Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 mai 2025 6 31 /05 /mai /2025 09:41

 

Bonjour à chacun de vous 

 

Je viens de trouver ce  texte sur Diane Gagon .

Je pense que c'est pour la fête des mamans , un peu en retard , mais pas le choix , je suis vraiment navrèe .

Je pense qu'il vaut mieux que j'arrête de mettre un texte sur le blog en avance des vacances scolaires .

Je reprendrai en SEPTEMBRE .

En esperant avoir de l'avance !!!! 

Par avance merci de votre comprehension mes chers abonnès (èes ) et très bonnes vacances à chacun de vous , bisous.

 

 

Diane Gagnon –

 

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Être parent, c’est se mettre de côté. C’est choisir de mal dormir parce que le nouveau-né décide quand il a besoin de nous, ou encore parce qu’on a des images d’horreur qui nous viennent sans prévenir, piratant notre fil de pensées. C’est choisir de mettre de côté nos habitudes de sorties, parce que prendre une couple de bières sur la terrasse d’un pub en été, à 35 degrés, avec un enfant de 3 ans, n’est pas aussi bien vu que de prendre un cornet à la crèmerie du coin.

Être parent, c’est planifier l’impossible pour rendre les choses possibles pour notre enfant. C’est sacrifier des projets qui pourraient compromettre ses études. C’est travailler de 6 à 22 heures comme travailleur et parent, avant de tomber épuisé. C’est de retravailler, les yeux brûlants, sur des dossiers une fois que les enfants sont couchés. C’est s’endormir dans le lit de son enfant en attendant qu’il parte dans les bras de Morphée, ou encore, à la 17e minute de notre série préférée, celle qu’on tente de reprendre ce soir en ne travaillant pas, pour une fois.

Être parent, c’est ne plus faire des choix pour soi, mais des choix pour eux, et parfois pour la famille, mais très peu souvent pour soi-même.

Mais être parent, c’est aussi la joie de voir ce petit bout d’être grandir. De l’observer commencer à raisonner, à inventer des histoires qui se tiennent de plus en plus. D’être fier de ses forces et d’avoir le désir de l’aider à développer celles à venir. C’est sourire juste en pensant à lui, ou encore verser une larme de joie en se rappelant le « Papa, je t’aime » de ce matin. C’est aussi l’espoir qu’il atteigne ses rêves. C’est la joie de partager le bonheur d’un savoureux repas maison ou d’une activité qui nous fait tripper. C’est un buzz inexplicablement joyeux de voir son garçon taper la rythmique du drum sur notre chanson du moment. C’est le voir grandir et mûrir en se disant qu’au moins, on aura eu le mérite de créer quelqu’un avec de bonnes valeurs dans une société qui s’oublie et qui s’éloigne de ce qu’est la base de l’être humain.

C’est probablement aussi la joie de voir son enfant de 45 ans dire MERCI à Maman et Papa, qui ont fêté leur fête les 13 et 25 de ce mois ! Merci pour les valeurs transmises, les sacrifices faits, les choix pour mon développement, les sorties, les études, les voyages, la tendresse, l’amour, les épaules, le soutien, l’écoute, l’enseignement, la tendresse, l’amour (oui-oui, deux fois !).

Merci et bonne fête à vous deux ! Sans vous, je ne serais pas celui que je suis, et je n’aurais pas la fierté de voir moi-même mon gars grandir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 mai 2025 6 17 /05 /mai /2025 08:12

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Dans ce vacarme du monde extérieur, nous oublions parfois que nous pouvons toujours revenir à la Paix, à cet instant de douceur, cet espace de silence en nous, cette absence de pensée pourtant porteuse de ce calme auquel nous pouvons goûter à tout moment.

Pourquoi s’angoisser de ce qui semble se passer à l’extérieur? Pourquoi s’inquiéter de l’avenir? Pourquoi refuser de pardonner, de « faire la paix » alors qu’il n’y a que cela qui existe?

Coincés dans nos personnages qui jouent à se prendre la tête, et qui oublient qu’ils sont en train de jouer et se prennent bien trop au sérieux, nous perdons de vue que nous pouvons vivre autre chose de bien plus grand.

Plutôt que de croire à nos histoires qui n’en finissent plus de se raconter, nous pouvons choisir la Paix intérieure simplement en revenant à ce que nous sommes, en nous mettant à l’écoute de notre respiration, en revenant aux sensations corporelles sans analyse du mental, juste en étant là, complètement présents à Soi.

En nous appliquant à trouver toutes les facettes de la Beauté autour de nous, nous redécouvrons l’émerveillement de l’enfant qui vit encore en nous. Nous ressentons alors la gratitude pour tout ce qui nous offert, montré, donné. Même les moments difficiles peuvent devenir des occasions de reconnaissance pour toutes ces voies inimaginables que prend la Vie pour nous ramener à nous, à cette Paix tant recherchée.

De l’atome au Cosmos, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, de la goutte d’eau à l’océan, tout nous ramène à la Paix. N’y a-t-il pas de plus beau miracle que celui de la Vie? Et pourtant, nous passons devant sans remarquer à quel point tout est riche de beauté.

Prenons le temps de vivre, d’apprécier les petites choses, d’honorer chaque instant comme si c’était le dernier, de nous émerveiller de tout, de faire la paix pour vivre en paix. Nous pourrons ainsi transformer ces instants de paix en Paix de tous les instants.

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

"Ainsi, peu à peu, au fil des jours et des mois, ton esprit deviendra plus clair et plus stable. Il ne sera plus emporté comme auparavant par les vagues des pensées négatives qui sapent ta paix intérieure. Il deviendra libre des flux de pensées qui nous entraînent, impuissants, vers l'avidité, la haine et la souffrance."

 

Dilgo Khyentsé Rinpoché.

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 mars 2025 6 22 /03 /mars /2025 10:38

 

 

Diane Gagnon –

 

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Désolée, je porte un jugement quand j’appelle ce monde « un monde de fous ». Je n’en reviens toujours pas à quel point « notre » monde a changé depuis 2020. Bien sûr, le monde a tout le temps changé : il me semble entendre encore mes parents dire « mais où s’en va le monde? ».

En fait, autant il y a des éveils de conscience merveilleux qui surgissent un peu partout en ce moment, autant il y a de la colère, de la haine et de la peur qui s’expriment de plus en plus ouvertement et facilement, peu importe le sujet. Et Dieu sait que de sujets à controverses, on n’en manque pas ces temps-ci!

Alors soit nous participons allègrement à ces empoignades quotidiennes sur tous les jupons qui dépassent de ce que nous jugeons conformes à nos attentes, soit nous choisissons d’apporter notre lumière en éclairant, de par notre seule présence en conscience, ces recoins d’ombres qui jonchent notre route chaque jour. Car de quoi a plus besoin l’ombre sinon de lumière?

Il ne s’agit pas « d’apporter la bonne nouvelle » aux autres! Il s’agit d’incarner l’Amour que nous sommes, d’offrir cette douce Présence que nous sommes, d’illuminer, d’enluminer notre environnement, comme le phare dans la nuit. Sans attente, sans velléité de faire comprendre ou de convaincre, sans besoin d’enseigner notre vérité. Et surtout, sans peur.

Pouvons-nous, individuellement et collectivement, revenir à cet espace infini de Paix que nous sommes et propager cette sérénité qui l’accompagne? Pouvons-nous rester dans l’Amour que nous sommes et en diffuser le parfum tout autour de nous? Pouvons-nous retrouver cette Joie qui nous anime et la partager comme les enfants le font spontanément? Pouvons-nous nous déposer dans notre Silence intérieur et émettre sa douce fréquence dans ce monde si bruyant?

Oui, en fait, amenons notre lumière dans ce monde. Créons notre propre monde de paix et de douceur, loin des bruits assourdissants des egos qui se déchirent. Arrêtons de vouloir prouver que nous avons raison, cherchons plutôt à aimer sans raison.www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

Alors que nous approchons des limites de la Terre peut nous offrir et supporter, nous devons reconnaître que notre bien-être futur dépend de notre capacité à rester en deçà de ces seuils de sécurité.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 mars 2025 6 08 /03 /mars /2025 10:49

 

 

Diane Gagnon –

 

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

On dirait que nous sommes plus confortables de faire des reproches que de faire des demandes claires!

Avez-vous remarqué que bien souvent :

Nous attendons que l’autre comprenne ce que nous voulons et qu’il y réponde, sans que nous ayons à le demander. Et quand nous n’obtenons pas ce que nous voulons, ça devient la faute de l’autre.

Nous n’osons pas dire clairement ce qui nous dérange. À la place, nous préférons le faire sentir à l’autre par notre mauvaise humeur, notre silence, et nous semons ainsi les graines du prochain conflit… qui ne saurait tarder.

Nous supportons des choses dont nous ne voulons pas, parce que nous avons peur de dire notre vérité, craignant ainsi de perdre l’amour de l’autre. Et nous nous retrouvons coincés, frustrés, déçus, en colère et nous sabotons nos relations.

Nous n’osons pas faire des demandes claires, parce que nous craignons que l’autre nous trouve exigeants, égoïstes, difficiles. Nous oublions que nous avons tous le droit de faire nos demandes et que l’autre a toujours le choix d’y répondre par oui ou non.

Nous n’osons pas dire ce que nous pensons vraiment, de peur de nager à contre-courant et d’être traités d’hurluberlus ou de complotistes. À la place, nous taisons notre vérité afin de ne pas être rejetés ou jugés.

Quand nous n’osons pas dire non pour ne pas offusquer l’autre alors que tout notre être, notre corps et notre âme n’en a pas l’élan, c’est se faire violence pour protéger notre sacro-sainte « image » que nous tentons de maintenir coûte que coûte, au détriment de notre propre bien-être.

Quand l’autre fait quelque chose qui nous déplait, nous préférons ravaler plutôt que de dire calmement ce qui nous a blessés. Nous croyons ainsi protéger « l’harmonie » de la relation alors que nous y introduisons le poison qui la rongera petit à petit.

Pourquoi est-ce si difficile de s’affirmer et d’être clair?

Notre éducation, nos parents, la religion dans laquelle nous avons été élevés, les mœurs de notre société, nos expériences de vie, notre personnalité se partagent les causes à l’origine de notre difficulté à être verticaux et authentiques.

Nous libérer de tout ce qui entrave notre authenticité passe par la reconnaissance de nos blocages et leur transmutation en étapes de dépouillement pour vivre plus librement, plus légèrement et surtout pour être plus vrais.

Et si nous nous aimions suffisamment pour récupérer notre parole, apprendre à SE dire, faire des demandes claires, se tenir debout, oser être soi et le tout, dans le calme, le respect et la solidité, ne serait-ce pas le début de notre sagesse et la base de l’harmonie dans nos relations?

Et si on apprenait à se dire plutôt qu’à blâmer?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

Tout le printemps des paysages et des rivières monte comme un encens dans mon cœur, et le souffle de toutes choses chante en mes pensées comme une flûte.

 

Partager cet article
Repost0
22 février 2025 6 22 /02 /février /2025 10:19

 

 

Diane Gagnon –

 

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Beaucoup d’entre nous avons été, ou sommes encore, dans cette quête d’Éveil, de réalisation de Soi, de recherche de l’Absolu. Nous écoutons des satsangs, des entrevues (ou nous les faisons!), nous lisons des livres sur le sujet et nous tentons de nous démêler parmi les nombreuses façons d’expliquer le tout qui nous sont proposées.

Cette quête dure souvent des années, parfois toute une vie. Pour certains, il n’y a ni recherche ni quête : l’Éveil leur tombe dessus un beau matin sans préavis. Ce qui bien sûr, fait parfois l’envie de bien des chercheurs spirituels!

Et puis un jour, on comprend que nous ne comprendrons jamais avec notre mental. On voit qu’il n’y a ni enseignants ni enseignés. On sent que la recherche s’essouffle, non par manque d’ardeur ou de conviction, mais plutôt parce s’impose doucement une vision plus douce de la Vie, de la spiritualité. Plutôt que de s’acharner à vouloir tout comprendre à tout prix, ou à enfin obtenir le « badge » du parfait éveillé, on se laisse attendrir, émouvoir, bercer par le mouvement merveilleux de la Vie.

On goûte à certains moments d’extase, de grâce ou de Paix, parfois furtifs, parfois à demeure, mais il suffit d’un instant pour savoir qu’il n’y a plus rien à chercher.

Tout est déjà là. Tout nous est déjà offert en permanence. Nous sommes notre propre « enseignant », notre propre sage, pour peu que nous nous mettions à l’écoute de cette voix en nous, de ce silence en nous. Nous avons déjà toutes nos réponses, souvent avant même que la question ne soit formulée. Nous sommes la sagesse, la paix, la douceur, la joie, l’amour, même si notre personnalité continue sur son erre d’aller avec ses blessures et ses prétendues limites.

Il n’y a plus rien à chercher.

Mais il y a tout à découvrir! L’odeur du froid vivifiant, la beauté d’un flocon de neige, la danse magique des oiseaux, un bébé qui gazouille, la promenade d’un chevreuil devant chez soi, la bonté de notre voisin, le sourire de la caissière, l’enfant blessé qui a tant besoin d’être aimé derrière la colère d’un patron, la simplicité de la Vie, les merveilles de la nature…

C’est cette Vie, si merveilleuse, unique, magnifique que nous avons à goûter vraiment sous toutes ses saveurs, dans toutes ses couleurs, avec toutes ses nuances. Prendre le temps de vivre, de savourer, d’écouter, de voir, d’aimer, d’accompagner, de tendre la main, l’oreille, d’ouvrir notre cœur.

Tout ce temps passé à chercher ce qui se trouve déjà là! Ce n’est pas du temps perdu, évidemment, mais quand nous réalisons que tout nous enseigne en permanence à revenir à Soi, nous pouvons avoir envie de dire que nous avons fait un grand détour pour Être ce que nous sommes déjà!

Il faut s’alléger le mental, se dépouiller de nos croyances (et elles sont nombreuses!), faire de l’espace dans notre vie pour vivre enfin! Pas la vie qu’on nous vend à longueur de jour, mais la vraie Vie, celle qui n’a besoin de rien pour nous combler. Revenir au plus simple, ralentir, chérir ses relations signifiantes, réduire les obligations, faire la paix, réapprendre à rire, ne plus « s’enfarger dans les fleurs du tapis! », n’avoir plus besoin d’avoir raison, se faire la vie douce… ce sont tous des signes que nous sommes enfin à la Maison!

Je vous aime, soyez doux envers vous-mêmes.

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

 

 

Si nous nous soucions du sort des générations futures, nous ne sacrifierons pas aveuglément leur bien-être à nos intérêts éphémères, ne laissant qu’une planète polluée et appauvrie à ceux qui viennent après nous

 

 

Partager cet article
Repost0
8 février 2025 6 08 /02 /février /2025 10:53

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Avez-vous remarqué comment tout conspire toujours pour nous ramener à nous, à Ce que nous sommes?

Cet inconnu qui nous engueule parce que nous n’avons pas respecté ses règles à lui, c’est le jeu de la Conscience qui nous dit ‘Réveille! »

Ce qui nous énerve chez notre belle-sœur, ce n’est pas ce qu’elle est, c’est ce qu’elle réveille en nous.

Ce miroir que l’autre nous tend en permanence pour que nous revenions à nous, ce n’est pas pour nous faire souffrir, c’est pour nous réveiller.

Tout ce qui appuie sur nos boutons panique, c’est toujours l’Amour à l’œuvre pour que nous voyons ce qui a besoin d’être nettoyé en nous.

Mais ce n’est pas notre reflet dans le miroir qu’il faut nettoyer, c’est ce que nous portons encore en nous, la majeure partie du temps à notre insu.

Ce n’est pas l’autre qu’il faut changer; ce n’est pas le monde qu’il faut sauver, c’est nous qui devons nettoyer notre intérieur pour qu’enfin l’extérieur reflète notre paix.

Tout concourt à nous ramener à Nous. C’est toujours une partie de nous qui nous crie de nous réveiller.

C’est toujours notre intérieur dont il faut prendre soin : nous aurons beau fuir, nous distraire, accuser l’autre, tenter de sauver le monde, rien n’aura autant de valeur ni de poids que le fait de prendre soin de nos blessures intérieures. Non pas de nous plaindre mais accueillir le fait que certaines choses en nous ont besoin d’être vues avec courage et amour.

Toujours, toujours, l’extérieur reflète notre intérieur. N’est-ce pas merveilleux? Nous avons en permanence sous nos yeux ce que nous avons besoin de soigner et de guérir! Tout nous ramène à Soi, en permanence. Et tout se fait avec Amour. Si nous trouvons cela difficile, c’est que nous sommes encore dans la résistance à ce qui est.

La Vie, l’Amour, la Conscience, l’Univers, tout conspire toujours pour notre plus grand bien. Puissions-nous accueillir le tout avec humilité et courage!

 

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

 

Sans commettre le moindre acte nuisible, applique-toi parfaitement au bien et maîtrise pleinement ton esprit, voilà l'enseignement du Bouddha.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2025 6 25 /01 /janvier /2025 10:21

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Étapes : il n’y a que Ciel que nous avons maintenu de nombreux voiles! Tous ces voiles comme mécanismes de protection pour ne pas voir la Réalité comme elle est, nous les avons construits petit à petit, au fur et à mesure de nos blessures, de nos peurs, de la naissance de nos croyances, des injonctions des autres, de notre manque de courage parfois.

Ce monde est illusion et il est différent pour chacun d’entre nous, puisque nous l’avons teinté chacun de nos propres voiles. Mais souvent, cette compréhension échappe au mental car Ce que nous sommes ne peut pas être compris par le mental.

Alors comme l’ego a peur d’être démasqué et de disparaître, il construit un énorme système de protections - bien inutiles, faut-il le rappeler – afin que nous ayons l’illusion d’être occupés ailleurs plutôt que de revenir à Soi.

Ainsi, les mécanismes de survie, les efforts pour atteindre des buts sans cesse renouvelables, les tensions dans les relations, le manque de pardon, les maladies, les histoires de souffrance, les jugements de l’autre, les peurs, l’impression de manque sont tous des mécanismes illusoires qui nous maintiennent… dans l’illusion! C’est toujours l’ego qui tente de se protéger.

Quand nous prenons « la décision » de revenir à Soi et de nous donner l’espace pour enfin nous rencontrer et réaliser le Soi, plusieurs de ces mécanismes se remettent en fonction afin de préserver notre ego intact, croit-il, en focalisant notre attention ailleurs. Car lorsque les voiles tombent, ce sont aussi des illusions qui tombent et qui dénudent petit à petit l’ego, qui lutte pour sa survie. Plus les voiles tombent, plus nous voyons la Réalité comme elle est.

Chaque fois qu’un voile tombe, et ils tombent de plus en plus vite, nous réalisons que Ce que nous sommes n’a pas besoin de ces illusions. Nous voyons nos propres systèmes de défense à l’œuvre et une fois vus, ils commencent déjà à se dissoudre. Petit à petit, les illusions sont vues et s’effacent. Tant de choses que nous croyions importantes perdent de leur superbe; ce pour quoi nous avons tant travaillé n’a soudain plus de sens; cette tension permanente qui nous habitait se relâche enfin car il n’y a rien à protéger.

Contrairement à ce que croit le personnage, Ce que nous sommes n’a besoin d’aucun mécanisme de défense, aucun système de protection, aucune planification, aucune liste, aucune mise de côté! Le Soi est abondance, paix, joie, amour, authenticité, simplicité, confiance absolue et détente totale. Il ne peut rien Lui arriver, rien perdre. L’Éveil, la Réalisation ne sont que des La Vie absolue, le vrai Miracle de la Vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

 

 

A quoi bon une nation qui serait richissime et toute puissante mais dans laquelle les gens ne seraient pas heureux ? Une société humaine avisée doit assurer une qualité de vie convenable aux générations présentes en remédiant à la pauvreté, et aux générations futures en évitant de dégrader la planète.

Quand des rayons de soleil frappent un cristal,

on voit surgir des lumières de toutes les couleurs

de l’arc-en-ciel. Pourtant, il n’y a aucune

Substance saisissable. Il en est ainsi de l’infinie

Variété des pensées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2025 6 11 /01 /janvier /2025 10:55

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

C’est ce que je vous souhaite pour 2025 : la meilleure année de votre vie à tous les niveaux !

Je vous souhaite aussi de réaliser que :

• Il n’y a que maintenant qui compte. Ce moment si précieux est tout ce que nous avons. Chérissons-le plutôt que de le fuir à travers toutes sortes de distractions.

• Le monde extérieur est le parfait reflet de notre monde intérieur, Pour découvrir ce qui a besoin d’être vu en nous, observons ce qui semble se passer autour de nous.

• Accueillir ce qui est est le secret le mieux gardé pour être heureux

• L’autre n’est jamais le problème : ce sont nos pensées à propos de « l’autre » qui ont besoin d’être revues

• Pour vivre en paix, le ménage intérieur doit se faire en nous pour nous dépouiller de tout ce qui n’a plus sa place.

• La Beauté se trouve partout

• Toutes nos croyances doivent être remises en question; ce n’est qu’ainsi que la Réalité apparaît.

• Nous ne sommes pas le corps, les pensées, les biens, les succès, le job. Nous sommes l’Infini, la Joie, la Paix, l’Amour, l’Un, l’Absolu.

• L’Amour fait des miracles! L’Amour EST le miracle!

Puissions-nous tous nous souvenir que nous sommes Cela.

Avec Amour.

 

 

 

 

 

 

Pensée de la semaine

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

Demeurons simplement dans la fraîcheur inaltérée de l'instant présent dans la limpidité de la pure conscience éveillée

Dudjom Rinpoché

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2024 6 14 /12 /décembre /2024 10:22

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

Toutes les limites que nous croyons avoir dans notre vie sont celles que nous nous mettons nous-mêmes. Elles sont créées à partir de nos vieilles peurs, de nos croyances, de l’ego qui veut protéger son image, des conditionnements que nous avons crus vrais.

Quand l’Éveil est vécu, nous voyons que nous sommes plus vastes que ce que nous croyons, plus libres : nous sommes l’infini, sans limites, sans contour, sans restrictions. Même si cela n’est perçu que quelques secondes, ces secondes suffisent à nous rappeler que nous sommes beaucoup plus libres que ce que nous croyons!

Dans tous les aspects de notre vie où il semble que cela ne soit pas optimal, quelle est la peur ou la croyance qui nous empêche d’être libres? Dans ces zones qui nous semblent souffrantes, quelles pensées sont crues vraies? Dans cette relation qui, paraît-il, nous semble pénible, quelle part de moi l’autre me montre-t-il, afin que je la transcende enfin? Quand nous avons l’impression de manquer de temps, que sommes-nous en train de fuir que nous ne voulons pas voir en nous?

Chaque fois que l’une de ces zones mal éclairée est vue, c’est une limite qui s’efface, une croyance qui disparaît, une souffrance qui se dissout. Nous n’avons besoin que de notre authenticité envers nous-mêmes pour voir enfin ce qui nous limite. De ce courage de voir s’élance notre liberté consciente. Car, de tout temps, même si nous n’en n’étions pas encore conscients, nous sommes déjà pleinement libres!

Diane Gagnon

 

P.S. Je suis très heureuse de vous retrouver enfin, il y a tellement longtemps que je vous avais écrit! Vous avez sans doute vu passer toutes les activités qui me tenaient occupée depuis plusieurs mois et qui me laissait peu de place à accueillir l’inspiration vivante que je retrouve avec Joie aujourd’hui. Retour au calme, donc, et à la Paix! Merci d’être encore là, vous tous qui m’accompagnez depuis 13 ans! Plein d’Amour vers vous !

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

Demeurons simplement dans la fraîcheur inaltérée de l'instant présent dans la limpidité de la pure conscience éveillée

Dudjom Rinpoché

 

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2024 6 02 /11 /novembre /2024 12:07

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

La qualité de nos relations interpersonnelles dépend toujours de notre degré de libération de notre relation avec nos parents. Si certaines blessures de notre histoire familiale n’ont pas encore été vues ou transcendées, nous attirerons constamment le genre de relations qui nous inviteront à voir ce qui n’a pas encore été éclairé. Bref, nous ne pouvons pas aller plus profondément dans nos relations que là où la relation avec nos parents est bloquée.

C’est pourquoi quand des blessures de notre enfance sont ravivées par des événements externes, certains peuvent avoir tendance à réagir comme un enfant de 5 ans, de 8 ans, de 10 ans, soit l’âge de la plus ancienne blessure non soldée avec les parents. C’est sans doute plus facile de l’observer chez les autres mais le but c’est de le déceler en soi et de le transcender afin de poursuivre la maturation émotionnelle. Quand toute la relation avec les parents est soldée, guérie, transcendée, alors toutes nos relations s’améliorent car nous sommes vraiment libérés de ce qui nous maintenait enfermé dans nos vieux schémas répétitifs de réaction d’enfant blessé.

Il arrive aussi parfois que nous puissions voir que toute l’histoire que nous maintenons depuis notre enfance (abandon, rejet, négligence, etc.) n’était en fait basée que sur notre interprétation d’enfant de la situation familiale. Une fois adulte, il est possible que nous comprenions que nos parents ne nous ont pas rejetés mais n’avaient pas la disposition, le temps ou l’énergie de s’occuper de nous; que ce qui semble avoir été un abandon a en fait été une bénédiction, nous protégeant ainsi d’un milieu toxique; que de la négligence apparente soit le résultat de circonstances trop prenantes pour les parents pour être en mesure de prendre soin adéquatement de leur enfant, etc. Bien entendu, s’il y a eu violence, abus ou mauvais traitement, ce sont les faits; mais comme toute chose, ces blessures doivent aussi être vues et transcendées un jour, afin de ne pas continuer à les traîner avec soi et à les revivre constamment.

Ainsi, lorsque nous sommes prêts à voir les comportements des autres envers nous comme étant le reflet de l’état de leur propre relation envers eux-mêmes et envers leur propre histoire, plutôt que d’un jugement de valeur envers nous, alors nous cessons de réagir aux comportements des autres et nous sommes en paix, quoi qu’ils fassent. Nous voyons la blessure au-delà du comportement.

Peu importe à quel point nous sommes ouverts, pacifiques et aimants, les gens nous rencontrent à partir du niveau d’ouverture, d’accueil et d’amour où ils se rencontrent eux-mêmes. Tant que leur histoire familiale n’est pas totalement soldée, il est difficile d’être complètement ouverts aux autres. L’inverse est évidemment aussi vrai : nous acceptons de rencontrer l’autre qu’à partir de notre niveau d’accueil et d’Amour et selon notre degré de libération de notre histoire familiale. Si nous n’avons pas réglé nos propres souffrances, nous ne pourrons pas être pleinement dans l’Amour dans la rencontre avec l’autre. Et nous attirerons ce qu’il faut pour en prendre conscience.

En fait, il n’y a pas d’autre! C’est toujours nous que nous croisons à travers les rencontres avec d’autres personnages. Nous rencontrons toujours ce que nous émettons. Tout ce qui nous arrive est fait pour nous amener à réaliser ce que nous sommes. Tout ce que nous vivons vise à nous éveiller, à nous libérer des vieux patterns, des vieilles rancunes, des vieilles blessures. À retrouver cette Paix que nous sommes. Et à y Vivre.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

        

 

 

 

 

Soyez votre ami, ayez un lien d’amitié́ avec vous- même ; mais ne courez pas après l’admiration ou la promotion de votre image.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
  • Contact

Bienvenue sur mon blog!

Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

***

hobbies

 

  compteur pour blog