Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 22:22
thumb DanLo hubble20040909a
 
- 2 -
 
« L'ego est comme une crispation. À la suite d'une ancienne erreur de parallaxe, nous nous croyons seuls face à un monde hostile. La tension ne cesse alors plus de nous habiter. Lâchons le mental ici et observons la tension, la crispation (plus ou moins intense selon les jours, les personnes). Vous êtes assis devant votre micro-ordinateur et vous ressentez la crispation de l'ego, de la peur, la tension du mental. Si votre observation est juste et si vous ne tentez pas de "faire" quelque chose de cette tension (que l'on peut localiser au niveau de la poitrine ou du ventre), vous "Voyez" que vous ne pouvez pas être cette sensation, mais "seulement" cela qui la "constate". En commençant à voir cela, la conscience peut alors se déplacer de la vision habituelle, identifiée à la sensation, et revenir à "ce qui est déjà là", le Témoin. Témoigner de cela ou de quoi que ce soit, c'est être libre, pas "devenir" libre, mais Voir que l'on est libre, que le témoin est libre, que cela qui observe (observation de la tension de l'ego par exemple) est libre. (Je ne dis pas "détaché", le mental s'empare généralement de cette Vision pour en faire une méthode, ce qui est une erreur de parallaxe également).
 
"Ce qui est déjà là" est le fait évident (dans la vision d'éveil) que le Témoin est cela qui "constate" les événements de notre vie intérieure ou extérieure à tout moment. Mais un "glissement" nous fait passer de la réalité de la Vie : "le Témoin constate", à la réalité de l'ego : "le témoin est ce qu'il observe." L'ego construit tout un univers de peurs, d'interprétations (même spirituelles) et son pouvoir est de "faire croire" (en quelque sorte) au Témoin qu'il "est" toute cette mascarade. [...] L'observation apaisée du témoin "déjà présent" va cependant progressivement déjouer l'interprétation du mental que nous prenons à tort pour ce qu'il "tente" de décrire. Oui, "ce qui est déjà là" est la Vie, Consciente, jouant le jeu du monde dans son incarnation mais jamais dupe. Chaque fois que "je" suis dupe, je ne suis pas la Vie. Chaque fois que "je" Vois, "je" suis la Vie... »
 
Thierry Vissac
Extrait de son livre ISTENQS
(La Parole Vivante)
 
 
 
 
 
 
 
Vidéo : "Faites l'envantaire de votre vie" de Nicole Charest
 
 
 
 
 
 

 
       
 
Partager cet article
Repost0
22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 22:14
LA CONSCIENCE SERGE TOUSSAINT
 
 
Daniel Maurin
 
- 1 -
 
« Si nous examinons attentivement ce qui engendre nos blessures et nos souffrances, nous remarquons qu'elles proviennent toutes de notre identification aux événements et situations auxquels nous sommes confrontés. Ce processus ressemble à un écran de cinéma, blanc et pur, qui s'identifie au film qui est projeté sur lui, au point de perdre sa blancheur immaculée. Dès que les péripéties du film démarrent, il devient le voleur, l'incendie, les chagrins et les plaisirs, les joies et les peines. Et pourtant ! Le feu qui s'embrase ne l'échauffe pas d'un degré, les balles qui crépitent ne le percent pas, les inondations ne le mouillent pas ! Mais le spectateur contemple ces événements en perdant de vue la nature impassible et tranquille de l'écran, qui ne semble pas concerné par ce flot d'images.
 
De même, dès que nous quittons l'état bienheureux du sommeil profond, nous nous engageons dans une course effrénée où nous nous identifions à tous nos jeux de rôle, brûlant de passions dévorantes, minés par l'angoisse ou secoués de rires incœrcibles, dansant ou pleurant suivant la pluie ou le beau temps de nos existences : l'écran est bel et bien perdu de vue !
 
Quel est donc cet écran sur lequel se projettent toutes nos expériences ? C'est le Soi, la conscience témoin. Il suffirait qu'elle se maintienne pendant nos activités pour que nous soyons sauvés ! Dès lors, comme l'œil du cyclone n'est pas perturbé par la furie des vents, nous demeurerions tranquilles dans les tempêtes de l'existence. Il s'agit naturellement de la meilleure prévention des blessures intérieures.
 
Du point de vue de la thérapie, nous pouvons utiliser avec succès ce principe en demandant au patient d'observer tranquillement les états d'âme et les émotions, parfois violentes, qui le traversent : elles perdent rapidement leur virulence.
 
De plus, l'observation attentive de ces turbulences les neutralise et les dissout, comme une brume qui s'évapore avec la percée du soleil. Afin d'accompagner le patient dans cette prise de conscience, nous pouvons lui dire par exemple :
 
- Pouvez-vous observer cette peur comme un nuage qui passe dans le ciel ?
 
Ou bien :
 
 
 
 
 
 
Vidéo : "L'éveil spirituel"

 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
21 février 2012 2 21 /02 /février /2012 22:28

 
Le sourire intérieur-copie-1
 
 
LA FIN DU REFUS
 
« Il faut restaurer une perméabilité et un contact plus fluide avec nos émotions. Habituellement nous ressentons nos émotions lorsqu'elles nous dérangent. Le reste du temps, nous les tenons réprimées. La première étape consiste à nous ouvrir à l'émotion.
 
Puis il devient clair que l'émotion est un phénomène provenant de l'intérieur. Habituellement, nous sommes convaincus que l'extérieur déclenche l'émotion, alors qu'il la révèle seulement. Nous pouvons donc faire l'expérience que toutes les émotions demeurent présentes, en latence, même quand nous ne sommes pas en situation. En apprenant à accueillir l'émotion, je peux plus facilement lui dire "stop".
 
Le refus est inhérent à l'émotion... car elle naît justement de ce décalage entre ce que j'attendrais et ce qui est. Dans mon esprit, la situation pourrait être autrement et je ne l'accepte pas directement telle qu'elle est. Je suis d'autant plus excité et joyeux d'être reçu à un examen, que je doutais du succès. Je compare subconsciemment avec la situation inverse où j'aurais pu échouer. Ce n'est pas une unité totale et immédiate avec la réalité.
 
Dans une émotion joyeuse comme dans une émotion de tristesse ou de peur, on retrouve toujours un élément qui implique que la situation pourrait être différente. On ne vit pas une acceptation inconditionnelle du "c'est ainsi", où l'émotion se transformerait en un sentiment de paix.
 
Un aspect central de mon travail de thérapeute est de détecter les refus au quotidien. [Cela] consiste à aider une personne qui ressent une tension à contacter la pleine mesure de son émotion, à découvrir le point le plus sensible, jusqu'à cette qualité d'acceptation inconditionnelle qui ramène l'unité et la paix intérieures. Le but [...] n'est pas de faire disparaître l'émotion mais le refus qui la sous-tend. L'acceptation permet de retrouver une circulation fluide, une véritable spontanéité, que l'émotion reste présente ou disparaisse.
 
[Ce n'est pas] une technique particulière mais plutôt un état d'esprit. C'est une intention de ne pas se protéger vis-à-vis de ce que nous portons en nous de plus dérangeant - certaines pulsions, certaines souffrances, ce que nous avons le plus de mal à accepter en nous. [Ce sera] le moment privilégié pour nous ouvrir à ces aspects conflictuels et douloureux, en les exprimant - à la différence de la méditation où l'on reste silencieux et statique. L'expression sans retenue de ce que l'on ressent facilite le fait d'aller au cœur de l'émotion. Au plus aigu de la souffrance, si nous cessons de résister et si nous nous ouvrons, nous découvrons soudain la paix, le silence, l'immobilité. Arnaud Desjardins cite souvent cette parole: "Pour sortir de l'enfer, il faut sauter là où les flammes sont les plus hautes", comme dans l'Enfer de Dante où la sortie se trouve au centre de l'enfer et non à sa périphérie. À partir du moment où nous avons affronté ce qui nous fait le plus mal, la peur de le ressentir disparaît. L'aspect dérangeant ne pose plus problème et s'intègre, qu'il persiste ou non. Tant que l'on sent une menace, c'est qu'il reste une dualité avec l'émotion : "D'un second naît la peur" disent les Upanishad. A partir du moment où l'on se plonge tout entier, corps et âme, dans l'expérience douloureuse avec l'impression que l'on peut mourir, suffoquer et être complètement anéanti, on s'aperçoit que l'on n'est pas détruit et qu'il existe un niveau de conscience absolument intact, inaffecté par la souffrance. Cette attitude commence à imprégner le quotidien et ouvre à la plénitude de la vie, car nous avons contacté ce niveau indestructible. Au lieu de fuir et d'éviter, nous nous laissons traverser par les vagues et les remous, sans être submergés ni noyés... » 
 
Dr Christophe Massin
Extraits d'un entretien au journal RÉEL (n°83, juillet-août 2005)
 
 



Vidéo : "Faire l'inventaire de sa vie "
           de Nicole Charest



 

 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 22:18
0 IMAGE MYSTIQUE-copie-1
 
 
 
Par Michel Ehling
 
De la plus petite particule élémentaire aux milliards de galaxies de l’univers, rien n’existe en dehors de l’Être absolu. Il contient tout ce qui existe, toutes les lois et toutes les manifestations. Rien ne peut lui être ajouté ni soustrait, sinon il y aurait quelque chose en dehors de lui. Aussi, lorsque les scientifiques nous décrivent l’expansion de l’univers, cela ne signifie pas que l’univers étire son espace dans le néant ou dans une région qui serait en dehors de lui. L’expansion explique simplement l’éloignement des galaxies les unes des autres dans un univers infini.
 
 
 
Dans la Genèse, il est dit que l’homme est issu de la « poussière de la terre ». Pourquoi de la « poussière », quel est le sens de ce symbole ?
Pour y répondre, nous devons au préalable établir la différence entre la terre et la poussière de la terre. La poussière est bien de la terre, mais qui peut voler sous l’action du souffle du vent. La terre évoque ici la matière (la substance) et la poussière est la matière animée par le Souffle.
Par cette image, l’homme est représenté dans sa dualité : sa double nature, physique (la matière) et spirituelle (le souffle), ou si l’on préfère, son corps et son âme.
 
Affinons encore notre réflexion en reprenant l’expression des astrophysiciens devenue désormais célèbre : « L’homme est de la poussière d’étoiles ».
L’histoire passionnante qu’ils nous racontent apporte différents éclairages sur l’universalité de l’énergie et sur l’impermanence du Cosmos.
En un mot, ils découvrent avec nous le grand livre de la Vie.
 
 
 
Vidéo : "13 conseils pour la vie"
 
 
 

 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 22:18
main coeur fleur
 
Nous pensons à nous-même,
Nous pensons à ceux qu'on aime.
Nous pensons au bonheur,
Nous pensons aux erreurs
Que commet la vie,
La vie de tous les jours.
Quelques instants aussi,
Tel un rayonnement d'amour
Qui transperce nos cœurs.
Ce rayonnement recherché,
Que l'on veut tous un jour trouver,
Cet extrême bonheur,
Existe-t-il pour chacun de nous ?
Nous qui sommes jaloux,
Nous qui pensons d'abord à soi,
Nous qui ne respectons pas la loi,
Du bonheur,
Tel des voleurs,
On l'arrache à ceux qui l'on trouvé.
On le vole, on le soumet,
Car quelque part,
On veut prouver notre existence,
A celle des autres. Ce n'est pas un hasard,
Car dans notre errance,
Cette errance de la vie,
Que l'on veut finir en aimant
L'amour, on le prend,
Et l'errance, on la finit.
 
Telle est notre loi du bonheur,
Réécrite selon notre humeur.
 
 
 
 
 
Vidéo" l'amour réaliste" de Nicole Charest 
 
 
 
 

 
 
 
Partager cet article
Repost0
18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 22:21

0 POUR AVORTEMENT

 

 

 

Par Serge Toussaint

 

Régulièrement, des personnes manifestent ça et là, parfois violemment, contre l’avortement. En règle générale, elles sont croyantes et se font l’écho de la position adoptée en la matière par la plupart des religions. Selon elles, l’enfant à naître possède une âme dès sa conception et s’apparente par conséquent à un être humain à part entière. En vertu de ce principe, pour ne pas dire de ce dogme, elles considèrent donc qu’une femme qui se fait avorter se rend complice d’un infanticide et s’oppose à la volonté de Dieu.

 

 

 

D’un point de vue rosicrucien, l’âme s’incarne au moment, non pas de la conception, mais de la naissance. Autrement dit, elle pénètre dans l’enfant lorsqu’il sort du ventre maternel et inspire pour la première fois. Cela veut dire que l’embryon, puis le fœtus, ne constitue pas un être humain en tant que tel, mais un être humain en devenir. Et il le devient effectivement lorsqu’il naît à la vie extra-utérine, sous l’impulsion de l’âme qui pénètre en lui avec la première inspiration. En cela, vous noterez que toutes les religions s’accordent à dire que la mort intervient avec le dernier souffle.

 

 

 

Est-ce à dire que l’avortement est un acte anodin ? Bien sûr que non. Certes, il ne provoque pas la mort d’un être humain, mais il met fin au processus physiologique qui aurait permis à une âme de bénéficier d’un corps grâce auquel elle aurait pu mener à bien son évolution spirituelle. Avorter est donc un choix qui correspond à une grave décision pour la future mère, et pour le futur père si elle l’a informé de la situation. Mais il y a des cas qui le justifient, et le fait de pouvoir recourir à l’avortement en toute légalité et en toute sécurité est un progrès social et humain majeur.

 

 

 

Lorsqu’un enfant à naître est la conséquence d’un viol, lorsque son développement embryonnaire et fœtal présente un grand risque pour la santé ou même la survie de la mère, lorsque celle-ci a déjà de nombreux enfants et qu’elle ne souhaite plus en avoir en raison de difficultés familiales, économiques ou autres, lorsque le fœtus présente de graves malformations physiques ou de grandes déficiences neurologiques, est-il vraiment “criminel” de recourir à l’avortement ?

 

 

 

Il est légitime de considérer la vie comme le bien le plus précieux qui soit en ce monde. Mais contrairement à ce que pensent la plupart des opposants à l’avortement, la grande majorité des femmes qui y ont recours ne le font pas à la légère et sont malheureuses d’en venir à ce choix ultime. Les condamner au nom d’un interdit religieux constitue un manque de compréhension et de compassion. Naturellement, cela ne veut pas dire qu’il faut banaliser ou encourager l’avortement, mais il s’agit d’un choix qui doit être laissé aux personnes directement concernées, d’autant plus que Dieu seul, si on croit en Lui, peut juger leurs intentions.

 

 

 

http://www.amorc.fr/dotclear/index.php?post/2010/05/14/A-propos-de-l%E2%80%99avortement

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 22:19
0 LICORNE
Licorne scultée par Charlotte Terriou Creation
 
Nous pouvons imaginer 3 démarches fondamentales.
 
 
 
La première consiste à intervenir au service du bien comme un Chevalier Blanc qui cherche à jouir d'un bon karma.
 
 
 
La deuxième consiste à bannir tout ce qui est extérieur à soi pour ne chercher que la lumière intérieure.
 
 
 
La troisième consiste à transcender la fuite en avant du premier qui ne résoud pas ses problématiques intérieures et à refuser le repli de l'autre qui s'enferme dans ses problématiques sans non plus les résoudre.
 
 
 
Traditionnellement ces trois démarches sont exprimées par trois couleurs: le blanc, le noir et le rouge... 
 
 
 
L'histoire connue qui suit caricature ces 3 démarches:
 
 
 
""Il était une fois 3 ermites qui décidèrent de se retirer du monde pour s'installer dans une grotte.
 
 
 
Une année passa dans le silence et la méditation, lorsqu'un jour, une licorne entra dans la grotte, elle vit les 3 ermites et repartit...
 
 
 
Nul ne dit mot et une nouvelle année s'écoula...
 
 
 
Un des ermites ouvrit enfin la bouche et dit:
 
 
 
-"Elle était d'une blancheur extraordinaire"...
 
 
 
12 mois s'écoulèrent avant que le deuxième ermite ne réponde:
 
 Lire la suite sur :
   
 
 
 
 
 
   

 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 22:30
0 amoureternels35
 
Savoir écouter l’autre apporte deux choses fondamentales. D’abord, vous lui montrez que vous vous souciez réellement de ce qu’il a à vous dire. Ce qui est sûrement le meilleur moyen de lui prouver que vous vous intéressez à lui et que vous le comprenez. C’est facile de répéter : « Je fais attention à toi », mais si vous avez la tête ailleurs, vous ne faites que démontrer que ce n’est pas votre priorité, que votre partenaire passe après le reste.
 
Quand on se sent écouté, et donc aimé, on cesse d’avoir l’impression de faire partie des meubles. Une bonne capacité d’écoute incite l’autre à se confier et à partager ses expériences, ce qui ne peut que vous rapprocher. Il est aussi agréable et stimulant de côtoyer quelqu’un qui vous écoute, qu’il est pénible et frustrant d’être avec une personne qui fait la sourde oreille.
 
Autre bienfait inhérent à l’art de savoir écouter : il réduit sensiblement notre propension à nous emporter pour un rien. Quand on est capable d’écouter son interlocuteur avec attention et sincérité, on évite les conclusions hâtives et les réactions brutales, qui se produisent précisément quand on croit savoir à l’avance ce que l’autre pense.
 
En prenant la peine et le temps d’écouter, vous entendrez des choses que vous ignoriez jusque-là, et que vous n’auriez jamais pu deviner par vous-même ou en vous contentant d’accorder à l’autre une oreille distraite.
 
La différence entre une écoute convenable et une écoute de « pro » est énorme. Se sentir écouté est un besoin tellement fort que, lorsqu’il n’est pas satisfait, il laisse une impression de grand vide. À l’inverse, quand l’autre personne se sent vraiment écoutée, elle s’estime facilement comblée et elle ne se sent jamais aussi bien qu’en votre compagnie.
 
La seule façon de devenir champion du monde dans cette discipline, c’est la bonne vieille méthode : beaucoup d’entraînement. Savoir écouter l’autre ne se réduit pas à être capable de répéter ce qu’il vient de dire. Cela implique d’être réellement « présent » dans vos discussions, comme de faire preuve de patience et de compréhension. Concrètement, efforcez-vous d’abord de comprendre ce qui est dit – sans couper la parole – avant de parler à votre tour et d’exprimer votre point de vue.
 
En mettant autant de soin – sinon plus – à écouter qu’à parler, vous ouvrirez la voie à une relation fondée sur le respect mutuel et le partage.
 
Source : Richard et Kristine Carlson
  
 
 
 
 
Vidéo; "S'écouter parler"

 
 
Partager cet article
Repost0
15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 22:33
SUPERBE ROSE INSPITANTE
 
Voici un message d'une immense portée vibratoire à diffuser massivement. Le texte est une synthèse d'enseignements de sagesse de Grands Maîtres de toutes Traditions, légèrement remanié par le narrateur par rapport à sa version initiale datant du début des années 80 et dont le titre était légèrement différent ("Que l'Amour soit ton bouclier").
 
A cette époque, ce texte avait été enregistré au format audio afin de pouvoir être diffusé sur K7. Aujourd'hui, ce magnifique message a été actualisé selon les enseignements du Dharma de l'Âge de Diamant, à l'aube duquel notre Humanité se trouve présentement. Toutefois, l'esprit du texte d'origine a été conservé.
 
Nous vous invitons à partager cette vidéo à tous vos Amis afin que la Force de l'Amour puisse se répandre en leur Coeur, insufflant ainsi en eux la Force de Vie qui sonnera l'appel du retour à leur véritable Nature.
 
Le contenu de la vidéo ne fait référence à aucun site, ne mentionne aucun auteur et ne met en avant aucun courant de pensée ni aucune tradition religieuse. Le caractère désintéressé et inclusif d'un tel message doit être absolument respecté afin de lui conserver sa pureté et sa... Force.
 
Pour télécharger le texte de la vidéo, cliquez sur le lien suivant : http://moourl.com/5904b
 
 
 
Vidéo: "Que l'amour soit ta force"
 
 
 

 
 
 
Partager cet article
Repost0
14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 22:25
DES MAINS SUPER BEAU
 
 
Chante le temps qui coule sans cesse se déroule présent qui n’y peut mais…
 
Chante le temps qui change aux caprices du vent sans souci qu’il dérange amours d’auparavant…
 
Chante le temps qui traîne à nourrir son ennui sans cesse arrose graine jusqu’à mûrir un fruit…
 
Chante le temps qui saigne sous les coups de douleur sans souci qu’il imprègne lendemains de couleur…
 
Chante le temps qui passe au gré des heures creuses sans cesse garde trace de la minute heureuse…
 
Chante le temps qui dure au-delà des promesses sans souci que soient dures malhabiles caresses…
 
Chante le temps qui chante tragique ou bien mutin sans cesse qu’il enchante chaque nouveau matin…
Dominique et Pierre Theurilla
 
 
 
 
 
 
Vidéo : "Prends le temps"
 
 
 
 
 

 
   
 
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
  • Contact

Bienvenue sur mon blog!

Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

***

hobbies

 

  compteur pour blog