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25 mai 2024 6 25 /05 /mai /2024 09:01

 

 

 

 

 

 

 

Chacun d’entre nous a ses propres traversées du désert. Des périodes plus ou moins intenses où il semble que nous perdions nos repères, que plus rien, ou presque, ne fonctionne comme avant, que nous nous perdons devant un amas considérable de choses à régler, de problèmes à résoudre, de relations à guérir.

 

Toutes ces périodes d’inconfort, de souffrances, de tourbillons ne doivent pas être vécues seulement comme étant des aléas de la Vie. Elles ne doivent pas nous servir à nous positionner en victimes et à nous croire sous le joug d’un mauvais sort. Ces situations ne nous sont pas présentées pour rien : elles sont toutes porteuses d’un cadeau plus grand encore que l’inconfort qu’elles engendrent.

 

Chaque disharmonie, chaque inconfort, chaque souffrance est un cadeau mal emballé pour nous réveiller à nous, pour nous faire prendre conscience que NOUS devons changer quelque chose en nous, que nous devons revoir nos croyances pour mieux les aligner avec une vie plus douce que celle que nous croyons être en train de vivre.

 

Chaque inconfort est une occasion de grandir, de guérir, d’aimer. Si nous ne comprenons pas le message, le niveau d’inconfort ira en augmentant chaque fois. Si nous refusons de changer, nous souffrirons de plus en plus.

 

Certaines souffrances parfois nous semblent n’avoir aucun sens. Mais c’est à NOUS de leur en donner un en faisant en sorte que nous ne les vivions pas en vain, en nous servant de chacune d’entre elles comme d’un levier pour nous élever, pour grandir, pour apprendre ce que nous devons changer, pour faire preuve d’humilité. Quelques perles précieuses pour s’aimer toujours plus !

 

Regardez toutes les occasions où vous avez été inconfortables : quelle partie de vous a réussi à grandir grâce à cet événement, même si sur le moment, vous en vouliez à l’univers entier ?

 

Rien ne nous est présenté en vain. Aucun inconfort n’est inutile.

 

Dans le grand Jeu de la Vie, apprenons les règles du jeu : quand c’est inconfortable, quand ça fait mal, c’est qu’il y a quelque chose que nous devons changer en nous.

 

Quand nous accueillons cette philosophie de vie, nous réagissons beaucoup plus sereinement face à ce qui se présente car nous savons que c’est à notre tour d’avancer notre pion !

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

 Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

Le vrai bonheur procède d’une bonté essentielle qui souhaite du fond du cœur que chacun trouve un sens à son existence. C’est un amour toujours disponible, sans ostentation ni calcul. La simplicité immuable d’un cœur bon.

 

 

 

 

 

 

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4 mai 2024 6 04 /05 /mai /2024 10:19

 

 

 

 

Texte de Nicole Charest

 

C’est à toi que je veux dire aujourd’hui combien je te remercie de m’avoir accompagné.e si longtemps sur les chemins de ma vie.

 

Je ne t’ai pas accordé l’intérêt, l’affection ou plus simplement le respect que tu mérites.

 

Souvent, je t’ai même maltraité, matraqué de reproches violents, ignoré par des regards indifférents, rejeté avec des silences pleins de doutes.

 

Tu es le compagnon dont j’ai le plus abusé, que j’ai le plus trahi. Et aujourd’hui, au mi-temps de ma vie, un peu ému.e, je te redécouvre avec tes cicatrices secrètes, avec tes lassitudes, avec tes émerveillements et tes possibilités.

 

Je me surprends, surprends à t’aimer, mon corps, avec des envies de te câliner, de te choyer ou te donner du bon.

 

J’ai envie de te faire des cadeaux uniques, de dessiner des fleurs et des rivières sur ta peau, de t’offrir du Mozart, de te donner les rayons du soleil et de t’introduire aux rêves des étoiles.

 

Tout cela à la fois dans l’abondance et le plaisir.

 

Mon corps, je te suis fidèle.

 

Oh, non pas malgré moi, mais dans l’acceptation profonde de ton amour.

 

Oui, j’ai découvert que tu m’aimais, mon corps. Que tu prenais soins de moi, que tu respectais ma présence.

 

Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître, pour me laisser être, pour me laisser grandir avec toi !

 

Combien d’accidents as-tu traversés pour me sauver la vie !

 

Mon corps, maintenant que je t’ai rencontré, je ne te lâcherai plus. Nous irons jusqu’au bout de notre vie commune….

 

Et quoi qu’il arrive, nous vieillirons ensemble. »

 

Jacques Salomé, psychologue et écrivain

 

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

 

A l'heure actuelle, la majorité des économistes définissent la croissance en termes d'augmentation des richesses - voire d'accumulation des richesses comme un but en soi - et d'exploitation des ressources naturelles. Or ce type de croissance n'est plus adapté aux réalités d'aujourd'hui.

 

 

 

 

 

 

 

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16 mars 2024 6 16 /03 /mars /2024 09:45

 

 

 

 


 

Nicole Charest

 

 

Quel est donc ce discours intérieur que vous entretenez et qui ne s’exprime point de façon audible? C’est pourtant lui qu’écoute votre subconscient; à lui seul qu’il obéit...

 

Votre subconscient enregistre votre pensée silencieuse et vos émotions et c’est une machine à enregistrer extrêmement fidèle. Il enregistre tout et vous le rend sous forme d’expériences, de conditions et d’événements. Il faut se rappeler que quoi que ce soit que nous acceptions comme étant vrai, s’imprègne dans notre subconscient et que ce dernier est un puissant agent créateur.

 

Le subconscient contrôle tous vos organes vitaux, il est le siège de la mémoire et le guérisseur du corps. Nourri par des sources cachées, il est uni à l’Intelligence et à la Puissance infinies. Il est donc très important de donner à votre subconscient des instructions convenables qui s’accordent avec votre but.

 

Par exemple, si l’on s’attarde sur des difficultés, délais et obstructions au programme que l’on s’est établi, le subconscient prendra cette attitude mentale pour une requête et accumulera les obstacles et les déceptions. D’où l’importance de nourrir votre subconscient de prémisses constructives et positives.

 

Lorsqu’apparaissaient des contretemps et que le doute et la peur assaillent votre esprit, recueillez-vous et, silencieusement, affirmez cette vérité :

 

« Je rends grâce pour la solution parfaite et harmonieuse qui vient à travers la Sagesse Universelle. »

 

Servez-vous de cette prière de façon régulière et systématique. Elle vous apportera la paix.

 

Il faut complètement cesser les déclarations verbales négatives et surveiller attentivement sa conversation intérieure, sachant qu‘immanquablement, ce sont les éléments de cette dernière qui se manifesteront dans vos vies. Car, c’est ce que vous ressentez intérieurement qui prend forme.

 

Rappelez-vous : si vous dites une chose avec la bouche et en ressentez une autre dans votre cœur, c’est cette dernière qui se reproduira sur l’écran de l’espace. Il ne faut donc jamais affirmer intérieurement ce que vous ne voulez pas vivre extérieurement. Il faut que les lèvres et le cœur s’accordent; quand cela a lieu, votre prière est exaucée.

 

— Joseph Murphy, La puissance de votre subconscient

 

 

 

Moine bouddhiste  Humanitaire

 

T Texte de : Matthieu Ricard

 

 

 

L'ermite ne se désintéresse nullement du sort de l'humanité, mais se rend compte avec lucidité que, dans sa condition présente, non seulement il est incapable d'accomplir le bien d'autrui mais il est tout aussi impuissant à s'émanciper de ses propres souffrances. S'il choisit, pour un temps, de vivre en solitaire, c'est pour approfondir sa pratique et consacrer les années nécessaires à engendrer les ressources intérieures qui lui permettront de contribuer de manière éclairée au bien-être d'autrui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 novembre 2018 6 24 /11 /novembre /2018 09:35

 

Texte écrit par Jacques Salomé, sur le site Psychologies

 

 

 

 

 

 

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. D’une certaine façon, c’est lui dire : « Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là. Je suis disponible à ta présence. Je me sens touché par ce que tu es, parce que tu dis. »

 

Écouter, c’est commencer par se taire. Avez-vous remarqué combien de tentatives d’échange ou de pseudo-dialogues sont remplis d’expressions du genre : « Ah oui, c’est comme moi ! » ou « Moi aussi, j’ai eu affaire à telle situation. » Cette pseudo-compréhension, qui s’approprie le dit de l’autre pour mieux le phagocyter, n’est qu’une occasion pour parler de soi, pour s’emparer du discours de l’autre et développer le sien.

 

 

Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre. C’est accepter qu’autrui entre dans notre intimité et mette en veilleuse nos pensées, nos ressentis, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises, en sollicitant notre attention pour lui seul.

 

Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. Il convient surtout de lui permettre de s’entendre, de se reconnaître, de se retrouver dans les errances ou le labyrinthe de ses pensées. C’est refuser de penser à sa place, de donner des conseils, et même de vouloir comprendre. C’est simplement entendre.

 

Écouter, c’est accueillir l’autre, le reconnaître tel qu’il se définit, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. Bien sûr, il y a différents niveaux d’écoute. L’écoute active sera celle qui permet à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit. L’écoute miroir, la plus rare et donc la plus recherchée, sera inconditionnelle; elle permet de vider les trop-pleins d’amertume et de regrets. L’écoute résonance sera celle qui amplifie le dit de l’autre en restant ouvert et positif à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à celui qui s’exprime le temps et l’espace de trouver sa voie.

 

Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à se positionner silencieusement dans ce léger décalage entre ce qui est dit et ce qui est entendu.

 

Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son chemin pour s’en libérer ou continuer à la porter.

 

Apprendre à écouter dans cette liberté d’être, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses, en retrouvant la part d’universel dans l’unicité de chacun.

 

 

Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence bienveillante. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps, dans nos émotions. C’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie ardente. C’est devenir un poète de l’« humanitude », qui sent le cœur et voit l’âme des choses.

 

« À celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure du vivant. »

 

http://www.lapetitedouceur.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 décembre 2017 1 18 /12 /décembre /2017 15:10

 

 

 

 

 Publié par Nicole Charest

 

 

 

 

 

 

La gratitude c’est beaucoup plus que de savoir dire merci ou même de savoir apprécier ce que l’on possède. La gratitude c’est un état d’esprit, c’est un style de vie.

 

 

Avez-vous remarqué comment le mois décembre est un mois différent des autres? Plus on avance dans le mois, plus on sent le changement s’opérer dans le cœur des gens. À Noël, nous devenons soudainement plus tolérants, plus prévenants, plus généreux; même les médias se mettent à faire dans la nouvelle positive!

 

 

Mais qu’est-ce qui provoque ce changement ? L’ambiance ? Les souvenirs ? La tradition ? À Noël, tout est là pour nous mettre de bonne humeur et nous ramener à nos valeurs profondes. Les vitrines qui s’illuminent nous donnent l’impression d’être transportés dans un monde de magie et d’enchantement. Partout on entend parler de partage, d’amour, de retrouvailles et de réjouissances. C’est le moment de l’année où les gens sont le plus ouverts aux autres, aux causes humanitaires et beaucoup se préparent pour des vacances bien méritées.

Bref, Noël est comme un bouillon d’énergie positive.

 

 

Pourtant, à Noël, ce n’est pas la vie qui change. Noël n’efface pas les guerres, les soucis du bureau ou les blessures de l’âme; à Noël ce qui change, c’est notre regard sur la vie.

 

 

Dès aujourd’hui, prenez la décision de vous concentrer sur le beau, le bon et le possible.

 

 

 

Dites « OUI! » à la Vie. Envoyez le signal que vous êtes là et que vous êtes prêt à recevoir. Devenez plus présent, plus réceptif, plus inspiré.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 juin 2017 1 26 /06 /juin /2017 16:55

 

 

En traduisant le texte en anglais que j’avais j’ai pu mettre le texte ouffff

 

 

 

 

Texte de Nicole Bordeleau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réapprendre à voir, quelle merveilleuse façon de se réinventer. Voir ne consiste pas à distinguer simplement les formes, les couleurs, les matières, les choses, les êtres, mais à regarder notre monde avec attention, avec curiosité, avec passion, avec un amour pur et désintéressé comme le font les enfants.

 

 

Combien de fois sommes-nous passés à côté d'une expérience extraordinaire, n'y voyant que du banal, de l'ordinaire ? On passe toujours trop vite à côté d'une fleur, d'un arbre, d'un papillon et des personnes que l'on aime. On oublie trop souvent de regarder autour de soi et on ne soulève plus les yeux au ciel pour voir plus grand que soi.

 

 

Tout, absolument tout ce qui nous entoure sur cette terre, mérite le même regard, la même présence, la même attention. Mais pour mériter la beauté de ce monde, il faut savoir l'accueillir. Pour l'accueillir, il faut rafraîchir notre regard et apprendre à voir avec amour. À voir dans un total abandon tout ce qui existe autour de nous.

 

 

D'avoir d'autres yeux signifie donc de rafraîchir le regard que l'on porte sur soi, sur les autres, sur le monde qui nous entoure. Vous et moi, nous pouvons réinventer notre manière de voir le monde. Voici quelques suggestions :

 

 

– Apprenons à voir les choses sans vouloir posséder.

 

 

-À regarder les gens sans les juger.

 

 

– À voir les évènements sans les comparer.

 

– À regarder notre monde sans le diviser.

 

 

Pour réinventer notre regard, chaque jour, il est essentiel de fermer les yeux quelques secondes pour rafraîchir notre vision du monde. Puis, avec un regard tout neuf, prendre le temps de contempler le visage de ceux qu'on aime et d'admirer la beauté du monde qui nous entoure.

 

 

 

Ce simple exercice, répété au quotidien, est d'une force incroyable pour renouveler notre engagement envers les autres, envers la vie.

 

 

Et lorsque nous traversons des périodes plus sombres, il nous faut aussi adoucir notre regard. C'est alors le moment de cultiver un regard empli de bienveillance, de douceur, de compassion envers nous-mêmes. S'observer, sans se juger, est un acte d'amour envers soi-même. Et c'est là le début d'une véritable transformation.

 

 

 http://www.lapetitedouceur.org/

 

 

 

 

 

« Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne

 

serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir

 

d'autres yeux... »

 

 

 Marcel Proust

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 juin 2017 1 26 /06 /juin /2017 15:53

 

 

 

 

 

 

Malheureusement l'administration ne fonctionne pas je suis navrée mais il m'est impossible de mettre le texte choisi .

 

Micheline

 

 

 

Texte de Nicole Charest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 22:18

 

 

 

Auteure : Diane Gagnon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.

 

Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

 

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

 

 

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

 

 

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

 

 

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.

 

 

 

Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux.

C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

 

 

 

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

 

 

 

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.

 

 

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

 

 

 

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

 

 

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

 

 

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

 

 

 

Vous voulez vivre libres et heureux ?

 

Cela se résume en un seul mot : PARDONNEZ !

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




 

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30 juin 2016 4 30 /06 /juin /2016 21:58

 

 

 

Auteure : Diane Gagnon, coach,

 

formatrice, conférencière

 

 

 

 

 

 

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer

 

 

 

Lors de certaines périodes de notre vie, nous traversons des périodes intenses, remplies d’autant de grands bonheurs que de grandes souffrances. Nous pouvons alors avoir l’impression que ce n’est pas juste, que nos bonheurs sont gâchés par ces souffrances qui apparaissent au moment inopportun, comme si elles nous empêchaient de vivre pleinement notre bonheur.

 

Et pourtant, la Vie est ainsi constituée : bonheur et douleur en alternance. Quoi que nous fassions, c’est la Vie! Plus nous y résistons, plus les périodes douloureuses sont souffrantes. Accueillir ce que la Vie nous offre chaque jour est un merveilleux cadeau à se faire.

 

Cela s’appelle vivre dans le moment présent!

 

Respirer le bonheur et le savourer est aussi important que de respirer DANS la souffrance et la vivre pour comprendre son message. Vouloir éviter l’un de ces aspects c’est se priver des deux!

 

La Vie nous donne tout : des occasions de grandir et des occasions de savourer. Des moments pour recevoir et des moments pour rendre grâce. Des événements pour apprendre et des événements pour intégrer. Des périodes de travail sur soi et des périodes de repos. Des moments de bonheur et des moments de douleur. Tout est intégré.

 

Toute la Vie est construite sur ces deux pôles et nous naviguons sur cette mer en suivant le flot ou en y résistant, ce qui s’avère non seulement inutile mais terriblement souffrant.

 

En vivant intensément le moment présent, quel qu’il soit, nous savourons tout ce qui nous est offert, même si notre ego cherche à catégoriser le tout en bien ou mal, notre âme sait que tout nous est utile.

 

La douleur et le bonheur font équipe pour nous faire évoluer, pour nous apprendre à mieux aimer. Nous pouvons croire que le paradis et l’enfer se côtoient continuellement, mais c’est simplement la Vie qui se déploie POUR nous, telle qu’elle est, pour que nous explorions tout ce que nous sommes, pour que nous devenions Amour.

Et tout est parfait!

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/2016/06/quand-le-paradis-et-l-enfer-semblent-se-cotoyer.html?utm_source=_ob_email&utm

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer
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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 22:19

 

 

 

Texte de : Jules Beaulac,

 

Prêtre du diocèse de St-Hyacinthe, Québec

 

 

 

 

Valeurs essentielles

 

 

 

Lorsque tu ne sais plus aimer ou t’intéresser aux autres, tu commences à vieillir.

 

De fait, quand tu es capable d’aimer pour de vrai, tu ne vieillis pas.

 

L’absence d’un réel amour rend les jeunes bien vieux ; et la ferveur d’un amour toujours vivant donne la joie de vivre aux gens rendus à la mi-temps de la vie.

 

C’est dans ta tête que les idées naissent, mais c’est dans ton cœur qu’elles grandissent et se développent. La mémoire de ton cœur est essentiellement primordiale pour grandir et vivre au cœur de ta vie !

 

Fais confiance aux personnes que tu rencontres car elles sont très souvent bien meilleures que tu le penses. Fais aussi confiance au temps qui jouera en ta faveur si tu montres de la patience envers lui. Fais aussi confiance aux petits détails de la vie car c’est à travers eux que bien souvent la vie reçoit toute sa lumière et sa force.

 

Ce n’est jamais perdre ton temps que d’en prendre pour parler aux gens, les écouter et pour de vrai… aimer. Pourquoi être si pressé ?

 

Oui, pratique ton sourire, le vrai, celui qui vient de ton cœur. Il illumine la nuit des gens ; il réchauffe les cœurs froids ; il transforme les attitudes ; il fait naître l’espérance et le goût de vivre !

 

On ne peut résister au vrai sourire de ton cœur !

 

Tu apprends beaucoup quand tu sais écouter, regarder et toucher les personnes ; même celles qui te semblent plus démunies. C’est du temps gagné pour semer la tendresse et l’amour !

 

Garde aussi pour toi de précieux temps de solitude pour calmer les vagues sur le lac de ton âme, et surtout pour entendre les musiques qui chantent au fond de ton cœur. Ainsi, tu te connaîtras et tu entreras dans le pays de la paix et de l’équilibre. Là seulement, tu découvriras le chemin qui mène au cœur des autres.

 

Chaque personne garde bien précieusement un secret dans son cœur. C’est une intimité de droit inviolable ! Seul l’amour peut en décider la révélation en temps opportun.

 

Les grandes blessures d’angoisse, de rejet et de dépréciation personnelle ne se cicatrisent qu’avec le temps et beaucoup d’amour ! Le temps et l’amour font renaître la confiance !

 

La nature t’apprend beaucoup aussi quand tu sais la regarder, l’écouter et la toucher. Voilà un savoir aimer.

 

Ce n’est pas gaspiller de ton temps aussi que d’en perdre pour écouter siffler le vent, pour marcher dans les feuilles mortes de l’automne et t’y enrouler comme le font les enfants et pour regarder tomber la pluie et la neige toute blanche.

 

C’est beau, c’est sain, c’est pur ; ça aide à vivre que de marcher tout doucement dans la nature et d’admirer les fleurs des champs, les oiseaux, les nuages, le ciel et la vie !

 

Eh bien, toutes ces pensées que tu viens de lire, crois-moi, elles renferment des trésors importants et des valeurs essentielles pour ta vie de chaque jour.

 

Il y a du bonheur dans ton cœur et dans ta vie ! Regarde bien autour de toi ! Le bonheur te donne rendez-vous ! Choisis d'aimer avec le sourire de ton cœur.

 

http://www.lapetitedouceur.org/article-31367938.html

 

 

 

 

 

 

 

Valeurs essentielles

 

 

 

« Méditation Pour la Paix ».

 

« Vous ne pouvez appréhender l’Infini que par la Méditation, faculté supérieure à la raison, en parvenant à un état dans lequel vous n’êtes plus un individu limité, dans lequel la Divine Essence vous est communiquée ?

C’est l’Extase ; c’est l’état ou vous êtes libéré de votre conscience finie… ».
 

Plotin

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  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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