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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 21:55
0 NOUV FOND D ECRAN
 
 
S’aimer: aimer son chemin
 
On peut appliquer les mêmes questions que celles juste au dessus en utilisant “Je m’aime”.
 

Ne peut-on pas s’aimer juste pour ce que nous sommes?
 

Accepter et reconnaître la somme d’expériences et de “travail” qu’il a fallu pour aboutir à ce que nous sommes aujourd’hui, sans jugement de bien ou de mal, sans aucun jugement: ne serait ce pas le début d’un amour inconditionnel pour soi même?
 
Voyons notre propre personnalité telle qu’elle est. De par notre histoire, notre vécu, cette personnalité est unique au monde et même dans tout l’univers.
 
 

 
Reconnaissons notre “unicité”, et aimons nous pour ce que nous avons accompli et aimons ce qui a été accompli, aimons notre chemin parcouru et aimons ce chemin sur lequel nous sommes, car il est unique "au monde".
 


Cette reconnaissance peut prendre plus ou moins de temps, car il faut alors faire le tri entre toutes ces formes de “je m’aime pour ceci ou pour cela” avant d'arriver au "je m'aime" tout simplement et en toute évidence.
 
 
 
 
                                   barrepapillon

 
 
 

S’aimer: s’aimer sur son chemin.

 

 

En plus d’aimer son chemin, n’oublions surtout pas l’acteur principal, celui qui a permis ce résultat unique dans tout l’univers: aimons-nous sur notre chemin. Aimons nous, remercions nous, soyons infiniment reconnaissant envers nous même pour cette merveilleuse co-création en complicité avec l’univers, notre environnement et les autres acteurs.

http://icietmaintenant333.blogspot

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 22:04
POUR L'AMITIE
 
 
Aimer
Peut-on prétendre véritablement aimer sans, d'abord, s’aimer soi même? Sans en avoir fait l’”apprentissage” directement sur soi?
S’aimer soi même c’est se reconnaître, s’accepter et connaître son propre amour, connaître l’expérience de sa propre vibration d’amour.
Sans connaître et vivre véritablement cette vibration au préalable, va-t-on savoir ce que l’on va vraiment “propager” lorsqu’on dit “aimer” quelqu’un ou quelque chose?
 
 
 
 
                                 2 SEPARATION
 
 
Aimer
 
Que met-on derrière ce mot, le plus souvent?
 
Soyons honnête et franc avec nous même!
 
Est ce que l'on n'a pas été, très souvent, dans l'un de ces cas?
 
 
 
“J’aime” parce que cela me fait plaisir.
 
“J’aime” parce que  cela fait cesser une privation ou une souffrance.
 
“J’aime” parce que je ne suis plus seul.
 
etc ...
 
 
 
 
 
Ce sont des formes d'amour, mais on voit bien que ce sont des amours conditionnés et conditionnels, qui attendent quelque chose en retour matériellement, émotionnellement ou sensuellement, d'une manière ou d'une autre.
 
Bien sur, nous avons tous vécu des moments d'amour qui vont au-delà de ces préoccupations, heureusement. Mais est-on bien sur qu'il n'y avait aucune attente? Et si c'était le cas, a-t-on bien pris conscience et intégré ce moment de grâce? Et ne sommes nous pas alors à la recherche d'une manière de reproduire ces moments "miraculeux" et "magiques" de notre vie?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 21:44

0 l humain craint le vide

 

 

Il a besoin de croire, de se rattacher à quelque chose qui animera sa vie, l’enjolivera, la rendra plus légère ou plus inspirante.

 

 

De tout temps, il a cherché un fil conducteur pour s’abreuver de tout ce qui l’entoure, de la vastitude de l’univers à la réflexion philosophique, la foi comme le déni, la profondeur de la spiritualité comme le paraître ou le jeu.

 

 

Ses croyances sont parfois élévatrices ou d’autres dénuées de toute beauté. Ce qui lui fait se pencher vers le bien ou le mal dans son univers, et couramment elles divisent ou l’éloignent de sa « réalité ».

 

 

Je citerai, sans doute les 2 plus limitatives :

    je ne suis pas capable…

    je n’ai pas le droit …

 

Il suffit d’une pensée pour qu’elle devienne réalité dans notre être. Car, si nous pensons que tout est léger dans notre existence : ça l’est ! Et c’est pareil pour son contraire.

 

Nos croyances sont souvent déterminées dès l’enfance et nos comportements d’adultes en sont aussi le résultat.

Nous allons découvrir ce qui a pris tant de place dans nos pensées. A quoi cela nous sert. Explorer l’espace vide qui s’insère entre celles-ci, et qui représente le moment le plus merveilleux de notre libre arbitre, et le plus laborieux aussi : celui du choix.

 

Car nous avons le choix de croire, comme le choix de changer notre création…

 

http://lapressegalactique.net

 

 

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 21:58

0 ECUREUIL ET FEUILLES

 

 

 

L’homme souvent, n’est qu’un paquet d’habitudes

Il lui est difficile souvent de changer son attitude

Son esprit tourne dans un sens durant des années

Comme une horloge, et ne doit pas s’arrêter

Ses habitudes, souvent le retiennent

Il est même très rare qu’elles le soutiennent

Elles l’empêchent même souvent de changer

Au point qu’il ne s’en sente plus obligé

Il les laisse un peu chaque jour façonner sa vie

Il trouvera même normal d’avoir des ennuis

Qui le placent toujours dans des mauvaises situations

Assez, pour qu’il ne se pose plus de questions

On dit souvent, que pour changer notre attitude

On doive semer nos mauvaises habitudes

Les enfoncer même, très profond dans la terre

On se découvrirait un nouveau caractère

On ne ferait plus rien par habitude

Toujours aussi, on agirait avec certitude

Une habitude, c’est d’abord un comportement

Que l’on a développé au cours du temps, des ans

Il nous faut donc fuir les mêmes occasions

Pour éviter qu’il y ait toujours répétition

 

Texte Claude Marcel Breault 16 mai 2011

St-Charles Borromée Québec

 http://www.frizou.org

 

 

 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 21:38

00 NOUVEAU MEDITATION

 

 

 

La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.

 

Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa :

- On joue à cache-cache ?

- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.

- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter. 

 

Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.

 

-1, 2, 3 La Folie commença à compter.

 

L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.

 

La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe 'arbre.

 

La Joie courut au milieu du jardin.

 

La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher.

 

L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.

 

La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.

 

Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99.

 

CENT ! cria la Folie, je vais commencer à chercher ...

 

La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.

 

En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.

 

Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité

 

Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda : - Où est l'Amour ? Personne ne l'avait vu.

 

La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.

 

Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri : c'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un œil.

 

La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.

 

L'Amour accepta les excuses.   

 

Aujourd'hui, l'Amour est aveugle  et la Folie l'accompagne toujours.

                         

Fable de Jean de la Fontaine

 

 

 

 

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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 21:52

0LE REVE INDIVIDUALITE

 

 

La vie n’est pas une tâche. Il n’est absolument rien à atteindre excepté la réalisation qu’il n’est absolument rien à atteindre.

 

 

Ce qui est cherché demeure caché au chercheur en étant déjà tout ce qui est.

 

 

C’est tellement simple et évident que le seul fait de s’en saisir le rend indistinct. Jamais trouvé, jamais connaissable, être est l’absence consommée qui est au delà de toute mesure.

 

 

Chercher l'être, c’est croire à sa perte. Quelque chose a-t-il été perdu ou est-ce simplement que la recherche le tient à distance ? Le bien-aimé danse-t-il en permanence à peine au delà de notre regard ?

 

 

 L’intention même de se mettre en quête d’un trésor dans la vie, masque inévitablement la réalité que la vie est déjà le trésor.

 

 

En cherchant le mythe qu’il rêve pouvoir atteindre, le chercheur esquive immanquablement ce qu’il redoute le plus… son absence.

 

 

Ce message a été totalement incompris s’il est imaginé qu’il prétend qu’il y a un « vous » pouvant ou ne pouvant pas faire quoi que ce soit pour devenir illuminé.

 

 

Beaucoup rejetteront ce message et retourneront à la réconfortante histoire du savoir et du faire. Mais il peut advenir une résonnance en laquelle s’effondre l’illusion de la séparation et laisse le rien être tout.

 

 

Doctrines, processus et voies progressives en quête d’illumination ne font qu’exacerber le problème auquel elles s’adressent en renforçant l’idée que le soi peut trouver quelque chose qu’il présume avoir perdu. C’est cet effort même, cet investissement en une identité personnelle qui recrée continuellement l’illusion d’une séparation de l’unicité. C’est le rêve de l’individualité.

 

 

Le « moi » cherche paix et plénitude, amélioration de soi, pureté, présence ou détachement. Le « moi » est en quête de clarté ou de n’importe quelle formule qui lui assurera ce qu’il pense vouloir ou imagine avoir besoin. Mais le « moi » n’obtenant pas ce qu’il veut n’est pas le dilemme. Le dilemme, c’est l’apparent « moi ».

 

 

La libération est comme un fusible qui saute soudain, toutes les petites lumières s’éteignent, et il n’est que lumière.

 

Tony Parsons

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.fr

 

 

 

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 22:02
VIVE LA VIE
 
 
 
Il n'est pas difficile d'être malheureux ou mécontent; il suffit de s'asseoir, comme fait un prince qui attend qu'on l'amuse.
 
Il n’est pas toujours facile d'être heureux; c'est un combat contre énormément d'événements et contre plusieurs d’hommes. Il se peut que l'on y soit vaincu; il y a sans doute des événements et des malheurs insurmontables; mais c'est le devoir le plus impérieux peut-être de ne point se dire vaincu avant d'avoir lutté de toutes ses forces. Et surtout, ce qui me paraît encore plus évident, c'est qu'il est impossible que l'on soit heureux si l'on ne veut pas l’être; il faut donc souhaiter son bonheur et le faire.
 
Ce que l'on n'a point assez dit, c'est que c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux. Quoi de plus difficile à surmonter que l'ennui, la tristesse ou le malheur de ceux que l'on aime? Tout homme et toute femme devraient penser continuellement à ceci : que le bonheur, j'entends celui que l'on conquiert pour soi, est l'offrande la plus belle et la plus généreuse.
 
 
 
– Alain, Propos sur le bonheur
 
Source : Charest, Nicole. Petites douceurs pour le cœur, p. 95 
  
  
« Refaites chaque jour le serment d’être heureux. »
  
 Vidéo: "Le bonheur" 

 
 
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 21:31

00 FOND ZEN

 

 

Comme c’est le cas de tous les êtres vivants, les êtres humains sont capables de se reproduire et, ce faisant, de perpétuer leur propre espèce, d’où l’existence même de l’humanité. Au-delà de son aspect purement physiologique et instinctif, cette faculté, cette fonction, répond à un besoin psychologique et à un désir affectif. C’est ainsi que la majorité des hommes et des femmes vivant en ce monde aspirent à fonder une famille, c’est-à-dire à avoir des enfants et à pérenniser à travers eux une partie d’eux-mêmes. De nos jours, cette aspiration est même assimilée à un droit revendiqué par des minorités qui, a priori, n’étaient pas destinées à être parents.

 

Il y a quelques décennies, la famille s’exprimait à travers un “modèle” quasi général : le père et la mère biologiques, et les enfants issus de leur union. Avec l’évolution des mœurs et des mentalités, la notion de couple a beaucoup changé, et avec elle la notion même de famille. Au “modèle classique” sont venues s’ajouter les familles recomposées, les familles monoparentales et, plus récemment, les familles homoparentales, avec pour elles la possibilité d’adopter des enfants. Ce phénomène de société concerne tous les milieux et s’étend à tous les pays, notamment à ceux que l’on dit “développés”.

 

 De nos jours, il est politiquement correct de dire que “tout est bien dans le meilleur des mondes” et qu’il n’existe aucune structure familiale idéale. Mais n’est-ce pas là l’avis des adultes impliqués dans une famille “non classique” ? En effet, je suis convaincu que si l’on demandait aux enfants ce qu’est selon eux la famille idéale, la grande majorité répondraient que c’est celle qui réunit leur père, leur mère et leurs frères et sœurs, ce qui nous ramène au “modèle classique”. Personnellement, c’est ce que je pense également. Pourtant, je ne suis ni fasciste, ni arrière-gardiste, ni homophobe. Par ailleurs, je sais que la vie n’est ni simple ni facile, et que les circonstances conduisent parfois un couple à se séparer “bon gré, mal gré”.

 

 Je pense que les enfants ont besoin de repères aussi stables et naturels que possible pour leur équilibre psychologique. Certes, il y a malheureusement certaines familles “classiques” qui ne répondent pas à ce besoin et dans lesquelles les enfants manquent d’amour, d’affection et de compréhension. Mais selon moi, ce n’est pas une raison pour banaliser l’augmentation des familles recomposées et monoparentales, et justifier la “normalisation” des familles homoparentales. D’autant que là aussi l’amour, l’affection et la compréhension peuvent être absentes, sans parler des risques évidents de divorces. De mon point de vue, le droit de l’enfant à avoir un père et une mère doit primer sur le droit de l’adulte à avoir un enfant.

 

 Ces quelques remarques personnelles n’engagent pas l’Ordre de la Rose-Croix et n’expriment en aucun cas une stigmatisation des familles qui sortent du “modèle classique”, d’autant que j’en connais qui se portent très bien. Cela étant, leur augmentation constante ne traduit-elle pas l’instabilité qui fragilise chaque jour un peu plus la filiation parentale, la cellule familiale et le corps social lui-même ? À chacun sa réponse…

 

Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 21:59

8 GOUTTE DE PLUIE

 

 

Un changement à l’intérieur de l’Expérience Sacrée peut être une question de volonté, pas seulement une question de chance. C’est quelque chose qui peut se produire spontanément, oui, mais cela peut également se produire intentionnellement.

 Nous n’avons pas à attendre que l’Expérience Sacrée nous tombe dessus comme une pluie magique d’un ciel mystique. Nous pouvons vivre l’Expérience Sacrée comme faisant partie de notre rencontre quotidienne avec la vie, comme notre expérience quotidienne de notre Soi le plus Saint, comme notre expression quotidienne de la Divinité elle-même.

 


Ce que je veux dire ici, c’est que l’Expérience Sacrée peut être créée aussi bien qu’attendue. Je l’ai déjà dit, plus haut dans ce texte. Comme avec la plupart des autres points que j’ai énumérés, je le répète ici pour mettre l’accent. Ce morceau de poésie est quelque chose que nous pourrions avantageusement mémoriser, alors permettez-moi de le répéter: l’Expérience Sacrée peut être
créée aussi bien qu’attendue.
Lorsque nous choisissons de la créer comme une démonstration de notre volonté, quand nous regardons le visage de l’humanité chaque jour, nous comprenons comment l’Expérience Sacrée se rattache à l’expérience humaine appelée « famille ».

 


Bien sûr, nous ne pouvons pas voir tous les êtres humains comme des membres de notre propre famille à moins de pouvoir pardonner à tous ce que nous avons imaginé qu’ils nous ont fait. Le pardon est essentiel à l’expérience de la famille.

 

 

Maintenant, la Nouvelle Spiritualité enseigne que le pardon n’est jamais nécessaire. Elle nous dit que Dieu ne nous pardonne rien, parce que Dieu ne trouve rien dans notre comportement exigeant d’être pardonné. C’est parce que Dieu ne peut être ni affecté ni détruit, ni blessé de quelque façon que ce soit. Puisque Dieu est incapable d’être blessé, Dieu est incapable d’être vindicatif. Pour quelle raison Dieu chercherait-il à se venger?

 


Lorsque tous les êtres humains se verront comme des expressions du Divin, tous les êtres humains se verront aussi imperméables au mal ou hors d’atteinte. Ils se verront alors, eux aussi, incapables d’être vindicatif. Pour quelles raisons voudraient-ils se venger? Pour quelles raisons aspireraient-ils à se venger quand ils n’ont jamais été blessés de quelque façon?


 L’idée de vengeance disparaît lorsque l’idée de notre blessure est dissoute. Et l’idée de notre blessure est dissoute lorsque l’idée de notre propre divinité est accueillie et adoptée.

 

 

 C’est le seuil d’une nouvelle manière d’être humain. C’est la frontière entre la Nouvelle Spiritualité et l’ancienne façon de faire l’expérience de nous-mêmes et de Dieu.
Source : Humanity’s Team


http://terrenouvelle.ca/Messages/2012/12/01/neale-donald-walsch-la-disparition-de-la-vengeance/

 

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:45

FOND HIVER

 

 

 

La créativité, un pouvoir immense à notre portée.

 

De tout temps, les grands artistes ont cherché à nous transmettre leur propre vision du monde.

 

Les scientifiques de renon, quant à eux, se sont attachés à tenter d’améliorer notre environnement habituel.

 

Les uns comme les autres nous troublent à cause de cette capacité phénoménale qu’ils ont à concevoir autrement la r&alité, si ce n’est à imaginer une autre réalité.

 

Ayant de ce fait opéré une réorganisation de leur monde intérieur, ils en viennent à modifier le nôtre.

 

Cependant, ce pouvoir créatif n’est pas réservé à seule élite.

 

Nous tous pouvons puiser à la source qui permet de tout transformer en nous et autour de nous.

 

C’est principalement une affaire de conscience et de confiance, mais aussi de volonté.

 

Texte tiré d’un texte U.R.C.I. (A.M.O.R.C...

 

 

 

                                 

 

                                   0000 SEPARATION MAYA

 

 

 

 

La vacuité, domaine de tous les possibles.

 

                      

 

Elle est la pierre non taillée déjà riche du devenir,

 

La page blanche offerte à l’auteur, au poète et au musicien,

 

La terre en friche en futur de germination,

 

Mes lèvres à peine ouvertes en attente de tes baisers.

 

 

 

La vacuité n’est pas le vide ou le néant !

 

Loin de là,

 

Elle est l’athanor où sourd l’étincelle

 

Prête à enflammer le monde

 

Avant de jaillir au Ciel

 

Pour bousculer les étoiles.

 

 

 

http://michelvdb.blogasie.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

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