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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 21:12

 

 

humanisme

 

 

Il y avait dans un petit village un moine qui vivait en bonne harmonie avec les villageois, et cela depuis de nombreuses années. Un jour, un des villageois l'accusa de vol et tous les villageois se retournèrent contre lui et le chassèrent du village.

Le moine prit le peu de biens qu'il avait : un bâton, une oie et une lanterne. Il partit en disant « Tout ce que Dieu fait, Il le fait pour mon bien. » Il marcha quand soudain un renard se jeta sur son oie et s'enfuit avec. Le moine dit alors : « Tout ce que Dieu fait, Il le fait pour mon bien. » Il continua à marcher lorsqu'une bourrasque fit tomber la lanterne.

Eteinte  et brisée, elle ne servait plus à rien. Le moine dit alors : « Tout ce que Dieu fait, Il le fait pour mon bien. » Marchant maintenant dans la nuit, simplement éclairée par la lune, il tomba dans un trou et dit : « Tout ce que Dieu fait, Il le fait pour mon bien. »

 C'est alors qu'il entendit un grondement qui venait vers lui. C'était des brigands à cheval qui venait piller le village. Ce jour-là, il n'y eu aucun rescapé... sauf le moine.

Lire la suite...

http://www.amorc.fr/dotclear/index.php?category/Histoires-de-Sagesse

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 21:37

2 NOUVELLE FLEUR-copie-1

 

Peut-être bien qu’un jour la vie va s’arrêter

A l’heure aléatoire d’une fin programmée.

 

Mais pour l’instant je chante et l’amour et l’envie

Qui ne laissent vacante nulle place à l’ennui.

 

Je m’éclate et je ris à gorge déployée

Des mille facéties que le hasard produit.

 

On dit qu’un beau matin la vie peut s’arrêter

A l’heure aléatoire de la fin programmée.

 

Mais j’ai encore le temps de grappiller les joies

De la pluie du beau temps qui jalonnent ma voie.

 

Et je prie ou je pleure sur l’envol d’un oiseau

Qui avait pris mon cœur pour un simple roseau.

 

Bien sûr viendra le soir où vie va s’arrêter

A l’heure aléatoire que l’on dit programmée.

 

Mais cela est si loin que peu je m’en soucie

Et je suis mon chemin sans chercher raccourcis.

 

Se relève un soleil reparti pour un tour

Je recueille merveille d’un sursis pour l’amour.

 

Ma vie aléatoire soudain va s’arrêter

 

A faire fuir l’espoir la pile en est usée…

Texte de Dominique et Philippe Theurillat

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 20:56

0 TUBE FLEURS

Nous n’avons de nous-même que l’état néantiel.

A notre Créateur l’Existence et l’Eternité.

 

Nous sommes une construction édifiée par une Sagesse,

Et toute construction est appelée à être démolie.

 

Nous sommes les livres de Dieu.

Ne peut les lire que celui qui connaît l’idée de la Plume.

 

Et les lettres des livres de Celui qui a créé cette Plume,

Chaque fois qu’apparaissent Ses idées, s’obscurcissent.

 

Nos âmes ont jailli de Sa lumière

Et l’existence du Tout vient du débordement de la Générosité.

 

L’âme s’amenuise devant Celui qui la connaît

Et elle se cache dans une retraite que les soucis ne peuvent atteindre.

Personne ne connaît qui je suis, si ce n’est moi.

C’est ce que la raison n’arrive plus à saisir.

 

Etonnantes, vraiment, les prétentions du Tout !

Ne peut atteindre le Tout que ce qu’Il veut.

 

Chaque fois que je désire m’unir à mon Essence,

La raison et la science deviennent pour moi des ciseaux de tonte.

 

C’est elles qui me coupent, avec les phantasmes illusoires,

D’une existence libérée du néant.

Abou’l-Hasan’Ali af-Tajîbi al- Hirrâli, X||e siècle

 

 

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 20:58

SUPER BOUGIE FLEUR

 

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 21:35

5 NOUVELLE FLEUR

 

J’aurai voulu t’offrir bouquet de fleurs de mots

De ceux-là pour guérir quand surviennent les maux.

 

De ceux-là qui éclosent en couleurs écarlates

Dans le matin frileux des journées de brouillard.

De ceux-là qui reposent des humeurs disparates

D’un quotidien grogneux aux allures de cafard.

De ceux-là qui arrosent de bonheur et de tact

La vie des besogneux au visage sans fard.

De ceux-là qui s’exposent aux faveurs d’une claque

Dans le midi fiévreux qui hante le hasard.

De ceux-là qui explosent en senteurs délicates

Dans le soir orageux des peines d’un regard.

De ceux-là qui imposent la douceur d’un contact

Au sommeil ombrageux de vague cauchemard.

Tous ceux-là ! pour guérir quand surviennent les maux

J’aurai voulu t’offrir bouquet de fleurs de mots.

 

Tiré du livre de Dominique et Pierre Theurillat

       “ PAROLES D’IMAGES”

Ce merveilleux livre, m’a été offert par mon amie Najet.

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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 19:00
FOND BOUGIES
 
Voici une vidéo avec le boléro de Ravel

 
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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 20:35

pour le texte LACAROTTE L OEUF LE CAFE

 

 

Vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même façon.

Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.

Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.


Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des œufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les œufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.

Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"

"Des carottes, des œufs et du café", répondit sa fille.

La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un œuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un œuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?"
Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.

La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.

L'œuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.

Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.

"Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café?"

Penses-y?

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?

Suis-je un œuf qui commence avec un cœur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur?
Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?

Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.

Comment faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un œuf ou un grain de café?
 

http://www.frizou.org/pausetendresse/170-carotte.html

 http://www.frizou.org/pausetendresse/170-carotte.html

 

 

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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 21:16

00 SEPRATION ZEN

 

 

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29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 21:32

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Citation de Serge Toussaint

«  Il est vain de vouloir combattre un défaut, car un tel combat lui donne encore plus de pouvoir…

Il est préférable d’en prendre conscience et de s’évertuer ensuite à acquérir la qualité opposée ».

 

 

       

La dualité de l’être (2)

 

C’est ainsi que lors de nos périodes de méditation, nous pouvons symboliquement présenter à notre Moi Intérieur, notre Soi, un défaut, ou une faiblesse que nous voulons corriger, en l’accompagnant de la vertu correspondante.

Il importe de se souvenir qu’une vertu est un attribut de l’âme, et qu’ainsi elle est en lien avec l’indulgence et la compassion infinies du Divin.

En effet, selon Jean Monbourquette, « Seuls ceux qui considèrent leur Soi comme une réalité pleine de tendresse pourront accueillir adéquatement le côté sombre de leur personne. »

Nous ne pouvons amorcer une rencontre avec soi-même, et une meilleure connaissance de soi, sans tenir compte du fait que nous sommes déterminés, souvent dans une large part.

En effet, nous portons sous différents aspects les traces de nos aïeux. 

Il est important de démasquer ces attitudes qui, parfois peuvent être en dissonance avec notre individualité propre et par conséquent, deviennent une entrave à notre évolution personnelle.

Ce faisant, rappelons-nous que tout travail que nous entreprenons sur soi-même aura un impact sur nos relations immédiates ainsi que sur l’inconscient collectif, et conséquemment sur les générations futures.

 

Extrait d’une conférence de l’URCI.

Par Rolande Chainey

 

    

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28 août 2011 7 28 /08 /août /2011 21:50

reve

 

 

C’est grâce et par la dualité inhérente à toute manifestation que le mystique entreprend le plus exaltant des périples vers son union avec le Divin.

Malheureusement, une mauvaise interprétation de certains écrits religieux fut à l’origine d’une dissociation du corps et de l’âme pour atteindre le Divin.

Ce fait va à l’encontre des lois divines qui décrètent que Dieu s’exprime à travers sa Création et que l’homme en est son œuvre maîtresse.

En tant qu’êtres incarnés, nous participons au grand processus de la Création qui, rappelons-le, est fondamentalement dualité et toujours en évolution

Nous sommes une partie intégrante des mouvements de l’univers. Une dissociation de notre nature humaine d’avec notre réalité spirituelle est à l’origine de l’ensemble de nos souffrances actuelles, tant individuelles que collectives.

 

Extrait d’une conférence de l’URCI

Par Rolande Chainey

 

Pour ceux et celles que cela intéressent, voici leur site:

          http://www.urci.org/01_accueil-urci.html

 

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  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

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