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31 août 2017 4 31 /08 /août /2017 17:15

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

 

On entend souvent dire que «la santé est le bien le plus précieux qui soit», ce qui est vrai. Lorsque l’on a le privilège de se sentir bien et de ne souffrir d’aucune maladie ni d’aucun trouble physique ou mental, la vie elle-même semble meilleure, et ce, malgré les vicissitudes qu’elle comporte nécessairement. C’est là une évidence dont beaucoup parmi nous n’ont pas suffisamment conscience, à tel point que c’est souvent après avoir été malade que nous mesurons combien il est appréciable d’être en bonne santé et de ne pas souffrir, ne serait-ce que physiquement.

 

 

Il est vrai que nous ne sommes pas tous égaux en matière de santé, en ce sens que certains héritent à la naissance d’un meilleur patrimoine génétique que d’autres, d’où une vitalité plus grande, un système immunitaire plus actif, une force mentale plus puissante, une aptitude à guérir plus développée, etc. Autant de facteurs qui rendent moins vulnérables aux maladies. Cela étant, on ne peut nier que notre manière de vivre a une grande incidence sur notre santé. En effet, nous savons tous que boire trop d’alcool, fumer, se droguer, mal se nourrir, ne pas faire suffisamment d’exercice, ne pas s’accorder le repos voulu, etc., favorise nombre de maladies, ce qui engage en grande partie notre libre arbitre.

 

 

Un autre facteur trop souvent négligé altère notre santé : les pensées négatives. Par «pensées négatives», il ne faut pas entendre uniquement celles que l’on génère sous l’effet de la jalousie, de l’envie, de la colère, de la rancune ou de la haine. Elles incluent également celles qui sont liées aux peurs, aux craintes et aux angoisses, mais également au pessimisme et au défaitisme. Cela s’explique par le fait que de telles pensées s’apparentent à des ondes elles-mêmes négatives, qui affectent donc négativement nos cellules, nos glandes endocrines, nos organes et nos fonctions vitales. Par ailleurs, elles perturbent l’harmonie générale de notre corps, ce qui nuit à l’ensemble de notre métabolisme.

 

 

De ce qui précède, il en résulte que le meilleur moyen de nous maintenir en bonne santé consiste à avoir une bonne hygiène physique (alimentation, exercice, sommeil, etc.,) mais également mentale. Cela suppose de nous évertuer à entretenir autant que possible de bonnes pensées, de belles émotions et de nobles sentiments. De plus en plus de médecins admettent d’ailleurs ce fait et considèrent qu’«un bon moral» est un facteur important de guérison. J’ajouterai que c’est également et peut-être surtout un élément fondamental dans la prévention des maladies. Or, chacun sait qu’il «vaut mieux prévenir que guérir».

 

 

Au risque de vous étonner, je pense également que la spiritualité est un facteur essentiel, non seulement pour se maintenir en bonne santé, mais également pour se guérir de nombreuses maladies. Naturellement, cela ne veut pas dire qu’elle se suffit à elle-même, au point de ne pas recourir à la médecine ou à la chirurgie. Ce serait là une attitude irresponsable. Cela étant, admettre l’existence d’énergies spirituelles en nous et dans la nature, et prendre le temps de s’harmoniser régulièrement avec ces énergies, contribuent nécessairement à notre bien-être physique et mental. Ceci est tellement vrai que certains médecins ont intégré l’usage de la prière et de la méditation dans leur protocole.

 

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-sante/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 août 2017 1 28 /08 /août /2017 09:05

 

 

 

 

Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Plusieurs d’entre nous gagnerions certainement un prix d’interprétation si pareille chose existait! En effet, nous sommes souvent en train, non seulement de juger, mais d’interpréter ce que les autres disent, font, ne font pas, pensent ou semblent penser!

 

 

Nous interprétons un haussement de sourcils comme un jugement que nous ne sommes pas adéquats. Nous interprétons le soupir de l’autre comme un moment d’exaspération à notre endroit. Nous prêtons au silence de l’autre des intentions avec trop de mots. Nous sommes très souvent en mode interprétation.

 

 

Pourtant, il nous est impossible de deviner ce que l’autre pense, de trouver la motivation à l’origine de ce geste, de traduire une parole en d’autres mots. Seul l’autre peut nous l’expliquer. Malgré tout, nous persistons à le faire avec tous les problèmes de communication et de relations que notre interprétation crée constamment.

 

 

Et si le haussement de sourcils ne signifiait rien du tout? Et si le soupir n’avait pour but que de mieux respirer à fond? Et si le silence indiquait une écoute attentive? Qui sommes-nous pour prétendre deviner ce que l’autre fait et élever notre interprétation au rang de vérité?

 

 

Combien de colères et de conflits seraient évités si nous restions totalement présents à l’autre, dans l’ouverture, sans juger, sans interpréter et en demandant des éclaircissements lorsque notre tendance à conclure trop vite nous brûle les lèvres?

 

 

Combien de malentendus seraient ainsi évités en posant des questions claires et simples, pour avoir l’heure juste de la part de la personne concernée plutôt que de lui attribuer des intentions dont nous ne savons rien?

 

 

Plutôt que de prêter des intentions, il serait plus sage de poser des questions! Pour éviter des maux, utilisons des mots!

 

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 août 2017 2 22 /08 /août /2017 22:00

 

 

 

 

Bonjour à vous .

 

Je met ce texte car je change d'opérateur et je risque

de ne plus avoir le web pendant maximum 3 jours

à condition que mon opérateur actuel veuille bien s'en aller... 

 

Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

Votre webmestre, Micheline

 

 

 

 

 

Texte de Marie-pier Charron

 

 

 

 

On présume souvent que dire oui à la vie, c’est dire oui à ce qui se présente à nous. Mais parfois, au contraire, c’est de dire un beau grand non. Et j’irais même jusqu’à dire qu’accepter systématiquement ce qui se trouve sur notre chemin nous éloignerait souvent de ce qu’on pourrait appeler «le plan divin».

 

 

Je me souviens d’un grand défi qui a atterri dans ma vie, de nulle part, il y a quelques années. Tout était en place, je n’avais qu’à suivre le mouvement. C’était assez joli, dans le genre carte postale, donc je me disais «ce n’est pas un hasard» et «rien n’arrive pour rien» – les grands classiques. La prochaine étape était, bien sûr, de dire oui. Car quand un beau grand défi atterrit dans notre vie par surprise, la prochaine étape est de dire oui, n’est-ce pas?

 

 

Sauf que… bien que tout m’ait été présenté sur un plateau d’argent, et que certains auraient probablement dit que ça m’était «destiné», un NON très fort vibrait en moi. Pas parce que je ne me croyais pas assez forte ou parce que je sabotais inconsciemment mon bonheur (même si ça aurait pu être le cas, certainement… et j’ai d’ailleurs pris tout le temps nécessaire pour m’assurer de bien démêler tout cela). Non, mon être entier me disait d’aller vigoureusement contre le courant. Et j’étais bouleversée… car dire oui à la vie et à ses défis avait toujours été mon identité, ma sécurité, ma philosophie. Le «non» que je me sentais appelée à matérialiser semblait être une négation de tout ce que j’étais et de tout ce que j’avais toujours chéri.

 

 

Mais c’est à ce constat que je suis finalement arrivée: dire oui à la vie, c’est dire oui à la vie qu’on porte en nous, non pas aux choses et aux événements qui s’adonnent à être autour de nous. Le courant à suivre est le courant intérieur, non pas le flot extérieur… Ce qui vient à nous nous est «destiné» uniquement si ça résonne en nous également. Et c’est une chose qu’on mentionne peu souvent, mais si on choisit de renoncer à un grand défi intimidant, ce n’est pas nécessairement parce qu’on est faible, mais au contraire parfois parce qu’on a le courage de se faire confiance et de s’admettre qu’intimidant ou non, ce n’est pas le bon défi pour le moment.

 

 

matinmagique.com

 

 

 

 

 

 

Le chemin n’est pas dans le ciel.

 

Le chemin est dans le cœur.  

 

- Bouddha

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 août 2017 1 14 /08 /août /2017 17:48

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

Dans l’un de ses écrits, Épictète a déclaré : «La nature nous a donné une seule langue mais deux oreilles, afin que nous écoutions deux fois plus que nous ne parlons». Force est de constater que la plupart des gens parlent beaucoup plus qu’ils n’écoutent. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que tout être humain, sous l’impulsion de son ego, c’est-à-dire de son «moi je», a tendance à vouloir monopoliser la parole lors d’un échange avec d’autres personnes. Souvent, cette tendance atteint son paroxysme lorsqu’il est en désaccord avec son interlocuteur, car il éprouve alors le besoin de le contredire et de lui prouver qu’il a tort.

 

 

Très rares sont les personnes qui savent écouter l’autre et lui laissent le temps de s’exprimer pleinement. Elles s’empressent généralement de l’interrompre et de reprendre la conversation à travers ce qui s’apparente à un monologue. Dans ces conditions, l’échange est difficile, voire impossible, car chacun s’emploie plus ou moins consciemment à faire valoir son point de vue, parfois sans même essayer de comprendre celui de l’autre. Dans les cas extrêmes, ce non-échange peut donner lieu à un rapport de force mêlant violence verbale et invectives. Nous avons tous eu l’occasion d’assister à ce genre de situation, que ce soit dans la vie courante ou lors de débats diffusés à la radio, à la télévision ou sur internet.

 

 

D’une manière générale, notre aptitude à écouter les autres est fonction de notre capacité à maîtriser notre ego lors d’une discussion. Une telle chose n’est pas aisée, car il est dans sa nature de vouloir s’exprimer, imposer ses idées, convaincre qu’il a raison, attirer l’attention, etc. L’écoute va donc de pair avec l’humilité, vertu qui, précisément, se caractérise par la retenue, la courtoisie et le respect de l’autre. Si vous connaissez parmi vos relations des personnes qui ont éveillé cette vertu, vous aurez certainement noté qu’elles écoutent plus qu’elles ne parlent et ne cherchent pas à monopoliser la parole. Tout en étant ouvertes à la discussion, elles favorisent le dialogue et l’échange.

 

 

En règle générale, les personnes qui savent écouter sont également celles qui prennent régulièrement le temps de s’intérioriser et d’être à l’écoute de leur âme, de leur personnalité profonde. Elles ont intégré le fait qu’il faut s’efforcer de parler à bon escient et que le silence est parfois plus évocateur que les mots. Autrement dit, elles appliquent cette maxime connue de tous les Rosicruciens : «Si ce que tu t’apprêtes à dire n’est pas plus beau que le silence, abstiens-toi de parler». Cela suppose d’écouter l’autre avec l’intention de le comprendre et, si l’on prend la parole, de réfléchir préalablement à ce que l’on va dire.

 

 

Mais l’écoute ne se limite pas à «écouter l’autre» ; elle consiste également à «être à son écoute», c’est-à-dire à lui prêter attention. Si faire preuve d’humilité est une vertu, être attentionné l’est tout autant : penser aux autres, se préoccuper de leur bien-être, les aider si besoin est, leur rendre service, sont autant de marques d’intérêt à leur égard et contribuent à rapprocher les individus. À l’inverse, l’indifférence les éloigne les uns des autres et désagrège le tissu social, avec tout ce qui en résulte en termes d’exclusion.

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-ecoute/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 juillet 2017 1 31 /07 /juillet /2017 17:23

 

 

 

 

Diane Gagnon - Auteur,

 

 Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une des plus grandes preuves d’amour que nous puissions avoir envers autrui, c’est de le laisser faire ses propres erreurs.

 

 

Qu’il est difficile parfois de voir ceux qu’on aime faire des choix qui semblent aller à l’encontre de leur bien-être. Que d’amour devons-nous déployer pour les laisser apprendre leurs propres leçons.

 

 

Contrairement à ce que nous avons tendance à croire, nous ne savons pas ce qui est bon pour l’autre. Peut-être a-t-il besoin de vivre des expériences difficiles pour se renforcer et devenir plus solides face aux évènements de sa vie.

 

 

Peut-être a-t-il besoin de se prouver ce dont il est capable. Peut-être doit-il aller jusqu’à subir les inconvénients d’une vie qui ne lui convient pas pour apprendre à mieux se connaître et à savoir ce qu’il veut vraiment pour lui-même. Bien des gens se décident à changer vraiment seulement quand ils touchent le fond.

 

 

 

 

Notre amour inconditionnel peut alors les aider à se relever et à ramasser leurs morceaux. Mais le changement permanent provient de l’intérieur de chacun et ça, nous ne pouvons pas le leur donner.

Quand ceux qu’on aime semblent faire des choix qui nous inquiètent, le mieux que nous puissions faire est de les aimer inconditionnellement. De donner notre avis s’il est sollicité mais de ne pas forcer d’autres choix qui nous conviennent, à nous.

 

 

 

Aimons-les assez pour les laisser faire leurs propres apprentissages, même si nous sommes déjà passés par là : notre leçon n’est pas nécessairement la leur.

 

 

 

Chacun a besoin de ses propres jalons pour avancer sur son propre chemin : laissons-les poser eux-mêmes les marches de leur évolution personnelle.

 

 

 

C’est leur Vie, pas la nôtre.

 

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 17:38

 

 

 

Texte de Lise Bourbeau

 

 

 

 

 

 

 

 

Savez-vous que... la douleur est un moyen beaucoup trop souvent utilisé pour évoluer?

 

 

En effet, bien des gens ne s’arrêtent pas pour se poser des questions tant qu’ils ne souffrent pas assez dans leur corps pour le faire, ce qui est très regrettable. D’autres croient qu’il est normal d’être malade et de souffrir alors que ce n’est pas du tout naturel. Au lieu de prendre le temps de comprendre ce que leur corps est en train de leur communiquer par la douleur, ils ne font que l’arrêter par des médicaments, des soins physiques, etc. Je ne dis pas qu’il ne faut pas s’aider physiquement lorsqu’on a mal, mais plutôt que cette aide devrait être accompagnée d’une introspection. Sans introspection, la douleur reviendra puisque l’attitude qui en est la cause ne peut pas disparaître par la simple prise de médicaments.

 

 

En plus des maladies, les accidents qui blessent une partie de votre corps sont, eux aussi, des messages. Généralement, l’accident vous rappelle que vous vous sentez coupable, alors que vous ne l’êtes pas, et que vous voulez vous punir. Le fait de prendre le temps de trouver la cause métaphysique d’un accident et d’en comprendre le message permet au corps de guérir beaucoup plus rapidement. Sachez aussi qu’une douleur physique est toujours proportionnelle à celle vécue au plan psychologique. Le corps est un merveilleux instrument qui tâche constamment d’attirer votre attention sur les aspects de vous-même que vous n’acceptez pas et n’aimez pas.

 

 

Outre les personnes qui se font arriver des accidents ou des maladies pour évoluer, il y a aussi celles qui croient qu’il est normal d’être malade et de souffrir en vieillissant. Combien de fois ai-je entendu dire qu’il était normal d’avoir plein de bobos à partir d’un certain âge. Cette croyance est basée sur des normes, des structures, des coutumes, des lois établies par la société que la majorité des gens acceptent. Depuis très longtemps, la société essaie de nous diriger selon sa propre notion de ce qui est normal ou non au lieu de donner libre cours au NATUREL. Et vous, que voulez-vous? Être normal et ne pas écouter vos besoins ou vous diriger vers l’état naturel de votre être?

 

 

Il y a d’autres personnes, surtout celles qui souffrent de la blessure d’injustice, qui ont une grande tolérance à la douleur. Ces personnes ont encore plus de difficulté à écouter leur corps, donc leurs besoins, et à s’aimer lorsqu’elles se considèrent imparfaites selon leurs normes. Celles qui ont une blessure de rejet arrivent même à nier complètement la douleur. Habituellement, le corps de ces deux genres de personnes doit envoyer des messages physiques plus importants afin d’attirer leur attention.

 

 

L’ère du Verseau, dans laquelle nous entrons, fera en sorte que de moins en moins de gens souffriront. En effet, elle incite de plus en plus de gens à être attentifs au moindre petit signal physique, émotionnel ou mental. Ils préviennent ainsi la souffrance en étant plus conscients d’une façon régulière.

 

 

Comme je l’ai mentionné plus haut, il n’y a aucune douleur qui n’est que physique : chaque douleur a un lien avec une attitude émotionnelle et mentale. Elle est là pour nous dire que nous nous laissons diriger par une façon de penser (croyance) qui nous empêche d’aller vers nos besoins, une façon de penser qui entretient une peur d’être ce que nous voulons être. Cette attitude nous empêche d’être ce que nous voulons être, donc de nous aimer.

 

 

Aussitôt que vous avez une douleur, demandez-vous dans quelle situation elle vous affecte le plus ou vous empêche le plus d’être bien. Votre réponse vous permettra de découvrir la direction que doit prendre votre démarche intérieure. Demandez-vous aussi ce que votre douleur vous empêche d’ÊTRE. Vous saurez alors ce que vous désirez être, donc ce que vous voulez pour vous-même. Ensuite, identifiez la peur que vous avez pour vous-même si vous osez être ce que vous voulez afin de découvrir ce que votre intérieur tâche de vous dire au moyen de la douleur. Une chose est certaine, c’est qu’il vous dit toujours de vous aimer davantage, c’est-à-dire de vous accueillir dans tous vos états d’être et ce, chaque jour, même si ce que vous êtes vous semble mal, anormal ou n’est pas accepté par d’autres. S’aimer c’est s’accepter même si nous ne sommes pas ce que nous voulons être à chaque instant. C&rsq uo;est arrêter de se taper sur la tête, de vouloir se changer. Le simple fait de vous accepter en étant ce que vous ne voulez pas vous aidera à aller vers ce que vous voulez être.

 

 

Il ne vous reste qu’à décider si vous voulez continuer à souffrir afin de vous aimer davantage ou si vous voulez prendre le temps de devenir plus conscient pour éviter des souffrances inutiles. Voilà une belle réflexion à faire.

 

 

www.ecoutetoncorps.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 juillet 2017 7 02 /07 /juillet /2017 19:02

 

 

 

 

 

Bonjour à chacun de vous Chers (es) visiteurs (es)

 

 

Je vous souhaite de très belles vacances.

 

Je mettrai un texte tous les 15 jours pendant ces deux mois de vacances.

 

Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon - Auteur,

 

 Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Être déterminé et savoir ce que l’on veut c’est bien. Tenir à ses positions et les défendre lorsque nos valeurs semblent menacées, cela peut être noble. Mais avoir la tête dure au point de refuser d’apprendre ce que la Vie tente de nous enseigner de toutes les façons possibles, c’est un passeport assuré vers encore plus de difficultés!

 

 

Certaines personnes ne semblent ni entêtées ni rigides dans notre vie. Et pourtant, elles vivent à répétitions des situations qui les font souffrir, des défis de même nature qui visent tous à leur apprendre à modifier un comportement, une habitude, une pensée, une croyance pour développer plus d’amour pour elles-mêmes et dans leur vie.

 

 

Si nous souffrons depuis longtemps en lien avec une situation ou un type de situation, si des scénarios désagréables se répètent dans notre vie, si nous restons coincés dans des relations compliquées, si nous revivons constamment les mêmes défis et si la plupart de nos phrases commencent par « oui, mais », alors il est fort possible que nous ayons la tête dure et que nous refusions d’apprendre la leçon qui nous est patiemment enseignée.

 

 

 

Nous continuons de vouloir que les choses se passent à notre façon, que les autres se comportent comme nous le voulons alors que ces attentes inflexibles se transmuent toujours en souffrance pour nous. Et alors nous blâmons les autres, la Vie parce que cela ne fonctionne pas à notre manière!

 

 

Pourtant, inlassablement, les situations semblables continuent de se présenter à nous, de plus en plus persistantes, afin que nous ouvrions enfin notre esprit et notre cœur, que nous envisagions peut-être une autre façon de voir les choses, que nous laissions tomber nos résistances et notre acharnement à vouloir tout contrôler, alors que nous ne contrôlons rien!

 

 

 

C’est la Vie qui décide ce que nous devons apprendre, et elle emploie 1000 trucs pour que nous comprenions. Mais c’est nous qui décidons si l’apprentissage sera facile et harmonieux, ou long, compliqué et souffrant… si nous continuons d’avoir la tête dure!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

                     

 

 

 

 

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29 juin 2017 4 29 /06 /juin /2017 16:07
A propos de l’espérance de vie

 

 

 

Textes de Serge Toussaint

 

 

 

 

 

 

Par définition, l’espérance de vie est la durée moyenne d’une vie humaine à une époque donnée. On estime qu’elle était de 19 ans à la préhistoire, de 25 ans dans l’Antiquité grecque et romaine, de 30 ans au Moyen-âge et à la Renaissance, de 35 ans aux XVIIIe et XIXe siècles. Au début du XXe siècle, les femmes vivaient en moyenne 60 ans et les hommes 50 ans, et en ce début de XXIe siècle, respectivement 80 ans et 70 ans. D’une manière générale, on peut donc constater que l’espérance de vie n’a cessé de s’accroître au cours du temps, notamment depuis la seconde moitié du XXe siècle.

 

 

 

Comment expliquer que les êtres humains n’ont cessé de vivre toujours plus longtemps au cours du temps ? D’une manière générale, c’est d’une part en raison de l’amélioration sans cesse croissante de l’hygiène, et d’autre part grâce aux progrès constants de la médecine et de la chirurgie. Jadis, on buvait de l’eau croupie, on mangeait des aliments avariés, on vivait dans des milieux insalubres, on ne se lavait pas ou pas assez, les habitations étaient mal chauffées… Par ailleurs, les médecins étaient aussi rares que mal équipés, et leurs connaissances étaient beaucoup plus limitées que de nos jours.

 

 

Cela étant, certains spécialistes sont inquiets et laissent entendre que l’espérance de vie, qui n’avait cessé de croître jusqu’à présent, est en voie de régression et pourrait à nouveau diminuer au cours des prochaines décennies. Selon eux, les générations actuelles se nourrissent mal ou mangent une nourriture de mauvaise qualité, ne font pas assez d’exercice, consomment trop d’alcool et de drogues diverses, vivent dans un environnement de plus en plus pollué, sont continuellement exposées au rayonnement électromagnétique émis par les ordinateurs, tablettes et autres smartphones… Autant de facteurs et d’éléments qui portent atteinte à leur santé.

 

 

De nos jours, il est un fait que de nombreuses personnes, dans les pays dits développés, vivent “en forme” jusque quatre-vingts ans et plus. Mais lorsqu’on y regarde de plus près, on constate qu’elles ont généralement en commun d’avoir bénéficié d’une bonne hérédité et d’avoir toujours eu une bonne hygiène de vie. Beaucoup d’autres meurent prématurément, victimes de maladies dont le nombre ne cesse d’augmenter, je pense en particulier aux divers cancers et aux troubles cardiovasculaires. Que dire également des cas de plus en plus nombreux de dépressions et autres “burn out” ? Assurément, le monde actuel est très loin de remplir les conditions voulues pour que l’espérance de vie continue à augmenter pour tous les êtres humains.

 

 

Sans vouloir nier les progrès de la médecine et de la chirurgie, et par là même leur apport à la santé et au bien-être, je m’interroge néanmoins sur les dérives des grands laboratoires pharmaceutiques, qui semblent beaucoup plus préoccupés par les profits financiers exorbitants qu’ils tirent de la vente des médicaments et des vaccins, que par la santé réelle des gens. Au risque de sembler quelque peu trivial, ils donnent souvent l’impression que les maladies sont leur “fonds de commerce”, au point même, peut-être, d’en inventer. Ce qui est avéré, c’est que nombre de produits qu’ils mettent sur le marché n’ont pas d’autre effet que celui qu’on leur prête (placebos), et que certains causent des effets secondaires désastreux et nuisent à l’espérance de vie.

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-esperance-de-vie/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 juin 2017 1 26 /06 /juin /2017 16:55

 

 

En traduisant le texte en anglais que j’avais j’ai pu mettre le texte ouffff

 

 

 

 

Texte de Nicole Bordeleau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réapprendre à voir, quelle merveilleuse façon de se réinventer. Voir ne consiste pas à distinguer simplement les formes, les couleurs, les matières, les choses, les êtres, mais à regarder notre monde avec attention, avec curiosité, avec passion, avec un amour pur et désintéressé comme le font les enfants.

 

 

Combien de fois sommes-nous passés à côté d'une expérience extraordinaire, n'y voyant que du banal, de l'ordinaire ? On passe toujours trop vite à côté d'une fleur, d'un arbre, d'un papillon et des personnes que l'on aime. On oublie trop souvent de regarder autour de soi et on ne soulève plus les yeux au ciel pour voir plus grand que soi.

 

 

Tout, absolument tout ce qui nous entoure sur cette terre, mérite le même regard, la même présence, la même attention. Mais pour mériter la beauté de ce monde, il faut savoir l'accueillir. Pour l'accueillir, il faut rafraîchir notre regard et apprendre à voir avec amour. À voir dans un total abandon tout ce qui existe autour de nous.

 

 

D'avoir d'autres yeux signifie donc de rafraîchir le regard que l'on porte sur soi, sur les autres, sur le monde qui nous entoure. Vous et moi, nous pouvons réinventer notre manière de voir le monde. Voici quelques suggestions :

 

 

– Apprenons à voir les choses sans vouloir posséder.

 

 

-À regarder les gens sans les juger.

 

 

– À voir les évènements sans les comparer.

 

– À regarder notre monde sans le diviser.

 

 

Pour réinventer notre regard, chaque jour, il est essentiel de fermer les yeux quelques secondes pour rafraîchir notre vision du monde. Puis, avec un regard tout neuf, prendre le temps de contempler le visage de ceux qu'on aime et d'admirer la beauté du monde qui nous entoure.

 

 

 

Ce simple exercice, répété au quotidien, est d'une force incroyable pour renouveler notre engagement envers les autres, envers la vie.

 

 

Et lorsque nous traversons des périodes plus sombres, il nous faut aussi adoucir notre regard. C'est alors le moment de cultiver un regard empli de bienveillance, de douceur, de compassion envers nous-mêmes. S'observer, sans se juger, est un acte d'amour envers soi-même. Et c'est là le début d'une véritable transformation.

 

 

 http://www.lapetitedouceur.org/

 

 

 

 

 

« Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne

 

serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir

 

d'autres yeux... »

 

 

 Marcel Proust

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 juin 2017 1 26 /06 /juin /2017 15:53

 

 

 

 

 

 

Malheureusement l'administration ne fonctionne pas je suis navrée mais il m'est impossible de mettre le texte choisi .

 

Micheline

 

 

 

Texte de Nicole Charest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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