Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 20:59

0 NOUV FOND D ECRAN

 

Quand on est jeune, on s’interroge parfois

Sur la vie, ou sur n’importe quoi

On veut savoir pourquoi, il y a des parents

Et pourquoi aussi, nous sommes leurs enfants

 

On veut savoir, si un jour on deviendra grand

Et si nous aurons nous aussi des enfants

Il n’y a pas de jour ou l’on ne pense pas

A nombre de choses qu’on ne comprend pas

 

Pourquoi y a-t-il autant de saisons

Pourquoi suis-je une fille, pas un garçon

Pourquoi la vie est facile pour certains

Et quelquefois chiante pour quelques-uns

 

On a une bien vague notion du bonheur

On pense en trouver dans les dépanneurs

Mais il doit se vendre seulement aux gens

Qui sont déjà heureux, qui ont de l’argent

 

Non, on ne comprend pas grand-chose de la vie

Même si les plus grands semblent avoir compris

Mais il est normal de nous poser des questions

Car on voudrait s’ouvrir à d’autres horizons

 

Quand le jour se lève sur le monde

Il y a des endroits qui demeurent sombres

Mais dans le midi quand il fait un beau soleil

Il n’y a plus personne, qui vraiment s’en rappelle

 

Texte Claude Marcel Breault

 

www.chezmaya.com

 

 

 

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2012 2 11 /09 /septembre /2012 21:18

0 LA VIE SE PARTAGE

 

L'instant présent est-il plein ou vide ?

Il est vide, quel soulagement !

Un grand vide ou un petit vide ?

Un petit vide, c'est plus simple.

Rien.

Ce n’est pas cher...

... pour pas grand chose.

Ce pas grand chose vaut plus que tout.

J'ai le droit de respirer.

Rien ne peut m'empêcher de respirer.

Rien ne peut m'empêcher de respirer l'Être.

Ça respire l'Être.

Ça respire.

Ça respire.

La saveur de l'Être.

 

La douceur de la saveur de l'Être.

L'Être, avec ou sans saveur.

L'Être est.

L'Être.

Ici on cherche des mots.

Ces mots sont toujours imparfaits.

Je suis.

C'est cela.

C'est.

Tout est parfait.

C'est assez.

Tout ou rien.

Tout.

Rien.

Rendre les armes, arrêter de se battre.

L'éveil : une capitulation.

La Grande Capitulation.

Ouf !

C'est assez.

C'est simplement beau.

Toujours différent.

Toujours en mouvement.

La chorégraphie éternelle.

Ce qui est, rien de plus.

Il n'y a rien de plus.

C'est au moment où ça arrête de demander qu'il y ait quelque chose de plus que ça ouvre.

Ça ouvre sur la Présence de l'Être, permanente, toujours là.

À chaque lâcher-prise, la Présence de l'Être s'ouvre davantage.

 L'Être s'ouvre à être exploré, découvert, connu de plus en plus, tout doucement, tout graduellement.

La Sagesse vient du contact avec l'Être.

C'est la sagesse de l'Être.

 Le passé et l'avenir, et l'ailleurs, perdent de leur attrait, se dissipent,

Pour laisser place à la Plénitude de l'Être.

L'instant présent est complet en lui-même.

La Présence dans l'instant présent se suffit à elle-même.

La complétude, la plénitude.

Tout le reste peut être là, ou pas.

La tentation du décrochage.

Le piège du désengagement.

Sont là.

Allons-y graduellement, tout doucement.

Il n'y a pas de quoi se vanter.

Vraiment pas.

C'est tellement simple, c'en est niaiseux.

Ça a toujours été là.

Tout simplement.

La source à laquelle s'abreuver en permanence.

Tout près, au plus près de soi.

La source où tout peut se déposer, se dissoudre.

Autour de la source, tout se dissipe.

La vie continue, comme avant.

C'est bien dommage, c'est juste ça.

Une certaine déception que ce ne soit que ça.

Une autre respiration dans l'Être et ça redevient Tout.

L'ego est toujours là, l'individu.

Le mental, l'intellect, toujours là aussi.

Mais pas au centre, plutôt à leur juste place.

La Source, toujours au centre.

La vie devient un jeu, une scène, une pièce.

Le plaisir de jouer, tout simplement.

Plus personne d'indispensable.

La détente dans le "je ne sais pas".

Mais une "certaine sagesse" qui fuse de ce "je ne sais pas".

Comment ne pas penser à l'Éveil.

Un tout petit éveil, complet dans l'instant.

C'est la fin de la recherche.

Aussitôt apparaît un nouvel élan.

La soif d'explorer l'éveil.

Sans attente, le laisser agir, s'ouvrir.

 

« Ces pensées ont jalonné les six premières semaines d'un "éveil bien ordinaire", en octobre et novembre 2010.  Elles sont laissées telles quelles même si la suite en aurait corrigé certaines, vers davantage de modestie.  Elles sont publiées ici avec l'encouragement de la Vie. »

 

Tejo

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 21:18

Le sourire intérieur-copie-1

 

  Je me propose de parcourir aujourd'hui avec vous la partie pratique du mysticisme : ses méthodes, les prérogatives qu'il confère, les buts qu'il poursuit. Le paysage est immense. Je m'efforcerai tout au moins de n'oublier aucun des sites dont la contemplation peut servir à goûter la savoureuse, la pacifiante magnificence de l'ensemble.

 

   Et d'abord, qui est appelé au mysticisme ?    

 

   Le conseil : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait » fut donné à tout le peuple, en conclusion irrésistible du Discours sur la Montagne. Il n'y a donc pas, malgré ce que disent Origène, Clément d'Alexandrie, saint Jérôme, entre autres, deux christianismes, un pour la masse, un pour l'élite; ou, plutôt, il ne devrait pas y en avoir quant au règlement de vie et à la discipline, si la communauté chrétienne voulait bien se réduire à sa simplicité primitive.

 

   D'après la doctrine formelle de l'Évangile, le disciple travaille et attend; il ne se permet pas de prendre sa récompense; il accepte le salaire que son Maître lui offre. L'Esprit seul distribue la connaissance des mystères et la puissance des thaumaturgies; les ministres du culte ne sont initiateurs et opérateurs que dans la mesure où cet Esprit leur en donne la faculté.    

   L'effort vers la perfection est donc le travail normal de tout chrétien. Et, si je me place en dehors du point de vue ecclésiastique - qui, en somme, n'est qu'un point de vue au milieu d'une centaine d'autres - , je ne vois pas de motif pour accorder une prééminence à la vie contemplative. Le mot de Jésus sur Marie assise à Ses pieds : « Elle a choisi la bonne part » ne s'appliquait pas aux manières d'être des deux soeurs, mais à leurs intentions. Le chemin du contemplatif passe par les hauts plateaux; celui de l'homme d'action est dans les défilés; mais tous deux se rejoignent aux cimes, là où le soleil immuable de l'Amour unitif magnifie perpétuellement toute créature et tout objet.

   

   Et, si peu mesurables que soient ces choses, j'aperçois tout de même autant de douleurs dans les fatigues de la vie séculière que dans les veilles de la vie cénobitique.

   Tout le monde ainsi peut devenir mystique, mais à une certaine heure, seulement. Lorsque les fibres morales ont été tendues jusqu'à se rompre, lorsque les réactions que nos incartades ont déterminées deviennent trop violentes, le dur granit de notre coeur commence à s'effriter. On doute de sa force; on avait jusqu'alors gravi les riches versants de la montagne du Moi, il va falloir la redescendre parmi les pierrailles, et repartir de l'orgueil vers l'humilité, des grosses joies vers les âpres douleurs, de la gloire vers l'anonymat, des richesses vers les misères. Le Précurseur s'est levé en nous; sa voix rude flagelle; le remords arrive, puis le repentir. Dieu vient de vaincre; on aperçoit au loin la royale route étroite; on entre dans les déserts de la pénitence, où nous attendent les agonies purificatrices, les solitudes désolantes, et enfin cette mort bénie qui précède immédiatement la renaissance dans la Lumière et la béatitude dans l'Esprit.

 

   J'entends quelques-uns se plaindre que le Ciel soit si lent à venir. Qui sont ceux-là ? Des tièdes; sur une myriade de pensées, à peine en fournissent-ils une qui aille vers Dieu; tandis que, inlassable, l'Ami les veille pour recueillir leurs plus faibles bonnes volontés. Les âmes ont mis des siècles par milliers à descendre jusqu'ici; pourquoi remonteraient-elles en un instant ? Ne faut-il pas qu'elles reconstruisent dans la Lumière les facultés qu'elles s'étaient bâties dans l'Ombre ? Ne faut-il pas qu'elles réparent au moins une partie des déprédations commises, qu'elles restituent leurs injustes butins ?

 

   Travaux délicats, négociations difficiles. Aussi les maîtres de la vie spirituelle abondent en conseils. Le grand oeuvre psychique réside dans la transmutation de l'homme naturel en homme divin. Au rebours des adeptes qui perfectionnent cet homme naturel, les mystiques pensent qu'en exaltant les facultés du moi, on exalte ce moi vers l'égoïsme transcendant, l'orgueil très intérieur, l'avarice mentale. Le temps ne peut pas devenir l'éternité; les grandeurs finies ne peuvent pas passer pratiquement à l'infini. Ainsi, les dieux vivants dont l'intelligence, la puissance, la sensibilité sont des millions de fois plus fortes, plus grandes, plus exquises que les nôtres, quelques-uns de ces êtres resplendissants furent des hommes un jour; ils ont progressé. Mais seul Jésus peut prendre une créature et la faire renaître dans l'Esprit absolu.

 

 Manou, Krishna, Fo-Hi, Moïse, Zoroastre, Bouddha, Lao-Tseu, Socrate, Mahomet sublimisent et affinent; Jésus seul régénère et crée à nouveau. La simple conversion de la volonté de l'homme suffit.

Pour lire la suite de cet article, un clic sur le lien ci-dessous.

 

http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Textes/index.html

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 21:24

clip image002

 

Dans la vision Lucide, la vie apparaît comme une grande pièce de théâtre.

 

Vous/Conscience jouez tous les rôles dans la pièce, et apparaissez comme l'ensemble du spectacle, spontanément, sans cause.

 

Cela fait partie de la pièce que vous/Conscience jouiez habituellement des rôles sans connaître votre véritable identité, mais parfois, comme faisant partie du spectacle, vous vous permettez de connaître ce que vous êtes vraiment. Lorsque vous/Conscience - êtes impliqué en tant que  personnage dans votre pièce sans connaître votre véritable nature, le rôle est pris au sérieux et tous les drames de la vie viennent de là.

 

Si un rôle est joué en sachant qui vous êtes, le jeu est considéré pour ce qu'il est.

 

Le personnage qui connaît son identité réelle ne disparaît dans un flash et un bang - bien que cela soit possible parce qu'il n'existe pas de règles pour le spectacle- n'endosse pas des robes ocres, n'a pas de disciples, n'enseigne pas des «vérités spirituelles», bien que cela soit toujours possible selon le rôle du personnage dans la pièce. Le personnage apparaîtra probablement sous la forme qu'il ou elle avait avant de connaître sa véritable identité.

 

Le personnage est susceptible de continuer ce qui semble une vie ordinaire dans la pièce. Il n'est même pas nécessaire que la personne communique à quiconque ce qui est maintenant évident pour elle.

 

Cette vision lucide n'a aucune qualité.

 

Cela fait partie de la pièce et n'est associé à aucun mérite.

 

Si la personne souffrait ou avait un problème avant que survienne la lucidité, alors cela pourrait encore faire partie du rôle du personnage.

 

Il pourrait y avoir du bonheur ou du plaisir, mais seulement si cela fait partie du rôle joué. Il n'y a absolument pas de règles ou de conditions.

 

Toute cette scène n'a aucun but, ou qualité et elle est juste vous - Conscience - vous célébrant vous-même.  Vous êtes votre jeu. Cela n'a pas d'existence distincte de vous.

 

Nathan Gill

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2012 6 08 /09 /septembre /2012 21:13

3669

 

Comme vous le savez certainement, certaines personnes dénoncent sur Internet l'émergence de ce qu'elles appellent « Le Nouvel Ordre Mondial », et vont parfois jusqu'à dire que les Rose-Croix participent activement à ce processus qu'elles jugent négatif pour le monde. Très souvent, cette théorie est mise en relation avec celles du « Complot International » et de la « Conspiration Mondiale », lesquelles postulent que des individus et des groupes complotent ou conspirent pour exercer leur hégémonie sur la conduite du monde. En fait, ce genre de prédication n'est pas nouveau, mais l'usage d'Internet lui donne une résonance accrue.

 

Certes, sous l'effet de la mondialisation, on ne peut nier que l'économie, la politique et d'autres domaines de l'activité humaine ont pris une dimension internationale et s'expriment à travers des réseaux d'influence qui transcendent les frontières géographiques. De ce fait, il existe effectivement des courants politiques, économiques et autres qui cherchent à influer sur la marche du monde et à lui donner telle ou telle orientation. Mais de là à parler d'ordre nouveau, de complot et de conspiration ? Et qu'en est-il alors de l'« Ancien Ordre du Monde ». N'avait-il pas et n’a-t-il pas encore ses comploteurs et ses conspirateurs ?

 

Si l'on en juge à travers les propos tenus par les dénonciateurs du N.O.M., du C.I. ou de la C.M., on a souvent le sentiment qu'ils émanent d'idéologues qui "font feu de tout bois" et voient des ennemis en puissance en tout individu et en tout groupe qui ne partagent pas leurs opinions quant à la politique, l'économie, les relations internationales, etc. Il s'agit là d'une attitude à la fois sectaire et paranoïaque qui constitue en elle-même une manipulation des consciences. En réalité, ils font ce qu'ils reprochent à d'autres de faire, utilisant dans ce but le mensonge, la confusion et l'amalgame.

 

Quoi qu'il en soit, l'A.M.O.R.C. ne complote ni ne conspire contre personne et ne cherche aucunement à instaurer, seul ou avec d'autres, un nouvel ordre mondial. Certes, il s'emploie à éveiller les consciences, mais sans distinction de races, de nationalités, de religions, d'opinions politiques ou autres éléments apparemment distinctifs. La spiritualité qu'il propose à travers sa philosophie et son enseignement n'a rien de dogmatique. Par ailleurs, ses responsables savent qu'il ne sera jamais un "mouvement de masse" et qu'il réunira toujours une minorité d'individus. Quant à ses membres et ses sympathisants, ce sont des penseurs libres, ce qui n'est pas le cas de tous les libres-penseurs.

 

Si je me sens totalement étranger aux notions de Nouvel Ordre Mondial, de Complot International ou de Conspiration Mondiale, je souhaite néanmoins l'émergence d'une Nouvelle Conscience Internationale, fondée sur le partage, la coopération et la fraternité entre tous les peuples. De mon point de vue, cela ne pourra se faire qu'à partir du moment où la grand majorité des hommes et des femmes auront compris qu'ils ne forment qu'une seule famille d'âmes et qu'ils sont liés par leur destinée, ce qui suppose pour eux de s'éveiller à des idéaux, sinon spiritualistes, du moins humanistes.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

http://www.amorc.fr/dotclear/index.php

 

 

 

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 21:23

0 TOUVEZ VOTRE CHEMIN

 

 

Commencez à regarder et vraiment voir par vous-même ce que vous êtes, ce qu’est votre nature. Je ne parle pas d’études sur la non-dualité, de concepts ou d’écouter de soi-disant experts. Je parle de vous trouver par vous-même en fonction de votre connaissance directe et de votre expérience.

 

Commencez par le fait dont vous êtes sûr : VOUS ÊTES. Pensées, sentiments, sensations, perceptions, etc. vont et viennent, mais vous êtes. Votre être est là. C'est la direction pointée. Commencez à sonder ce sens d'être qui est avec vous en ce moment. Commencez à explorer par vous-même ce que cet être présent est actuellement. C'est ce qui est négligé et ce pourquoi nous manquons qui nous sommes vraiment. Ceci n'étant PAS clair, nous avons commencé à chercher l'identité DANS LE MENTAL. Mais votre être réel n'est pas dans le mental, n’est-ce pas? Le mental crée des concepts, mais vous n'êtes pas un concept, n’est-ce pas? 

 

C'est pour cela que la recherche par le mental échoue et conduit à la souffrance. Maintenant, vous pouvez changer les choses et apprendre à connaître ce que vous êtes vraiment. Le mental va et vient à vous. Vous êtes le connaisseur du mental. Par conséquent, laisser le mental être. N’attendez pas qu’il vous dise qui vous êtes. Il est très bien pour la vie quotidienne, mais pas pour vous dire qui vous êtes. Commencez à voir quelle est la nature de ce que vous êtes réellement. Commencez à explorer, et vous trouverez votre chemin naturellement.

 

John Wheeler

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.com/

 

 

Partager cet article
Repost0
6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 21:18

0 FOND AUTOMNE

 

 

Nous vivons tous dans une « sphère mentale ». Vos pensées ne sont pas votre propriété : elles appartiennent à tout le monde. Ce ne sont que des pensées mais vous créez une contrepartie : le «penseur» qui lit chaque pensée. Votre effort pour contrôler la vie a créé un mouvement secondaire de pensée en vous et vous l'appelez « JE ».

 

Ce mouvement de pensée en vous est parallèle au mouvement de la vie mais il en est séparé, il ne peut jamais être en contact avec la vie. Vous êtes une créature vivante et cependant vous menez votre vie entière dans le domaine de ce mouvement de pensée isolé et parallèle. Vous vous retranchez de la vie - et c'est contre-nature.

 

L'état naturel n'est Pas un état sans pensée : c'est là l'un des plus grands canulars perpétrés des siècles durant à l'égard de pauvres Indiens sans défense... Vous ne serez jamais sans pensée tant que le corps ne sera pas réduit à l'état de cadavre, un cadavre très mort ! Être capable de penser est nécessaire à la survie. Mais dans l'état naturel la pensée cesse de vous étrangler; elle revient à son rythme naturel. Il n'existe plus de « vous » pour lire les pensées et les prendre pour les « siennes ».

 

UG.

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 21:28
0 souffledmourfix
 
 
On dit parfois :
« Le bonheur vient souvent de l’importance que l’on accorde aux petites choses et les problèmes viennent souvent de la négligence de ces mêmes petites choses. »
 
 
Les gens n’ont pas toujours le temps de remercier, pas toujours le souci de prendre en considération cela peut leur porter préjudices par rapport à autrui…
 
« Ce n’est pas grand chose, c’est une bricole… qui n’a pas grand intérêt »
 
disent-ils souvent…
 
Un merci oublié peut parfois faire très mal.
 
On ne demande pas forcément de longs discours, ou de longues phrases éloquentes mais juste une toute petite considération la plupart du temps…
 
 
Y a plus important…disent beaucoup de gens, que de remercier…
De là peuvent venir les plus grandes blessures, les plus grandes déchirures…
 
Si vous arrivez à accepter l’idée que quelque part on est toujours seul(e) au monde, vous vous ferez moins d’illusions sur les gens.
 
 
La solitude peut être un puits de richesses.
 
Trouver la plénitude en soi s’acquière avec un peu de temps et devient enrichissant à la longue.
 
 
Tourner le regard vers l’intérieur, pas toujours facile au début, mais on peut y découvrir d’agréables surprises.
 
 
Trouver le calme, la sérénité, un bien être, une certaine maitrise de soi, une certaine quiétude.
 
Avoir conscience des ondes d’espérance peut permettre de les stopper dès le départ jusqu’à ce que cela devienne naturel.
 
 
Apprécier un petit moment de calme, un rayon de soleil, le chant d’un oiseau….
 
Une onde d’espérance qui n’aboutit pas revient vers soi sous forme de pensée toxique.
 
 
© François Gagol
 
 
 
 
 
Vidéo: "l'espoir" de Nicole Charest
 
 

 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 21:01

0 COLOMBE

 

Toute personne suffisamment intelligente et sensible considère la vivisection comme un crime à l’encontre des animaux sur lesquels elle est pratiquée. En effet, rien ne justifie les souffrances horribles qu’on leur fait subir dans certains laboratoires, prétendument pour faire progresser la science au service de l’homme. En réalité, la grande majorité des expériences effectuées sur eux sont à la fois inutiles et non fiables, car sous l’effet de la douleur et du stress, ils ont des réactions de survie et de défense que l’on ne peut ni analyser ni exploiter d’une façon rationnelle.

 

Par ailleurs, dans la plupart des cas, il est impossible de transposer ces réactions sur l’homme, car celui-ci est un être très différent de l’animal sur les plans physiologique, mental, émotionnel et spirituel. De ce fait, il ne réagit pas de la même façon aux remèdes ou aux traitements “mis au point” au moyen de la vivisection. Il a même été prouvé que des médicaments ou des vaccins ayant eu des effets (soi-disant) positifs sur des animaux s’étaient avérés dangereux sur l’être humain. Quant aux scientifiques qui se livrent à ce genre d’expérimentations, ils font preuve d’une cruauté qui les rend indignes de l’intelligence qu’ils sont censés avoir, et sont une honte pour l’humanité.

 

Dans l’absolu, la fraternité doit inclure tous les êtres que la Vie a mis au monde. Vus sous cet angle, les animaux sont nos “petits frères”, à défaut d’un qualificatif plus approprié, et j’ai peine à penser que ceux qui les font souffrir, que ce soit d’ailleurs au nom de la science ou pour toute autre raison, soient capables d’amour envers leurs semblables. Car s’il est vrai que certaines personnes déclarent aimer davantage les animaux que les hommes, il est difficile de concevoir que quiconque n’a aucun état d’âme face à la souffrance animale puisse aimer les hommes. Fort heureusement, quelques savants de renom condamnent sans appel la vivisection et affirment qu’il existe des méthodes de substitution beaucoup plus fiables. Malheureusement, leur prise de position n’a pas encore permis d’y mettre un terme, d’autant que cela représente un “marché” parallèle très lucratif (des milliers de chiens et de chats sont achetés chaque année par les laboratoires pour être sacrifiés). Certes, on est parfois dans l’obligation de faire certaines expériences sur des animaux, mais ce genre d’expériences effectivement indispensables ne représente qu’environ 6 % de celles qui sont pratiquées actuellement. Naturellement, on devrait veiller à ce que les animaux concernés soient traités avec amour et souffrent le moins possible, ce qui est loin d’être le cas dans la plupart des laboratoires.

 

En dernière analyse, nous n’avons aucun droit sur les animaux, mais uniquement le devoir de les respecter et de les aimer. Ne sont-ils pas l’expression vivante des lois divines, dans toute leur pureté, leur perfection et leur harmonie ? Ne nous ont-ils pas inspiré le désir de voler, d’explorer le fond des océans, de connaître les profondeurs de la Terre ? Nombre d’inventions technologiques n’ont elles pas été copiées sur leur ingéniosité, leur savoir-faire, leurs dons naturels ? Dans de nombreux domaines, ils sont nos maîtres et ont beaucoup à nous apprendre, sans parler de l’affection et de la tendresse que les animaux de compagnie sont toujours enclins à donner, parfois même à leur détriment. À cela s’ajoute le fait qu’ils sont indispensables à notre propre survie, car notre existence dépend de la leur. Pour toutes ces raisons, ils méritent une infinie gratitude de notre part, ce qui fit dire à Pythagore : « Tant que les hommes continueront à détruire sans pitié les êtres vivants des règnes inférieurs, ils ne connaîtront ni la santé ni la paix. Tant qu’ils massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. En effet, qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour. »

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

http://www.amorc.fr

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 21:29

FLEUR COCCINELLE

 

 

S'éveiller veut dire réaliser notre vraie nature.  La vraie nature du soi, de la vie et de la réalité sont une seule et même essence.  C'est l'essence intemporelle, bienveillante et omniprésente qui constitue tout ce qui est, qu'on l'appelle «Être, pure conscience, présence vacuité ou amour».

 

Cette pure conscience est notre véritable identité.  Elle est toujours présente et nous accompagne tout au long de notre vie, que l'on en soit conscient ou non.

 

Elle est la base de la réalité dans laquelle apparaissent toutes nos perceptions.  Elle est ce que nous sommes au plus intime de nous-mêmes et que nous partageons avec tout ce qui existe : une fleur, une étoile mais aussi une chaise et un radiateur.  Sa réalisation ne rend donc certainement pas « spécial ».  Au contraire, elle ôte cette impression d'être un individu spécial ou séparé au sein de l'univers. 

 

Cette conscience, ce silence ou présence fondamentale de la réalité dépasse par sa simplicité et son évidence, ce que les mots peuvent en dire et ce que la pensée peut concevoir.  C'est pourquoi elle ne correspond exactement à aucune description, y compris celle-ci.

 

Elle ne peut être découverte que dans le moment présent.

 

Elle n'est réalisée de manière définitive que lorsqu'elle cesse de s'identifier au moi séparé, et au flux des pensées et des concepts que l'on a sur soi et sur la vie. Elle devient alors un état d'être naturel qui accueille et inclut entièrement la vie et notre humanité. L'individualité peut alors s'épanouir sur sa base authentique la plus profonde.

 

Il est possible de réaliser notre vraie nature maintenant, car nous sommes déjà pleinement l'essence de la vie, la présence dans laquelle tout apparaît.  Il n'y a rien à atteindre, ni à réaliser.  Il s'agit plutôt de se rendre compte que tout est déjà là, a toujours été là.  Pour cette raison, l'éveil ne dépend d'aucune cause extérieure, grâce ou circonstance.  Y-a-t-il une seule vague de l'océan qui ne soit pas déjà remplie d'eau à ras bord ?

 

Michael Szyper

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr/2012/04/notre-veritable-identite.html

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
  • Contact

Bienvenue sur mon blog!

Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

***

hobbies

 

  compteur pour blog