenons trop sur nos épaules, des douleurs articulaires indiquent souvent un besoin de contrôle inutile ou une rigidité dans notre personnalité, une pneumonie peut nous illustrer comment ce que nous vivons n’est pas aligné avec ce que nous sommes…

 

 

TOUT nous parle.

 

 

Cessons de faire la sourde oreille et faisons équipe avec ce merveilleux messager qu’est notre corps. Parfois notre peur de vivre semble plus grande que notre peur de mourir. Sinon nous nous empresserions de faire dans notre vie les changements nécessaires que notre corps nous indique afin de mieux vivre.

 

 

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28 mai 2018 1 28 /05 /mai /2018 12:07

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

Le rejet est le meilleur moyen que l’Univers utilise pour nous protéger des gens et des situations qui ne sont plus favorables pour nous.

 

 

 

Plutôt que de vivre le rejet avec émotion, colère ou tristesse, rappelons-nous que la Vie veut toujours notre bien. Si quelque chose ou quelqu’un à quoi ou à qui nous tenons s’éloigne de nous, sachons reconnaître que c’est parce que son passage dans notre vie est terminé. N’allons pas tenter de récupérer ce qui est déjà parti : la Vie sait ce qu’elle fait. Laissons aller. Tenter de retenir ce qui a fait son temps dans notre vie c’est comme continuer à porter nos chaussures d’enfant : elles sont trop petites, elles ne nous vont plus, elles nous font mal mais nous continuerions de les porter quand même? Bien sûr que non! Sachons reconnaître quand une étape de notre vie est terminée.

 

 

 

Personne ne peut nous rejeter. Chaque être humain est libre de faire ce qu’il veut, selon ce qu’il croit juste ou nécessaire de faire. La seule personne qui peut nous rejeter, c’est nous-mêmes. Et la plupart d’entre nous, nous le faisons régulièrement, même sans nous en rendre compte, quand nous ne choisissons pas ce qui est bon pour nous, quand nous choisissons de passer en dernier, quand nous n’écoutons pas l’élan de notre cœur.

 

 

 

Nous ne perdons rien dans notre vie. Ce qui semble nous être enlevé avait tout simplement terminé sa mission dans notre vie. Tout passe. Les choses, les gens, les situations. Il ne sert à rien de nous faire souffrir trop longtemps sur ce que nous croyons perdre. Accueillons l’émotion qui est là sur le coup, mais accueillons aussi la sagesse de la Vie qui sait toujours mieux que nous ce dont nous avons besoin.

 

 

 

Il n’y a pas de rejet. Il n’y a qu’une situation qui nous déplaît royalement parce qu’elle échappe à notre besoin de contrôler afin que tout fonctionne comme nous le voudrions. Mais nous n’aurons jamais le dernier mot avec la Vie. Elle décide, nous accueillons. C’est ainsi. Même si cela nous irrite, c’est ainsi. À quoi bon se faire souffrir à y résister. Accueillons tout simplement ce qui vient et faisons du mieux que nous pouvons avec les nouvelles données qui composent notre existence. Plus tôt nous comprendrons ceci, plus longtemps nous pourrons être heureux à faire équipe avec la Vie.

 

 

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21 mai 2018 1 21 /05 /mai /2018 12:16

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Qui d’entre nous ne se sent pas parfois coupable de quelque chose?

 

 

 

Nous avons l’impression d’avoir trop parlé, ou de ne pas avoir dit ce qu’il fallait lorsque le moment était venu. Nous avons l’impression de ne pas en avoir fait assez, ou d’en avoir fait trop. Nous nous sentons coupables de ne pas avoir été à la hauteur, ou au contraire d’avoir éclipsé les autres parce que nous étions à notre meilleur. Nous nous sentons coupables de nous être emportés, ou d’avoir eu des jugements hâtifs envers les autres.

 

 

 

Bref, nous nous sentons coupables du pire et du meilleur, quelle que soit la circonstance, peu importe avec qui.

 

 

Cette culpabilité que nous traînons avec nous peu importe où nous allons nous coûte cher! Beaucoup plus que ce que nous croyons!

 

 

 

Elle nous prive de notre bien-être en ressassant le passé et en nous volant le moment présent. Elle traîne avec nous comme de la gomme à nos souliers. Elle emporte notre joie de vivre et nous prive des moments magiques de la vie. Même quand il nous arrive quelque chose de beau, d’extraordinaire, nous nous sentons parfois coupables de notre bonheur face à ceux qui semblent moins heureux que nous!

 

 

 

La culpabilité est le pire ennemi de notre évolution, de notre paix intérieure, de notre bien-être, de notre estime de soi, de notre bonheur. Elle est une voleuse de l’instant présent. Elle triche sur tous les plans en nous faisant nous sentir mal d’être ce que nous sommes.

 

 

La culpabilité est une prison qui nous prive de nos ailes et qui freine tous nos mouvements.

 

 

 

Et si d’aventure ce sont d’autres personnes qui nous font sentir coupables, alors c’est la totale! Nous rampons sous le poids de notre culpabilité comme si nous étions le pire criminel du monde!

 

 

Pourtant, nous n’avons pas à nous sentir coupable DE QUOI QUE CE SOIT! Nous avons fait une erreur? Alors demandons pardon et tentons de la réparer. Aucune culpabilité ici, juste le sens des responsabilités d’une personne qui s’assume totalement.

 

 

Tout le reste, toute la culpabilité que nous ressentons ou que l’on essaie de nous faire sentir, c’est de la bouillie pour les chats (et pardon aux chats pour cette expression!)!

 

 

 

Avons-nous fait de notre mieux? Oui, alors tout est parfait! Non? Alors réparons et tout est parfait! Il n’est pas possible de réparer? Alors demandons pardon et apprenons la leçon. Tout est encore parfait!

 

 

 

Il ne sert à rien de traîner de la culpabilité pour quoi ce soit dans notre vie : c’est l’ego qui aurait voulu être parfait, selon ses propres critères jamais adéquats et qui nous tape sur la tête parce que nous n’avons pas fait comme IL le voulait.

 

 

La prochaine fois que nous sous sentirons coupables de quoi que ce soit, ayons le réflexe de nous en débarrasser immédiatement, comme nous retirerions tout de suite le chewing gum collé à notre semelle. Jamais nous ne continuerions à marcher en espérant qu’il s’efface de lui-même : nous nous arrêtons, nous le détachons, et puis nous continuons notre chemin. Faisons de même avec le sentiment de culpabilité : arrêtons-nous, débarrassons-nous-en et continuons notre route dans la paix.

 

 

Quel beau cadeau à se faire que de se débarrasser du sentiment de culpabilité, beaucoup trop cher pour nos propres moyens!

 

 

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5 mai 2018 6 05 /05 /mai /2018 19:13

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

« Les âmes s'assirent autour de la table ronde pour choisir leur prochaine leçon à apprendre. Se leva une âme forte et courageuse : « Je vais sur terre pour apprendre à pardonner. »

 

 

 

Les autres âmes dirent, effrayées : « mais c'est l'une des leçons les plus difficiles.., tu ne peux pas l'apprendre en une seule vie... Tu vas souffrir... On va s'inquiéter pour toi, mais... Tu peux le faire, on va t'aider... »

 

 

Une des âmes dit : « Je suis prête à t'accompagner sur terre pour t'aider. Je serai ton mari, dans notre vie familiale, il y aura beaucoup de problèmes à cause de moi, et tu apprendras à me pardonner. »

 

 

Une autre âme soupira : « Je peux devenir un de tes parents, je vais te faire vivre une enfance difficile, et ensuite tu me suivras dans tout ce que tu vas faire, et tu apprendras à me pardonner. »

 

 

Et la troisième âme a dit : « Et je serai l'un de tes supérieurs, je te traiterai mal, injustement, pour que tu apprennes le sens du pardon. »

 

 

D'autres âmes décidèrent de la rencontrer à d'autres périodes de sa vie, pour réviser la leçon... chaque âme choisit sa leçon à apprendre, prépara un plan de vie, et chacune descendit sur terre pour remplir son contrat d’âme.

 

 

 

Il n’y a jamais de hasard. Chaque personne apparaît dans notre vie au moment où nous en avons besoin et parce que nous en avons besoin pour apprendre une leçon que nous avons choisie d’apprendre dans cette Vie. Lorsque nous comprenons le grand plan de la Vie, nous pouvons accueillir avec plus d’ouverture tous ces êtres qui semblent nous faire souffrir ou nous irriter car chacun a son rôle à jouer dans notre plan de vie. Ceux qui nous font souffrir sont souvent nos plus grands maîtres. C’est notre ouverture du cœur qui définit la conscience que nous avons de la bienveillance de la Vie à notre égard. Chaque chose, chaque personne, chaque événement a sa raison d’être. Ainsi, nous n’avons plus à juger qui que ce soit ou quoi que ce soit. Nous avons simplement à accueillir ce qui est là.

 

 

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2 mai 2018 3 02 /05 /mai /2018 10:02

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Oublions l’idée qu’il faille travailler à devenir une meilleure version de nous-mêmes, comme si nous n’étions pas encore assez comme nous sommes!

 

 

 

Oublions la croyance que nous devons entrer dans des moules formatés par d’autres pour être acceptés.

 

 

 

Oublions l’illusion que nous devons nous taire pour ne pas faire de peine ou irriter les autres.

 

 

Car chaque fois que nous ne sommes pas nous-mêmes, totalement, nous envoyons le message à l’Univers que les autres peuvent nous traiter n’importe comment, nous ne dirons rien pour ne pas briser notre belle image de faïence.

 

 

 

Chaque fois que nous éprouvons des émotions comme la honte, la gêne, la tristesse, la jalousie, etc. c’est que nous ne nous permettons pas d’être totalement nous-mêmes.

 

 

 

Chaque fois que nous disons oui aux autres alors que tout notre être a envie de dire non, nous nous mentons à nous-mêmes et nous permettons ainsi aux autres de nous mentir à leur tour. Chaque fois que nous agissons contre notre cœur pour plaire aux autres ou pour être aimés, nous renions ce que nous sommes profondément et nous ne sommes pas vrais avec nous-mêmes. Chaque fois que nous laissons en silence les autres nous traiter sans respect, nous ne respectons pas l’essence divine que nous portons. Chaque fois que nous nous empêchons d’être nous-mêmes pour ne pas être jugés par les autres, nous réduisons notre potentiel de bonheur.

 

 

 

Être authentique implique sans doute une certaine dose de courage, mais c’est une immense preuve d’amour envers nous-mêmes. Être vrai, laisser tomber les masques, les moules et les mensonges pour nous montrer au grand jour tels que nous sommes, ce n’est qu’à ce prix que nous découvrirons le bonheur d’être libres.

 

 

 

Car le jour où nous nous aimons assez pour ne plus porter de masques, pour ne plus vouloir plaire à tout prix, pour accepter de ne pas toujours préserver notre image au détriment de notre âme, ce jour-là, nous sommes libres. La liberté c’est se donner le droit d’être totalement soi-même. Peu importe ce que les autres en disent, que cela leur plaise ou non.

 

 

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27 avril 2018 5 27 /04 /avril /2018 08:15

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Cette citation de Byron Katie est un merveilleux cadeau de lâcher prise!

 

 

Si nous passons notre temps à nous préoccuper de ce que les autres pensent de nous, de ce qu’ils vont dire, de ce qu’ils vont penser de nous, nous dépensons une quantité d’énergie incroyable à tenter de contrôler ce que nous ne pouvons pas contrôler.

 

 

Si nous sommes alignés avec nous-mêmes, c’est-à-dire si nous vivons en fonction de nos valeurs, et non à côté de celles-ci, alors nous faisons toujours de notre mieux et nous respectons ce que nous sommes profondément. À partir de ce moment-là, ce que l’autre pense de nous, CELA LUI APPARTIENT! Les commentaires qu’il peut faire sur nous parlent bien davantage de lui que de nous!

 

 

Nous ne pouvons ni prédire ni contrôler ses réactions, ses pensées, ses dires ou ses gestes. Nous réagissons et agissons tous en fonction de ce que NOUS sommes, et non en fonction de ce que l’autre fait, dit ou pense! Nous sommes chacun responsables de nos réactions, jamais de celles des autres.

 

 

Ainsi, ce que l’autre pense de nous n’est pas de nos affaires! Cela ne nous regarde pas, cela ne nous concerne pas : cela le concerne, LUI.

 

 

 

Nous ne pouvons pas plaire à tout le monde. Alors bien entendu, nous ne pouvons pas non plus contrôler leurs pensées ni leur opinion à notre égard.

 

 

Peu importe ce que nous ferons, nous ne pouvons pas empêcher les autres de penser ce qu’ils pensent de nous. Alors pourquoi s’en faire? Faisons de notre mieux, faisons ce qu’il faut pour être en paix et en harmonie avec nous-mêmes, et laissons les autres penser ce qu’ils veulent.

 

 

C’est une extraordinaire liberté le jour où ce que les autres pensent de nous ne nous préoccupe plus!

 

 

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18 avril 2018 3 18 /04 /avril /2018 11:02

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Oui, en effet, nous pouvons trop aider. Nous aidons trop quand nous pensons à la place de l’autre; quand nous croyons savoir mieux que lui ce qui est bon pour lui; quand nous aidons sans avoir été sollicités; quand nous répondons à une question qui ne nous a pas été posée; quand nous voulons à tout prix que l’autre fonctionne comme nous croyons qu’il devrait fonctionner ou qu’il fasse les choix que nous croyons meilleurs pour lui.

 

 

Nous aidons trop quand nous voulons préserver l’autre de faire des erreurs, alors que celles-ci sont fort probablement nécessaires pour sa propre évolution, tout comme elles l’ont été pour nous.

 

 

 

Nous aidons trop quand nous nous emportons parce que l’autre ne suit pas nos suggestions.

 

Nous voulons trop aider quand nous intervenons dans le cours de la vie de l’autre, fut-il notre enfant.

 

Nous aidons trop quand nous nous fâchons parce que l’autre ose penser différemment de ce que nos conseils prodiguent comme décisions à prendre.

 

Nous aidons trop quand nous ne nous mêlons pas de nos affaires, ce qui représente la plupart du temps ce que nous faisons!

 

 

Un bon indice pour savoir si nous aidons trop les autres, c’est d’être attentif à notre état émotionnel lorsque l’autre ne fait pas ce qu’on lui recommande!

 

 

 

Je remarque que parfois, à trop vouloir forcer pour empêcher l’autre de commettre une bévue, de se faire du mal, ou de retourner dans quelque chose qui n’est pas sain, on l’empêche probablement de faire une expérience dont il aurait vraiment besoin pour poursuivre son évolution. Lorsque je me rends compte que je suis peut-être en train d’empêcher l’autre de vivre ce qu’il a à vivre, alors je m’arrête et je comprends que la Vie sait mieux que moi ce dont l’autre a besoin. Qui suis-je, en effet, pour le priver d’une expérience bénéfique pour son évolution, même si cette expérience me semble néfaste pour lui? Cela m’aide à lâcher la pression et à accepter que le chemin de l’autre n’est pas le mien et que je ne dois pas intervenir avec sa destinée. Alors que nous occuper de notre propre destinée, c’est déjà du sport!

 

 

 

Nous devons faire confiance à l’autre, et à la Vie aussi, car chaque chose tombe toujours à la bonne place, quoi que nous en pensions. Nous ne savons pas ce que l’autre a besoin de vivre pour évoluer, alors ne nous mettons pas en travers de son chemin. Chacun vit ce qu’il a à vivre, au moment opportun, de la manière dont il peut le vivre. Ni notre opinion, ni notre expérience ne peuvent rien y changer.

 

 

Comme le phare sur son île, soyons là pour l’autre seulement quand l’autre a besoin de nous et qu’il nous en fait la demande, ou que nous lui demandons humblement s’il a besoin d’aide. Le reste n’est que notre ego qui se croit supérieur!

 

 

 

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:54

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Lorsque nous connaissons des moments de bonheur intense, nous souhaitons tous que cela ne s’arrête jamais. Nous « travaillons » si fort pour vivre ces quelques instants de bonheur que nous avons l’impression de les mériter amplement. Nous les protégeons jalousement même si au fond de nous une petite voix nous murmure que ça ne durera pas!

 

 

Et puis tôt ou tard, il arrive un événement que nous jugeons plus ou moins grave, selon le cas, et qui semble venir faire contrepoids à notre bonheur « si chèrement gagné ». Parfois, cela survient immédiatement après un grand bonheur, comme pour prouver que cela ne pouvait pas durer, parfois l’événement peut survenir des heures ou des jours plus tard. Mais nous ne voulons surtout pas que notre bonheur s’éteigne. Nous avons envie de nous attacher désespérément à ce bonheur si furtif et dans lequel nous aimerions baigner toute notre vie. Pas vrai?

 

 

Et s’il en était ainsi? Et si nous pouvions, vraiment, vivre dans un état de bonheur pratiquement toute notre vie? Car il semble que nous ayons oublié que le bonheur n’est pas à l’extérieur de nous mais EN nous. Que nous portons le bonheur partout où nous allons et que RIEN ne peut nous l’enlever. Que si nous avons l’impression que notre bonheur s’éteint, c’est simplement que nous avons déplacé temporairement notre focus: nous nous mettons à regarder ce qui nous dérange plutôt que de rester DANS ce bonheur. Car le bonheur est un état qui nous habite en permanence. Mais trop souvent, nous l’ensevelissons sous des couches de problèmes que nous attirons à nous inconsciemment. Mais le bonheur est là, quand même.

 

 

Malgré nos croyances, notre religion, notre éducation, la société, notre culture, malgré tout cela, rien ne peut changer le fait que nous portons le bonheur en nous et nous y avons accès à chaque instant. Même quand ça va mal, même quand les autres nous déçoivent. Bien sûr, certaines expériences de vie peuvent nous faire oublier ce bonheur-là, en nous, pendant un certain temps tant leur intensité prend toute la place. Mais il suffit de savoir qu’il est toujours là, comme le ciel bleu est toujours présent au-dessus des orages et des nuages.

 

 

Rien ne peut nous procurer le bonheur, mais rien ne peut nous l’enlever non plus. Il est là, en nous, en permanence. C’est notre état naturel. Faisons-lui de la place pour qu’il puisse enfin envahir notre vie.

 

 

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  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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