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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 22:23
thumb merkaba3
 
 
Monique Mathieu
 
 
« Dans l’immense pièce de théâtre que joue l’humanité actuelle sur la planète Terre dans laquelle chacun de vous est acteur, certains jouent des rôles dramatiques, d’autres des rôles comiques, d’autres des comédies, mais chaque humain joue une magnifique ou une terrible pièce de théâtre.
 
Comme pour toute pièce de théâtre, il y a un début et une fin, il y a un lever de rideau et une tombée de rideau.
 
Réfléchissez aussi à cela ! Vous n’êtes pas loin de la tombée de rideau, et ensuite il y aura une autre pièce de théâtre qui sera vécue dans une autre réalité.
 
Une vie, quelle qu’elle soit, sauf lorsque vous avez atteint un degré très élevé dans l’Amour, dans la fréquence vibratoire, dans la Connaissance, est toujours une pièce de théâtre. Un vécu est une pièce de théâtre.
 
Lorsque vous commencez à vivre cette pièce de théâtre par l’esprit, c'est-à-dire la création par l’esprit, ce n’est plus la même pièce de théâtre que celle que vous vivez dans la matière ! Cependant, toute expérience, quelle qu’elle soit, correspond à la réalité de ce que vous êtes, du lieu où vous êtes et au moment où vous la vivez.
 
Que vous soyez sur ce monde, comme vous l’êtes actuellement, ou sur un autre monde où vous irez assurément, vous vivrez toujours des expériences, mais sur d’autres mondes vous les vivrez beaucoup plus avec votre cœur, avec une autre conscience, avec la capacité de créer par l’esprit qui sera la vôtre.
 
Tant que vous n’aurez pas fini vos expériences d’évolution sur x et x plans, dans x et x vies, vous serez toujours en représentation mais vous n’en aurez pas conscience.
 
Il y a des pièces de théâtre dans lesquelles il n’y a plus besoin de vivre des moments dramatiques, où les pièces de théâtre ne sont que beauté, harmonie et Amour. C’est vers celles-ci que vous vous dirigez. En attendant que ce moment arrive, votre pièce de théâtre n’est pas terminée, votre rideau n’est pas encore tombé.
 
La vie sur ce monde, aussi difficile qu’elle soit, est absolument magnifique pour votre évolution. Vous ne voyez qu’une face de votre vie ; vous ne voyez pas tout ce qu’elle peut vous apporter au niveau de votre âme et de votre Divin. Toute expérience, quelle qu’elle soit, vous grandit, vous renforce dans votre Amour et aussi dans vos comportements, dans votre compréhension et dans la connaissance.
 
Lire la suite : http://ducielalaterre.org 
 
 
 
 
Vidéo: Citations et leçon de vie
 
 

 
 
 
 
 
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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 22:22

0 souffledmourfix

 

 

Tout d’abord, il est clair qu’ils ont gardé leur individualité et sont loin d’être standardisés, encore moins des robots ! Leur caractère et leur tournure d’esprit demeurent, même s’ils ont évolué. Certains sont fougueux (et le demeurent), d’autres calmes et paisibles, d’autres très actifs, d’autres absolument inactifs…

- La paix intérieure, dans les épreuves comme dans les joies de l’existence. Cette paix n’est pas menacée par les drames, les maladies, ni même les tortures. Appelée apatheia dans le monde orthodoxe, elle est aussi la « Paix qui dépasse tout sentiment » (Saint Paul).

- L’absence de peur, en particulier celle de la mort, qui n’est pour eux qu’une formalité administrative ! Elle concerne aussi les autres peurs existentielles telles que la peur de manquer, la peur du lendemain, la peur de ceci ou de cela.

- La conscience ancrée dans l’éternel présent. Le passé ne les taraude pas et l’avenir ne les inquiète pas.

- L’absence de volonté propre. Le « je veux » a disparu au profit de « ce qui doit être ».

- L’abandon à la volonté divine, à la divine Providence, à ce qui est.

- La bienveillance envers tous. Même s’ils peuvent avoir des préférences au niveau relatif, leur amour s’écoule d’une manière uniforme sur tout et sur tous.

- La non-violence, le respect des êtres et des choses. Une attitude globale de non-agression : ne pas nuire à quiconque. Ceci inclut bien sûr les animaux, les plantes, tous les règnes de la Nature.

- La tolérance, basée sur la conscience que la Vérité ultime s’exprime de multiples manières, suivant les sensibilités individuelles et qu’elle revêt donc divers visages tout aussi respectables les uns que les autres.

- La joie intérieure, inaliénable, intarissable, que nulle tragédie ne peut effacer, même si des chagrins sont ressentis au niveau simplement psychologique. « Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? », demande Jésus au Jardin des Oliviers en référence à sa psyché, mais il ajoute aussitôt la parole qui émane de son Moi profond, toujours en lien avec le Père : « Non pas ma volonté, mais la Tienne, je remets mon esprit entre Tes mains. » Cette qualité s’épanouit sur la base de la plénitude du cœur, la béatitude intérieure qui ne peut être ni augmentée ni diminuée par les aléas de l’existence. Les « bonnes choses » sont cependant appréciées à leur niveau, et les « mauvaises » ne peuvent perturber en profondeur l’océan de la plénitude.

Par Daniel Maurin

Lire la suite sur :

 

http://www.urantia-gaia.info/2012/02/02/portrait-robot-des-sans-ego/#more-3705

 

 

 

 

 

 

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 22:19
1 FLEUR GRANDE ROSE
 
 
 
Il était une fois une petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour dire ce qu'elle ressentait.
 
Chaque fois qu'elle tentait de s'exprimer, de traduire ce qui se passait à l'intérieur d'elle, elle éprouvait une sorte de vide.
 
Les mots semblaient courir plus vite que sa pensée. Ils avaient l'air de se bousculer dans sa bouche mais n'arrivaient pas à se mettre ensemble pour faire une phrase.
 
Dans ces moments-là, elle devenait agressive, violente, presque méchante. Et des phrases toutes faites, coupantes, cinglantes sortaient de sa bouche.
 
Elles lui servaient uniquement à couper la relation qui aurait pu commencer.
 
"De toute façon tu ne peux pas comprendre."
 
"Ca sert à rien de dire."
 
"Ce sont des bêtises de croire qu'il faut tout dire !"
 
D'autres fois, elle préférait s'enfermer dans le silence, avec ce sentiment douloureux : que de toute façon, personne ne pouvait savoir ce qu'elle ressentait, qu'elle n'y arriverait jamais, que les mots ne sont que des mots.
 
Mais tout au fond d'elle-même, elle était malheureuse, désespérée, vivant une véritable torture à chaque tentative de partage.
 
Un jour, elle entendit un poète qui disait à la radio qu'il y a, chez tout être humain, un chemin des mots qu'il appartient à chacun de trouver.
 
Et, dès le lendemain, la petite fille décida de partir sur le chemin des mots qui était à l'intérieur d'elle.
 
La première fois où elle s'aventura sur le chemin des mots, elle ne vit rien. Seulement des cailloux, des ronces, des branchages, des orties, et quelques fleurs piquantes.
 
Les mots du chemin des mots semblaient se cacher, paraissaient la fuir.
 
La seconde fois où elle chemina sur le chemin des mots, le premier mot qu'elle vit sur la pente d'un talus fut le mot
 
"OSER".
 
 
Pour lire la suite un clic sur le lien ci-dessous
 
 
 
 
Vidéo Soeur Emmanuelle "les mots"

 
 
 
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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 22:27
00 NOUVEAU MEDITATION
 
 
Quand la vie dans la vie prend sa place
 
La vie, quand on a dix ans, on n'y pense pas, on la vit. Rêve, insouciance et instant présent.
Le passé n'est pas assez loin pour y penser, l'avenir est encore trop l'avenir pour y réfléchir.
 
À vingt ans, la vie nous a déjà blessés, mais à cet âge les blessures guérissent vite.
Du moins le pense-t-on...Toute la vie adulte est devant nous et tous les espoirs nous sont permis.
 
 
Quarante ans, c'est le mitan de la vie, l'âge des questionnements, des remises en questions. C'est l'âge des carrefours nouveaux. L'énergie se renouvelle, des élans surprenants nous sont possibles. C'est le temps des choix difficiles, c'est la porte ouverte aux surprises agréables, aux bouleversements fascinants. C'est le temps perdu qu'il faut reprendre.
 
 
Cinquante ans ouvrent sur un début de sagesse. Le temps n'a plus la même dimension. Les choix se précisent davantage. On n'a plus de temps à perdre. Notre pas, plus court plus lent, se fait plus précis.
 
Ainsi se continue la vie...Vidéo
 
 
 
 
 
Vidéo : " La vie" Mère Térésa
 
 
 

 
 
 
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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 22:17

Les dimensions de la conscience...

 

 

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.

 

 

 

- Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.

 

 

 

- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.

 

 

 

Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.

 

 

 

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :

 

 

 

"CHANGE LE MONDE"

 

- C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas.

 

 

 

Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent.

 

 

 

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

 

 

 

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

 

 

 

- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.

 

 

 

- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.

 

Et il disparut.

 

 

 

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire :

 

 

 

"CHANGE LES AUTRES"

 

 

 

- C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.

 

 

 

Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.

 

 

 

Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :

 

 

 

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

 

 

 

- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.

 

 

 

- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.

 

 

 

Et le Vieil Homme disparut.

 

 

 

Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots :

 

"CHANGE-TOI TOI-MÊME"

 

 

 

- Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire, se dit-il.

 

 

 

Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.

 

 

 

Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :

 

 

 

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

 

 

 

- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.

 

 

 

- C'est bien, dit le Sage.

 

 

 

- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.

 

 

 

- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.

 

 

 

Et il disparut.

 

 

 

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait :

 

 

 

"ACCEPTE-TOI TOI-MEME"

 

Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens.

 

 

 

- Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.

 

 

 

Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.

 

 

 

Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

 

 

 

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

 

 

 

- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même totalement, inconditionnellement.

 

 

 

- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte.

 

 

 

À peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :

 

 

 

"ACCEPTE LES AUTRES"

 

Lire la suite :

 

http://vivrelibre.free.fr/iletaitunefois.html

 

 

 

 

 

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 22:23
FOND HIVER
 
 
Faire une erreur est presque une qualité
Si on est capable de ne pas la répéter
Celui qui fait une erreur est réputé
Avoir eu l’idée, puis de l’avoir essayé
 
On fait tous des erreurs pour avancer
On ne devient pas maître en une journée
Fuir les erreurs, c’est aller vers le facile
C’est ne vouloir rien faire, de difficile
 
Si l’erreur disparaissait de la société
Elle entraînerait notre goût de créer
En supprimant ce droit de nous tromper
On supprimerait nos chances de progresser
 
Un moyen alors de ne plus errer
Serait de chercher, là où l’on s’est trompé
De nous dire que notre erreur est inimitable
Que réitérer, serait surtout impardonnable
 
Au fond, l’erreur est une opportunité
Donc par contre il ne faut pas abuser
On doit viser bien sûr, à en faire moins
Mais celui qui n’en ferait pas, ne serait pas un humain
 
 Claude Marcel Breault
 
 
 
 
Vidéo" Se libérer de nos fardeaux émotifs
De Nicole Charest

 
 
 
 
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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 22:30

0 kuan-yin-Vitthal-Das

 

 

N'est-ce pas une magnifique représentation contemporaine de la déesse "Kuan Yin".

 

 

 

Elle est l'œuvre de l'artiste Vitthal Das.

 

 

 

"Yin" indique l'énergie terrestre (complément de l'énergie vitale "Yang") et "Kuan" qui véhicule une idée de contemplation bienveillante.

 

 

 

C'est la représentation chinoise de la déesse de la compassion.

 

 

 

Elle correspond au Japon à la Déesse "Kan'non", au Tibet à "Tchenrezy" en Inde à Tara ou à Avalokiteshvara et en Egypte ancienne à Hathor...

 

 

 

Contrairement à l'opinion commune, la "compassion" est une notion subtile, voire ésotérique qu'il est impossible de partager en l'expliquant!

 

 

 

Dans la tradition japonaise, il est dit allégoriquement que "Kan'non" possède pas moins de 33 représentations...

 

 

 

Certaines ont 11 têtes, d'autres 1000 bras...

 

 

 

C'est une manière raffinée d'exprimer qu'une compréhension "profane" (de "pro" = devant et "fanum" = le temple, c'est à dire "extérieure au temple") traduit et trahit inéluctablement la compassion par de la "pitié", de la "charité", de "l'amour"...

 

 

 

Seule une approche "sacrée", rendue possible par le "temple intérieur", appelé parfois le "sensorium intérieur" par certains mystiques, permet de "ressentir avec le cœur" cette "agapé" que l'intellect ne peut que déformer!

 

 

 

Comment ne pas y revenir bientôt! 

 

http://www.lebistrotdelarosecroix.com/article-le-charme-de-kuan-yin-98073350.html

 

 

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 22:20
rose-croix 4 elements
 
 
Par Serge Toussaint
Cette émission a été diffusée le 23 novembre 2011 sur la chaîne québécoise TVCÉ-Canal 3. Elle est fondée sur un entretien avec Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue et historien des religions
 
Dans ce documentaire interview, Frédéric Lenoir retrace l’histoire de l’Ordre de la Rose-Croix, depuis son émergence au XVIIe siècle jusqu’à nos jours. Il explique également en quoi les Rose-Croix ont été les promoteurs d’un humanisme et d’une spiritualité qui ont marqués les esprits et que l’on retrouve dans certains mouvements rosicruciens contemporains. C’est ce qui explique la présence, en fin d’émission, de Serge Toussaint, Grand Maître de la juridiction francophone de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix.
 
 
 Vidéo Les Rose-Croix d'hier et d'aujourd'hui -
 

 
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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 00:00

2012

 

 

Je vous souhaite…

 

De vivre les mouvements et sensations agréables qu’offre votre corps de savoir marquer l’arrêt et de savourer de ressentir la fraîcheur en vous.

 

D’éprouver  un sentiment de solidité de refléter le beau et la sérénité, de sentir des espaces heureux et libres en vous de vous ériger avec souplesse de vous éveiller avec le sentiment d’avoirs  24 heures toutes nouvelles à vivre, d’ensoleiller vos journées d’accueillir l’impermanence de chaque jour de vous coucher sans regrets du passé, ni craintes de l’avenir , d’accueillir vos larmes, vos peines et vos colères et de les cajoler pour les transformer en vous souvenant que sans boue il n’y a pas de lotus.

 

 De cultiver les graines de joie de vivre des transformations dorées de ne plus avoir de peurs de boire les nuages de voir dans les feuilles des pluies nourrissantes , de vous alimenter dans le respect de la vie, avec gratitude de nourrir de calme, vos impressions sensorielles, d’amour, vos aspirations à cheminer, et de paix, votre conscience collective à marcher ensemble de vivre des partages bénéfiques d’offrir vos connaissances et vos pratiques d’envoyer le son de votre cœur et d’écouter avec votre présence aimante d’être là, les uns pour les autres.

 

 De donner et recevoir chaleur et la lumière de rire les instants de petits bonheurs de vivre des fêtes joyeuses, des silences intérieurs, en pleine conscience, avec la concentration et  la vision profonde de vivre  des assises heureuses et rayonnantes respirations de faire de beaux pas sur notre terre mère d’être sensibles aux manifestations vivantes de vous émerveiller de ce qui vous entoure de dialoguer avec le vivant de vivre pleinement le moment présent de savourer consciemment le quotidien.

 

De lâcher prise à vos énergies d’habitudes de toucher vos ancêtres en vous et de les comprendre de guérir les blessures de votre enfant intérieur.

D’accueillir vos ombres et vos lumières est et de vous  contenter de ce que vous avez déjà de voir les contrastes en toile de fond de sentir que vous pouvez toujours prendre refuge en vous de veiller à n’arroser que les bonnes graines de ressentir de la compassion pour vous et pour les autres et de savoir donner et recevoir de l’amour.

 

Je vous souhaite  de pouvoir ajouter à vos choix les souhaits qui vous sont les plus justes pour vous.

 

Texte signé Véronique :

 prit sur un diaporama reçu.

 

 

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 22:28
0 VERS UNE ERE DE TRANSITION
 
 
Et si le calendrier Maya continuait après le 21/12/2012
 
Le 21 décembre 2012 est en effet une date importante dans le calendrier maya puisqu’elle marque la fin d’un cycle de 5126 années. Une fin de cycle qui annonce le retour de Bolon Yokte, un dieu maya associé à la guerre et à la création.
 
Des experts se sont réunis début décembre et ils sont unanimes, il n’y aura pas d’apocalypse en 2012. Pour Eric Velasquez, spécialiste ethnique à l’université national autonome de Mexico (UNAM), « il n’y a pas de prophétie pour 2012, c’est juste une stratégie marketing ».
 
"La pensée messianique occidentale a complètement déformé la vision que les civilisations anciennes comme les Mayas avaient du monde", explique l'Institut national d'histoire et d'anthropologie de Mexico.
 
 
Vers une ère de transition
 
Le calendrier maya débute en 3114 av JC et il est séparé en périodes longues de 394 années, les Baktuns. Le nombre 13 est sacré pour les Mayas et le 13ème Baktun prend fin l’année prochaine.
 
Selon Sven Gronemeyer, chercheur à l’université de La Trobe en Australie et spécialiste dans le décodage du calendrier maya, ce qu’on appelle la fin du monde signifie simplement la transition entre une ère et la suivante, celle qui annonce le retour de Bolon Yokte. "Bolon Yokte était déjà présent le jour de la création, il semble donc naturel pour les Mayas que Bolon Yokte soit à nouveau présent".
 
Ils font d'ailleurs remarquer que la mention de l’année 2012 n’apparaît que deux fois sur les 15 000 glyphes mayas... Un nombre inversement proportionnel au succès des prédictions apocalyptiques sur le net : plus de 2,5 millions de pages Internet sur ce thème ont été référencées par un moteur de recherche américain. "Les Mayas ne pensaient pas à l’humanité, au réchauffement climatique ou à la fusion des pôles" affirme Alfonso Ladena, un professeur de l’université Complutense de Madrid. "Nous projetons nos inquiétudes sur eux".
 
David Morrison, scientifique de la NASA est catégorique au sujet du calendrier maya : "Tout comme le calendrier accroché au mur de votre cuisine se poursuit au-delà du 31 décembre, le calendrier maya se poursuit au-delà du 21 décembre 2012. (...) Et tout comme votre calendrier reprend son cours au 1er janvier, un autre cycle long commence pour le calendrier maya".
 
 
 
 
 
Vidéo : En 2012 vrai ou faux ?
 

 
 
 

 
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