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18 février 2020 2 18 /02 /février /2020 09:10

Bonjour mes chers abonnés

 

spécialement  aujourd'hui je vous envois le texte car je rentre à l’hôpital pour quelques jours . 

 

J’espère que vous recevez le mail vous disant qu'il y un nouveau texte , ce qui n'est pas souvent le cas.

Si vous recevez ce mail , sachez que je met le texte tous les samedi.

 

A très bientôt à vous tous.

 

Micheline  

 

TEXTES DE MIKAEL AIVANOF

 

 

Considérer que la communion se célèbre uniquement dans une église ou un temple, c’est en limiter le sens. Il faut désormais donner à cet acte un sens plus large, plus vaste.

 

Car la communion est la condition même de la vie. Manger, boire, mais aussi respirer, marcher, regarder, écouter, aimer, travailler et chercher à entrer sans cesse en relation avec toutes les créatures et les forces vivantes de la nature, c’est cela aussi communier.

 

 

Tous les actes de la vie quotidienne peuvent devenir pour nous des occasions de vivre des états de conscience magnifiques qui sont des formes de communion. C’est même toutes ces formes de communion qui donnent ensuite un sens à la communion des chrétiens.

 

Le jour où nous comprendrons la communion dans sa véritable dimension, sa dimension cosmique, dans toutes les régions de notre être nous sentirons circuler des courants d’énergies abondantes et pures, et nous saurons ce qu’est la vie éternelle qui n’a ni commencement ni fin.

https://www.choix-realite.org

 

 

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 10:20

 

TEXTES DE MIKAEL AIVANOF

 

 

Vous devez comprendre le silence comme la condition absolue pour la véritable parole, les véritables révélations. Dans le silence, vous sentez peu à peu des messages qui vous parviennent, une voix qui commence à vous parler.

C’est elle qui vous prévient, vous dirige, vous protège… Si vous ne l’entendez pas, c’est que vous faites trop de bruit, non seulement dans le plan physique, mais aussi dans vos pensées et vos sentiments. Pour que cette voix vous parle, vous devez installer le silence en vous.

On appelle parfois cette voix « la voix du silence », c’est même le titre de certains livres de la sagesse orientale. Quand le yogi arrive à tout apaiser en lui et même à arrêter sa pensée – parce que dans son mouvement, la pensée, elle aussi, fait du bruit – il entend alors cette voix du silence qui est la voix même de Dieu.

https://www.choix-realite.org

 

Vidéo de Michel Pépé

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8 février 2020 6 08 /02 /février /2020 10:08

 

Article paru dans Non-violence actualité.

 

 

Écouter est, peut-être, le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un.

 

C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là, tu vas m'enrichir car tu es ce que je ne suis pas . . . Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par une autre !

 

Écouter, c'est commencer par se taire. . .

 

Avez-vous remarqué combien les « dialogues » sont remplis d'expressions de ce genre : « C'est comme moi quand. . . », Ou bien « ça me rappelle ce qui m'est arrivé. . . ». Bien souvent, ce que l'autre dit n'est qu'une occasion de parler de soi.

 

Écouter, c'est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser habiter par l'autre. C'est accepter que l'autre entre en nous-même comme il entrerait dans notre maison et s'y installerait un instant, en prenant ses aises.

 

Écouter, c'est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l'autre. C’est comme une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.

 

 

Écouter, c'est ne pas chercher à répondre à l'autre, sachant qu'il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C'est refuser de penser à la place de l'autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

 

Écouter, c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être. C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l'autre le temps et l'espace de trouver la voie qui est la sienne.

 

 

Écouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s'en libérer.

 

Apprendre à écouter quelqu'un, c'est l'exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses...

 

 

Écouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a, peut-être, encore jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse. C'est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c'est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c'est devenir poète, c'est-à-dire sentir le cœur et voir l'âme des choses.

 

À celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant, il commence à découvrir l'infini qui vit à la fois la richesse et l'originalité de l'autre. C'est alors qu'il entrevoit combien la rencontre est source d'être et non pas d'avoir.

 

« Tu ne vaux que ce que valent tes rencontres, le seul luxe est celui des relations humaines » (Saint-Exupéry).

 

 

C'est le seul luxe gratuit offert à la décision et à la liberté de chacun.

 

 AMOUR, PAIX ET HARMONIE •

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 février 2020 6 01 /02 /février /2020 09:55

 

Source : : madame.lefigaro

 

 

Jadis qualifiée de « sensiblerie »,Source l’hypersensibilité regagne peu à peu ses galons. La psychanalyste Krystel Joinet fait le point sur ce tempérament aux qualités multiples, qu’il convient toutefois d’apprivoiser.

 

Vous fondez en larmes devant n’importe quelle comédie romantique ? Vous vous extasiez face au spectacle d’une abeille qui butine une fleur ? Vous êtes très sensible au regard des autres ? Vous ne supportez pas l’injustice ? Vous cherchez du sens derrière chaque situation ? Vous êtes peut-être hypersensible. Et si vous n’en êtes pas tout à fait sûre, la Toile propose une multitude de tests en ligne permettant de confirmer ce diagnostic. L’hypersensibilité est souvent présentée comme un problème. « Or cela n’a rien de pathologique, c’est un tempérament ! » insiste la psychanalyste Krystel Joinet qui rappelle que, pendant longtemps, on parlait de « sensiblerie » pour qualifier ce trait de caractère.

 

« Le fait d’avoir troqué ce mot affreux pour celui d’ »hypersensibilité » montre que les mentalités ont évolué. C’est bien, mais c’est encore insuffisant », poursuit cette spécialiste dont le cabinet ne désemplit pas et accueille de nombreux patients dont l’enfance a été bercée par des phrases du type : « Arrête de pleurer, il faut t’endurcir ! », « Qu’est-ce que tu peux être susceptible ! », etc. Plus tard, quand ce ne sont plus les parents qui jouent les tyrans, ce sont les patrons ou les collègues qui prennent le relais. « Les hypersensibles sont souvent vus comme des individus n’ayant pas les armes pour faire face à la pression du monde du travail. Du coup, ils peuvent vite devenir des têtes de turcs », constate-t-elle.

 

Etre hypersensible: Une liste de dons longue comme le bras

 

Pas facile en effet d’être pris au sérieux quand on a souvent la larme à l’œil. « Quel dommage ! s’exclame la psychanalyste. Les larmes ne sont pas nécessairement un signe de tristesse, encore moins de faiblesse. Ce sont parfois de simples signaux du corps. En extériorisant ce qu’ils ressentent, les hypersensibles sont moins sujets aux maladies psychosomatiques. Plutôt que de les mépriser, on devrait les envier. C’est tout de même mieux que de se fabriquer un ulcère ! »

 

L’hypersensible qui s’autorise à être lui-même ne subit plus ses émotions, il les gère

 

Et puis le caractère de l’hypersensible ne se limite pas à ça. Excellente écoute de soi et des autres, empathie, créativité, intelligence émotionnelle, réceptivité, acuité, propension exceptionnelle à s’extasier devant la beauté du monde, des arts, de l’humain, goût du travail bien fait… La liste de ces dons est longue comme le bras, dons qui constituent de vrais atouts, à condition d’assumer son tempérament. À défaut, la vie de ces individus peut vite se transformer en enfer. « Ceux qui n’acceptent pas leur extrême sensibilité vont flirter avec un tas d’émotions très pénibles, comme la gêne ou la honte. »

 

 

Au quotidien, cela devient insupportable », précise Krystel Joinet. D’où l’intérêt, dans ce cas, de faire un travail sur soi. L’objectif : dédramatiser pour transformer « l’hypersensibilité-ennemie » en « hypersensibilité-alliée ». « L’hypersensible qui s’autorise à être lui-même ne subit plus ses émotions, il les gère. Bilan des courses, il résiste mieux au stress, y compris dans son milieu professionnel. Ceux qui craquent sont généralement ceux qui n’ont aucun sas de décompression », insiste-t-elle.

 

S’il est donc un conseil à donner aux parents qui reconnaissent chez leur enfant les traits de l’hyperémotif, c’est de leur porter un regard bienveillant. Plus ils auront accueilli et cultivé l’émotivité de leurs petits – au lieu de chercher à les endurcir -, mieux ces derniers s’en sortiront dans la vie. Certains s’en sortiront même plus que bien ! Pour s’en convaincre, il suffit de lorgner du côté de Dali. « Contrairement aux idées reçues, les hypersensibles ne sont pas tous timides et rougissants ».

 

Ils peuvent être totalement extravertis ! » assure Krystel Joinet. Sans aller aussi loin, les enfants qui ont eu la chance d’être acceptés tels qu’ils sont par leur entourage familial développeront plus facilement leur potentiel créatif, qu’ils transformeront plus tard en force. Une force qu’ils pourront mettre à profit dans n’importe quel domaine. Celui de la peinture bien sûr, du théâtre, du cinéma, et pourquoi pas aussi de l’économie ? Des économistes « artistes », le monde en aurait bien besoin…

 

AMOUR, PAIX ET HARMONIE •

 

 

 

 

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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 09:44

 

Ne pas dire aux autres ce que vous ressentez est mauvais pour votre santé émotionnelle.

 « Dites toujours ce que vous ressentez et faites ce que vous pensez. »

 

-Gabriel García Márquez

 

« Je me sens mal parce que je n’ai rien dit à mes amis.

 

Je n’ai rien dit car j’avais peur qu’ils se mettent en colère».

 

 

Combien de reprises n’avez-vous pas dit ce que vous ressentiez vraiment ?

 

Nous nous taisons souvent par peur des réactions des autres, et par crainte de montrer ce que nous ressentons au plus profond de nous-mêmes. Mais nous sommes bien les premiers à pâtir de ce comportement.

 

Si nous ne disons pas ce que nous pensons ou ce que nous ressentons, les personnes qui nous entourent ne peuvent pas le deviner et notre situation va empirer de jour en jour.

 

Dire ce que vous ressentez, donner votre opinion, confier vos idées et dire «non» sont autant de comportements qui vont vous permettre de vous sentir libre et de garder le contrôle sur votre vie. Être affirmatif est une manière de s’affirmer.

 

 

Ne pas exprimer vos émotions ou ne pas laisser sortir ce qui vous préoccupe sont des comportements qui vont vous faire porter un lourd fardeau sur les épaules.

 

Lorsqu’il n’y a plus de barrières entre deux personnes qui ont parlé de tout ce qu’elles ressentaient, une certaine complicité se crée.

 

Si vous cachez ce que vous pensez, vous dissimulez par là même votre personnalité. Vous créez un mur invisible qui empêche quiconque de voir véritablement la personne que vous êtes.

 

Cependant, si vous laissez sortir tous vos sentiments par des mots, par des regards, par des baisers et par de la tendresse, vous vous sentirez plus vivant, car vous serez enfin vous-même.

 

 

Si vous ne vous montrez pas tel que vous êtes, les autres auront une fausse idée de vous. Cette image erronée ne leur permettra pas de voir et d’apprécier réellement la personne que vous êtes.

 

 

Si nous ne disons pas ce que nous ressentons, une incohérence se crée entre ce que nous sommes et ce que nous montrons de nous-mêmes aux autres.

 

Nous avons souvent tendance à nous dire à nous-mêmes des choses très négatives comme «Je ne peux pas », «Je n’en suis pas capable », «Que vont penser les autres si je leur dis ce que je pense » ? Vont-ils se fâcher contre moi ? ».

 

 

Même si cela paraît évident, lorsque nous sommes énervés, nous devons le partager. Plus nous retenons ces sentiments de colère en nous, plus la situation va s’aggraver pour nous, comme pour les autres.

 

 

Pour communiquer de manière efficace avec les autres, ne vous compliquez pas la vie en faisant des rodomontades. Commencez par le plus important et exprimez-le clairement.

 

Utilisez des mots qui décrivent avec exactitude ce que vous désirez et vos interlocuteurs vous en seront reconnaissants.

 

 

Source :

 

 http://nospensees.fr/ne-pas-dire-aux-autres-ce-que-vous-ressentez-est-mauvais-pour-votre-sante-emotionnelle/

 

 

« La vie n’est pas facile pour aucun d’entre nous. Mais qu’en est-il de cela ? Nous devons avoir de la persévérance et surtout confiance en nous-mêmes. Nous devons croire que nous sommes doués pour quelque chose et que cette chose doit être accomplie».

-Marie Curie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 janvier 2020 6 18 /01 /janvier /2020 09:13

Dans un monde fragilisé par l’écroulement des liens de « sens » entre les personnes (famille, travail, amour), ce projet est porteur d’un message fondamental pour nous tous

 

TEXTES DE MIKAEL AIVANOF

 

Citation du Jour «  PAS COMMANDER »

Si vous arrivez à placer le Seigneur à la tête de votre existence, les anges et les archanges Le suivront pour Lui tenir compagnie, et ce sera pour vous la véritable transformation. Mais pour cela, il faut au moins que vous vous disiez : « Ce n’est pas moi qui veux commander, je veux être serviteur, je veux obéir, c’est le Seigneur qui doit venir s’installer en moi », et travailler dans ce sens autant que vous le pouvez.

À la fin quand le Seigneur trouve qu’il y a pour Lui de bonnes conditions, Il vient, et quand Il vient, les anges viennent avec Lui et s’installent partout. Vous voyez, seulement un changement de la tête et tout est changé, cela ne peut pas être autrement.

Comment voulez-vous que le Seigneur ayant décidé de s’installer quelque part se retrouve tout seul ou entouré de diables ? Non, non, Il arrive accompagné de toute une suite d’entités lumineuses et belles qui viennent chanter auprès de Lui.

https://www.choix-realite.org/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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11 janvier 2020 6 11 /01 /janvier /2020 08:59

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

La plupart d’entre nous cherchons quelle est notre mission de vie. Nous souhaitons trouver ce que nous devons faire, comment le faire et quand le faire! Nous suivons des cours,lisons des livres, des articles pour déterminer quelle devrait être la mission de vie que nous devrions réaliser.

 

Pourtant, nous ne trouvons pas notre mission : c’est notre mission qui nous trouve!

 

 

Tout ce que nous avons à faire, ici maintenant, est de faire le mieux possible ce que nous sommes en train de faire, peu importe ce que c’est, en y mettant tout notre cœur et notre présence, en aimant ces tâches et ces activités et en restant ouverts aux signes de la Vie.

 

C’est la Vie qui viendra nous faire signe quand le moment sera venu pour nous de passer à une autre activité, plus en lien avec ce que nous sommes, ou ce que nous serons devenus à force d’être au mieux dans nos réalisations actuelles.

 

Il n’y a pas de petites missions, il n’y a que celle qui nous soit propre. Et nous en avons plusieurs dans notre vie, selon nos étapes de croissance. Pour certains, ce sera d’éduquer des enfants, pour d’autres, construire une maison, pour d’autres donner des conférences, écrire, peindre, chanter, prendre soin des autres, incarner la paix, l’amour, la compassion, chacun à notre façon.

 

 

N’attendons pas de « trouver » notre mission pour avoir le sentiment de nous réaliser enfin : la Vie attend de nous que nous nous réalisions déjà dans ce que nous sommes et ce que nous faisons maintenant, que ce soit comme travail ou comme activité. En étant présents à ce que nous faisons, en y mettant tout l’amour que nous pouvons y consacrer, en faisant preuve de compassion envers soi et les autres, nous réalisons déjà une partie de la mission que nous sommes venus accomplir. Lorsque le moment sera venu de passer à autre chose, la Vie saura bien nous faire signe pour nous indiquer ce qui nous sera alors demandé. Ce sera à nous, à ce moment-là, d’accueillir ces signes et de les suivre sans y résister.

 

 

C’est certes l’un des plus beaux exercices de lâcher prise que de faire totalement confiance à la Vie, en sachant que nous sommes toujours là où nous devons être et qu’au moment venu, nous irons là où nous sommes attendus. Dans cet état d’esprit, tout devient simple et fluide. Et ce travail ou cette activité que nous faisons en ce moment prend soudainement tout son sens, en sachant qu’il s’agit d’un travail de préparation pour notre prochaine mission.

 

Nous pouvons tous illuminer le monde en mettant de l’amour dans tout ce que nous faisons maintenant. C’est la meilleure manière de nous préparer à remplir notre prochaine mission.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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4 janvier 2020 6 04 /01 /janvier /2020 10:07

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

Oui c’est une nouvelle année qui commence mais c’est aussi la Vie qui continue! La Vie est neuve à chaque instant, puissions-nous nous en rappeler et l’honorer chaque seconde de notre vie!

 

Je vous souhaite :

 

• Des millions de moments présents, avec toute votre pleine Conscience pour la magnificence de la Vie que vous avez le privilège de vivre en ce moment.

• Une ouverture du cœur de plus en plus grande pour accueillir ce que la Vie dépose sur votre seuil chaque matin.

• La fin de la résistance, de la lutte, des combats, des efforts que vous déployez pour que la Vie soit comme vous la voulez. La Vie ne se conforme pas à nos attentes, c’est à nous d’accueillir sa générosité sans fournir d’efforts ni de lutte.

• Que vous découvriez chaque jour combien vivre dans l’ouverture et l’accueil c’est des millions de fois plus simple que tout ce que l’on nous a enseigné! Que la Vie ne demande qu’à être vécue, pas à être gagnée, pas à être assujettie. Et même encore, la Vie ne demande rien, elle est, tout simplement. Puissions-nous tous être, tout simplement, sans attentes et sans efforts.

• Que vous reconnaissiez dans chaque personne que vous rencontrez, chaque individu qui vous bouscule, chaque lecture qui vous dérange, un Partenaire de liberté qui met en lumière vos zones d’ombres pour qu’elles s’estompent et guérissent.

• Que vous sortiez de vos ornières habituelles, de vos croyances limitantes, de vos pensées de peur et que vous découvriez l’infinitude de l’Amour qui nous entoure en permanence, même quand le décor semble proposer le contraire.

• Que vous fassiez de chaque désagrément, chaque blessure, chaque chagrin et chaque problème une occasion de croissance, d’évolution et d’élévation.

• Que le jugement quitte vos lèvres et votre cœur et que tout l’Amour qui s’y trouve prenne toute la place. Depuis des milliers d’années que nous pouvons observer ce que le jugement provoque comme conséquences personnelles et planétaires, n’est-il pas temps de puiser à une autre source notre manière de vivre?

• Que vous puissiez aimer aussi intensément que si vous n’aviez jamais été blessé, déçu, trahi, car chaque histoire d’amour est nouvelle et personne ne devrait emporter ses déchets avec soi dans une nouvelle relation.

• Que vous oubliiez votre âge, vos conditions sociales, votre statut, votre standing, votre passé et que vous abordiez chaque nouvelle journée avec un regard neuf, rempli de Foi et de confiance. La seule chose qui devrait déterminer votre quotidien, c’est votre Amour de la Foi et votre Foi en l’Amour.

• Que vous ouvriez pleinement, totalement votre cœur à TOUT ce que la Vie vous propose, sachant que c’est exactement ce dont vous avez besoin en ce moment, même si cela vous déplaît.

• Que vous choisissiez de renoncer à la souffrance et au rôle de victime et que vous compreniez que vous êtes toujours responsables de votre bonheur, quels que soient les événements que vous vivez. La souffrance vient de notre résistance à ce qui est et de l’entretien de nos pensées de souffrance que nous alimentons inconsciemment jour après jour.

• Que la gratitude pour tout soit votre lot quotidien, dans la Joie comme dans les difficultés, car tout sert notre évolution. Que vous découvriez comment la Vie est magique à chaque instant et qu’elle a le sens de l’humour, bien souvent!

• Que vous vous rappeliez de l’être merveilleux que vous êtes et que vous avez accès en tout temps à la paix du cœur, là, en vous, toujours disponible, toujours présente.

• Que votre lumière inonde ce monde d’Amour et de Paix, de Joie et de douceur, parce que c’est de tout cela que nous sommes tous constitués.

 

Merci d’être ici et de partager avec nous vos cheminements, vos réflexions, vos commentaires. Merci de le faire dans le respect, dans la douceur et dans l’Amour. Merci d’être qui vous êtes. Merci d’être de si merveilleux Partenaires de liberté!

 

Que 2020 soit l’année où vous aurez retrouvé le chemin pour rentrer chez vous, dans l’Amour et la Paix du cœur.

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 décembre 2019 6 28 /12 /décembre /2019 09:47

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

« Fais la belle fille, le beau garçon! Sois gentil, ne fais pas de peine à Maman, ne fais pas fâcher Papa… »

 

Ça vous rappelle quelque chose? La plupart d’entre nous avons entendu tellement souvent ces implorations que nous avons appris très très tôt à être très très gentils!

 

 

La gentillesse est une qualité extrêmement valorisée dans notre société. C’est souvent même la première caractéristique autre que physique que nous remarquons chez une personne : « qu’elle est gentille cette dame, qu’il a l’air gentil ce garçon! » Nous sommes fiers d’être gentils et plus les gens nous le disent, plus nous mettons d’efforts et d’énergie à être encore plus gentils!

 

Et tout ça pour quoi au final? Pour être aimés!

 

Quel carcan quand même parfois que la gentillesse! Vous est-il arrivé de vous retenir de dire quelque chose pour ne pas que l’autre se fâche? Avez-vous dit oui à l’autre alors que vous n’en aviez pas envie? Avez-vous déjà accepté de rendre service alors que vous étiez déjà crevés? Avez-vous déjà renoncé à faire une activité dont vous aviez très envie simplement parce qu’un ami s’est amené chez vous à l’improviste? Et que vous n’avez pas osé lui dire que vous vous apprêtiez à faire quelque chose pour ne pas le rendre mal à l’aise? Vous arrive-t-il lorsque vous êtes seul de ressentir une grande frustration, une colère sourde à l’intérieur de vous et que la moindre bagatelle vous fait exploser comme pour libérer la tension accumulée?

 

Alors il se peut que vous soyez trop gentil! Vous souffrez peut-être du syndrome de la gentillesse extrême! Quand être gentil avec les autres se fait à notre détriment, alors c’est trop! Quand nous nous oublions pour être gentils, alors c’est trop. Quand être gentil nous enferme dans une prison qui ne nous laisse pas de répit, alors c’est trop. Quand nous ne savons plus être gentils envers nous-mêmes parce nous avons trop longtemps dirigé toute notre gentillesse envers les autres, alors c’est trop. Reconnaissez-vous les symptômes du besoin de se faire aimer?

 

Il ne s’agit pas de cesser d’être gentils, il s’agit d’avoir le bon dosage, le bon équilibre! Mais surtout, il s’agit d’apprendre à être gentil envers soi, en priorité, et de se traiter avec bonté et bienveillance. On ne peut pas être soi-même quand on doit être gentil! Être authentique implique de ne pas avoir toujours envie d’être gentil avec tous, de savoir dire non, de se donner la permission de se fâcher parfois, de cesser de vouloir être irréprochable, de ne pas avoir peur de paraître imparfait. Et surtout, de ne pas avoir besoin de se faire dire que « nous sommes donc gentils! ». Suivons d’abord l’élan du cœur, pas celui de la gentillesse conditionnée depuis l’enfance.

Accordons-nous la liberté de ne pas être gentils quand nous n’en avons pas envie. Soyons nous-mêmes.

 

Autrement, la gentillesse devient une prison qui éteint notre lumière intérieure.

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

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22 décembre 2019 7 22 /12 /décembre /2019 10:05

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

Dans tout ce brouhaha de décembre, alors que nous courons encore plus vite qu’à l’habitude, ne nous perdons pas en chemin.

 

Dans ce faux besoin de vouloir satisfaire tout le monde, faire plaisir à chacun, recevoir parfaitement, ne nous oublions pas.

 

 

Dans ces courses interminables à droite et à gauche, pour tenter de trouver LA chose idéale à offrir, ne nous perdons pas en chemin.

 

Dans ces partys successifs où ventres pleins et bavardages parfois creux se succèdent sans fin, ne nous perdons pas de vue.

 

Ce que nous sommes est bien plus important que tout le reste. Prendre soin de soi, s’accorder du temps, du repos, de la douceur, du farniente est beaucoup plus sain que de poursuivre la course sans réfléchir.

 

 

Tant de faux désirs que l’on tente de satisfaire alors que nous ne répondons même pas à nos propres besoins : la paix, le calme, la joie, l’Amour, la tendresse, la douceur, la complicité, la compassion, la sérénité font bien plus pour notre âme et pour ce monde que tous nos vains efforts.

 

Recevoir dans l’Amour, le calme et la Joie pure toucheront bien davantage les cœurs que tout objet, aussi coûteux ou exclusif soit-il.

 

Prendre du temps de qualité avec ceux qu’on aime, les écouter pour de vrai, compatir à leurs difficultés et rire avec eux de leurs histoires, n’est-ce pas ce que nous souhaitons tous, de l’Amour?

 

Il n’en tient qu’à nous, à chacun d’entre nous d’inverser ce mouvement qui nous étourdit et nous rend malades. Revenons à ce que nous sommes, déposons-nous et entrons à la maison. Au fond de nous, nous avons tout ce dont nous avons besoin pour être bien. Le reste est non seulement superflu mais souvent inutile et parfois malsain car nous nous y perdons en chemin. Nous nous débranchons de nous-mêmes pour nous brancher sur cette consommation qui nous mène par le bout du nez. Faisons le contraire cette fois-ci : débranchons-nous de tout pour quelques jours et revenons à nous, à la Conscience, à la Présence en nous, à l’Amour que nous portons et que nous offrons. Laissons tomber ce qui n’a pas d’importance. Ne nous perdons plus jamais de vue.

 

C’est la période de l’Amour? Alors montrons-le! Aimons!

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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