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2 mai 2018 3 02 /05 /mai /2018 10:02

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Oublions l’idée qu’il faille travailler à devenir une meilleure version de nous-mêmes, comme si nous n’étions pas encore assez comme nous sommes!

 

 

 

Oublions la croyance que nous devons entrer dans des moules formatés par d’autres pour être acceptés.

 

 

 

Oublions l’illusion que nous devons nous taire pour ne pas faire de peine ou irriter les autres.

 

 

Car chaque fois que nous ne sommes pas nous-mêmes, totalement, nous envoyons le message à l’Univers que les autres peuvent nous traiter n’importe comment, nous ne dirons rien pour ne pas briser notre belle image de faïence.

 

 

 

Chaque fois que nous éprouvons des émotions comme la honte, la gêne, la tristesse, la jalousie, etc. c’est que nous ne nous permettons pas d’être totalement nous-mêmes.

 

 

 

Chaque fois que nous disons oui aux autres alors que tout notre être a envie de dire non, nous nous mentons à nous-mêmes et nous permettons ainsi aux autres de nous mentir à leur tour. Chaque fois que nous agissons contre notre cœur pour plaire aux autres ou pour être aimés, nous renions ce que nous sommes profondément et nous ne sommes pas vrais avec nous-mêmes. Chaque fois que nous laissons en silence les autres nous traiter sans respect, nous ne respectons pas l’essence divine que nous portons. Chaque fois que nous nous empêchons d’être nous-mêmes pour ne pas être jugés par les autres, nous réduisons notre potentiel de bonheur.

 

 

 

Être authentique implique sans doute une certaine dose de courage, mais c’est une immense preuve d’amour envers nous-mêmes. Être vrai, laisser tomber les masques, les moules et les mensonges pour nous montrer au grand jour tels que nous sommes, ce n’est qu’à ce prix que nous découvrirons le bonheur d’être libres.

 

 

 

Car le jour où nous nous aimons assez pour ne plus porter de masques, pour ne plus vouloir plaire à tout prix, pour accepter de ne pas toujours préserver notre image au détriment de notre âme, ce jour-là, nous sommes libres. La liberté c’est se donner le droit d’être totalement soi-même. Peu importe ce que les autres en disent, que cela leur plaise ou non.

 

 

www.dianegagnon.net/boutique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 avril 2018 5 27 /04 /avril /2018 08:15

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Cette citation de Byron Katie est un merveilleux cadeau de lâcher prise!

 

 

Si nous passons notre temps à nous préoccuper de ce que les autres pensent de nous, de ce qu’ils vont dire, de ce qu’ils vont penser de nous, nous dépensons une quantité d’énergie incroyable à tenter de contrôler ce que nous ne pouvons pas contrôler.

 

 

Si nous sommes alignés avec nous-mêmes, c’est-à-dire si nous vivons en fonction de nos valeurs, et non à côté de celles-ci, alors nous faisons toujours de notre mieux et nous respectons ce que nous sommes profondément. À partir de ce moment-là, ce que l’autre pense de nous, CELA LUI APPARTIENT! Les commentaires qu’il peut faire sur nous parlent bien davantage de lui que de nous!

 

 

Nous ne pouvons ni prédire ni contrôler ses réactions, ses pensées, ses dires ou ses gestes. Nous réagissons et agissons tous en fonction de ce que NOUS sommes, et non en fonction de ce que l’autre fait, dit ou pense! Nous sommes chacun responsables de nos réactions, jamais de celles des autres.

 

 

Ainsi, ce que l’autre pense de nous n’est pas de nos affaires! Cela ne nous regarde pas, cela ne nous concerne pas : cela le concerne, LUI.

 

 

 

Nous ne pouvons pas plaire à tout le monde. Alors bien entendu, nous ne pouvons pas non plus contrôler leurs pensées ni leur opinion à notre égard.

 

 

Peu importe ce que nous ferons, nous ne pouvons pas empêcher les autres de penser ce qu’ils pensent de nous. Alors pourquoi s’en faire? Faisons de notre mieux, faisons ce qu’il faut pour être en paix et en harmonie avec nous-mêmes, et laissons les autres penser ce qu’ils veulent.

 

 

C’est une extraordinaire liberté le jour où ce que les autres pensent de nous ne nous préoccupe plus!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 avril 2018 7 22 /04 /avril /2018 10:30

 

 

 

 

 

 

Auteur: Little Butterfly

 

 

 

 

Vous touchez l’essentiel du bout de votre cœur… quand vous laissez un frémissement d’émerveillement se déployer au-dedans de vous tandis que vous vous attardez à contempler un ciel nocturne rempli d’étoiles plus brillantes les unes que les autres… un frémissement qui s’épanouit en vous… comme s’ouvre une rose ou comme s’éveille une troupe d’oiseaux… Vous touchez encore l’essentiel du bout de votre cœur… quand vous laissez une sensation de tendresse et de douceur s’écouler au-dedans de vous tandis que vous vous laissez surprendre par le spectacle d’un bataillon de papillons pressés d’aller d’un amas de fleurs odorantes à un autre amas de fleurs enivrantes… une sensation de tendresse et de douceur qui court en vous comme une onde de lumière qui se promène au ras de l’eau sur un lac paisible ou comme une chanson chargée d’amour maternel qui imprègne le sommeil d’un nouveau-né… Quelque chose de la Joie pure touche alors votre cœur comme du bout des ailes… et vous sentez la Joie qui vous invite à vibrer toujours plus intensément en elle…$

 

 

L’essentiel… c’est la Joie pure… Et aller vers l’essentiel… c’est œuvrer au-dedans de soi afin de vibrer toujours plus profondément et toujours plus intensément dans la Joie pure… Vous devez veiller à défaire de vos pensées et de vos émotions, les schémas de jugements qui créent dans votre mental et dans votre émotionnel comme des voiles et encore des voiles qui vous empêchent d’être intérieurement au contact des premières iridescences de la pure énergie et de la pure lumière de la Joie

 

 

Ne vous y trompez pas… rien d’autre que votre propre tendance à porter des jugements sur les choses et sur les personnes… rien d’autre que cela ne s’interpose en vous… entre votre sensibilité intérieure la plus profonde, et la Joie pure… Pour entrer intérieurement en contact avec la Joie pure… vous devez éveiller en vous le regard de simplicité et d’innocence de l’enfant divin que vous êtes… L’enfant divin regarde au-dedans de lui-même et il voit le mystère intérieur de la Lumière… Et l’enfant divin regarde tout autour de lui et il voit le mystère immanent de la Lumière… C’est la pureté de son regard divin qui lui révèle le chemin sensible vers la Joie pure… Allez vers l’essentiel… éveillez et cultivez en vous le regard lumineux de l’enfant divin que vous êtes.

 

Maître Kessani (maître de pratique solaire).

 

Auteur: Little Butterfly

 

Source

SESSIONS-DE-TRANSMISSIONS.com

 

 

 

http://www.choix-realite.org/7582/ressourcement-spirituel-quest-ce-que-lessentiel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 avril 2018 3 18 /04 /avril /2018 11:02

 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Oui, en effet, nous pouvons trop aider. Nous aidons trop quand nous pensons à la place de l’autre; quand nous croyons savoir mieux que lui ce qui est bon pour lui; quand nous aidons sans avoir été sollicités; quand nous répondons à une question qui ne nous a pas été posée; quand nous voulons à tout prix que l’autre fonctionne comme nous croyons qu’il devrait fonctionner ou qu’il fasse les choix que nous croyons meilleurs pour lui.

 

 

Nous aidons trop quand nous voulons préserver l’autre de faire des erreurs, alors que celles-ci sont fort probablement nécessaires pour sa propre évolution, tout comme elles l’ont été pour nous.

 

 

 

Nous aidons trop quand nous nous emportons parce que l’autre ne suit pas nos suggestions.

 

Nous voulons trop aider quand nous intervenons dans le cours de la vie de l’autre, fut-il notre enfant.

 

Nous aidons trop quand nous nous fâchons parce que l’autre ose penser différemment de ce que nos conseils prodiguent comme décisions à prendre.

 

Nous aidons trop quand nous ne nous mêlons pas de nos affaires, ce qui représente la plupart du temps ce que nous faisons!

 

 

Un bon indice pour savoir si nous aidons trop les autres, c’est d’être attentif à notre état émotionnel lorsque l’autre ne fait pas ce qu’on lui recommande!

 

 

 

Je remarque que parfois, à trop vouloir forcer pour empêcher l’autre de commettre une bévue, de se faire du mal, ou de retourner dans quelque chose qui n’est pas sain, on l’empêche probablement de faire une expérience dont il aurait vraiment besoin pour poursuivre son évolution. Lorsque je me rends compte que je suis peut-être en train d’empêcher l’autre de vivre ce qu’il a à vivre, alors je m’arrête et je comprends que la Vie sait mieux que moi ce dont l’autre a besoin. Qui suis-je, en effet, pour le priver d’une expérience bénéfique pour son évolution, même si cette expérience me semble néfaste pour lui? Cela m’aide à lâcher la pression et à accepter que le chemin de l’autre n’est pas le mien et que je ne dois pas intervenir avec sa destinée. Alors que nous occuper de notre propre destinée, c’est déjà du sport!

 

 

 

Nous devons faire confiance à l’autre, et à la Vie aussi, car chaque chose tombe toujours à la bonne place, quoi que nous en pensions. Nous ne savons pas ce que l’autre a besoin de vivre pour évoluer, alors ne nous mettons pas en travers de son chemin. Chacun vit ce qu’il a à vivre, au moment opportun, de la manière dont il peut le vivre. Ni notre opinion, ni notre expérience ne peuvent rien y changer.

 

 

Comme le phare sur son île, soyons là pour l’autre seulement quand l’autre a besoin de nous et qu’il nous en fait la demande, ou que nous lui demandons humblement s’il a besoin d’aide. Le reste n’est que notre ego qui se croit supérieur!

 

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 avril 2018 5 13 /04 /avril /2018 08:54

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

Lorsque nous connaissons des moments de bonheur intense, nous souhaitons tous que cela ne s’arrête jamais. Nous « travaillons » si fort pour vivre ces quelques instants de bonheur que nous avons l’impression de les mériter amplement. Nous les protégeons jalousement même si au fond de nous une petite voix nous murmure que ça ne durera pas!

 

 

Et puis tôt ou tard, il arrive un événement que nous jugeons plus ou moins grave, selon le cas, et qui semble venir faire contrepoids à notre bonheur « si chèrement gagné ». Parfois, cela survient immédiatement après un grand bonheur, comme pour prouver que cela ne pouvait pas durer, parfois l’événement peut survenir des heures ou des jours plus tard. Mais nous ne voulons surtout pas que notre bonheur s’éteigne. Nous avons envie de nous attacher désespérément à ce bonheur si furtif et dans lequel nous aimerions baigner toute notre vie. Pas vrai?

 

 

Et s’il en était ainsi? Et si nous pouvions, vraiment, vivre dans un état de bonheur pratiquement toute notre vie? Car il semble que nous ayons oublié que le bonheur n’est pas à l’extérieur de nous mais EN nous. Que nous portons le bonheur partout où nous allons et que RIEN ne peut nous l’enlever. Que si nous avons l’impression que notre bonheur s’éteint, c’est simplement que nous avons déplacé temporairement notre focus: nous nous mettons à regarder ce qui nous dérange plutôt que de rester DANS ce bonheur. Car le bonheur est un état qui nous habite en permanence. Mais trop souvent, nous l’ensevelissons sous des couches de problèmes que nous attirons à nous inconsciemment. Mais le bonheur est là, quand même.

 

 

Malgré nos croyances, notre religion, notre éducation, la société, notre culture, malgré tout cela, rien ne peut changer le fait que nous portons le bonheur en nous et nous y avons accès à chaque instant. Même quand ça va mal, même quand les autres nous déçoivent. Bien sûr, certaines expériences de vie peuvent nous faire oublier ce bonheur-là, en nous, pendant un certain temps tant leur intensité prend toute la place. Mais il suffit de savoir qu’il est toujours là, comme le ciel bleu est toujours présent au-dessus des orages et des nuages.

 

 

Rien ne peut nous procurer le bonheur, mais rien ne peut nous l’enlever non plus. Il est là, en nous, en permanence. C’est notre état naturel. Faisons-lui de la place pour qu’il puisse enfin envahir notre vie.

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 avril 2018 7 08 /04 /avril /2018 11:56

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

Comme chacun sait, l’être humain a des facultés physiques. Celles-ci concernent son corps et son aptitude à marcher, courir, grimper, sauter, ramper, nager, danser… Elles font intervenir le squelette, les muscles, les nerfs, etc., et sont régies par le cerveau. Nous possédons également des facultés sensorielles, en l’occurrence la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat, lesquelles sont reliées à une zone cérébrale chargée de répondre aux stimuli correspondants. D’une manière générale, ces facultés rentrent dans le cadre des fonctions dites psychomotrices pour les premières, et perceptrices pour les secondes.

 

 

 

Mais le cerveau est aussi le siège de nos facultés mentales. Parmi les plus importantes, je citerai le raisonnement, qui nous permet de réfléchir sur l’instant ; la mémoire, grâce à laquelle nous pouvons nous rappeler le passé ; et l’imagination, qui nous est utile, non seulement pour imaginer ce que bon nous semble et nous évader par la pensée, mais également pour prévoir l’avenir et l’anticiper. Ainsi, ces trois facultés mentales, que l’on qualifie également de «subjectives» en psychologie, couvrent les trois dimensions du temps : le passé, le présent et le futur.

 

 

Au-delà de nos facultés mentales, nous possédons des facultés que l’on peut qualifier de «transcendantales», «subliminales» ou, pour reprendre le terme de Sri Aurobindo, de «supra mentales». L’une des plus importantes est l’intuition, que nous avons tous expérimentée un jour ou l’autre. C’est cette faculté qui explique le fait que, soudainement, nous savons l’heure sans avoir regardé notre montre, qui nous a écrit une lettre que nous venons de recevoir avant même de l’avoir lue, qu’une amie est enceinte alors qu’elle l’ignore encore, qu’un événement s’est produit à tel endroit avant qu’il ne soit relaté, etc.

 

 

 

Étant donné que l’intuition n’est pas une faculté mentale, elle ne dépend pas du cerveau. On notera d’ailleurs qu’elle ne fait jamais appel au raisonnement. Les impressions qu’elle fait naître dans notre conscience sont aussi soudaines que fugitives, et toutes ont un caractère de vérité. Cela veut dire  qu’une intuition digne de ce nom ne peut être que bonne, en ce sens qu’une “mauvaise intuition” n’est pas une intuition, mais une idée qui, bien qu’apparemment intuitive, prend sa source dans un faux “micro” raisonnement.

 

 

D’un point de vue rosicrucien, l’intuition est une faculté spirituelle. Pour être plus précis, elle prend sa source dans la dimension la plus divine de notre âme, ce qui explique pourquoi elle a un caractère de vérité. Cela étant, elle ne se manifeste pas “naturellement” et doit donc être éveillée. Comment ? En la sollicitant régulièrement et en apprenant à tenir compte des impressions qu’elle génère en nous. Sachant qu’elle est aussi utile que la raison pour mener à bien notre existence, nous aurions tort de négliger cette faculté, à propos de laquelle Anne Barratin a déclaré :

 

«L’intuition est un éclair que Dieu (tel qu’on Le conçoit) nous prête.»

 

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-intuition/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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3 avril 2018 2 03 /04 /avril /2018 12:21

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

Bien peu d’entre nous admettrons que nous sommes porteurs de violence au fond de nous. La majorité d’entre nous nous offusquons à la vue de violences perpétrées dans le monde ou chez notre voisin. Nous sommes persuadées que nous ne ferions jamais de telles choses.

 

 

Pourtant, la violence prend toutes sortes de formes. Et si nous voulons la paix dans le monde, il est temps de voir et de soigner la violence que nous portons en nous quand :

 

• Nous jugeons ce que l’autre a fait

 

• Nous nous emportons parce que l’autre n’est pas du même avis que nous

 

• Nous faisons porter le poids de nos exigences sur nos enfants afin « qu’ils réussissent »

 

• Nous nous impatientons devant la lenteur de nos enfants le matin.

 

• Nous nous impatientons devant la lenteur ou la hardiesse d’un autre automobiliste.

 

 

Mais la violence la plus sournoise est celle que nous nous portons à nous-mêmes quand :

 

• Nous ne nous reposons pas tant que tout n’est pas parfait dans la maison.

 

• Nous sommes malades mais nous travaillons quand même.

 

• Nous sommes épuisés mais nous ne nous permettons pas de nous arrêter.

 

• Nous nous jugeons sévèrement quand nous ne sommes pas parfaits ou adéquats.

 

• Nous nous traitons de tous les noms quand nous oublions quelque chose.

 

 

• Nous ne sommes pas à l’écoute des signaux de notre corps

 

• Nous ne prenons pas soin de nous

 

• Nous nous poussons au-delà de nos limites

 

• Nous disons oui alors que nous voudrions dire non

 

• Nous nous engageons alors que tout ce que nous voulons c’est d’être tranquilles à la maison

 

• Nous ne nous permettons pas de nous faire plaisir parce qu’il y a des obligations à remplir

 

• Nous ne faisons pas les changements nécessaires alors que nous sommes malheureux dans une situation donnée.

 

 

Et je pourrais continuer ainsi longtemps. Nous nous traitons avec violence bien trop souvent! Et si nous commencions à nous traiter comme nous traiterions notre meilleure amie, ou notre enfant, ou un bébé? Et si notre mantra pour les prochains mois était le mot DOUCEUR écrit en toutes lettres partout dans notre environnement?

 

 

Pour faire cesser la violence dans le monde, cessons-la d’abord en nous. Car ce qui est à l’extérieur est comme ce qui est à l’intérieur. Mettons de la douceur dans nos vies, c’est le meilleur antidote à la violence.

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 mars 2018 5 30 /03 /mars /2018 10:32

 

 

Pour vous ce poème: de Marcel Pagnol

 

 

 

 

 

 

 

Voici venir Pâques fleuries,

Et devant les confiseries

Les petits vagabonds s'arrêtent, envieux.

 

 

Ils lèchent leurs lèvres de rose

Tout en contemplant quelque chose

Qui met de la flamme à leurs yeux.

 

 

 

Leurs regards avides attaquent

Les magnifiques œufs de Pâques

Qui trônent, orgueilleux, dans les grands magasins,

Magnifiques, fermes et lisses,

Et que regardent en coulisse

Les poissons d'avril, leurs voisins.

 

 

 

Les uns sont blancs comme la neige.

Des copeaux soyeux les protègent.

Leurs flancs sont faits de sucre. Et l'on voit, à côté,

D'autres, montrant sur leurs flancs sombres

De chocolat brillant dans l'ombre,

De tous petits anges sculptés.

 

 

 

Les uns sont petits et graciles,

Il semble qu'il serait facile

D'en croquer plus d'un à la fois ;

Et d'autres, prenant bien leurs aises,

Unis, simples, pansus, obèses,

S'étalent comme des bourgeois.

 

 

 

Tous sont noués de faveurs roses.

On sent que mille bonnes choses

Logent dans leurs flancs spacieux

L'estomac et la poche vides,

Les pauvres petits, l'œil avide,

Semblent les savourer des yeux.

 

 

 

 

 

DIAPORAMA

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26 mars 2018 1 26 /03 /mars /2018 18:25

 

 

 

 

« Ne parle pas.

Laisse le silence venir,

Les mots disent si peu de choses

Ils ne savent que faire du bruit.

 

« Le silence, le plus grand luxe actuel. » 

 

« Dans le silence et la solitude on n’entend plus que l’essentiel. »

 

« Le silence est le contraire du néant : il est plénitude de vie. »

 

« Si le silence nous pèse, c’est que nous en avons terriblement besoin. »

 

 

« Ils ne savent pas tout ce qu’ils perdent ceux qui ne savent pas écouter le silence. »

 

 « L’homme courageux n’est pas celui qui n’a jamais peur. C’est celui qui accepte de faire le silence en lui. »

 

« Les gens qui parlent bien sont assurément fort rares ; plus rares pourtant encore sont ceux qui savent se taire ; mais infiniment plus rares, entre tous, ceux qui sont assez maîtres d’eux-mêmes pour ne par interrompre et laisser parler. »

 

« Ecouter, c’est donner ; voilà pourquoi l’on aime qui écoute ; mais écouter, c’est se donner : voilà pourquoi les bons écouteurs sont rares. »

 

« Le vrai silence n’est pas absence de bruit, mais présence de Dieu. »

 

« Ce n’est pas Dieu qui est silencieux, c’est nous qui sommes sourds. »

 

« Nous croyons trop souvent que Dieu n’écoute pas nos questions, c’est nous qui n’écoutons pas ses réponses. »

 

http://www.philosophie-poeme.com/

 

 

Vidéo :    Sound of Silence

 

 

Mettez le son  et écran plein,  détendez vous avec ces belles images

  UN  GRAND MOMENT ... mais  avec  le   son

 

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20 mars 2018 2 20 /03 /mars /2018 09:51

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Dans la Vie, certaines questions sont parfois inutiles : pourquoi ça m’arrive à moi? Pourquoi dois-je vivre ça? Pourquoi n’ai-je pas eu une enfance heureuse? Comment ça se fait que tu veux me quitter?

 

 

« Pourquoi moi » ne nous donne JAMAIS de réponse valable et nous maintient dans la souffrance.

 

 

Pourtant les mêmes questions posées au bon moment peuvent faire une différence positive dans notre vie. Et ce, que ce soit en amour, en amitié, en famille ou en affaires.

 

 

Ainsi, si nous nous appliquons à demander « Pourquoi » quand ça va bien, nous saurons ce qu’il faut faire pour que cet état de bien-être puisse nous accompagner plus longtemps. Par exemple : « Pourquoi sommes-nous si bien ensemble? » nous permet de conscientiser et de mettre en mots ce qui fait qu’effectivement nous sommes si bien ensemble : parce que tu m’écoutes; parce que nous avons toujours plein de petites attention l’un pour l’autre; parce que tu me respectes; parce qu’on se laisse libres; parce qu’on partage les mêmes valeurs… Toutes ces réponses nous serviront à nous améliorer, à renforcer les points positifs, surtout dans les moments où ça ira moins bien.

 

 

Dans ces moments où ça ira moins bien, ce sera le temps d’utiliser le « Comment? » Comment pourrions-nous nous y prendre pour traverser cette période plus difficile? Comment pourrais-tu faire pour obtenir de meilleurs résultats? Comment puis-je t’aider à ce moment-ci? Comment aurais-je dû m’y prendre pour ne pas te faire de la peine? Comment puis-je faire pour que tu te sentes davantage respecté?

 

 

Évitons de poser les mauvaises questions aux mauvais moments!

 

 

Utilisons « Pourquoi » quand ça va bien et « Comment » quand ça va moins bien. Une technique simple, sans doute, mais qui permet d’éviter bien des disputes!

 

 

www,dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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