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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 08:32
L’instant présent

 

 

Que c'est beau et doux, juste là, maintenant, cet instant présent. D'instant en instant, le présent se manifeste et je m'émerveille de ressentir cela, de ressentir la vie qui m'anime et m'autorise à participer à la belle aventure faisant partie de la création tout entière, de l'univers et des étoiles.

 

 

Le passé s'efface, à chaque instant il se dissout, laissant sa marque dans nos différents corps sous forme de souvenirs, d'émotions et d'expériences vécues. Le futur n'existe que sous la forme d'une projection de notre pensée présente. Tout ce que vous faites, vous le faites dans le présent.

 

 

Tout ce que vous pensez, vous le pensez dans le présent. L'instant présent c'est comme de marcher de pierre en pierre pour traverser le grand fleuve de la vie. Il n'y a que la pierre où l'on a posé son pied qui est vraiment réelle et qui nous porte. Celles qui sont derrière nous, sont déjà sous l'eau et celles qui sont devant, n'ont pas encore émergé.

 

 

La vie est magique, le merveilleux c'est de voir cela à chaque instant. Bien souvent on se surprend à s'évader dans le monde de la pensée pour rêver à d'autres cieux, à d'autres mondes ou à un monde meilleur, au passé ou au futur, mais le merveilleux c'est ce qui se déroule à l'instant à l'intérieur de chacun et autour de nous, car c'est en ce moment même que la vie se crée et se déploie en silence.

 

Etre un avec la vie, c'est aller avec elle, être totalement présent avec ce qu'elle nous offre à l'instant. La vie est mouvement, rien n'est statique, tout est en constante évolution et en perpétuel changement, c'est à nous d'aller au rythme de la vie et d'accompagner les changements, sans craintes ni impatience, les changements se feront de toutes façons, c'est inéluctable. Soyons confiants car c'est de cette façon que l'on attire vers soi le meilleur.

 

Soyons doux et bienveillants envers nous-mêmes et envers les autres. Soyons patients.

 

Parfois nous rencontrons des difficultés, la vie devient difficile et nous pouvons nous sentir accablés par des obstacles qui se présentent devant nous. Nous pouvons nous sentir démotivés et ressentir la tristesse faire monter les larmes mais à l'intérieur de chacune de ces larmes réside une perle qui est comme un joyau.

 

Une théorie à été développée par des chercheurs ayant étudié le cerveau, il s'agit de la théorie du regard. Cette théorie met en lumière le fonctionnement du cerveau lorsque nous conduisons une voiture. Nous sommes sur la route et un obstacle se présente devant nous, si nous regardons uniquement l'obstacle alors le cerveau transmet toutes les informations nécessaires à notre corps pour nous conduire tout droit vers l'obstacle.

Par contre si notre regard se porte là où nous souhaitons passer, le cerveau met tout en œuvre afin que nos gestes soient le mieux adaptés pour nous y conduire en évitant l'obstacle. Pouvons-nous adapter cette théorie du regard sur notre vie ?

Pouvons-nous dans ce cas imaginer que ce soit le Grand Cerveau de l'Univers qui mette tout en œuvre afin de guider nos pas vers la vie que nous rêvons ? Chaque être humain possède des trésors en grand nombre qui ne demandent qu'à se révéler, il ne tient qu'à nous de poser notre regard sur ce vers quoi nous souhaitons véritablement aller.

 

La plupart d'entre-nous traversons la vie comme des somnambules, certains réalisent qu'ils sont en train de rêver et d'autres reçoivent un choc et se réveillent.

Parfois nous prenons la voiture et arrivés à destination nous réalisons que nous ne nous sommes pas rendu compte du trajet, nous n'avons pas vu le temps passer et encore moins le paysage. Nous avons voyagé comme des somnambules et il en est de même pour notre vie.

 

A chaque fois que vous remarquez cela, que vous remarquez que vous êtes absent de "l'ici et maintenant", ramenez votre attention sur le présent car c'est dans cet infime segment du temps que vous vivez.

 

Texte de Totem –

www.eternelpresent.ch

L’instant présent
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12 juin 2015 5 12 /06 /juin /2015 20:42
Quand ça remue dans l'Aura…

 

 

 

 

Que se passe t-il lorsque le souffle subtil de la Rose+Croix se heurte au libre-arbitre de la volonté de ceux qui ne sont pas encore prêts à adhérer à la démarche d'investigation des Rosicruciens?

 

 

Parfois il n'y a rien de visible...

 

 

Un travail intérieur peut se poursuivre, comme si l'aura recevait une influence détergente qui tôt ou tard faciliterait un éveil mystique ou la prise de ces décisions éclairées qui changent la vie.

 

 

Mais parfois l'ego occupe trop de place...

 

 

Certes, le chercheur qui n'éprouve pas suffisamment l'envie de dissoudre son ego peut adhérer à certains idéaux inspirés du rosicrucianisme.

 

 

Mais il peut être tenté de le faire sans grand discernement en adhérant à tout ce qui lui est présenté sous une étiquette rosicrucienne.

 

 

S'il se soumet sans tout comprendre, il devient alors ce que les rosicruciens d'autrefois nommaient un "mimus", c'est à dire quelqu'un qui a tendance à mimer ce ou celui qu'il considère comme rosicrucien.

 

 

Naturellement les Rosicruciens avancés se gardent bien d'entretenir autour d'eux une cour de "mimus"...

 

 

Tout au contraire, avec bienveillance, ils font en sorte de soulever des cas particuliers obligeant les "mimus" à abandonner leur comportement stéréotypé pour les pousser à exprimer davantage de sincérité dans la recherche d'une écoute de leur Être intérieur.

 

 

Mais parfois l'ego du "mimus" ne supporte pas la remise en question.

 

 

Refusant égotiquement la démarche d'investigation (investigo = non vêtu) et fuyant l'action détergente (détergerer = frotter nettoyer) il devient un "momus"...

 

 

Le "momus" est rebelle.

 

 

Il a une aura bien particulière qui véhicule des charges agressives et, lorsque le vent rosicrucien ne souffle pas d'une manière suffisamment puissante pour évacuer ces charges, celles-ci se trouves activées et le "momus" s'exprime en devenant un adversaire qui critique et rejette tout.

 

Mais chacun possède sa place...

 

Le "momus" qui est sous influence "sethienne" (de Seth, l'adversaire indispensable d'Osiris) contribue involontairement à l'œuvre rosicrucienne...

 

 

Les rosicruciens représentent Seth par le gardien extérieur du Temple, celui qui teste les profanes (de profanum = devant le temple), et maintient les "étrangers" à l'extérieur.

 

 

Les égyptiens nommaient d'ailleurs Seth le Dieu des étrangers...

 

 

 

 

 

http://www.lebistrotdelarosecroix.com/article-rehabilitons-les-insultes-rosicruciennes-du-17eme-siecle-84708092.html

 

 

 

 

 

Quand ça remue dans l'Aura…
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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 08:48
A propos de l’argent

 

 

Depuis l’époque très lointaine où il troquait un bien contre un autre, une marchandise contre une autre, un service contre un autre, l’homme a inventé une monnaie d’échange que l’on assimile de nos jours encore à l’argent. Comme chacun sait, il se présente dans la plupart des pays du monde sous la forme de billets et de pièces, auxquels on attribue des valeurs qui fluctuent en fonction des circonstances politico-économiques et du “marché”. Cette invention fut une nécessité, car le troc atteignit rapidement ses limites et n’était pas toujours équitable. Très tôt dans l’histoire humaine, il a donc fallu créer un système n’ayant dans l’absolu aucune limite et garantissant en théorie une certaine équité.

 

 

 

Le temps a passé depuis l’invention de l’argent, mais l’homme a rapidement perverti l’usage idéal qu’il aurait dû en faire. Conçu à l’origine pour servir de monnaie d’échange, il s’est transformé en une marchandise que l’on s’est employé à accumuler en tant que telle, de sorte que son acquisition est devenue une fin en soi, au mépris des valeurs éthiques les plus élémentaires. Le «bon serviteur» qu’il aurait dû être s’est bien vite transformé en «mauvais maître», au point de révéler avec de plus en plus d’acuité deux faiblesses majeures de la nature humaine : l’avidité et la cupidité. De nos jours, tout laisse à penser que ces deux faiblesses ont atteint leur paroxysme dans les sociétés modernes.

 

 

 

La question qui se pose est de savoir pourquoi l’homme en général est si avide et si cupide. Cela revient à se demander pourquoi il veut toujours plus d’argent et de biens, au-delà même de ce qui lui est nécessaire pour vivre confortablement sur le plan matériel : la peur de manquer ? le besoin de posséder ? le désir de dominer ? Il est difficile de savoir ce qu’il en est vraiment, mais ce qui est certain, c’est que cette attitude ne le rend généralement pas heureux, ou alors pas longtemps et pas pleinement, d’où l’adage populaire : «L’argent ne fait pas le bonheur». Cela étant, on ne peut nier qu’il y contribue activement, car il est une nécessité pour mener une vie ne serait-ce que “normale”.

 

 

 

Comme vous le savez, nombre de religions prônent la pauvreté, car elles considèrent que la richesse corrompt l’âme humaine et l’éloigne de Dieu. D’un point de vue rosicrucien, une telle approche de la spiritualité n’est pas fondée. Penser cela reviendrait à dire que le fait d’être pauvre rend plus spirituel, ce qui n’est pas le cas. Certes, c’est avant tout la richesse intérieure qu’il faut rechercher, mais une telle quête peut être menée sans pour autant mépriser l’argent. Ce qui importe dans ce domaine, c’est la manière dont on l’obtient et l’usage que l’on en fait. Quiconque en “gagne” malhonnêtement ou au détriment d’autrui avilit effectivement son âme. Il en est de même de quiconque l’emploie à des fins immorales ou négatives. Mais s’il est obtenu honnêtement et utilisé d’une manière positive, il permet à celui qui en possède d’être heureux et de rendre les autres heureux, ce que Dieu, quelle que soit l’idée que l’on s’en fait, ne peut qu’approuver.

 

 

 

Que faire pour que les hommes soient moins avides et moins cupides ? Je ne vois qu’une solution : leur expliquer dès le plus jeune âge que ce n’est pas dans les possessions matérielles qu’ils trouveront le bonheur, et que devenir riche n’est pas un but en soi. Cela pose tout le problème de l’éducation. Malheureusement, la société actuelle a élevé l’argent au rang de divinité et en a quasiment fait un objet de culte. Dans certains pays, il existe même des écoles où l’on apprend aux enfants à l’aimer au plus haut point et à en faire le compagnon de leur vie. Sans aller jusqu’à cet extrême, on ne peut nier que l’argent occupe une place de plus en plus importante dans les conversations courantes, les débats publics, les jeux télévisés, le sport, etc. En ce qui me concerne, je le regrette profondément.

 

 

Serge Toussaint Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-argent/

A propos de l’argent

 

 

CITATIONS

 

«Vous voulez vous sentir libre?

 

Travaillez à ennoblir vos pensées et vos sentiments,

 

car la véritable liberté est la liberté intérieure.

 

Il est évidemment souhaitable d’être libre aussi

 

de ses mouvements sur le plan physique,

 

mais considérez que cette liberté-là est secondaire.

 

La seule liberté à laquelle il vaut la peine d’aspirer est la liberté intérieure.»

 

– Omraam Mikhaël Aïvanhov

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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 08:38
«Je baignais dans le chagrin…»

 

 

 

 

 

Il y a peu de temps, j’ai vécu une période difficile : ma fille, qui a toujours eu le triste talent de faire souffrir son entourage, m’a fait subir une machination qui m’a bouleversée, lors d’un séjour chez elle. Ce n’était pas la première fois, mais disons que cette fois-ci, elle avait fait fort. J’étais déchirée, écœurée, démunie.

 

 

 

De retour chez moi, j’ai vécu une situation à laquelle je ne m’attendais pas : chaque matin, dès mon réveil, je baignais dans le chagrin. Un chagrin bien installé, comme s’il s’était invité à mon insu. Tout ce qui me rendait heureuse en me levant, tous mes bonheurs quotidiens se sont colorés de tristesse. Même si je ne pleurais pas physiquement, j’avais l’impression de voir le monde à travers des lunettes de larmes. Le chagrin inondait chaque recoin de mon être, chaque petite pièce de ma maison intérieure. Comme une rivière qui sort de son lit.

 

 

 

Ce n’était pas tenable, j’allais m’y noyer. Je me suis demandé : comment cohabiter avec ce chagrin qui s’invite partout, dans chacune de mes actions?

 

 

 

Je me suis mise à penser à mon chagrin comme on penserait à une personne. Il était comme une sorte d’invité. Un invité un peu envahissant, certes, mais un invité quand même, digne de respect. Alors j’ai ressenti de l’amour pour ce chagrin, et j’ai voulu en prendre soin, pour lui et pour moi. Une idée m’est venue : pour que mon «invité» et moi puissions cohabiter en bon «voisinage», il fallait que je lui aménage une pièce dans ma maison intérieure. Une pièce rien qu’à lui, une pièce dans laquelle il se sent bien.

 

 

 

Cette pièce, je l’ai appelée : «la chapelle à chagrin». Le mot «chapelle» était important; il n’était pas question de reléguer mon chagrin à la cave ni aux oubliettes. Non, il n’était pas question de l’oublier ou de l’enterrer, mais de le visiter, de l’honorer, quand je m’en sentais l’envie et la force. Il lui fallait donc un lieu ravissant, un lieu accueillant où je pouvais venir pleurer en sa compagnie. J’ai imaginé la chapelle petite et ronde, en pierres blanches, avec des hortensias bleus à l’entrée. C’était coquet :-) J’ai dit à mon chagrin : «Bienvenue chez toi!».

 

 

 

J’ai respecté mon engagement. Régulièrement, je suis allée le visiter. Régulièrement, je suis allée lui rendre hommage en «déposant» un hortensia bleu sur l’autel. Régulièrement, je me rendais dans cet endroit intérieur, où j’avais érigé cette chapelle, et je pleurais ce que j’avais besoin de pleurer. Puis, je «refermais la porte» de l’édifice, et je m’en retournais à ma vie.

 

 

 

Au bout de quelques mois, eh bien, il s’est passé quelque chose d’incroyable : j’ai senti le chagrin s’en aller de mon cœur comme une mer qui se retire. Il s'était installé chez lui, dans la chapelle. Les lunettes de larmes sont tombées. Et j’ai pu reprendre ma vie normalement. Vivre à nouveau des matins heureux, remplis de chants d’oiseaux, des matins aux odeurs de café et de pain grillé.

 

 

:-) Depuis, la chapelle est vide. Mais il me plaît de savoir que j’ai en moi un lieu sacré où je peux accueillir les bouleversements de la vie avec toute l’attention qu’ils méritent, tout en me protégeant de leurs éclats.

 

Ludivine, France

 

http://matinmagique.com/miracles.html

 

 

 

 

«Je baignais dans le chagrin…»

 

 

CITATION

 

 

«Parfois, ne pas obtenir ce qu'on désire est

 

un merveilleux coup de chance.» 

 

Dalaï-Lama

 

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 08:51
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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 22:40
Le simple art de bénir+ vidéo  Nicole Charest

 

 

 

C’était en avril 2001. Alors que je me dirigeais vers le comptoir-caisse de la librairie où je fouinais depuis déjà une bonne heure, mon regard fut attiré par le titre d’un livre se trouvant sur un petit présentoir : Le pouvoir de la bénédiction. Je m’empressai de le feuilleter sans toutefois prendre la décision de l’acheter. Après tout, j’en avais déjà 3 en mains. Toutefois, rendue à mon auto, j’entendais toujours cette petite voix dans ma tête qui me disait : « Humm, tu vas le regretter… ».

 

Sachant à quel point cette voix peut devenir harcelante, je m’empressai de retourner à la librairie et achetai ledit livre. Je n’ai jamais regretté une seconde d’avoir obéi à cette voix qui, en fait, n’était rien d’autre que celle de mon intuition profonde.

 

 

Qu’est-ce au juste que cet art de la bénédiction? Outre le fait d'être un outil pratico-pratique qui permet, entre autres, de nous apaiser, de nous libérer, de transcender notre impuissance, de renouer avec notre force intérieure, de dissoudre nos problèmes, de changer le cours des choses; la bénédiction est un mode de vie qui génère en nous une nouvelle façon d'être, de penser et d'agir.

 

 

http://www.lapetitedouceur.org/2016/03/le-simple-art-de-benir-9.html#Nicole2

 

 

 

 

 

 

CITATION

 

«S'il nous est difficile de trouver le bonheur en nous,

 

il est impossible de le trouver ailleurs.»

 

« Agnes Repplier»

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18 mai 2015 1 18 /05 /mai /2015 19:15
A propos de la liberté

 

 

 

 

Après la santé, la liberté est considérée par la plupart des gens comme la condition la plus essentielle au bonheur, et ce, dans tous les pays du monde. Il est un fait que les hommes ont toujours cherché à la préserver lorsqu’ils l’avaient, et à l’acquérir lorsqu’ils ne l’avaient pas. Pour y parvenir, nombre de personnes ont sacrifié leur vie, et nombre de peuples se sont révoltés au prix du sang. En cela, la liberté est à la fois un archétype, un idéal et un besoin vital pour le genre humain.

 

 

 

Certains considèrent que l’homme est libre par nature. Cette idée est séduisante a priori, mais je pense qu’elle ne correspond pas à la réalité. En effet, de la naissance à l’adolescence, et même au-delà, un enfant dépend de ses parents, subit son milieu socio-culturel, doit aller à l’école, etc., de sorte que sa liberté est nécessairement limitée. Devenu adulte, il ne peut vivre correctement sans disposer d’un minimum d’argent et de confort matériel, et doit se soumettre aux lois de la société. Et ne serait-ce que sur un plan physiologique, il doit manger et boire pour survivre. Autant de contraintes et d’exigences qui font qu’aucun être humain n’est entièrement libre.

 

 

 

Si l’homme n’est pas libre par nature, il a un penchant naturel à l’être autant que possible. Cette aspiration est si forte en lui qu’il ne s’est jamais résigné à être privé de liberté et qu’il en a fait un droit social. Dans les sociétés démocratiques, ce droit est devenu constitutionnel, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il soit toujours respecté. Quoi qu’il en soit, nombre d’individus ont le sentiment de ne pas être libres. Pourquoi ? Parce que la liberté ne saurait se limiter à un droit. C’est aussi et peut-être surtout un état d’esprit.

 

 

 

Étant donné que l’homme est un être qui pense, parle et agit, la liberté à laquelle il aspire s’applique à trois niveaux majeurs : la pensée, la parole et l’action. La première est un acquis “naturel”, en ce sens qu’il est quasiment impossible d’empêcher quelqu’un de penser. Pour ce qui est de la liberté de parole, nous l’utilisons chaque jour lorsque nous disons ce que nous pensons aux personnes que nous côtoyons. À un niveau plus “officiel”, elle s’apparente à la «liberté d’expression». Quant à la liberté d’action, elle est à la mesure de ce que nous en faisons chaque jour et, selon l’adage bien connu, «s’arrête (en principe) où commence celle des autres».

 

 

 

On ne peut parler de liberté sans évoquer le libre arbitre. Si la première est essentiellement un droit social, le second est une faculté, celle qui permet à tout individu de faire des choix et d’orienter son existence. D’un point de vue rosicrucien, cette faculté est un attribut de l’âme et constitue le fondement de notre évolution spirituelle. C’est ainsi que tout être humain est confronté chaque jour à la nécessité de penser, de parler et d’agir en conscience, et c’est en le faisant qu’il conditionne à la fois sa vie et son destin.

 

 

 

Serge Toussaint Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-liberte/

 

 

 

 

 

 

A propos de la liberté

 

 

 

 

 

Citation

 

«Tous les changements, même les plus souhaités,

 

ont leur mélancolie, car ce que nous quittons,

 

c'est une partie de nous-mêmes;

 

il faut mourir à une vie pour entrer dans une autre.»

 

Anatole France

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 08:05
On ne deviendra jamais …

 

 

On ne deviendra jamais la meilleure version de nous en écoutant la voix dans notre tête qui nous dit qu’on doit absolument s’améliorer. La partie de nous qui nous répète qu’on est défectueux, ou brisé n’est jamais celle qui nous aidera à nous réparer. Oh, elle prétend avoir notre évolution à cœur, bien sûr… mais c’est un piège.

Juste une autre façon de nous garder sous son emprise, de nous étouffer.

 

 

Comment pourrait-on prendre du mieux en confiant notre guérison à la partie de nous qui est souffrante? Comment pourrait-on grandir en confiant notre croissance à la partie de nous qui se croit si petite? C’est un non-sens. Ce serait comme remettre notre liberté entre les mains de notre gardien de prison.

 

 

La réalité est qu’on se déploie sous la lumière – tout comme les plantes! –, non pas dans la noirceur et l’oppression. On grandit en se connectant à la partie de nous infiniment pure et sacrée que rien ne peut briser ou diminuer. On guérit en pénétrant dans cet espace intérieur qui n’a et n’aura jamais besoin d’être guéri.

 

 

En fin de compte, on pourrait dire que plus on se libère de l’urgence de changer, plus on s’épanouit.

 

 

http://www.matinmagique.com

 

On ne deviendra jamais …

 

 

 «La liberté qui est en nous est plus forte

 

que les prisons à l'intérieur desquelles

 

nous sommes.»

 

 

Faraj Bayrakdar  

 

 

 

 

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10 mai 2015 7 10 /05 /mai /2015 17:47
La solution à tous les problèmes est à la portée de chacun, de tous et de toutes.

 

 

La solution à tous les problèmes est à la portée de chacun, de tous et de toutes. Pourquoi vivre dans les illusions des croyances, pourquoi vivre toutes ces blessures, toutes ces souffrances ? Je suis le sage qui t'apporte cette solution, il n'y a pas de plus grande richesse que celle-ci. Pourtant, as-tu cette ouverture dans ton âme et conscience pour comprendre les paroles du sage ?

 

 

N'avez-vous pas assez de souffrir ? Lâcher-prise de toutes ces croyances, de toutes ces illusions.

 

 

Quoi que vous fassiez, tout vous revient.

 

 

Tant et aussi longtemps que tu traînes les douleurs et souffrances du passé, tu portes en ton âme et conscience les blessures qui t'empêchent de renaître à nouveau. Seule une conscience éveillée peut renaître à nouveau car elle sait que tout est conscience. Accepte et accueille tout au nom de l'amour car tout fait parti de la même conscience. Ce qui empêche la conscience de l'âme de s'éveiller c'est de vivre dans les croyances, cela abaisse la vibration de l'être, qui le fait vivre dans les blessures. Il n'y a qu'un chemin pour renaître à nouveau, c'est d'aimer tout en toute conscience.

 

 

Auteur : Raphaël Juste Être/régis Violette

 

 

http://www.choix-realite.org/7533/la-solution-a-tous-les-problemes-est-a-la-portee-de-chacun-de-tous-et-de-toutes

 

 

La solution à tous les problèmes est à la portée de chacun, de tous et de toutes.

 

 

 

 

«Le présent n'est pas un passé en puissance,

 

il est le moment du choix et de l'action.»

 

Simone de Beauvoir

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5 mai 2015 2 05 /05 /mai /2015 19:28
«J'ai enfin dit OUI à mon âme…»

 

 

Chère âme, chère flamme divine en moi longtemps étouffée, je te demande pardon. Je suis désolée de t'avoir ignorée toutes ces années, rejetant mon incarnation ici sur Terre et te rejetant par le fait même. J'ai cessé de te célébrer et de te nourrir dès ma jeune adolescence, lorsque j'ai pris conscience de toutes les souffrances d'ici bas. Mes propres résistances et souffrances m'ont fait appréhender la Vie, ne trouvant ma place nulle part et appelant désespérément «à la maison». La joie n'a fait que de brefs passages et j'étais aveuglée par la grande noirceur de mes perceptions. La vie de mon enfance, qui avait un délicieux goût de miel et de velours m'est rapidement apparue âcre et acide. C'est vrai, j'ai très souvent eu cette impression bizarre de ne pas être sur la bonne planète, traînant avec moi une grande nostalgie et une tristesse au plus profond de mon cœur. Je ne croyais pas avoir ma place en ce monde et je me suis brisée à force d'essayer d'entrer dans les moules déjà existants.

 

 

Aujourd'hui, je comprends que mon moule n'existait pas. J'avais à le créer, à le sculpter selon mes désirs et aspirations pour devenir qui je suis vraiment : une artisane de paix (et puis, je suis devenue sculpteure sur pierres et bois de mer, à ma grande surprise!) À l'époque de plus grande noirceur, pendant laquelle j'ai jeté les gants sur mes batailles intérieures et extérieures, une étincelle de ta lumière a rejoint mon regard. Chère âme, tu te révèles à moi à travers la Vie, la nature, les gens qui m'entourent, qui m'aident et qui m'inspirent, ainsi qu'à travers les événements qui colorent mon chemin. Plus je lâche prise, plus tu chantes, tu ris, tu joues! Je t'aime, mon âme, souffle du Divin. Je t'invite à m'habiter complètement. Merci à ce merveilleux corps qui m'a été donné et que j'ai, d'une grande inconscience, maltraité pendant toutes ces années. Je désire t'honorer, te laisser t'exprimer dans toute ta splendeur et ta créativité, e t partager ta lumière et ton Amour au monde. Chers corps et âme, je désire désormais vous offrir douceurs, cadeaux et amour. Merci de m'inspirer à vous combler.

 

Merci d'être.

 

À moi de «faire» maintenant.

 

Alexandra Poulin Baie St-Paul, Canada

 

http://www.matinmagique.com

 

 

 

«J'ai enfin dit OUI à mon âme…»

 

 

Un exercice qui permettra de nombreux développements

 

L'exercice de la bougie est spécialement adapté et à conseiller à tous ceux qui éprouvent de la difficulté à calmer leur effervescence mentale.

 

Le principe consiste à allumer une bougie et à se concentrer dessus durant quelques minutes en confiant à la flamme toutes les pensées parasites.

 

L'exercice terminé on respectera la flamme en l'éteignant sans souffler dessus...

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