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10 mai 2017 3 10 /05 /mai /2017 21:39

 

 

 

 

 

Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est fréquent d’entendre dire que nous vivons dans un «état de droit», tout du moins dans les pays démocratiques. Par cette expression, on entend que ces pays sont régis par des lois qui permettent à chacun de saisir la justice et de faire valoir ses droits en tant que citoyen. Elle renvoie également à la «Déclaration des droits de l’homme et du citoyen», promulguée en France en 1789, mais très inspirée de la Déclaration de l’indépendance américaine de 1776. On attribue souvent cette Déclaration dite universelle à la Franc-Maçonnerie de l’époque, mais il s’agit en fait d’une œuvre collégiale à laquelle ont participé des penseurs et des philosophes dont beaucoup n’étaient pas Francs-Maçons.

 

 

Il est légitime, dans une société civilisée, que tout citoyen puisse, non seulement faire appel au droit en cas de nécessité, mais également bénéficier de droits sociaux. Les pays dans lesquels ce n’est pas le cas sont généralement des dictatures liberticides où les dirigeants usent et abusent du pouvoir, et où, au niveau du peuple, règne la “loi du plus fort”. De toute évidence, cette “loi” est l’antinomie du droit et la négation des droits. Et si la démocratie n’est pas exempte de faiblesses et de contradictions, elle demeure à ce jour la forme de gouvernement qui favorise le mieux l’égalité entre les citoyens et la défense de leurs intérêts les plus légitimes.

 

 

Si la notion de droit(s) est fondamentale dans la vie en société, il en est une autre qui l’est tout autant : celle de devoir(s). Or, il me semble évident que celle-ci est la grande absente du débat public et trouve très peu d’écho dans les comportements. Pourtant, si chacun s’acquittait de ses devoirs envers autrui et la société en général, il y aurait peu de droits à revendiquer, car les relations humaines seraient fondées sur le respect de chacun et sur la volonté de privilégier le bien commun. Pour qu’il en soit ainsi, il faudrait faire de l’éthique le fondement de la vie citoyenne, ce qui suppose un changement radical dans les mentalités.

 

 

D’un point de vue philosophique, la notion de devoir est plutôt fondée sur le «donner», en ce sens qu’elle exige de donner de soi-même au profit de l’autre. À titre d’exemple, se faire un devoir de respecter autrui implique de manifester à son égard le meilleur de nous-mêmes. La notion de droit, quant à elle, est plutôt fondée sur le «recevoir», dans la mesure où quiconque fait valoir tel ou tel droit attend de quelqu’un, d’une institution ou de la société que l’on réponde favorablement à sa demande. Une personne, par exemple, qui revendique le droit à être logée, le fait dans la perspective qu’on lui trouve un logement. Cela étant, «donner» et «recevoir» ne sont pas antinomiques, pas plus que ne le sont les droits et les devoirs.

 

 

 

L’idéal, dans une société véritablement civilisée, est de faire en sorte qu’il y ait un équilibre entre les droits et les devoirs de chacun. À son époque, Pythagore, considéré comme l’un des plus grands législateurs que la Grèce ait connus, le disait déjà. Dès lors que les citoyens en viennent davantage à revendiquer des droits qu’à s’acquitter de leurs devoirs, il en résulte un déséquilibre dans la société et une déliquescence des mœurs. De mon point de vue, le monde en est là aujourd’hui, ce qui explique en grande partie son état actuel. C’est d’ailleurs ce qui a incité les responsables de l’A.M.O.R.C. à publier en 2006 une «Déclaration des devoirs de l’Homme», parue à l’époque dans des journaux et des revues de premier plan.

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-des-droits-et-des-devoirs/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Le soleil connaît la recette du bonheur:

 

sans regarder si les gens en profitent ou non,

 

il continue de distribuer sa chaleur et sa lumière.»

 

-Mikhaël Aïvanhov-

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2017 4 27 /04 /avril /2017 20:54

 

 

 

 

Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans la mythologie grecque, Harmonie était la fille d’Arès, dieu de la guerre, et d’Aphrodite, déesse de l’amour, deux divinités de nature opposée. Elle épousa Cadmos, fondateur de Thèbes. On rapporte que les dieux assistèrent exceptionnellement au mariage de ce mortel et de cette déesse, et leur offrirent des cadeaux somptueux, dont une lyre en bois précieux à Cadmos, et un magnifique collier à Harmonie. Selon la légende, celui-ci lui fut dérobé et passa aux mains de multiples personnes, qui toutes connurent des destins tragiques. D’une manière allégorique, on peut voir en cela l’illustration du fait que celui ou celle qui rompt l’harmonie en subit tôt ou tard les conséquences, ce qui fait penser à la notion de karma.

 

 

Indépendamment de son origine étymologique, le mot «harmonie» est défini généralement comme «le rapport heureux entre les parties d’un tout (formes, couleurs, sons, rythmes, etc.), en particulier d’une œuvre artistique». Cette définition résume à elle seule ce que l’art devrait être à travers la sculpture, la peinture, la musique, etc. Or, force est de constater que nombre d’œuvres supposées artistiques ne le sont que de nom, tant elles révèlent une absence totale d’harmonie, au point même que certaines sont disharmonieuses, disgracieuses, discordantes, etc. Vu sous cet angle, l’art me semble indissociable de deux notions complémentaires : l’esthétique et la beauté.

 

 

Une autre définition du mot «harmonie» me paraît intéressante : «État des relations entre des personnes ou dans un groupe humain, qui résulte de l’accord des pensées, des sentiments, des volontés». En application de cette définition, l’absence totale d’harmonie se traduit alors par la discorde et tout ce qu’elle peut générer en termes d’oppositions, de conflits et même de guerres. Si l’on en juge par l’état actuel du monde, nous devons malheureusement reconnaître qu’il est bien loin d’être harmonieux et que les relations entre les individus, que ce soit d’ailleurs à l’intérieur d’un même pays ou entre pays différents, sont plutôt chaotiques. Mais restons confiants : au-delà des apparences, l’humanité évolue graduellement vers l’unité…

 

 

S’il est important de cultiver l’harmonie entre les individus, il est primordial également de la réaliser en nous-mêmes, et ce, sur les quatre plans de notre être : sur le plan physique, en accordant le soin voulu à notre santé ; sur le plan mental, en nous efforçant d’avoir de bonnes pensées ; sur le plan émotionnel, en nous évertuant à entretenir de beaux sentiments ; sur le plan spirituel, en œuvrant à l’évolution de notre âme et en prenant le temps de nous harmoniser régulièrement avec l’idée que nous nous faisons de Dieu. Ce n’est qu’en réalisant l’harmonie sur chacun de ces quatre plans que nous pouvons connaître la paix intérieure, la paix profonde si chère aux Rosicruciens.

 

 

Mais que serions-nous sans la nature ? Non seulement nous lui devons la vie, mais c’est en elle également que réside notre survie. En cela, elle est effectivement la mère de tous les êtres vivants qui peuplent notre planète, mais une mère à laquelle nous sommes liés tout au long de notre existence et dont nous dépendons au quotidien. À l’instar de l’univers, elle est régie par des lois dites naturelles, lesquelles sont fondamentalement constructives. Or, le bien-être auquel nous aspirons dépend également de notre aptitude à respecter ces lois et à vivre en harmonie avec elles. Cela suppose de les étudier, ce que font les membres de l’A.M.O.R.C. à travers l’enseignement qui leur est proposé.

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-harmonie/

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous pouvons être de véritables coopérateurs de l'Evolution.

 

En cela, la connaissance véritable est basée sur la tolérance réelle;

 

de la tolérance réelle vient la compréhension absolue;

 

de la compréhension absolue naît l'enthousiasme pour la paix,

 

qui éclaire et purifie.

 

Nicolas Roerich (1874-1947)

 

Peintre et écrivain.

 

 

 

 

 

 

 

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24 avril 2017 1 24 /04 /avril /2017 21:45

 

 

 

 

 

Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout d’abord, je dois préciser que l’A.M.O.R.C. est depuis toujours apolitique. C’est ce qui explique qu’il compte parmi ses membres des hommes et des femmes ayant des opinions politiques différentes, voire opposées. Dans un autre domaine, rappelons qu’il y a parmi les Rosicruciens des Chrétiens, des Juifs, des Bouddhistes, des Musulmans, etc., et même des personnes qui ne suivent aucune religion particulière. Les réflexions qui vont suivre n’engagent donc que mon point de vue personnel et n’ont rien de dogmatique ou de sectaire. Il faut plutôt les considérer comme une base de réflexion.

 

 

 

Par définition, la politique est l’art de gouverner un pays, une région ou une ville, en principe dans l’intérêt des citoyens. Dans les démocraties, ceux et celles qui assument cette tâche ont été élus directement ou indirectement dans leur fonction. Malheureusement, et comme chacun sait, nombre de pays à travers le monde ne sont pas démocratiques, de sorte que ceux qui exercent le pouvoir l’ont obtenu généralement par la force ou (et) la tricherie, et s’emploient à le conserver en utilisant les mêmes moyens. De toute évidence, ce n’est pas le bien de leurs concitoyens qui les préoccupe, mais l’assouvissement de leurs ambitions et de leurs intérêts personnels.

 

 

En l’état actuel du monde, la démocratie reste la meilleure forme de gouvernement. Cela ne veut pas dire pour autant que ce système est sans faille et sans faiblesse. Pour ma part, j’en vois trois principales :

 

1) Etant donné que la démocratie est fondée sur l’adhésion du peuple, elle favorise la démagogie chez ceux qui souhaitent gouverner.

 

2) Sous la pression des électeurs, on en vient à privilégier les droits au détriment des devoirs, ce qui finit par créer un déséquilibre préjudiciable à la vie sociale.

 

3) La démocratie étant fondée généralement sur deux partis majeurs qui s’opposent systématiquement, l’alternance venue, les uns s’emploient souvent à défaire ce que les autres avaient fait lorsqu’ils étaient au pouvoir.

 

 

De mon point de vue, la meilleure manière de gouverner ne se situe pas dans un seul parti politique à l’exclusion des autres, mais dans le meilleur de ce que chaque parti peut proposer au service du bien commun. En cela, j’adhère pleinement à ce qui est dit dans la «Positio Fraternitatis Rosae Crucis», Manifeste que l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix a publié en 2001 sur un plan mondial, à savoir :

 

«L’idéal en la matière serait pour chaque nation de favoriser l’émergence d’un gouvernement réunissant, toutes tendances confondues, les personnalités les plus aptes à diriger les affaires de l’Etat».

 

On peut penser qu’un tel gouvernement pluri-unitaire serait une source d’équité, d’efficacité et d’épanouissement pour la société.

 

 

Il me semble évident qu’aussi longtemps que les dirigeants et les responsables des divers partis politiques, notamment des deux qui font généralement l’alternance dans les démocraties, ne s’accorderont pas sur des solutions pour résoudre les problèmes majeurs qui se posent à la société (chômage, pouvoir d’achat, logement, délinquance, etc.), la population se divisera sur ces problèmes et rendra plus difficile encore leur résolution. Pour qu’elle soit vraiment efficace, il faudrait que la politique soit un vecteur d’union et non de division, ce qui suppose de privilégier la concertation, le dialogue et la recherche du consensus. Dans l’absolu, elle devrait être une expression de la philosophie, au sens littéral du terme, à savoir l’« amour de la sagesse ». Ainsi donc, les politiciens devraient s’évertuer à être sages dans leurs décisions, leurs propos et leur attitude…

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-politique/

 

 

 

 

 

 

 

 

PENSÉE DU JOUR

 

« S’il est indéniable que la religiosité a généré des conflits et des guerres au cours des siècles, elle a donné à l’humanité des valeurs morales et a contribué au développement des arts, de la littérature et même des sciences. À cet égard, on peut se poser la question de savoir comment le monde aurait évolué s’il s’était laissé guider uniquement par l’athéisme. »

 

Mysticisme rosicrucien

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 avril 2017 4 20 /04 /avril /2017 21:03

 

 

 

Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’usage d’Internet s’est généralisé et fait désormais partie des mœurs, à tel point que les jeunes générations auraient beaucoup de difficulté à s’en priver, à l’instar du téléphone portable. Il est un fait que son usage a “révolutionné” les rapports humains et que grâce à lui, la Terre est devenue un seul pays. De ce point de vue, il a contribué et contribue encore à la mondialisation des échanges entre les citoyens de tous pays, ce qui est un facteur de fraternité et de paix. On peut comprendre également l’engouement que suscitent les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, etc.

 

 

Si l’on ne peut nier qu’Internet est un moyen extraordinaire de communication, on peut néanmoins regretter que nombre de ses utilisateurs privilégient à travers lui les contacts virtuels au détriment des contacts réels. C’est ainsi que l’on échange beaucoup par écrans interposés avec des personnes qui résident à l’autre bout du monde, alors que l’on ne parle pas à son voisin de palier. Nous nous trouvons là devant un paradoxe : Internet rapproche les gens tout en déshumanisant la société. Il faut donc souhaiter qu’avec le temps nous en venions à utiliser cet outil avec sagesse, et qu’“internétiser” les relations humaines ne devienne pas un but en soi.

 

 

Par ailleurs, sans nier l’utilité que peuvent avoir les réseaux sociaux, on constate néanmoins que les relations établies sont souvent superficielles, artificielles et éphémères. Qui, dans la vraie vie, peut “revendiquer” des centaines ou des milliers d’amis ? On constate également que ces réseaux encouragent l’égotisme, l’exhibitionnisme et le voyeurisme. “Star system” oblige, nombre de personnes, notamment de jeunes, les utilisent pour attirer l’attention, trop souvent au mépris de toute dignité et de toute pudeur, étant entendu que leur prestation n’intéresse généralement que peu de monde.

 

 

Internet n’est pas uniquement un vecteur de communication ; il permet également d’accéder à une multitude d’informations “culturelles” sur nombre de sujets divers et variés. Mais là encore, il y a un “bémol”, car la profusion de données crée la dispersion et la confusion. Par ailleurs, elle n’est pas un critère d’objectivité et de véracité. C’est pourquoi la prudence et le discernement s’imposent à l’égard de la “culture en ligne”, d’autant qu’elle est très orientée sur certains sites et manque parfois pour ne pas dire souvent d’objectivité.

 

 

Une chose est certaine en ce qui concerne Internet : il reflète l’état de la société et du monde en général, dans ce qu’ils ont de pire et de meilleur. Plus les consciences évolueront, plus le contenu de la “toile” et l’usage que la majorité des gens en fera traduiront des idéaux éthiques, culturels, sociaux, politiques, économiques, etc., conformes à ce qu’il y a de plus noble dans la nature humaine. D’un autre côté, Internet est un bon moyen pour contribuer à cette évolution, tant sur un plan individuel que collectif. C’est précisément ce que les Rosicruciens et autres s’efforcent de faire à travers leurs divers sites internet.

 

À vous d’en juger…

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-d-internet/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 avril 2017 1 17 /04 /avril /2017 20:37

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

Le regret est l’un des pires sentiments que nous puissions éprouver. Il nous indique que nous nous sentons coupables d’avoir fait quelque chose dont nous ne sommes pas fiers, ou de ne pas avoir fait quelque chose qui nous semble important aujourd’hui.

 

 

Mais puisque la Vie est parfaite, puisque tout est parfait, puisque la Vie sait toujours mieux que nous ce dont nous avons besoin, alors aucun regret n’est sain.

 

Ce que nous considérons comme des erreurs sont des apprentissages de grande importance pour notre évolution. Ce que nous appelons nos rendez-vous manqués sont des détours de notre destin pour nous éviter des souffrances additionnelles. Ce que nous considérons comme des erreurs de parcours sont des chemins de traverses qu’il nous fallait prendre pour que nous apprenions quelque chose d’important.

 

 

 

La fin d’une relation, un choix qui ne s’est pas fait au moment opportun, ou une option qui nous semble néfaste, tout nous sert, rien ne se perd, chaque chose, chaque pas, chaque décision fait partie de nous, sert à nous construire et non à nous détruire.

 

 

Tout ce que nous disons, faisons, décidons, constituent des étapes importantes de NOTRE cheminement. Peut-être qu’aux yeux des autres, nous semblons faire des erreurs, mais à la vue du grand Tout, chacune de ces étapes est essentielle pour notre propre évolution.

 

 

 

Il en est de même pour chacun d’entre nous. Alors il est temps de cesser de juger les autres sur leurs choix, leurs gestes, leurs décisions car nous ne savons rien de ce dont ils ont besoin pour évoluer sur leur chemin.

 

Peu importe ce que nous considérons comme des égarements, chaque pas de chaque personne lui est utile dans son propre cheminement.

 

 

Comprenez-vous alors pourquoi nous ne pouvons juger PERSONNE à partir de ses faits et gestes? Nous ne savons rien de la vie des autres ni de leur défis dans cette Vie. À peine savons-nous- ce dont nous avons-nous-même besoin de vive comme expériences pour grandir!

 

 

 

Alors ne jugeons personne, ne commentons personne. Ne nous jugeons pas et ne nous faisons aucun reproche.

 

Aucun regret n’est utile, car tout ce que nous vivons sert notre évolution.

 

 

Nous ne comprenons peut-être pas aujourd’hui ce pour quoi nous vivons une situation donnée, mais accueillons au fond de notre cœur que nous avons besoin de vivre cette situation pour pouvoir grandir et passer à la prochaine étape.

 

 

Rien n’est vain. Tout nous sert. Aucun regret n’a sa raison d’être.

 

Tout est parfait!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 21:01

 

 

 

 

 

Votre webmestre, Micheline

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre webmestre, Micheline .

 

 

 

 

 

Bonjour à toi qui est présent(e) sur mon blog.

 

 

 

Même si la température nous boude, la nature,

 

elle, suit son chemin.

 

 

Le printemps est là et Pâques

 

Pâques, fête du renouveau.

 

Pâques, fête de la résurrection.

 

Pâques, la plus grande fête.

 

Pâques, victoire de la vie sur la mort.

 

 

 

 

 

 

 

Chrétiens ou non-chrétiens

 

Pratiquants ou non-pratiquants

 

Tous connaissent cette fête

 

qu'on associe avec la venue du beau temps.

 

 

 

 

Qu'on se rappelle à l'époque des chapeaux...

 

c'est avec fierté

 

qu'on étrennait notre chapeau de paille.

 

 

 

Aujourd'hui, on pense bien plus à profiter des ventes pour

 

acheter notre manteau ou notre chapeau de fourrure

 

pour l'hiver prochain.

 

 

 

 

 

 

 

 

Je prends quelques minutes pour te souhaiter

 

une belle fête de Pâques

 

dans l'amour avec les tiens.

 

 

 

 

http://www.frizou.org

 

 

 

 

 

 

Clic sur ce lien ci-dessous pour ouvrir la vidéo.

 

http://www.joliecarte.com/cartes/4760/carte-virtuelle-paques

 

 

 

 

 

 

 

 

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10 avril 2017 1 10 /04 /avril /2017 21:17

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Souvent - trop souvent il nous semble! – la Vie ne va pas dans le sens où nous voudrions qu’elle tende! La plupart du temps, lorsque nous déterminons une destination que nous voulons atteindre, nous aimerions déjà y être rendus! Il nous semble donc que tout ce qui « arrive » entre le moment de notre décision et notre arrivée à destination ne se passe pas assez vite ni autant en ligne droite que nous le souhaiterions!

 

 

 

Nous pouvons croire que tous les détours que la Vie met sur notre chemin nous ralentissent, nous « détournent » justement de notre but ultime, de la réalisation de notre rêve, de ce que nous voulons réaliser.

 

Et pourtant, on finit par comprendre un jour que CHAQUE DÉTOUR A SON UTILITÉ !

 

 

 

Chaque détour de la Vie, ou ce que nous estimons être un détour, nous aide à mieux nous préparer pour l’étape suivante, que ce soit l’arrivée ultime ou une autre escale sur notre chemin.

 

 

 

Chaque détour, chaque imprévu, chaque ralentissement n’arrive pas par hasard mais se produit pour que nous mûrissions, pour que nous cheminions (quel verbe approprié, quand même!) pour que nous nous préparions plus adéquate aux autres étapes qui suivront.

 

 

 

Si nous nous retournons vers notre passé l’espace d’un instant, nous pourrons constater que chaque détour que nous avons perçu comme tel constituait en soi une étape nécessaire à franchir pour que nous apprenions quelque chose d’important qui nous a permis de gravir la prochaine marche de l’escalier de notre évolution.

 

 

 

Ne maugréons donc pas contre les détours qui apparaissent sur notre route, n’y résistons pas, car chacun a son utilité. : Celle de nous préparer à être plus forts, plus solides, plus matures, plus ouverts ou plus aimants face à l’étape subséquente qui nous attend.

 

Rien n’est inutile, rien n’est vain : tout nous sert, tout sert notre évolution! Même les détours !

 

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 avril 2017 4 06 /04 /avril /2017 19:11

 

 

 

Texte de Raphaël Juste Être-Amour/Régis Violette

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il faut comprendre que l'âme est descendue en l'homme pour y apporter la lumière. Il a dû confronter les ténèbres, ces basses vibrations pour permettre aux autres plans de conscience d'évoluer, d'atteindre d'autres niveaux de conscience. Alors les âmes au service de la lumière entreprennent la descente dans la matière pour y instaurer la lumière. Ce qui provoqua des blessures de l'âme car l'homme avait à confronter les ténèbres.

 

 

 

Alors est né les croyances, les légendes dans lesquelles les hommes s'abreuvaient. En ce jour de grande transformation, en cette Ère du Verseau, l'homme est parvenu à se libérer des légendes, des croyances dans lesquelles se trouvaient les blessures de l'âme. Ne s'identifiant plus à toutes ces illusions, à toutes ces croyances, l'homme nouveau, libre de toutes blessures parvient à illuminer ce monde, cet univers, cet espace-temps de la lumière de l'amour. De plus en plus d'hommes, d'êtres vivent cet éveil.

 

 

Je suis bien heureux d'être cet éveilleur de conscience, ce guérisseur de l'âme. Le temps est venu, à toi de prendre ton envol, te libérer des croyances et des blessures, c'est ainsi que tu retrouveras tes ailes, toi, ange de lumière. Rejoins les rangs célestes, ne vois-tu pas qu'il y a encore plusieurs âmes qui attendent ce grand moment, de se libérer de leurs chaînes de croyances, de se guérir des plaies de leurs blessures ?

 

 

Chuchote en leur âme et conscience, la lumière de l'amour, la mélodie du bonheur, de la paix céleste, du ciel à la terre pour qu'ils puissent se libérer des illusions des croyances, qu'ils ressentent la guérison instantanée de leurs blessures. Lève-toi mon frère, ma sœur, je connais ton âme, elle est faite de lumière et non des ténèbres. Sers-toi de tes ailes et rejoins-nous dans ces retrouvailles, le temps est venu d'éclairer toutes les ombres en lumière.

 

 

http://www.choix-realite.org/7577/ne-vous-en-prenez-pas-a-lhomme-vehicule-de-lame

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 avril 2017 1 03 /04 /avril /2017 19:46

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour être heureux dans la vie, il faut avoir le courage d’être parfois haï.

 

 

C’est souvent difficile d’accepter d’avoir le mauvais rôle dans certaines situations, mais ça arrive inévitablement si nous nous respectons assez nous-mêmes pour ne pas tolérer ce qui va à l’encontre de nos valeurs, de ce que nous sommes profondément.

 

 

Quand nous cessons de vouloir plaire à tout le monde, évidemment nous pouvons déplaire à certains. Peut-être même certains nous en voudront-ils de ne plus marcher dans les voies qu’ils nous avaient tracées. Nous serons sans doute critiqués, jugés, accusés même de choses fausses, mais au moins, nous nous serons respectés.

 

 

Quand nous cessons de vouloir être aimés par tout le monde, nous commençons à découvrir ce qui est vraiment bon pour nous. Nous commençons à nous reconnaître, à nous accorder le droit d’être nous-mêmes, enfin.

 

 

L’estime de soi ne se développe pas en faisant toujours passer les autres en premier. Nous apprenons à nous aimer le jour où nous acceptons enfin de nous respecter, de répondre nous-mêmes à nos propres besoins et de prendre soin de nous sans nous sentir coupables.

 

 

Il faut accepter d’avoir parfois le mauvais rôle aux yeux de certains pour avoir le bon rôle dans notre propre vie.

 

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 19:02

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cours de ces dernières décennies, la «théorie du complot» n’a cessé de se développer à travers les réseaux sociaux et fait de nos jours des millions d’adaptes à travers le monde. D’une manière générale, cette théorie, devenue une vérité pour ceux et celles qui y croient, laisse entendre qu’il existe des groupes d’individus qui s’emploient à orienter la marche du monde au moyen de pressions et d’actions diverses, au besoin en ayant recours à des actes criminels : enlèvements, assassinats, attentats, sans parler de l’usage pervers qu’ils feraient de l’intimidation, du chantage et autres formes de manipulation.

 

 

 

La théorie du complot est particulièrement influente chez les personnes qui ont tendance à chercher des boucs émissaires pour expliquer l’origine des difficultés sociales, économiques ou autres auxquelles elles sont confrontées dans leur existence. Dans un passé relativement récent, certains ont fait du complot judéo-maçonnique, c’est-à-dire fomenté par des Juifs francs-maçons (ou par des Francs-Maçons juifs) la cause de tous leurs maux. Malheureusement, il y a toujours des esprits faibles et manipulables qui se laissent convaincre par ce genre de rumeurs lancées le plus souvent par quelques individus ayant un intérêt à le faire et qui, en fait, sont les vrais comploteurs.

 

 

Personnellement, je n’ai jamais cru à la théorie du complot. Certes, il y a des groupes d’individus qui utilisent des réseaux et font du lobbying pour défendre leurs intérêts. C’est une pratique qui existe dans tous les secteurs de la société : politique, économique, technologique, scientifique, artistique, religieux, sportif, etc. On peut le regretter, mais penser que ces groupes cherchent à contrôler le monde et qu’ils utilisent pour cela les méthodes les plus criminelles me semble très excessif. Il est “naturel” de se regrouper et de s’unir pour obtenir satisfaction ; c’est là une expression de l’instinct grégaire. Y voir systématiquement une conspiration et un désir malsain de comploter contre le reste du monde n’a pour moi aucun sens.

 

 

 

L’observation montre que les adeptes du complotisme l’utilisent le plus souvent à l’encontre des personnes qu’ils n’aiment pas en raison de leur nationalité, de leur ethnie, de leur culture, de leur profession, de leur religion, de leur philosophie, de leurs idéaux… Au lieu de chercher à les comprendre et à les connaître, ils préfèrent les stigmatiser et les rendre responsables de ce qu’ils réprouvent dans le fonctionnement de la société. Vue sous cet angle, la théorie du complot est une posture idéologique et sectaire qui permet de justifier la discrimination et autres formes d’exclusion. Dans les cas extrêmes, elle traduit une forme de paranoïa chez ceux qui la soutiennent.

 

 

Le domaine de l’ésotérisme est lui aussi la cible de certains adeptes du complotisme. C’est ainsi qu’il existerait selon eux une «Grande Fraternité Noire», formée d’occultistes qui s’emploieraient, au moyen de pratiques aussi obscures que secrètes, à répandre le mal parmi les hommes. En cela, elle agirait en opposition avec la «Grande Fraternité Blanche», formée d’Initiés qui œuvreraient au service du bien. On est là dans le fantasme. Il est vrai que le monde est malheureusement chaque jour le théâtre d’événements tragiques, dramatiques, criminels…, mais la grande majorité d’entre eux ont leur cause dans les comportements individuel et collectif de l’être humain. Les autres relèvent d’une notion que nous avons tendance à rejeter ou à refuser, et qui n’a rien de complotiste : la fatalité.

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-theorie-du-complot/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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