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19 octobre 2017 4 19 /10 /octobre /2017 17:37
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19 octobre 2017 4 19 /10 /octobre /2017 17:24

 

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

À moins de mourir prématurément suite à une maladie, un accident ou une catastrophe écologique, industrielle ou autre, nous sommes tous destinés à vieillir. C’est là une loi naturelle à laquelle aucun être humain ne peut se soustraire, et ce, depuis toujours. Ce qui a changé avec le temps, c’est la durée (l’espérance) de vie et les conditions dans lesquelles elle se déroule. Dans les pays développés, elle est passée en un siècle de 50 à 80 ans en moyenne. Parallèlement, beaucoup de personnes âgées ont évolué vers un mieux-être et ont vu leur confort matériel progresser au cours de leur existence.

 

 

La situation n’est pas idyllique pour autant. De nombreuses personnes âgées vivent dans des conditions précaires, y compris dans les pays développés. Dans les pays pauvres ou en voie de développement, la grande majorité d’entre elles survivent plus qu’elles ne vivent. Par ailleurs, nombre de spécialistes s’accordent à dire que dans les pays développés, l’espérance de vie est en voie de se réduire (la courbe commence déjà à s’inverser). En cause : le stress au quotidien, la mauvaise alimentation, la consommation excessive d’alcool et de tabac, les pollutions diverses, l’omniprésence des ondes électromagnétiques, etc. Ceci est d’autant plus regrettable que cette réduction marque une régression due au comportement irresponsable des êtres humains.

 

 

Mais revenons-en à la vieillesse, en tant que période de la vie. Lorsqu’on a la chance de bénéficier de conditions matérielles convenables et d’avoir une bonne santé relative, cette période, outre les activités diverses qui la jalonnent au quotidien, est propice à la réflexion ″apaisée″ et ″apaisante″. Libérée des passions qui font la fougue et parfois les excès de la jeunesse, la vieillesse permet en effet de temporiser et de prendre du recul par rapport aux événements, qu’ils concernent la famille ou la société en général. Autrement dit, elle confère en principe une certaine sagesse, d’où l’adage «si jeunesse savait ; si vieillesse pouvait».

 

 

De toute évidence, la vieillesse est la période de la vie qui mène aux portails de la mort. Dès lors que l’on est spiritualiste et que l’on est convaincu d’être une âme incarnée, on ne peut pas ne pas s’interroger sur ce qui nous attend au-delà de ce portail, dans ce que l’on appelle communément «l’au-delà». Cette interrogation est nécessairement positive, car elle conduit chacun à s’intérioriser et à faire le point sur ses croyances religieuses ou philosophiques. Par là-même, elle constitue une forme de préparation intérieure à l’après-vie, avec tout ce que cela comporte de mystères et d’espérance.

 

 

Pour ceux qui adhèrent à la réincarnation, comme c’est le cas de la plupart des Rose-Croix, la vieillesse est une période privilégiée pour faire le bilan de la vie en cours, en tirer les leçons essentielles et préparer la prochaine incarnation, tout du moins dans ses grandes lignes. C’est ainsi que l’on peut réfléchir au pays dans lequel on aimerait vivre, aux personnes avec lesquelles on souhaiterait rester en contact, au métier que l’on voudrait exercer, aux aspects de notre personnalité que l’on aimerait améliorer, etc., étant entendu que «l’homme propose ; Dieu dispose». Assurément, la vieillesse est une invitation à s’ouvrir au monde spirituel…

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-vieillesse/

 

 

 

 

 

N’offrir aucune résistance à la vie, c’est être dans  un état de grâce, de facilité et de légèreté.

 

Cet état ne dépend plus du fait que les choses soient comme ci ou comme ça, bonnes ou mauvaises.

 

 

Eckhart Tolle  

 

 

 

 

 

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16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 17:18
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16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 17:10

 

 

 

 

Diane Gagnon - Auteur,

 

 Coach, Conférencière

 

 

 

 

L’un des plus grands obstacles à notre bonheur est sans contredit notre propre résistance. Nous résistons à ce qui arrive, aux commentaires et suggestions des autres, nous résistons à changer, à évoluer, à prendre des décisions, nous résistons à voir la réalité en face, à aller voir en nous ce qui s’y passe, à écouter notre petite voix…

 

 

Le psychanalyste Guy Corneau disait que nous dépensons au moins 95% de notre énergie à résister, à faire ce qui nous rend malheureux plutôt que l’inverse.

 

 

Dans le coaching, il arrive fréquemment qu’un client vienne avec la ferme intention de changer mais refuse d’apporter des changements à sa vie. Nous résistons TOUS, bien que nous croyions que nous sommes ouverts, prêts à changer, disposés à faire ce qu’il faut pour que notre vie s’améliore.

 

 

Mais dans les méandres de notre esprit, tant que la force de résistance qui nous habite à notre insu est encore plus grande que la souffrance ou l’inconfort que nous ressentons, il nous est difficile de changer quoi que ce soit.

 

 

Vous pensez que vous êtes ouverts et prêts à changer? Prêtez attention à votre réaction la prochaine fois que quelqu’un vous prodiguera un conseil! Voyez si votre réponse commence par un « oui mais ». Il se peut aussi que vous disiez « comme tu as raison! », suivi d’un « sauf que… » ou « mais tu sais, c’est pas facile ». C’est ça, la résistance.

 

 

En électricité, on définit la résistance comme la propriété de ralentir le passage du courant; en mécanique, on dit de la résistance qu’elle est une force qui s’oppose au mouvement. La résistance est synonyme d’opposition! Les Bouddhistes affirment que notre souffrance vient de notre résistance, résistance à accueillir ce qui est, à accepter que tout passe.

 

 

 

Chaque fois que nous résistons à ce qui est, nous opposons notre volonté à celle de la Vie. Nous sommes dans un état de refus, de fermeture, de déni.

 

 

La résistance nous éloigne du bonheur!

 

 

Un des premiers pas que nous puissions faire pour être plus heureux est d’observer quand nous résistons, et de lâcher prise chaque fois que nous le pouvons.

 

 

Et si nous augmentions consciemment le pourcentage de notre énergie que nous consacrons à faire ce qu’il faut pour être heureux, plutôt que de résister à ce qui nous est offert? Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner en ne résistant plus!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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12 octobre 2017 4 12 /10 /octobre /2017 17:32
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12 octobre 2017 4 12 /10 /octobre /2017 17:23

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

Le monde actuel est tellement anxiogène que nombre de personnes semblent avoir perdu la joie de vivre. Il est vrai que lorsque l’on est confronté à des difficultés matérielles de tous ordres, que l’on n’a pas de travail, que l’on manque de moyens financiers, etc., il est difficile, sinon impossible, de se sentir heureux et serein. Prétendre le contraire ne serait pas objectif et traduirait même un manque de compassion envers les personnes concernées. Comment ne pas être affecté également par les actes terroristes commis par les islamistes aux quatre coins du monde ?

 

 

 

Si l’on peut comprendre que nombre de personnes soient inquiètes et même tristes dans le contexte actuel, il faut reconnaître que les médias n’arrangent rien, en ce sens que la plupart mettent systématiquement en exergue les aspects négatifs de la vie sociale, économique, politique, etc. Ce faisant, ils alimentent la morosité ambiante et entretiennent la méfiance, la suspicion, le pessimisme, le défaitisme, etc. Certes, il leur appartient de nous informer de ce qui pose problème dans le comportement humain, mais ils devaient au moins équilibrer avec des informations positives, réconfortantes, inspirantes… De toute évidence, cela contribuerait à rendre les gens plus optimistes, plus sereins et probablement plus joyeux.

 

 

Naturellement, il ne s’agit pas de rendre les médias responsables de la tristesse ambiante, ne serait-ce que parce que nous ne sommes pas obligés de lire, d’écouter ou de regarder ce qui nous affecte et nous rend tristes. Par ailleurs, beaucoup de personnes le sont alors qu’elles n’ont aucun problème matériel, professionnel, familial ou autre. S’il en est ainsi, c’est parce que la joie est avant tout un état d’esprit, ou plus exactement un état d’âme. C’est précisément ce qui explique pourquoi certains indigents et certains malades manifestent néanmoins une grande joie de vivre.

 

 

Précédemment, j’ai précisé que «la joie est avant tout un état d’esprit, ou plus exactement un état d’âme». Pourquoi ? Parce qu’elle prend sa source, non pas dans notre cerveau (auquel cas elle serait une faculté intellectuelle), mais dans ce qu’il y a de plus spirituel en nous. Elle fait donc partie des émotions les plus nobles que nous puissions ressentir, exprimer et même communiquer. À titre de comparaison, le plaisir résulte d’une satisfaction plutôt physique ou mentale. De ce fait, il peut être généré par des occupations ou des activités qui manquent singulièrement d’élévation et de noblesse. C’est ainsi que certaines personnes prennent du plaisir à tuer leur semblable ou à leur faire du tort…

 

 

Si vous admettez que la joie prend sa source dans l’âme elle-même, vous comprendrez que c’est essentiellement dans la spiritualité que l’on peut et que l’on doit la rechercher. C’est ce que font les mystiques en général et les Rose-Croix en particulier, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’ils se privent des plaisirs légitimes de l’existence. Sachant que nous sommes sur Terre pour nous parfaire au moyen des expériences de la vie, ils puisent dans ces expériences, y compris dans les plus pénibles et les plus éprouvantes, une opportunité d’évoluer spirituellement tout en étant heureux au contact des autres.

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-joie/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 17:06
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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 16:59

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

Oui, comment faire pour ne jamais se tromper, pour toujours prononcer les bonnes paroles au bon moment, pour ne jamais blesser personne, pour ne jamais faire d’erreurs, pour être toujours aussi parfaits que nous croyons devoir l’être ?

 

 

Et surtout, comment faire pour vivre avec le reflet de notre imperfection qui nous est sans cesse ramené à la figure, alors qu’on a trop parlé, qu’on s’est trompé, qu’on a blessé ceux qu’on aime, que nous n’avons pas été à la hauteur ?

 

 

Juste écrire ces lignes m’épuise ! Pas vous ?

 

 

Non mais quelle pression nous mettons-nous constamment pour être à la hauteur des idéaux que NOTRE EGO nous a créés ! Et vous remarquerez que l’idéal, la perfection, c’est bien différent d’une personne à l’autre ! Alors comment être parfait aux yeux de tous ? Mais c’est impossible !

 

 

D’où vient cette idée qu’il nous faut être parfait en tout temps et que nous n’avons pas le droit à l’erreur ? Il n’y a qu’un seul être assez maléfique pour nous demander l’impossible : notre ego !

 

 

Car notre âme elle, n’a que faire de nos erreurs et de nos hésitations ! Elle sait que nous sommes parfaits tels que nous sommes, avec ce que nous appelons nos imperfections. Nous sommes en constante évolution. Si nous étions parfaits, nous n’évoluerions plus ! Nous sommes « a work in progress » !

 

 

 

Quel ennui ce serait de côtoyer des gens parfaits qui ne se trompent jamais et qui font toujours tout à la perfection et au bon moment ! Nous serions si petits devant tant de perfection que nous nous écraserions. La Vie a voulu que nous soyons tous égaux, jusque dans nos imperfections. Et c’est cela qui fait notre beauté, notre unicité, notre authenticité. Vouloir être parfaits en tout temps, c’est se cacher derrière un masque pour ne pas montrer la belle personne en évolution que nous sommes.

 

 

 

Ne nous tapons plus sur la tête pour nos erreurs : nous sommes en évolution ! Nous nous construisons chaque jour, un pas à la fois. Nous avançons dans la Vie du mieux que nous le pouvons. Et si d’aventure vous trouvez que cela n’est pas assez, dites à votre ego d’aller se coucher ! C’est lui qui vous rend la vie si difficile en voulant que vous soyez autre chose que ce que vous êtes vraiment : une pure merveille imparfaite !

 

 

Vaut mieux être vrai qu’être parfait !

 

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 17:18
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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 17:12

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

«Errare humanum est» («L’erreur est humaine») dit un adage attribué à Sénèque. Il est vrai que l’être humain commet des erreurs, non seulement de jugement, mais également de comportement. S’il en est ainsi, c’est parce qu’il est imparfait, en ce sens qu’il a des défauts et des faiblesses qui l’égarent dans sa manière d’agir au quotidien. C’est aussi parce que ses connaissances sont limitées et que son raisonnement est faillible, ce qui le conduit à penser de façon erronée. Il lui arrive donc de se tromper. Aucune personne n’échappe à cette évidence ; même les plus grands philosophes et les plus grands penseurs commettent des erreurs d’analyse, de raisonnement et de réflexion.

 

 

S’il est un fait que l’être humain commet des erreurs, il a la capacité d’en prendre conscience et de les réparer. Il peut même y puiser des expériences utiles à son bien-être. Aussi, plutôt que de voir en elles quelque chose de négatif et de culpabiliser, il est préférable de les aborder avec un certain détachement et de partir du principe qu’elles nous permettent de progresser sur le sentier de la vie. L’idéal, naturellement, est d’en commettre le moins possible, d’autant que certaines peuvent avoir des conséquences graves pour nous-mêmes, nos proches et la société dans son ensemble.

 

 

Étant donné que nous commettons tous des erreurs, nous devons veiller à ne pas nous comporter comme si nous détenions la vérité, et ce, dans quelque domaine que ce soit. Autrement dit, il ne faut pas chercher à «avoir raison», comme on le dit familièrement. Cela suppose d’éveiller en nous cette faculté très importante qu’est l’humilité, au point de savoir reconnaître que l’on a eu tort sur tel point en telle circonstance. Malheureusement, peu de personnes ont cette humilité, ce qui explique pourquoi il y a tant d’oppositions, de conflits et de rapports de force entre les individus.

 

 

Qu’en est-il de la faute au regard de l’erreur ? Ce sont deux concepts qui se confondent tout en étant différents. En effet, une faute est une erreur commise en relation avec un règlement, un code ou un système établi. C’est ainsi que l’on parle d’une faute d’orthographe, d’une faute de conduite, d’une faute professionnelle… Cette notion est très importante dans la plupart des religions, où elle est quelque peu culpabilisante : «C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute !» Dans ce cas, on considère qu’il y a eu non-respect de tel commandement, ce qui peut valoir au «pécheur» un «châtiment divin», d’où la nécessité de reconnaître la faute dont il s’est rendu coupable et de l’expier, au besoin en s’infligeant une punition.

 

 

 

Mais revenons-en à l’erreur. Que faire pour en commettre le moins possible ? Bien qu’il n’y ait pas de “solution miracle”, deux choses peuvent nous y aider : en premier lieu, nous efforcer de raisonner correctement, ce qui nécessite notamment de faire abstraction de tout préjugé, de nous informer le mieux possible, de prendre du recul avant d’arrêter une décision, et de mettre de la distance avec notre ego. En second lieu, solliciter autant que possible notre intuition, cette faculté qui transcende le raisonnement et prend sa source dans notre âme, ou plus exactement dans ce qu’il y a de plus divin en nous. Ne dit-on pas qu’elle est «la voix de la vérité» ?

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-erreur/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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