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31 octobre 2019 4 31 /10 /octobre /2019 09:38

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

Plusieurs d’entre nous avons été affectés récemment par le décès ou la maladie de gens proches, de personnalités que nous admirions, de personnes que nous connaissions. Chaque fois, nous encaissons le choc, avec plus ou moins d’intensité, selon l’importance que la personne avait dans notre cœur.

 

 

J’entends souvent des gens dire qu’ils ont peur de mourir. Mais je vois surtout des gens qui ont peur de vivre! La mort est la seule certitude que nous puissions avoir, tandis que la Vie nous est redonnée à chaque instant, mais nous oublions trop souvent de l’apprécier à sa juste valeur.

 

 

Pourtant, confrontés de près à la mort, l’humain devient plus sensible à la Vie et développe davantage son appétit de vivre. Il redécouvre les choses simples, réapprend à voir la beauté de la nature, à réentendre le rire des enfants, à apprécier la bonne compagnie autour de petits plaisirs simples, juste dans la joie d’être dans le moment présent.

 

Les gens qui ont vécu une expérience de mort imminente (NDE) reviennent avec un appétit de vivre encore plus grand que tout ce qu’ils avaient connu jusqu’à présent, se délestant de tout ce qui nuit à leur bien-être, recherchant la simplicité et la légèreté et comprenant mieux à quel point nous nous éloignons trop souvent de l’essentiel en nous dispersant dans tous les sens plutôt que de nous en approcher, en revenant au cœur de soi.

 

Pour avoir accompagné des patients en phase terminale pendant plusieurs années, je peux vous affirmer que les petits irritants de notre vie quotidienne nous apparaissent bien futiles en comparaison de ce que la Vie nous enseigne jusqu’à nos derniers instants. Nos valeurs changent, nos priorités aussi, notre amour devient inconditionnel.

 

 

Alors qu’attendons-nous? Il n’est pas nécessaire de vivre des drames pour réapprendre à vivre plus sainement, plus intensément, plus simplement.

 

 

Qu’est-ce qui vibre en nous? Ce que nous portons au fond de notre âme nous porte aussi dans notre vie. Faisons de la place pour que ces dons, ces talents, ces aspirations qui nous animent deviennent vivants pour que nous puissions les partager avec les autres et ainsi inspirer chacun à suivre sa voie, son élan intérieur, son propre chemin lumineux.

 

 

Apprenons à nous écouter pour que notre peur de vivre se transforme en joie de vivre, en élan vital. Débarrassons-nous de ce qui nous nuit, de ce qui nous pèse, éloignons-nous de ce qui nous est toxique, simplifions notre vie, cessons d’accumuler et apprenons à voyager léger. Ne laissons pas les autres nous abattre, cessons d’être sévères envers nous-mêmes. Acceptons que faire de notre mieux soit toujours ce que nous pouvons faire de mieux. Délestons-nous de la culpabilité de ne pas sembler parfaits.

 

 

Faisons en sorte qu’au dernier jour de notre vie nous ayons la satisfaction d’avoir vécu une vie bien remplie, d’avoir suivi nos élans intérieurs, d’être en paix avec notre vécu et d’être heureux de tout ce qui nous a été donné. Pas de regrets, pas de rancunes qui traînent et nous alourdissent, juste le bonheur de pouvoir se dire à la fin : « J’ai appris à m’aimer, j’ai appris à aimer, j’ai appris à vivre jusqu’au bout ».

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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26 octobre 2019 6 26 /10 /octobre /2019 08:28

 

TEXTES DE MIKAEL AIVANOF

 

Chaque maison, chaque bâtiment est surmonté d’un toit. Dans le langage éternel des symboles, le toit représente le monde de l’esprit, et chacun doit se mettre sous l’inspiration de l’esprit pour ne pas se laisser gagner par le désordre et la confusion.

 

Lorsque des troubles éclatent autour de vous ou en vous-même, efforcez-vous de monter sur votre toit et de vous y maintenir ; c’est-à-dire réfléchissez, raisonnez, liez-vous au monde divin, afin de trouver la paix et la lumière.

Alors seulement vous y verrez clair et vous saurez les décisions à prendre.

Quels que soient les dangers physiques ou psychiques auxquels nous pouvons être exposés, c’est en montant sur le toit, en nous projetant dans le monde spirituel, que nous avons les plus grandes chances de trouver les solutions pour agir efficacement dans la matière.

 

La matière, elle, ne nous assure jamais tout à fait le salut. Les bonnes conditions matérielles ont leur utilité, mais même les plus favorables ne nous mettent pas définitivement à l’abri.

Et cela va même plus loin, car si nous n’avons pas recours à l’esprit pour découvrir la meilleure manière d’utiliser des conditions matérielles favorables, elles peuvent se retourner contre nous.

https://www.choix-realite.org

 

 

 

 

 

 

 

 

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19 octobre 2019 6 19 /10 /octobre /2019 08:51

 

Texte d’Yvette Lunalou

 

Lorsque nous sommes confrontés à une épreuve assez importante ou à un flot de problèmes, ou encore lorsqu’il y a beaucoup de travail en attente, un grand public qui attend notre service, un grand rangement à faire ou autre chose à créer qui parait insurmontable, si nous regardons l’immensité de la tâche, l’idée même de tout ce qui est à accomplir absorbe une grande partie de notre énergie.

Et souvent, nous ne savons pas comment commencer et parfois, abandonnons même avant d’avoir débuté. Quelquefois, le courage de la nouveauté nous permet de réaliser le début mais l’ampleur de la tâche nous épuise.

Nos pensées, émotions, actions et croyances créent notre vie.

Et parfois, elles créent une montagne de soucis qui peut paraître insurmontable.

 

Si nous sommes fatigués, vivons un stress, des difficultés, un choc… le taux énergétique baisse et entraîne une perte de données de créations.

A cela existent plusieurs solutions qui peuvent aider de manière simple.

Au lieu de s’épouvanter à regarder le sommet de la montagne à atteindre, il est préférable de la gravir pas par pas, tout en ayant l’assurance joyeuse que le sommet nous fera vivre un moment inoubliable.

C’est l’enthousiasme qui nous porte. Chaque marche rapproche de ce sommet et permet de découvrir un nouvel horizon.

 

S’il y a un long chemin à parcourir, au lieu de regarder combien de kilomètres ont été parcourus et combien il reste à faire, occuper le moment présent de manière agréable peut permettre de passer ce temps rapidement.

On peut, par exemple, bénir et remercier toutes les personnes qui ont contribué à construire la route, les ponts, les tunnels… remercier la nature pour les plantes et arbres qu’elle offre. Trouver des choses positives bien entendu !

 

C’est aussi un temps idéal pour prier, pour vibrer ses phrases positives, pour chanter…

 

Le fait de vivre le moment présent de manière utile est un bienfait à s’offrir.

 

S’il y a beaucoup de personnes qui attendent votre service, au lieu de voir la foule, imaginez que c’est dieu qui vient nous rendre visite, et occupez-vous de ‘lui’ personne par personne en donnant le meilleur de ce que vous pouvez. Une par une…

 

Action par action, le puzzle se forme et le résultat peut être atteint plus facilement et consciencieusement.

 

Être dans l’instant présent, conscient de ce qui est en marche est une force essentielle pour vivre réellement dans la maitrise de sa vie.

 

Ce qui peut donner une force incroyable, est de se centrer dans le cœur et de demander l’assistance de son être supérieur, des guides, des anges et la force des rayons sacrés. Cet afflux énergétique est d’un grand secours et souvent des réponses toutes simples apparaissent.

 

Il est bon aussi de monter son taux énergétique en mangeant plus naturel, en supprimant graisses, sucres, alcool, cigarettes, médicaments et autres déstabilisateurs vibratoires.

 

De faire de l’activité physique, de lire des livres positifs, rire, chanter, danser, faire ce qui nous fait du bien et surtout se reposer !

 

Tout peut être atteint, en conscience et avec amour, et seulement marche par marche.

Que le meilleur soit !

 

https://www.quelemeilleursoit.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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12 octobre 2019 6 12 /10 /octobre /2019 08:10

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

Avez-vous l’impression de vivre dans l’abondance ou dans le manque? Avez-vous tendance à regarder ce que vous avez ou plutôt ce qui vous manque?

 

Dans notre culture occidentale, l’abondance se traduit souvent par aisance financière, possession de biens matériels. Beaucoup de gens aimeraient vivre dans cette abondance et sont prêts à faire bien des choses pour y arriver.

 

 

Pourtant, l’abondance est présente dans toute vie. L’abondance EST la Vie, c’est notre droit à tous. Nous oublions toutefois de voir l’abondance sous ses différentes formes et souvent nous focalisons là où se situe le manque, selon nous. Pour cesser d’accorder trop d’importance au manque, nous pourrions nous faire un petit journal de l’abondance, où chaque jour, nous noterons comment l’abondance est entrée dans notre vie aujourd’hui :

 

 

• L’abondance en amitiés, avec les amis qui nous soutiennent ou nous font rire (et encore mieux ceux et celles qui font les deux à la fois!)

• L’abondance de nos liens familiaux, qu’ils soient de naissance ou choisis par la suite

• L’abondance de la santé, même si nous sommes malades, certaines parties de nous sont en santé

• L’abondance dans le fait d’avoir un toit sur la tête, de l’eau pour boire, de l’eau chaude pour prendre une douche, un repas sur la table

• L’abondance de pouvoir travailler, même si notre salaire est minime

• L’abondance de la santé mentale, malgré certaines difficultés occasionnelles

• L’abondance des fleurs qui s’offrent à nous partout en cette belle saison

• L’abondance des oiseaux, de leurs couleurs, de leur chant, de leur variété

• L’abondance de toutes les belles choses que nous pouvons voir, entendre, sentir, goûter, toucher

• L’abondance de l’Amour, sous toutes ses formes, dans toutes occasions et en tous lieux.

 

 

Plus souvent nous noterons comment l’abondance est présente sous différents aspects dans notre vie, plus nous attirerons l’abondance, car nous serons à l’affût de toutes ses manifestations dans notre vie. N’est pas merveilleux? Ainsi, nous ne nous concentrerons plus sur le manque, mais sur l’abondance!

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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5 octobre 2019 6 05 /10 /octobre /2019 08:40

 

Extrait de "La liberté dans les relations affectives", par Colette Portelance

 

 

« L'oubli de soi est une des plus importantes conséquences du manque d'écoute de ses peurs et de ses besoins, du manque d'attention à ce qui se passe en soi. Il entraine une incapacité à être en relation authentique et crée des relations plutôt superficielles où chacun dépense son énergie à s'occuper de l'autre pour ne pas souffrir, ce qui cause, à la longue, des souffrances beaucoup plus grandes. En effet, celui qui s'oublie ne donne pas d'importance à ses désirs, à ses besoins et à ses émotions; par conséquent la personne qu'il aime ne lui accordera pas la reconnaissance dont il a besoin puisqu'il ne se la donne pas lui-même. Se sentant négligé, il aura peur d'être abandonné. Malheureusement, sa peur n'est pas sans fondement puisque, très souvent, les personnes qui s'oublient elles-mêmes sont aussi abandonnées par les autres. De plus, elles sont d'autant plus démunies qu'elles se trouvent constamment dans des relations où elles finissent par être délaissées sans vraiment savoir pourquoi. Elles ont pourtant tout donné, tout concédé, tout sacrifié; elles ont abdiqué, lâché, renoncé pour sauver la paix et pour ne pas perdre.

 

Comme l'altruisme, le don de soi et l'abnégation ont été largement valorisés par la culture judéo-chrétienne, les notions d'amour de soi et d'écoute de soi y étant souvent synonymes d'égoïsme. En conséquence, plusieurs personnes sont incapables d'accueillir attention et reconnaissance et de s'occuper de leurs besoins parce qu'elles se sentent coupables, incorrectes, voire fautives.

 

Il n'y a pas de véritable amour de l'autre sans amour de soi. Celui qui donne sans penser à lui-même est généralement mené de l'intérieur par des émotions désagréables, souvent subtiles, qu'il n'a pas identifiées telles, la peur, la culpabilité, l'insécurité. Son élan vers l'autre, son don de soi n'est pas de l'amour réel mais plutôt un moyen de dissiper ses propres malaises. Alors, ce qui semble être de l'altruisme est, en fait, de l'égoïsme.

 

Notre éducation a favorisé les introjections à propos de l'altruisme et de l'égoïsme qui nous empêchent d'être nous-mêmes et qui déforment le véritable sens de l'amour. Si nous nous occupons des besoins de l'autre parce que nous avons peur de le perdre ou parce que nous nous sentons coupables ou tout simplement parce que nous ne voulons pas paraître égoïstes, notre action devient un moyen défensif de nous occuper de nous, un moyen de ne plus sentir la peur et la culpabilité, une sorte de pansement qui ne guérit rien parce que ce qu'il tente de cacher n'est pas le véritable problème. En attirant l'attention sur l'extérieur pour dissiper une souffrance intérieure inconsciente, nous n'agissons en aucune façon sur cette souffrance. Au contraire nous l'abandonnons pour nous centrer sur l'autre. Nous manquons ainsi d'amour pour nous-mêmes et notre élan pour l'autre nait de la peur plutôt que d'un sentiment d'amour véritable.

 

En identifiant la peur, la culpabilité ou l'insécurité nous pouvons l'exprimer ou la gérer plutôt que de prendre inconsciemment des moyens détournés pour ne plus la sentir et ainsi fausser la relation. C'est cette conscience de notre vécu et de nos besoins qui nous donne la liberté de régir nos réactions et qui nous permet de développer l'amour de nous-mêmes sans lequel nous ne pouvons éprouver d'amour réel pour les autres.

 

Nous aimer nous-mêmes, c'est ne pas nous oublier, ce qui demande beaucoup de vigilance par rapport à notre vécu, notre éducation nous ayant fourni de nombreux pièges qui nous mènent à nous oublier pour éviter de souffrir. L'un de ces pièges est le non-dit. Par peur de blesser, de déranger, de déplaire, de perdre, d'être jugé, ridiculisé, critiqué, par peur du conflit, combien de personnes s'empêchent de dire leurs besoins, de dire leurs émotions, de dire la vérité ? Savent-elles que le non-dit crée une distance et une insécurité et que, par conséquent, il finit par briser les liens qui les unissent à ceux qu'elles aiment ? D'autres personnes, menées par l'anxiété, la pitié et la culpabilité inconscientes, s'oublient en prenant en charge les souffrances, les problèmes et les comportements des autres ou en contrôlant leurs émotions et leurs actions en essayant de les changer. Et que dire de celles qui, pour avoir la paix à tout prix, nient complètement leurs valeurs, leurs rêves, leurs désirs et de celles qui disent toujours « oui » à l’autre pour ne pas qu'il se sente rejeté ? Sont-elles conscientes qu'elles se rejettent elles-mêmes et qu'elles risquent un jour d'être rejetées parce qu'elles ne se donnent pas assez d'importance pour attirer le respect et l'amour ?

 

Dirigées par des peurs, des culpabilités et des insécurités inconscientes, les personnes qui s'oublient elles-mêmes en ne se donnant pas de place à leur vécu émotif, se condamnent à la perfection et ne se permettent pas l'erreur. Il est plus important pour elles d'être correctes que d'être authentiques, de dépasser leurs limites physiques et psychiques que de se respecter, ce qui fait qu'il n'y a pas de place dans leur vie pour le plaisir, le jeu, la joie, la créativité, la liberté. Elles sont emprisonnées par l'inconnu qui les habite. Démystifier cet inconnu, c'est se donner du pouvoir sur sa vie.

 

 

Ne plus nous oublier, c'est nous donner le droit de dire « non », le droit d'être nous-mêmes, le droit de respecter nos valeurs en de réaliser nos rêves. C'est aussi accepter que nous avons parfois besoin d'aide et que nous avons besoin de temps pour apprendre à nous aimer, à nous respecter et, par conséquent, à offrir aux autres un amour vrai, libéré de cette forme aliénante d'altruisme qui nous empêche d'exister pleinement et d'avoir du pouvoir sur notre vie »

 

 

http://alteretego.canalblog.com/archives/2010/08/19/18842940.html

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 06:47

 

 

L’automne, une saison riche en couleurs
Une saison qui nous charme par sa douceur
On ne le dit pas assez souvent
Un automne c’est plus beau qu’un printemps.

Sans doute la saison la plus joyeuse
Sans nous tromper, la plus généreuse
Elle réunit les meilleures conditions
Pour que l’on puisse faire la moisson

Si hier, c’était la fin de l’été
On fait place à une saison pleine de beautés
On voit tomber les feuilles, elles se transforment
On les voit alors qui tourbillonnent


L’automne, c’est tellement joli
Comme cette autre saison de notre vie
Durant les premières on avait trimé
On peut aujourd’hui nous reposer

Et de la vie voir toutes ces fleurs
Qu’on avait semées dans le bonheur
Bien sur que des feuilles tomberont
Quand de nouvelles apparaîtront
Il y aura aussi de belles journées

Ou nous serons très contents d’exister
Durant ces jours on voudra encore sourire
Et nous rappeler plein de souvenirs

 

Texte Claude Marcel Breault

 


 

 

L’Abbé Pierre

Quatre choses que tu ne peux pas récupérer;  

 

Le caillou --- après l'avoir lancé

Le mot --- après l'avoir dit

l'occasion --- après l'avoir manquée.

Le temps --- après qu'il soit passé.

 

Alors, cultive tes Amis ...

On a toujours besoin d'eux!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 septembre 2019 6 21 /09 /septembre /2019 08:23

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

Il est difficile pour beaucoup de personnes de s’affirmer dans certaines situations. Souvent, nous avons peur de mal paraître, de passer pour une personne exigeante ou désagréable, de passer « pour les méchants » si nous osons nous exprimer fermement, ou dire non.

 

 

Au fond, c’est la peur de ne pas être aimés qui limite notre capacité d’affirmation. Et cette peur de ne pas être aimé provient directement de notre manque d’estime de nous, d’amour de nous-mêmes.

 

Mais heureusement, nous avons aussi, pour la plupart, le goût d’être vrais, d’être authentiques, de ne pas mentir, de nous respecter. Mais comment y arriver si nous n’osons pas nous dire?

 

La difficulté que nous avons à nous affirmer peut être confrontée à notre désir d’être vrais. Si nous sommes profondément engagés envers nous-mêmes à être authentiques, à être vrais, à ne pas mentir, alors nous aurons une assise solide pour nous affirmer et le dire lorsque quelque chose ne nous plaît pas. Car chaque fois que nous disons « non, ça ne me dérange pas » alors qu’au contraire, cela nous dérange, nous mentons à l’autre… et nous nous mentons. Ainsi, dans ces cas où nous nions nos besoins, nous ne sommes ni vrais, ni authentiques.

 

En faisant de l’authenticité une de nos valeurs fondamentales, il est beaucoup plus facile d’apprendre à nous affirmer, car si nous ne le faisons pas, nous trahissons notre valeur de base. Tandis qu’en nous affirmant, nous sommes cohérents avec nous-mêmes.

 

Et le plus beau dans tout ça, c’est qu’à partir de nos toutes premières affirmations, lorsqu’on se rend compte que le monde n’arrête pas de tourner si nous disons non, que l’autre continue de nous aimer même si nous exprimons notre désaccord, nous nous donnons des ailes pour poursuivre le développement de notre capacité de nous affirmer. Chaque fois est plus facile que la précédente. Alors, on essaie?

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 08:18

 

Texte de Diane Gagnon –

                            

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

En fait, est-ce que toutes vos relations vous nourrissent? Qu’elles soient d’amitié, d’amour, sociales, professionnelles.

 

Bien entendu, beaucoup de nos relations sont stimulantes. Certaines personnes nous font grandir, nous inspirent, nous animent, nous stimulent à nous réaliser pleinement. D’autres nous supportent inconditionnellement, nous aiment de même manière et représentent souvent des piliers stables dans notre vie. Dans d’autres cas, c’est nous qui apportons de l’espoir, de la vie à certaines de nos relations que nous chérissons et dont nous avons envie de prendre soin, par le lien de cœur qui nous unit.

 

Mais comme nous évoluons, les autres évoluent aussi, et changent. Parfois, les intérêts s’éloignent tellement que les rencontres ne sont plus aussi intéressantes qu’avant. Parfois, les non-dits empiètent sur le terrain de l’amitié. D’autres fois, nous avons l’impression de ne plus nous reconnaître dans ces liens qui nous unissaient. Nous nous éloignons sans le vouloir. Souvent, nous tentons de maintenir coûte que coûte la relation, surtout en raison des années passées ensemble. Mais quand on a l’impression de s’ennuyer en compagnie de ces personnes ou pire, qu’on se sent irrités sans trop savoir pourquoi, alors il est peut-être temps de revisiter ce lien que nous maintenons en vie parfois malgré lui.

 

 

Tout passe, tout change, tout se transforme. Les relations aussi. Il n’y a ni coupable ni victime dans cet état de fait : seulement deux personnes qui ne se retrouvent plus aussi bien qu’avant, seulement des divergences d’intérêt, d’opinion, d’évolution. Et c’est tout de même parfait ainsi. Avec un peu de maturité, nous pouvons même avoir cette discussion franche avec l’autre personne, mettre fin à la relation, même si c’est temporaire, et la remercier pour ces beaux moments passés avec elle.

 

L’important c’est de ne pas laisser s’envenimer des relations autrefois agréables. Il vaut mieux garder de bons souvenirs des relations qui s’espacent que de les maintenir à tout prix, se faisant violence et se privant ainsi de ce temps précieux pour développer des relations plus en affinités avec ce que nous sommes maintenant.

 

Toutes les relations nous servent à grandir. Elles ont toutes un rôle merveilleux à jouer dans notre vie. Ce rôle dure quelques jours, quelques mois, parfois des années. Parfois presque toute la vie aussi. Mais il faut savoir reconnaître quand il est temps de nous libérer mutuellement de relations qui ne nous nourrissent plus, de manière à faire plus de place, chacun, pour ce qui poursuivra le rôle de contribuer à notre évolution mutuelle.

 

 

Il arrive aussi que des chemins se recroisent, riches des expériences passées depuis la dernière rencontre, et qu’une relation se remette en marche avec bonheur, pour poursuivre un autre bout de route ensemble. Il arrive aussi que certaines relations, aussi fulgurantes qu’intenses et brèves, viennent bouleverser le cours des choses dans notre vie et sont tout aussi importantes, sinon plus, qu'une relation de plusieurs années.

 

L’impact de nos relations ne se mesure pas à leur durée, mais à ce qu’elles nous auront appris mutuellement.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 08:45

 

 

 

LE BISTROT DE LA ROSE CROIX

S'il est un sujet incompris, c'est bien celui de la spiritualité!

Et pour cause: elle ne peut que difficilement être comprise puisqu'elle n'appartient pas au monde mental!

Et elle n'appartient pas non plus au monde émotionnel...

Le monde s'illusionne généralement à son sujet et aurait tendance à la confondre avec la démarche du mysticisme.

Un mystique est en réalité un myste, un étudiant d'écoles de Mystères, mais cette étude ne lui garantit pas l'accès à la spiritualité de la même manière qu'un connaisseur des auto-écoles de son secteur ne sait pas forcément conduire.

Il faut de la sincérité, de l'implication, de l'audace...

 

La spiritualité pourrait se définir comme une ascension cosmique, mais ce n'est pas une qualité ou une propriété du corps physique.

L'idéal étant naturellement d'entretenir un corps en bonne santé, mais un corps physique dans un très mauvais état peut encore permettre des expériences spirituelles.

Mais par exemple, on ne peut améliorer son état spirituel par la nourriture: il n'y a pas de nourriture psychique à cet effet.

C'est clair: aucun régime spécial, aucune drogue, ne peut assurer le développement psychique.

Certes un régime bien équilibré maintient la santé, le bien être et l'harmonie du corps et de l'esprit, ce sont des facteurs favorables à une progression psychique mais ce n'est pas la nourriture par elle-même qui affecte la nature spirituelle.

 

Certains produits, certaines plantes peuvent provoquer artificiellement des perturbations ou des inhibitions d'une partie de la conscience mais en aucun cas, ils ne fournissent les clefs du monde cosmique.

L'étudiant du mysticisme par sa progression graduelle parvient à vivre la fameuse Paix Profonde.

Lorsqu'il accède enfin à la spiritualité, il éprouve la Joie Ineffable!

 http://www.lebistrotdelarosecroix.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 août 2019 6 31 /08 /août /2019 09:09

 

 

Chers et chères abonnés

 

Bonjour à chacune et chacun de vous .

 

Ravie de vous retrouver pour une nouvelle année de textes à méditer ou qui demande réflexion sur sois.

 

Un bisous virtuel à vous tous . 

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon - Auteur,

 

 Coach, Conférencière

 

 

 

Avez-vous de la difficulté à prendre votre place? À mettre vos limites? À dire non?

 

Avez-vous tendance à faire passer les besoins des autres avant les vôtres?

 

Vous sentez-vous parfois investi d’une mission qui consiste à sauver les autres, à les aider parfois même au détriment de votre bien-être ou de votre santé?

 

Vous mettez-vous rarement en colère, ou presque jamais, et avez-vous tendance à vouloir excuser l’autre rapidement pour ne pas ressentir votre colère ou votre souffrance?

 

 

Peut-être même, parfois, quand vous n’avez pas la reconnaissance souhaitée ou que votre vie ne ressemble pas à ce que vous voulez, vous vous demandiez ce que vous faites ici?

 

Si l’une ou l’autre de ces questions trouvent écho en vous, alors peut-être croyez-vous inconsciemment que vous devez « mériter » le droit d’exister…

 

C’est souvent le cas si vous étiez un enfant non-désiré par l’un de vos deux parents. Ou si vous avez été abandonné très jeune. Ou si le fait d’avoir une bouche de plus à nourrir rendait la situation financière précaire de vos parents encore plus difficile. Ou si vous deviez être parfait pour que vos parents vous voient, ou vous aiment. Ou si…

 

Peu importe la raison à l’origine de cette fausse croyance, elle s’est peut-être inscrite en vous très jeunes, à votre insu et s’est enfouie tellement profondément dans votre subconscient qu’aujourd’hui encore vous ne l’avez pas débusquée.

 

 

Souvent, nous fonctionnons par automatisme, réagissant toujours de la même façon aux situations déplaisantes que nous rencontrons sans comprendre que notre réaction est justement ce qui nous fait souffrir car elle nous indique qu’une blessure a grandement besoin d’être soignée.

 

Tant que nous ne débusquerons pas cette fausse croyance, nous resterons bloqués dans certaines zones d’apprentissages inconfortables.

 

 

Personne n’a à mériter son droit d’exister. Personne ne doit avoir à faire ses preuves pour démontrer son droit de vivre. Même si nous n’étions pas un enfant désiré par nos parents, la Vie nous désirait, elle, puisque nous sommes ici aujourd’hui.

 

Maintenant, il nous reste à apprendre à nous aimer vraiment, doucement, un pas à la fois. À cesser de vouloir nous justifier sur tout. À apprendre à être bienveillants

 

pour nous-mêmes en respectant nos besoins et nos choix. À faire la paix avec notre passé. À accueillir cette Vie qui nous est offerte jour après jour et à lui donner un sens qui nous aidera à faire pousser nos racines afin que nous soyons fermement incarnés dans notre corps, sur cette terre.

 

 

Peut-être que certains d’entre nous n’ont pas eu les parents qu’ils auraient souhaités avoir. Mais ces parents ont fait ce qu’ils avaient à faire : nous DONNER Vie!

 

La vie nous est donnée! Nous avons tous le droit d’exister! Nous n’avons pas à travailler comme des insensés pour la mériter. Accueillons-la comme le plus grand cadeau que nous puissions recevoir et surtout, soyons-en reconnaissants.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

Vidéo : musique indienne de relaxation , superbe

 

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