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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 22:04

0QUESTION COMPLEXE DU PARDON

 

 

D'aucun nous disent IL FAUT pardonner...bien entendu.

 

Seulement, comment, à moins d'être une personne parfaitement équilibrée dans sa vie, ayant transcendé tout son être au point de savoir rester centrée en toute chose y parvenir ?

 

A moins d'avoir des ailes, ou d'être touché par la Grâce Divine, nous ne pouvons atteindre le sommet de la montagne en une seule fois !

 

En vérité, nous ne pouvons en réalité pardonner tant que nous ressentons une blessure.

 

Alors...comment faire ?

 

La première étape est de reconnaître sans culpabilité et de valider que nous sommes meurtri, blessé, en colère. Cela est acceptable puisque cela est vrai. Le nier ne nous fait pas avancer d'un ïota.

 

Le tout est de ne pas resté coincé dans ces sentiments de basse vibration qui nous abîme (creusant l'abîme en nous) si nous ne voulons pas que la blessure devienne une plaie béante !

 

 

Nier, occulter, et passer à autre chose ne nous fera que rencontrer de nouveau les mêmes fantômes : les nôtres.

 

La deuxième étape est de s'arrêter un instant et de se poser la question : pourquoi avons-nous été blessés ? Qu'est-ce qui a fait que nous nous sommes laissé atteindre ? Pourquoi avons-nous été meurtris par une personne, un événement ?

 

 

QU'EST-CE QUE CELA A TOUCHE EN MOI ?

 

 

Et si cela avait touché quelque chose que nous n'avons pas réglé ?

 

Qu'avons-nous à comprendre ?

 

Ce qui bloque dans notre vie, que nous vivons à l'extérieur de nous est l'indication (précieuse!) de quelque chose qui bloque (depuis fort longtemps en réalité) à l'intérieur de nous (de manière inconsciente le plus souvent ou bien parce que par peur de souffrir ou du jugement des autres, manque d'aide, nous ne voulons pas voir).

 

 

Troisième étape (salutaire!) : accepter sa colère, sa blessure, dire « non, je ne suis pas d'accord avec ce qu'on m'a fait, ce que je vis : CELA FAIT MAL ! ».

 

Mais ensuite, se demander « en quoi suis-je responsable pour une part que cela soit arrivé ? Qu'est-ce qui, dans mon être, mes pensées de moi, mon attitude, mes peurs, mes doutes, mes besoins, a permis cela ? ».

 

 

Accepter permet de se libérer et de sortir de la culpabilité qui ne fait que créer une spirale descendante nous rendant peu fier de nous, de l'autre, et ne laissant aucune place au pardon.

 

 

Comprendre la leçon de vie que la vie nous offre, le voir ainsi permet de relativiser.

 

C'est avant tout d'un regard sincère et objectif avec soi-même que peut venir le pardon libérateur.

 

 

Le pardon, c'est se dire « Ok...je m'avoue que j'ai été blessé(e) par telle personne ou telle situation parce que j'en attendais quelque chose de précis. Je n'ai peut-être pas fait attention ou compris que l'autre (les autres) étaient eux-aussi dans une attente particulière qui pouvait ne pas correspondre à la mienne à cause de leurs propres manques, leurs propres blessures, leurs propres peurs... »

 

 

Pour avoir de bonnes relations, nous ne devrions être dans aucune attente, avoir défini QUI nous sommes vraiment, savoir ce que nous voulons et ce que nous ne voulons pas. Cela permet de tenir debout seul, quelles que soient les circonstances de notre vie.

 

Tenir debout seul permet de ne jamais être blessé (ou alors pas longtemps, car capable de comprendre ce qu'il se passe réellement) et laisse l'autre libre de prendre ou pas, sans que nous nous sentions remis en question pour autant...libre de partir sans que nous nous sentions abandonnés ou non aimé, nous laissant juste joyeux, ouverts à d'autres choses à venir...

 

Rester centrés, ouverts et surtout à l'écoute (de nous-mêmes et de l'autre), prêts à donner et à recevoir.

 

Pardonner, c'est simplement savoir s'aimer suffisamment.

 

Ainsi nous sommes capables d'aimer les autres en tant qu'êtres, tout en sachant refuser sereinement les actes qui ne nous correspondent pas.

 

Chacun a le droit à l'erreur. Chacun a le droit au trésor de la leçon d'amour de la vie.

 

En cela, le Christ a dit « que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre »

 

 

« Connais-toi toi-même » est le meilleur moyen d'arriver au pardon. Car alors,...il n'y aura rien à pardonner...car nous ne nous serons pas laissé blesser.

 

Texte de Antara (Nathalie YOT)

 

http://www.choix-realite.org

 

 

 

 

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 22:33

COEUR

 

 

Bien entendu, les émotions sont fortes devant une telle trahison. On peut choisir d’être la victime ou décider d’agir et réagir. Encore une fois comprendre que si cette trahison a eu lieu, c’est que quelque chose en soi l’a attirée. Accepter de comprendre que l’autre, celui qui trahit, en fait, nous permet ainsi de progresser, d’apprendre. Accorder le pardon. Si on n’arrive pas à pardonner demander l’aide Divine. Méditer sur la solution idéale qui est paix.

 

Analyser,

Comprendre

Pardonner

Incorporer des pensées de paix

 

Anne continue : « et puis c’est la faute de… » Elle remet la faute sur une tierce personne. Ce n’est plus l’homme qu’elle aime, qui est responsable, ce n’est pas elle, c’est une autre personne.

 

 

C’est plus facile ainsi. Elle peut continuer à vivre dans l’illusion d’un couple solide, d’un amour sincère, et croire aux mensonges de l’homme. Ils sont tous deux victimes. Elle occulte que cette situation, elle est déjà arrivée. Cet homme l’a déjà trahie plusieurs fois. Mais à chaque fois le mensonge est de plus en plus important. Cela est logique. Tant qu’elle se ment à elle-même, qu’elle éprouve le sentiment d’être trahie et ne fait pas ce qu’il faut pour s’en libérer, elle attire des situations similaires. Cet homme qui la trahit, ne fait que l’aider, par son comportement, à comprendre, à apprendre.

 

« C’est injuste »

 

 

Cette phrase que Anne vient de prononcer, je l’ai souvent entendue. Il n’y a jamais d’injustice dans la loi de la co-création de la Vie, il n’y a que des conséquences.

 

Imaginez que votre état de conscience soit comme une toile. Chaque sentiment y met une touche de couleur. Cela depuis votre naissance. De plus cette toile, était déjà colorée par ce que vous avez amené avec vous lors de votre naissance. Ce n’est pas votre première vie. Vous venez avec un plan précis de ce que vous désirez expérimenter, apprendre, comprendre. Vous avez dans vos bagages, certaines blessures dont vous avez envie de vous libérer. Pour cela il va vous falloir revivre des situations semblables à celles qui ont provoqué ces blessures.

 

 

Donc votre état de conscience est comme une toile avec une multitude de touches de couleurs qui correspondent à vos sentiments. Parfois vous y avez mis de l’harmonie, de l’amour, de la joie, de la beauté, d’autres fois, vous y avez mis, de la colère, de la peur, du chagrin, du doute, de l’envie….

 

Cette toile, va attirer les conditions, événements, personnes qui lui correspondent du point de vue couleur.

 

 

Tout est vibration. Imaginez que le chemin de votre vie corresponde à une note. Sur votre chemin vous ne rencontrerez que ce qui est sur la même vibration que cette note. Pour changer de chemin, il vous faut changer de couleur, changer de note, donc changer de sentiment.

 

 

Le malheur n’arrive pas systématiquement au « méchant ». Ce n’est pas ainsi que fonctionne la Co-création de la Vie. Elle n’est pas une loi de punition et récompense. Elle est conséquence, cause à effet.

 

A chaque fois que nous réagissons émotionnellement, nous nous attirons le même genre d’expériences. Le bonheur attire le bonheur, le malheur attire le malheur.

 

Extrait du livre :"L'Alchimie du Bonheur

 

http://www.messagesrecus.com

 

 

 

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 22:06

COEUR

 

 

 

 

Première partie :

 

Pourquoi ai-je attrapé un cancer ? Je n’ai jamais pensé à avoir un cancer. »

 

 

Cette dame, que l’on appellera Anne, me faisait cette remarque sur le ton de la colère :

 

« Je n’ai jamais désiré avoir un cancer, je n’y ai jamais pensé »

 

Elle n’avait évidemment pas désiré avoir un cancer. Qui déciderait d’utiliser sa pensée pour avoir un cancer ? Et cependant c’était la conséquence des ses pensées et sentiments.

 

Cette personne, quelques mois plus tôt avait été trahie. Elle a découvert que l’homme qu’elle aimait, avait une maîtresse à laquelle il avait donné de grosses sommes d’argent.

 

 

La conversation continue avec Anne et je lui rappelle ces sentiments tumultueux et les pensées obsédantes qu’elle avait à l’époque.

 

« J’y ai bien réagi, je suis restée calme, je cherchais simplement une solution »

 

 

Elle a oublié que durant cette époque il était impossible de pouvoir placer une phrase dans une conversation avec elle. Elle pouvait parler pendant plus de deux heures à répéter en boucle les mêmes phrases. Elle disait ne plus dormir, ne plus penser qu’à cela.

 

 

Bien souvent nous oublions ce qui nous arrange de ne pas se souvenir par autoprotection. Ce n’est pas consciemment. Mais nous avons une mémoire sélective. On se ment à soi-même. A chacun de désirer être honnête avec lui-même et de se regarder en face. Comment progresser dans sa pensée, si nous occultons tout ce qui ne nous convient pas en nous. Il n’est pas question de se juger et de se culpabiliser. Mais de regarder ce qui en soi, a pu amener les circonstances de la vie qui est la nôtre, afin de faire des progrès. C’est un apprentissage. Si, à un enfant, nous ne lui disons pas qu’il fait une faute, il recommencera toujours la même faute. Il en est de même pour chacun d’entre nous dans sa vie. Simplement le professeur est soi-même, Il nous enseigne par ce qui nous arrive à chaque instant. C’est la loi de la cause à effet, la loi de la co-création de la Vie.

 

Je rappelle donc à Anne ce qu’elle me disait : ne plus dormir, ne plus manger, ne penser qu’à cela. Elle me répond :

 

« Oui mais comment faire autrement ? »

 

http://www.messagesrecus.com

La suite demain soir

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 22:04

0 SUPERBE ROSE

 

 

Depuis quelque temps, il est courant de s’indigner et de se dire indigné. Il est vrai qu’il y a des situations indignes, au sens qu’elles portent atteinte à la dignité de l’homme, c’est-à-dire au respect qui est dû à tout être humain et tout citoyen : ne pas manger à sa faim, ne pas avoir de logement, ne pas disposer d’un minimum de ressources financières pour vivre correctement, ne pas avoir de travail, ne pas avoir accès aux soins médicaux dont on a besoin, subir la violence d’une minorité, etc., sont autant de faits qui suscitent, à juste titre, l’indignation.

 

 

Si l’indignation fait autant d’adeptes depuis que les média en ont fait un courant de pensée, c’est parce que de plus en plus d’individus se sentent concernés. Dans les sociétés modernes, les citoyens ne comprennent pas qu’il y ait autant de précarité et de pauvreté à une époque où les masses monétaires n’ont jamais été aussi importantes sur un plan international.

 

Par ailleurs, ils n’acceptent pas les disparités quasi indécentes entre les plus démunis et les plus nantis, que ce soit à l’intérieur d’un même pays ou d’un pays à l’autre. Si je comprends l’engouement que suscite l’indignation, je m’interroge néanmoins sur sa véritable nature.

 

 

 Est-elle basée sur l’empathie envers les plus démunis et les plus touchés par la crise socio-économique qui sévit dans de nombreux pays, ou est-elle fédérée par le fait que de plus en plus de personnes craignent à titre individuel de connaître la précarité ou la pauvreté ? Dans le premier cas, elle s’apparente à un élan humaniste et traduit un souci de l’autre. Dans le second, elle est, contrairement aux apparences, une réaction individualiste visant à défendre des intérêts personnels. Est-il utile de s’indigner collectivement ? De mon point de vue, cela ne peut l’être que s’il y a parallèlement une remise en cause individuelle.

 

 

Or, l’indignation, même lorsqu’elle est fondée, se limite le plus souvent à dénoncer ce que l’on juge inconvenant ou inacceptable chez les autres, et d’une manière générale dans le fonctionnement de la société. C’est ainsi que la plupart de ceux qui s’indignent ne se remettent pas en cause eux-mêmes, alors qu’ils ont peut-être une part de responsabilité dans la situation qu’ils dénoncent.

 

 

Avant de s’indigner à propos de telle ou telle chose concernant les disfonctionnements de la société, les injustices et les inégalités qu’elle génère, la violence qui la gangrène, etc., chacun devrait s’interroger sur sa façon de penser, de parler et d’agir, en un mot sur sa manière de vivre, et se demander s’il n’est pas co-responsable de ce qui l’indigne.

 

 

Penser que seuls ceux qui nous gouvernent et nous dirigent sont à l’origine de la crise qui ébranle la plupart des pays du monde est une erreur. À des degrés divers, la majorité des individus ont une part de responsabilité directe ou indirecte dans la situation actuelle du monde.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr

 

 

 

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 22:06

NOUVEAU FOND JUILLET 2012

 

 

Aimer vous les uns, les autres.

 

En fait cette phrase nous demande “juste” d’arriver à cet amour vibratoire et de devenir, tous, des sources d’amour afin de recréer toutes les couleurs de l’amour grâce à l’unicité de chacun capable de créer sa propre gamme de couleurs. L’univers a besoin de toutes ces “unicités”, de toutes ces couleurs pour recréer l’état originel. Ensuite, dire que l’état originel de l’univers revient à rejoindre et comprendre ce fameux “Dieu”, il n’y aurait qu’un pas, et cela donnerait une autre compréhension et vision de la mission de l’humanité mais ce serait une autre histoire que je ne développerai pas ici et maintenant...

http://icietmaintenant333.blogspot

 

 

                                    7 SEPARATION-copie-1

 

 

 

 

Expérimenter l’amour

 

 

 

Bon, après tout ça on pourrait se dire que cela semble compliquer de ressentir l’amour comme étant une vibration. Cela semble un peu trop conceptuel, peut être. Je précise que si je “raconte” cela, c’est que c’est du vécu, sinon je ne me permettrais pas.

 

 

 

 

 

Si vous voulez, vous pouvez oublier ce que je viens d’écrire et je vous propose alors de faire simplement l’expérience suivante: la prochaine fois que vous tenez quelqu’un dans vos bras avec amour, faîtes l’exercice de d’abord vous “remplir” vous même d’amour, et de vous remplir tellement que cela déborde, et dirigez alors ce débordement vers la personne que vous tenez entre vos bras. Vous devenez alors tout simplement un canal d’amour, et tout devient possible par ce fameux pouvoir de l'amour, cela dépend de la pureté et la puissance avec laquelle vous vous aimez vous même, tout simplement.

 

 

 

 

 

Et pourquoi ne pas en faire l’expérience à deux, en expliquant à l’autre? Avec amour bien sur ;)

 

http://icietmaintenant333.blogspot

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 21:53

0ON NE NOUS A JAMAIS APPRIS A ETRE HEUREUX

 

 

Par exemple, imaginez-vous le nombre de « messages » qui circulent sur la toile ou ailleurs, en ce moment ? Pouvez-vous compter tout ce que vous avez déjà lu ?

 

 Le plus consternant est peut être que tout et son contraire y soit présent. Et que celui qui cherche une voie qui lui convient risque d’être confronté à de multiples chemins qui s’entremêlent, se ressemblent ou se contredisent totalement. Mais, comment y échapper quand cela devient comme une nouvelle friandise à absorber sans modération ? Pour autant, n’avez-vous pas souvent lu de faire preuve d’un grand discernement ?

 Que pensez-vous de la nécessité de vous purifier ? Ce que vous êtes est-il souillé ? Comment concevez-vous que vous deviez faire une grande quantité d’exercices en tout genre pour devenir quelqu’un d’autre ? Alors que vous êtes venus au monde, parfaits. Pouvez-vous imaginer que votre conscience crée des malades en surnombre pour combler tous les thérapeutes qui s’investissent à prodiguer des soins pour les autres ? La vie est équilibre. Elle cherche donc à combler les souhaits de chacun. Y avez-vous songé ? Enfin, quoi penser de toutes les méthodes nouvelles et souvent très onéreuses, qui fleurissent de plus en plus ?

 

 Ne pensez-vous pas qu’il a de grandes similitudes avec celui que nous aimerions tant quitter ?

 

 Pourtant, le « but » de la spiritualité n’est-il pas d’adoucir notre expérience terrestre en nous montrant une autre réalité, remplie d’aspirations simples et délicieuses ?

 

 Depuis des années nous avons entendu dire que les changements étaient proches. Mais, c’est nous ces changements. Même si aucune date ne peuvent les identifier, car ils se produisent chaque jour en nous, et sans que nous fassions quoi que ce soit de particulier, à part aimer.

 

 Toutefois, sans doute est-ce plus compliqué quand nous désirons ressembler à l’autre, acquérir des supers pouvoirs, se jouer de notre société, à vouloir que la balançoire aille plus vite et surtout plus haut….

 

 Etre soi est le plus beau et le plus difficile des challenges qui nous est demandé. Bien que rien ni personne ne nous l’impose. Etre soi, c’est s’aimer inconditionnellement et totalement, avec nos valeurs et nos imperfections terrestres. C’est aimer chaque partie de nous-mêmes, du corps à l’âme. C’est s’immerger complètement dans notre société, dans notre village, sur notre planète, totalement, pour ne faire qu’un avec tout. S’aimer, c’est aussi honorer notre présence précieuse, unique et fabuleusement belle. Nous sommes des êtres de toute beauté.

 

 C’est ainsi que je referme cette page garnie d’un miroir. Il vous renvoie votre éclat et me fait redécouvrir le mien, afin que nous l’aimions à en perdre la raison, pour retrouver la puissance qui est en nous depuis toujours et sans fin aucune.

 

 N’avez-vous pas lu que vous êtes le Grand Tout et qu’Il est tout Amour ? Alors, qui êtes-vous vraiment et de quoi avez-vous encore besoin pour « être » ? Si ce n’est de vous aimer tels que vous êtes venus sur ce monde d’expressions, d’expériences folles à en oublier votre Beauté infinie ! A en oublier cet enfant que vous êtes et qui s’est arrêté ici, pour jouer avec son gros ballon, qu’est la Terre…

 

Rédigé par : Pascale Arcan

 

http://lapressegalactique.net/2013/03/09/on-ne-nous-a-jamais-appris-a-etre-heureux/

 

 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 22:11

0ON NE NOUS A JAMAIS APPRIS A ETRE HEUREUX

 

 

Rédigé par : Pascale Arcan

 

http://lapressegalactique.net/2013/03/09/on-ne-nous-a-jamais-appris-a-etre-heureux/

 

 

Cela peut paraître stupide, mais, quelle découverte lorsque l’on s’aperçoit que l’on ne détient pas le « mode d’emploi » du bonheur. Ce cher bonheur que l’on recherche avec frénésie toute notre vie. Que cela soit seul ou en compagnie, le fait d’être heureux, bien avec soi ou de le partager avec l’autre, fait partie des moments privilégiés de notre existence.

 

 

 

 Cette quête peut durer toute une vie, ou s’exprimer de temps à autres,  lorsque le vide intérieur a besoin de se nourrir d’autre chose que de vacuité, de rêves, de sentiments abstraits. Mais, si rien ne vient emplir ce gouffre, l’être se sent démuni et parfois même en manque.

 

 

 Notre société a bien compris ce challenge du bonheur et en a profité pour nous nous nourrir à grands renforts de publicités qui racontent que, si nous avons tel objet, telle voiture, tel parfum, telle marque… nous serons comblés à jamais. D’autres, plus insidieuses, nous démontrent que de se nourrir de certains aliments nous redonnera ce punch, cette énergie, cette vigueur si importante dans notre société actuelle, faite de compétition. Ou, son contraire, qu’il ne faut s’alimenter que de produits non pollués, ou encore n’en consommer que quelques-uns en particulier, pour toutes les raisons que tentent de justifier leurs partisans.

 

 

 Mais, le plus dramatique, c’est qu’on nous vend du vent. Celui-ci tentant de s’engouffrer dans nos manques, nos besoins compulsifs, nos matins chagrins, nos soirées solitudes…

 

 Toutefois, certains d’entre nous savent reconnaitre les petits pièges de cette société qui consomme, et s’en remettre à ce que raconte le corps, à ce que ressent l’esprit, à ce que veut l’être. Sans l’opinion, des autres ou leurs recettes miracles.

 

 

 Par bonheur, cette forme de « remplissage » a été supplantée par l’arrivée de la spiritualité. Celle-ci a allégé nos vies, fait rire nos rêves, charmé nos conceptions du bonheur, joué avec notre intellect et laissé éclore un monde où tout pouvait être simple et doux. Si peu  que l’on se laisse porter par des idées d’élévations, de bonheurs intenses, de joies communes.

 

 

 Puis, les temps ont passé et nous pouvons nous apercevoir que le même phénomène se crée de nouveau. La boulimie est réapparue mais sous d’autres formes, et les manques aussi.

 

Demain, la suite et fin de cette article.

 

 

 

 

 

 

 

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 21:49

4 FEUILLE SUPERBE

 

 

L’amour et le centre vibratoire

 

Lorsque l’on arrive à cet amour simple et authentique de nous mêmes, ne ressent on pas une chaleur, un bien être, une énergie se propageant dans notre être et dans tout notre corps?

 

Nous découvrons alors la qualité vibratoire de l’amour.

 

Et si on écoute cette vibration, on peut s’apercevoir que l’épicentre est au niveau du centre de la poitrine. Bien évidemment, tout notre être entre en vibration d’amour mais le centre spécialisé, préservé, protégé est le centre de notre poitrine. Parfois la vibration d’amour peut naître d’une autre partie du corps et de notre être, et cela va faire résonner ce centre qui va alors prendre et donner le pas, le rythme de la vibration engendrée.

 

http://icietmaintenant333.blogspot

 

 

 

 

                                4 TUBE

 

 

 

 

 

Aimer: aimer l’autre comme on s’aime soi même

 

 

 

Lorsque l’on arrive à cette compréhension vibratoire de l’amour et de l’amour pour soi alors il devient aisé de comprendre cette phrase, ce commandement célèbre “aime l’autre comme tu t’aimes toi même”. Encore, bien sur, faut il connaître l’amour de soi mais cela, je l’ai expliqué.

 

En effet, cela devient simple:

 

 

 

On s’aime soi même, on ressent cette vibration dans notre être, on ressent son expansion dans tout notre être, dans tout notre corps.

 

 

 

 

 

On ne s’impose aucune limitation ou croyance, et on laisse cette vibration se propager et déborder de notre être.

 

 

 

 

 

On perçoit la propagation de cette vibration dans l’air qui nous entoure et on ressent la propagation vers la ou les personnes dans notre entourage et si on « écoute » bien, on peut alors percevoir la résonnance et/ou la réponse à notre vibration d’amour en provenance de l’autre ou des autres.

 

 

 

 

 

On peut alors reconnaître la “couleur” de l’autre par rapport à notre propre référence vibratoire d’amour.

 

On perçoit cette vibration retour comme on perçoit la sienne propre.

 

On peut alors percevoir l'autre, l'accepter, le reconnaitre de la même manière que nous nous sommes acceptés, reconnus pour arriver à la connaissance de notre vibration d'amour.

 

 

 

 

 

Et voilà, on aime les autres comme on s’aime soi même.

 

http://icietmaintenant333.blogspot

 

 

 

 

 

 

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 21:40

0 GOUTTES DE PLUIE 1

 

L'Esprit créateur est fragmenté en plusieurs énergies, les unes forment les structures, les autres sont les contenus des structures.

L'énergie solaire est l'expression de notre essence divine, de notre "passion", c'est-à-dire de notre conscience d'amour, le centre "Je Suis".



L'énergie solaire est placée au-dessus du chakra couronne et peut s'exprimer au niveau du chakra du Cœur lorsque l'on est entré dans la fusion avec l'amour universel. Tous les Cœurs sont reliés à la même énergie d'amour lumière : que l'on soit un soleil ou un humain ou un atome ne fait aucune différence, au niveau subtil, nous sommes tous Un au niveau du Cœur car nous sommes faits de cette même énergie rayonnante. On ne  parle pas du cœur physique mais du cœur énergétique (le centre de l'aura)

L'énergie cristalline est l'équivalent  de la lumière lunaire par rapport à la lumière solaire dans son acceptation spirituelle.



L'énergie cristalline est fluide, liquide et de couleur argentée, irisée, blanche comme la lune sur l'eau. La lune représente les cycles et permet de rompre ou de semer de nouvelles graines. Le calendrier lunaire sert à déterminer des cycles saisonniers dans le temps solaire qui sont continu, les apparitions de la lune servent à tempérer la force solaire.

L'énergie cristalline purifie, fluidifie, rend du mouvement à l'éther (partie supérieure et spirituelle des éléments) dans notre aura.

 

 



Cette énergie cristalline circule dans tous les chakras pour rétablir la connexion avec les plans supérieurs de Conscience, un peu comme les veines qui soutiennent la remontée du sang vers le Cœur. Elle dépend de ce que l'on appelle "les eaux matricielles de la Mère Divine". Cette énergie est l'aspect féminin, réceptif de l'Esprit créateur.

Son symbole en hiéroglyphes est l'Oreille. Entendre signifiant "recevoir". Donc l'énergie cristalline sert à recevoir les énergies subtiles des plans supérieurs.

Le lieu de notre corps relié à cette énergie cristalline est la Thyroïde, le chakra de la gorge, qui est également le lieu d'ouverture de la clair audience (l'Oreille!)

 



Le chakra de la gorge lorsqu'il est ouvert permet d'exprimer les sentiments du Cœur et lorsque les chakras du front (3éme œil) et celui de la couronne (lieu du baptême) sont ouverts, on peut être un porteur du Verbe et créer à partir de l'énergie du son (la parole et la communication humaine ne sont que de pâles imitations de ces capacités)



                                             

L'Astral est un autre nom pour désigner pêle-mêle la psyché (rayonnement des pensées et émotions humaines) et l'aura énergétique (rayonnement électromagnétique) de la Terre.

Pour moi éthérique signifie "énergie spirituelle des plans de conscience supérieurs" tandis qu'énergétique fait référence au rayonnement terrestre et humain.

 

Les Paradis sont les parties élevées de l'astral, dans ces cercles de pureté ont lieu les enseignements des Maîtres ascensionnés. Il y a également des portails vers d'autres dimensions de vie.

 

Ici, sur Terre en 3éme dimension nous sommes calibrés par une fréquence cardiaque, un rythme lunaire, une énergie électromagnétique terrestre et les fréquences des pensées et émotions humaines. Toutes ces fréquences nous "réduisent", nous condensent, nous abaissent. Nous vivons -au mieux- sur la fréquence de notre estomac (mise en valeur du "moi", individualisme et compétition), au pire sur la fréquence de notre intestin (repli sur la famille, dévalorisation de soi au profit du collectif local, guerre pour défendre son territoire contre des envahisseurs, des étrangers, racisme énergétique) Et lorsque l'on est sous-développé socialement, on est basé sur le chakra racine, relié à l'esprit de la survie, entraîné à la méfiance vis-à-vis des humains, avec le besoin de vivre à l'extérieur sans contraintes sociales comme des animaux sauvages solitaires (sdf et marginalité choisie).

 

 http://www.lilaluz.net/categorie-10547941.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                             

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 22:03

0 A PROPOS DE LIBERTE

 

 

Après la santé, la liberté est considérée par la plupart des gens comme la condition la plus essentielle au bonheur, et ce, dans tous les pays du monde. Il est un fait que les hommes ont toujours cherché à la préserver lorsqu’ils l’avaient, et à l’acquérir lorsqu’ils ne l’avaient pas. Pour y parvenir, nombre de personnes ont sacrifié leur vie, et nombre de peuples se sont révoltés au prix du sang. En cela, la liberté est à la fois un archétype, un idéal et un besoin vital pour le genre humain.

 

 

Certains considèrent que l’homme est libre par nature. Cette idée est séduisante a priori, mais je pense qu’elle ne correspond pas à la réalité. En effet, de la naissance à l’adolescence, et même au-delà, un enfant dépend de ses parents, subit son milieu socio-culturel, doit aller à l’école, etc., de sorte que sa liberté est nécessairement limitée. Devenu adulte, il ne peut vivre correctement sans disposer d’un minimum d’argent et de confort matériel, et doit se soumettre aux lois de la société. Et ne serait-ce que sur un plan physiologique, il doit manger et boire pour survivre. Autant de contraintes et d’exigences qui font qu’aucun être humain n’est entièrement libre.

 

 

 

Si l’homme n’est pas libre par nature, il a un penchant naturel à l’être autant que possible. Cette aspiration est si forte en lui qu’il ne s’est jamais résigné à être privé de liberté et qu’il en a fait un droit social. Dans les sociétés démocratiques, ce droit est devenu constitutionnel, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il soit toujours respecté. Quoi qu’il en soit, nombre d’individus ont le sentiment de ne pas être libres. Pourquoi ? Parce que la liberté ne saurait se limiter à un droit. C’est aussi et peut-être surtout un état d’esprit.

 

Étant donné que l’homme est un être qui pense, parle et agit, la liberté à laquelle il aspire s’applique à trois niveaux majeurs : la pensée, la parole et l’action. La première est un acquis “naturel”, en ce sens qu’il est quasiment impossible d’empêcher quelqu’un de penser. Pour ce qui est de la liberté de parole, nous l’utilisons chaque jour lorsque nous disons ce que nous pensons aux personnes que nous côtoyons. À un niveau plus “officiel”, elle s’apparente à la « liberté d’expression » revendiquée par tout citoyen. Quant à la liberté d’action, elle est à la mesure de ce que nous en faisons chaque jour et, selon l’adage bien connu, « s’arrête (en principe) où commence celle des autres ».

 

 

On ne peut parler de liberté sans évoquer le libre arbitre. Si la première est essentiellement un droit social, le second est une faculté, celle qui permet à tout individu de faire des choix et d’orienter son existence. D’un point de vue rosicrucien, cette faculté est un attribut de l’âme et constitue le fondement de notre évolution spirituelle. C’est ainsi que tout être humain est confronté chaque jour à la nécessité de penser, de parler et d’agir en conscience, et c’est en le faisant qu’il conditionne à la fois sa vie et son destin.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

http://www.blog-rose-croix.fr

 

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