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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 21:31

1 NOUVEAU

 

Au XXIe siècle, la majorité de ceux qui s’intéressent à la spiritualité et à la religion sont des « croyants ». Ils croient en quelque chose qu’ils n’ont pas vérifié eux-mêmes. C’est un « acte de foi » qui repose sur la confiance en une autorité spirituelle individuelle ou une tradition et à leurs dogmes et principes. Ces croyants adhèrent à des « constructions mentales » (comme la description d’un paradis après la vie terrestre, d’un état de grâce dans cette vie-ci, d’une réalité transcendantale invisible mais qu’il faudrait vénérer, etc.) qui motivent leur engagement et leurs actions. Le fait que des autorités différentes décrivent des paradis, des états de grâce et des réalités transcendantales très différentes n’a pas encore ému ces croyants au point de leur faire douter de la validité de ces constructions mentales. Ils croient que leur construction d’une promesse spirituelle est la bonne et que l’autorité qui l’a si minutieusement exposée est, évidemment, la mieux inspirée.

 

Ce phénomène, aussi ancien que l’humanité, n’a pas été ébranlé par les attaques virulentes des rationalistes, des athées et de tous ceux qui se sont révoltés contre les spiritualités dogmatiques, coupées du réel.

 

Il semble y avoir une raison profonde à cet attachement aux « croyances » qui constitue l’essentiel de la religiosité aujourd’hui. 

 

Les objectifs tiennent une place prépondérante dans la démarche religieuse : il faut agir d’une certaine manière pour mériter quelque chose dans l’avenir. Cette mobilisation de l’attention des croyants sur le comportement et le futur fait comme un socle immuable sur lequel reposent les institutions. Les croyants les plus motivés s’appliquent à se comporter de manière conforme et à espérer qu’ils mériteront le cadeau qui leur a été promis. 

 

Contrairement à certaines apparences, cette attitude n’est pas limitée aux anciennes religions les mieux établies et les plus reconnues. Même si les nouvelles expressions de la spiritualité semblent moins rigides en apparence ou ont développé des concepts et des postures plus originales, il reste que le comportement du croyant repose toujours sur ce socle commun : « J’agis d’une certaine façon pour obtenir quelque chose que je ne vois pas mais qu’on m’a promis et en quoi je veux croire ». Un catholique ajustera son comportement aux préceptes de sa religion afin de pouvoir gagner le paradis des chrétiens. L’action du catholique pour mériter ce futur glorieux est reconnaissable, elle est inspirée par des valeurs bien connues dans notre civilisation. Depuis la moitié du XXe siècle, les spiritualités d’inspiration orientale ont été l’objet d’un certain engouement pour les jeunes générations. On pourrait penser qu’elles ont révolutionné le socle commun des religions, débarrassé les croyants de leur engagement aveugle, inspiré à une exploration plus consciente de la vie intérieure plutôt qu’à l’adhésion irréfléchie à des principes intellectuels. On peut constater qu’il n’en est rien (...)

 

Le fait est qu’il n’existe pas aujourd’hui de démarche spirituelle qui ne soit fondée sur une « croyance intellectuelle » et un « futur hypothétique ». La cause de ce système qui sclérose toutes nos spiritualités est assez simple : l’espace même de l’expérience de toute spiritualité nous effraie et toute l’attention des croyants se porte ailleurs pour l’éviter. 

 

 

 

Extrait du livre que vous trouverez sur le lien ci-dessous

 

© Editions LPV - 1999-2011 –

 www.la-parole-vivante.com

 

 

 

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 21:08

0 A PROPOS DE LA VIELLESSE

 

 

À moins de mourir prématurément suite à une maladie, un accident ou une catastrophe écologique, industrielle ou autre, nous sommes tous destinés à vieillir. C’est là une loi naturelle à laquelle aucun être humain ne peut se soustraire, et ce, depuis toujours. Ce qui a changé avec le temps, c’est la durée (l’espérance) de vie et les conditions dans lesquelles elle se déroule. Dans les pays développés, elle est passée en un siècle de 50 à 80 ans en moyenne. Parallèlement, beaucoup de personnes âgées ont évolué vers un mieux-être et ont vu leur confort matériel progresser au cours de leur existence.

 

La situation n’est pas idyllique pour autant. De nombreuses personnes âgées vivent dans des conditions précaires, y compris dans les pays développés. Dans les pays pauvres ou en voie de développement, la grande majorité d’entre elles survivent plus qu’elles ne vivent. Par ailleurs, nombre de spécialistes s’accordent à dire que dans les pays développés, l’espérance de vie est en voie de se réduire (la courbe commence déjà à s’inverser). En cause : le stress au quotidien, la mauvaise alimentation, la consommation excessive d’alcool et de tabac, les pollutions diverses, l’omniprésence des ondes électromagnétiques, etc. Ceci est d’autant plus regrettable que cette réduction marque une régression due au comportement irresponsable des êtres humains.

 

Mais revenons-en à la vieillesse, en tant que période de la vie. Lorsqu’on a la chance de bénéficier de conditions matérielles convenables et d’avoir une bonne santé relative, cette période, outre les activités diverses qui la jalonnent au quotidien, est propice à la réflexion ″apaisée″ et ″apaisante″. Libérée des passions qui font la fougue et parfois les excès de la jeunesse, la vieillesse permet en effet de temporiser et de prendre du recul par rapport aux événements, qu’ils concernent la famille ou la société en général. Autrement dit, elle confère en principe une certaine sagesse, d’où l’adage « si jeunesse savait ; si vieillesse pouvait ».

 

 

 

De toute évidence, la vieillesse est la période de la vie qui mène aux portails de la mort. Dès lors que l’on est spiritualiste et que l’on est convaincu d’être une âme incarnée, on ne peut pas ne pas s’interroger sur ce qui nous attend dans l’au-delà. Cette interrogation est nécessairement positive, car elle conduit chacun à s’intérioriser et à faire le point sur ses croyances religieuses ou philosophiques. Par là-même, elle constitue une forme de préparation intérieure à l’après-vie, avec tout ce que cela comporte de mystères et d’espérance.

 

 

 

Pour ceux qui adhèrent à la réincarnation, comme c’est le cas de la plupart des Rose-Croix, la vieillesse est une période privilégiée pour faire le bilan de la vie en cours, en tirer les leçons essentielles et préparer la prochaine incarnation, tout du moins dans ses grandes lignes. C’est ainsi que l’on peut réfléchir au pays dans lequel on aimerait vivre, aux personnes avec lesquelles on souhaiterait rester en contact, au métier que l’on voudrait exercer, aux aspects de notre personnalité que l’on aimerait améliorer, etc., étant entendu que « l’homme propose ; Dieu dispose ».

 

 

Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

http://www.blog-rose-croix.fr

 

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 21:03

0 NOUVELLE IMAGE

 

Un succès dans le monde peut te faire gagner beaucoup de temps, mais un grand nombre d’échecs te conduisent soit vers la dépression et la mort ou soit vers une libération inconditionnelle de tout ton être. Encore une fois c’est dur à entendre dans l’expérience de la souffrance, mais c’est toi qui choisis, c’est toi qui as cette merveilleuse opportunité de créer une vie unique et individuelle, tu as juste à choisir les couleurs tout en comprenant comment fonctionne le pinceau.

 

 

Recommençons à zéro, tu es un ange incarné sur terre, tu deviens inconscient de toi-même pour endosser la condition humaine et ne fais que répéter mécaniquement les vieux schémas et processus de ce monde, les nouvelles méthodes de développement personnel colorées, les technologies interconnectés, les mythologies audiovisuelles, créé et utilisé par cette inconscience de qui tu es vraiment te permet simplement de jouer dans une grande illusion mécanique et dense.

 

 

La vérité de qui tu es vraiment sera toujours dans ton cœur et te rappelleras toujours à toi-même. Aussi éloigné que cet appel semblera venir, en résistant et niant, plus cet appel résonnera, plus tu devras être subtile avec des justifications, des interprétations et des condamnations pour repousser et avoir l’impression de gagner du temps, mais ne feront que cacher des peurs et des souffrances. Ce que tu gagnes en vérité, c’est la répétition mécanique d’un cycle, comme un hamster dans une roue tournant sans fin.

 

 

Toutefois, tu es là avec moi et au fond de ton cœur tu sais pourquoi, parce que tu es un ange et que tu n’a pas d’autres choix, tu vas revenir à ce que tu es vraiment et tu le sens, tu vas courir dans tous les sens aussi longtemps que tu le souhaites. Gronder dans la nature sauvage de l’injustice du monde à ton égard et pleurer dans la société de ton injustice à son égard accompagné par des succès et des échecs.

 

 

Mais nulle part tu ne trouveras la liberté qui te rendra tes ailes et la communion avec tes frères qui t’attendent pour accomplir le travail que nous avons à faire ensemble sur ce monde, la raison pour laquelle nous sommes là.

 

 

S’il te plaît réveilles toi, ne sois pas trop dur avec toi-même, car faire face à la vérité demande un courage et une simplicité de cœur que tu ne trouveras nulle part à l’extérieure de toi, dans aucune philosophie, religion, politique, alternative ni interprétation scientifique.

 

 

La recherche de vérité n’est pas une recherche dans le temps, elle n’utilise pas les outils et les lois de ce monde et n’offre rien d’autre que ce que tu es déjà, la conscience intérieure que tu l’es.

 

Il n’y a rien à gagner ni à perdre avec la vérité. C’est juste vivre avec elle ou croire un temps qu’elle n’existe pas, expérimenté le désordre, le désir d’ordre, le chaos, le conflit, la peur ou retrouver l’ordre et la constance qui vient du cœur.

 

 

Tu n’as besoin de rien, d’aucun savoir, d’aucune expérience pour savoir ce que tu es déjà. Tu peux créer un chemin de diverses expériences pour y arriver à un moment plus tard, mais c’est une création.

 

 

C’est parce que tu crois être ton conditionnement que tu penses ne pas savoir aimer et qu’il te faudra l’apprendre. Mais l’amour n’a pas de contraires, elle est ton état naturel englobant ton monde d’illusions.

 

 

Cet amour tu ne peux le donner si tu ne l’as pas, mais personne ne peut te le donner si tu ne sais pas le recevoir, et tu peux le recevoir seulement si tu aimes vraiment.

 

 

L’extérieur te donne ce que tu donnes au monde et à toi-même. Commence à te pardonner, à t’aimer, à te recevoir, à t’accepter, à te guérir et le monde des formes te donneras ce que tu te donnes et tu le donneras au monde.

 

 

Tu aimeras vraiment quand tu ne chercheras plus la vérité de ce que tu es, mais que tu le vivras sans conditions sur les formes, quand tu vivras ce que tu es en étant connecté à la vérité de ce que tu es, tu donneras et recevras cette énergie qui peut soulever une montagne en un clin d’œil.

 

 

Quand tu pourras aimer véritablement tout ce que tu n’es pas et ses créations médiocres, tu transformeras le monde autour de toi.

 

 

L’amour qui est vérité en action est cette force qui guérira et enseignera tes frères de qui ils sont vraiment.

 

 

L’amour est une communion avec la vie, les formes et l’espace qui les rend possibles.

 

L’amour en relation, c’est offrir un espace pour que la forme de l’autre puisse s’épanouir à partir de lui-même.

 

 

L’amour en relation, c’est donner à l’autre le temps qu’il souhaite pour se créer et se définir dans le monde selon ses propres choix.

 

 

L’amour en relation, c’est accepter sans conditions les faiblesses, les souffrances, les difficultés de l’autre sans le juger, le condamner, le justifier, le signifier ou le changer.

 

 

L’amour en relation, c’est de se regarder soi-même à chaque regard que l’on croise.

 

 

L’amour ce n’est pas dire « je t’aime » mais « j’accepte ce que tu es »

 

 

L’amour ce n’est pas « prendre » ou « donner » c’est de laisser « prendre et donner »

 

 

L’amour c’est ce que nous sommes avant d’essayer d’être ce que nous sommes.

 

 

L’amour est tout ce qui est maintenant, on choisit simplement de l’accepter ou de le voir dans le temps.

 

 

L’amour commence quand la recherche de vérité s’arrête et que l’on devient libre sans condition.

 

 

Ange incarné ici sur terre, qui cherche ses ailes et l’amour,

Merci d’être qui tu es.

http://ascension-spirituelle.fr

 

 

 

 

 

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 21:00

2 FLEUR-copie-1

 

 

Tu es là, recommençons à zéro si tu le veux bien, je viens à toi en ces temps car tu demandes ce qu’est l’amour et la recherche partout. Permets-moi de venir dans cette période de temps où te voilà confortablement installé dans ta « vie spirituelle » à jouer au philosophe avec toi-même. Je viens pour te secouer un petit peu.

 

 

Même si cela te semble dur à entendre, tu te crées des expériences de souffrances et de provocations pour ne pas te perdre sur ce chemin que tu dis suivre sérieusement. Sauf que le chemin dont tu parles et celui que tu prends est différent. Tous tes chemins vont quelque part, tu es persuadé de trouver ce qu’est l’amour au bout de l’un d’entre eux.

 

 

Celui que je te propose et que tu ne fais que fuir de manière subtile ou grossière quand tu en parles ne mène nulle part. Ce n’est pas un chemin mais un mouvement de vie liée à la vérité de ce que tu es vraiment.

 

 

Peu importe tes choix, ils ne sont ni mauvais, ni bons. Ce sont les tiens et font partie de la création de toi-même. De ta propre définition.

 

 

Je viens juste t’aiguiller en te piquant pour te recentrer sur l’observation de ce fossé que tu aimes creuser entre ce que tu penses et ce que tu fais. À toi par la suite de choisir de continuer à creuser ce fossé remplit de souffrances et de peurs que tu caches d’un brouillard dense d’illusions qui t’empêchera toujours de te regarder tel que tu es vraiment.

 

 

La recherche de vérité n’a absolument rien à voir avec la spiritualité, la science ou la philosophie ou quelle que soit la forme que tu trouveras pour t’amuser à te contrôler et manipuler les autres pour obtenir une vie agréable, sécurisé et confortable.

 

La recherche de vérité ne se trouve pas non plus dans les réactions et les révoltes, dans une vie de rejet des formes et des illusions.

 

 

La recherche de vérité n’a de relation qu’avec la vérité qui ne peut venir d’aucune autorité extérieure. Sauf que l’autorité extérieure t’empêchant d’entreprendre le premier pas en direction de la vérité qui se trouve partout dans ton regard et ton corps comme un miroir de ce que tu es, se trouve aussi en toi. Cette autorité extérieure qui te fragmente dans la confusion c’est aussi toi.

 

 

Comment alors distinguer la vérité en toi et l’autorité extérieure en toi qui sépare et divise en créant une multitude de conflits et de peurs ?

 

 

Maintenant je vais te dire une chose contre laquelle tu te révolteras. Il n’y a pas de comment ni de méthode pour se libérer. Et s’il y en avait une tu la refuserais et l’éviterais dans le bruit des milliers de méthodes spirituelles, des réponses scientifiques, des experts et des philosophes, dans les interprétations, les définitions et les opinions.

 

 

Parce qu’en vérité, la recherche de vérité ne t’intéresse pas, la vérité est une chose secondaire. Ce que tu aimes ce sont les illusions. « Plus tard, quand j’aurais le temps, pour le moment j’ai des études à finir, un prêt à payer, un projet à accomplir, un monde à sauver. »

 

 

L’idée d’une vérité t’ennuie et te terrifie, il n’y a pas de caméra sur toi si tu la cherches, tu préfères nager parmi des requins, sauter d’un avion en parachute et gagner une coupe du monde pour te prouver à toi-même ton courage et ta force face à ta peur de la mort.

 

 

Quand regarderas-tu la vérité en face sans la fuir ?

 

 

Finalement quand tu as le courage de t’y mettre, après multiples crises, échecs, frustrations et souffrances dans le monde, te voilà à fuir de nouveau la vérité avec une simple phrase. « Je cherche la vérité. »

 

 

Et pourtant te voilà très courageux, car même si tu gagnes du temps avec toi-même en te reposant sur le côté, tu sais sur quel chemin tu viens de créer et te placer toi-même. Celui de tes humiliations, tes souffrances, tes culpabilités et de tes peurs.

 

 

Sur ce chemin, aucune source extérieure pour t’applaudir et te reconnaître, aucune médaille ni honneurs. Sur ce chemin tu fais face à la solitude et à la mort.

 

 

C’est là qu’une lumière intervient petit à petit dans ta vie, elle te glisse à l’oreille.

« Courage, tu n’es pas seul et tu es aimé. »

 

 

Comprendre ce qu’est cette lumière est une perte de temps, mais pour comprendre ce que tu es toi, il te faudra comprendre ce que tu n’es pas, ce que tu as cru que tu étais, ce qui croit avoir peur de la solitude, du vide et de la mort. Tu n’auras pas d’autres choix que de faire face à la vérité avec sincérité ou bien nier, lutter, combattre, t’endormir dans le cynisme et te droguer pour fuir de mille et une façons cet appel intérieur. Quand les peurs et souffrances qui émergent à la surface sont cachées par l’activité du mental et du corps, tu ne fais que gagner du temps et amplifier ce qui finira par sortir de tous les côtés tôt ou tard.

 

La suite de cet article demain

http://ascension-spirituelle.fr

 

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 20:48
superbe fleur dans le flou
 
 
Certaines personnes ont dans l’idée que pour éliminer ses peurs il faut être plus fort qu’elles. Cela n’est pas faux, mais ce n’est qu’une partie de la vérité occultant la plus importante : la nature de la force à maintenir. La connaissance de l’origine des peurs Les peurs sont le résultat karmique de comportements et d’attitudes.
 
 
 
 
 
                               000 NOUVELLE SEPARATION
 
 
 
 
 
 
Aimer quelqu'un c'est le lire. C'est savoir lire toutes les phrases qui sont dans le cœur de l'autre, et en lisant le délivrer. C'est déplier son cœur comme un parchemin et le lire à haute voix.
 
Quand je regarde un visage j’essaie de tout lire, même les notes en bas de page.
 
Christian Bobin
 
 
 
 
 
Vidéo: Ce que la vie m'a appris...
 
 
 

 

 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 20:59

0 IMAGE MYSTIQUE

 

 

Voici un extrait tiré du livre "Conversations avec Dieu" qui a été un best seller mondial.

 

Je sens certains se dire "oui mais je ne crois pas en Dieu".

 

 

 

 

 

Mais peut être croyez vous en: la source, la déesse, l'esprit universel, le grand esprit, bouddha, le grand architecte, le créateur, l'univers, mon moi supérieur, ma conscience supérieure, mon âme; Jimmy Hendrix, Bob Marley  ... ;)

 

Dans ce cas là, il n'y a qu'à remplacer Dieu par ce en quoi vous croyez.

 

 

 

 

Pour les autres, cela peut être intéressant de lire une autre version possible de Dieu différente du Dieu catholique ou chrétien ou d'autre religion.

 

 

 

 

En dehors de toute croyance, ce texte renferme une belle sagesse qui est, je trouve, bien énoncée.

 

 

Alors, nous arrivons à un point d'interprétation très délicat, car ce principe du parrainage de l'action par l'amour a été fort mal compris – et c'est ce malentendu qui a mené au ressentiment et à la colère – qui, en retour, a poussé tant de gens à s'écarter de la voie.

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis des siècles, on vous a dit que l'action animée par l'amour vient du choix d'être, de faire et d'avoir tout ce qui fait le plus grand bien à un autre.

 

 

 

 

 

Mais Je vous dis ceci : le choix le plus élevé est celui qui vous fait le plus grand bien.

 

 

Comme toute vérité spirituelle profonde, cette affirmation est ouverte à une fausse interprétation immédiate. Le mystère s'éclaircit un peu dès qu'on détermine quel est le «bien» le plus élevé qu'on puisse se faire à soi-même. Et lorsqu'on a fait le choix absolument le plus élevé, le mystère se dissout, le cercle se complète et le plus grand bien pour vous devient le plus grand bien pour un autre.

 

 

II te faudra peut-être plusieurs vies pour comprendre cela, et encore davantage pour l'appliquer, car cette vérité tourne autour d'une autre plus grande encore : Ce que tu fais pour ton Soi, tu le fais pour un autre; ce que tu fais pour un autre, tu le fais pour le Soi.

 

 

 

 

 

C'est parce que toi et l'autre ne faites qu'un.

 

Et cela, c'est parce que...

ll n'y a que Toi.

 

Tous les Maîtres qui ont foulé le sol de votre planète ont enseigné cela. («En vérité, en vérité, Je vous le dis, tout ce que vous faites au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous le faites.»)

 

 

Mais c'est resté, pour la plupart des gens, une grande vérité ésotérique sans grande application pratique. En fait, de tous les temps, c'est la vérité «ésotérique» la plus applicable, au point de vue pratique.

 

 

 

 

 

 

 

 

II est important, dans les relations personnelles, de se rappeler cette vérité car, sans elle, les relations seront très difficiles.

 

 

Revenons aux applications pratiques de cette sagesse et écartons-nous pour l'instant de son aspect purement spirituel et ésotérique.

 

 

 

 

 

II est arrivé si souvent, dans la conception ancienne des choses, que les gens (bien intentionnés et pour nombre d'entre eux très religieux) fassent, dans leurs relations, ce qu'ils croyaient être le plus grand bien à l'autre. Hélas, tout ce que cela produisait dans bien des cas (dans la plupart des cas), c'était un abus continuel de la part de l'autre, un mauvais traitement continuel, une dysfonction continuelle de la relation.

 

 

En définitive, la personne essayant de «faire le bien» en fonction de l'autre (pardonner rapidement, montrer de la compassion, continuellement ignorer certains problèmes et comportements) devient rancunière, coléreuse et méfiante, même à l'égard de Dieu. Car comment un Dieu juste peut-il exiger une souffrance, une absence de joie et un sacrifice sans fin, même au nom de l'amour?

 

La réponse est : Dieu ne l'exige pas. Dieu te demande seulement de t'inclure toi-même parmi ceux que tu aimes.

 

Dieu va plus loin. Dieu te suggère (te recommande) de t'accorder la première place.

Je vous souhaite un bel instant présent.

 

Stéphane

 

http://icietmaintenant333.blogspot.fr

 

 

 

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 20:56

0 1 nouvelle gouttes

 

Vivre l'émotion c'est vivre, c'est sentir et ressentir l'instant présent, c'est aussi libérer et transcender, c'est ne faire qu'Un avec la Vie...

 

 

Quelle est le rôle de l'émotion? Le but de l'émotion : elle nous apprend beaucoup sur notre réalité, sur soi-même et la relation qu'on entretient avec tout, tous et chacun, sur son instant présent.

 

 

Quel est notre instant présent? Nous croyons que vivre l'instant présent, c'est être en toute conscience avec le moment qui se manifeste. Pourquoi certains êtres ne sont pas tout à fait présents dans la manifestation de la réalité présente ?

 

 

Pour répondre à cette question: ils vivent plusieurs instants à la fois. Nous sommes des êtres émotifs, nous réagissons selon le scénario qui se présente. Selon ce qui est manifesté, partagé, observé, analysé, notre mémoire cellulaire, mémoire consciente et inconsciente émergent en nous des émotions.

 

 

C'est ce qui détermine notre relation avec tout, tous et chacun, selon notre propre vérité et nos croyances, nous agissons.

 

 

Il est très important d'interpréter chacune de nos émotions, de quoi est nourrie cette émotion? De la peur, de la joie.. Que nous procure cette émotion? Un sentiment de bien-être ou de mal-être…

 

 

Que refoule cette émotion? La peur de n'être à nouveau pas aimé, d'être rejeté, d'être abandonné, d'être jugé, d'être offensé, manipulé, contrôlé, d'être isolé etc... Ou bien cette émotion nous rappelle comment nous sommes aimés, appréciés, respectés …

 

 

Ce qu'il faut comprendre, c'est que l'émotion est la résultante de l'instant présent. L'émotion nous ramène à notre instant, l'important n'est pas de bannir les émotions mais d'apprendre de celles-ci. L'émotion ne fait que nous dévoiler notre relation avec tout, tous et chacun. Plus nous sommes dans l'émotion de paix, plus nous sommes libérés de nos incompréhensions et de nos peurs.

 

 

La méditation aide à apporter la paix désirée, mais si l'émotion n'est pas empreinte de paix, celle-ci vient mettre un voile, une discordance et apporte un comportement inapproprié car cette émotion est née de la peur, du manque d'amour, de l'insécurité etc...

 

 

La méditation apporte temporairement cet état de béatitude, mais les émotions qui sont refoulées, nouées, ne font que remonter à la surface lorsque nous revivons le même genre de scénario. C'est ainsi que nous subissons à nouveau ces états d'âme, peu importe notre degré de compréhension, d'avancement spirituel.

 

 

Plus nous sommes éveillés, plus nous prenons conscience de l'importance de nos émotions, être en mesure, en les revivant à nouveau, d'apporter les corrections nécessaires pour les épurer et les transcender. Insuffler la lumière dans ces mémoires, pour ainsi les libérer afin de ne plus être sous l’influence de ces émotions nées de l'incompréhension, de la dualité, qu'elles procurent par le manque d'amour.

 

Nous sommes des êtres émotifs, c'est ce qui nous rend unique, chacun a droit a sa propre vérité, son propre chemin spirituel. Mais en même temps nous sommes tous unis, nous ne faisons qu'un dans l'amour. Nous sommes lumière dans la lumière.

 

 

Prendre conscience que peu importe ce que nous vivons, les émotions sont là pour nous aider sur notre chemin de lumière. En comprenant que nous sommes ce que nous vivons, nous sommes en mesure de créer dans l'instant présent des émotions empreintes de paix et d'amour inconditionnel et universel, un amour divin qui respecte en tout point l'apprentissage et l'évolution de tous et chacun.

L'amour est notre guide et notre lumière, il nous permet de tout élever, guérir, unifier, épurer, transcender tout ce qui n'est pas amour divin. Nous sommes là pour apprendre et élever notre conscience pour ainsi se départir des peurs engendrées par des fausses croyances.

 

 

Lorsque les émotions naissent de l'amour divin, alors nous sommes sur le bon chemin car tout est empreint de paix et d'amour, tout en respectant l'ordre établi, le plan divin.

 

 

Alors, libérons-nous des émotions qui sont nées de l'incompréhension, des peurs, résultantes de notre propre pouvoir de création. Créons et diffusons dans la lumière, notre appartenance à la source divine, notre héritage divin, l'amour que nous avons pour tout, tous et chacun, c'est l'amour unifié, c'est ainsi que nous avons été créés.

 

Ayons des pensées, des intentions, des actions concrètes, des émotions d'amour divin, inconditionnel et universel à tout ce qui est, à tous et à chacun nos plus belles émotions de lumière. Reflétons ce que nous sommes, l'amour divin, la lumière dans la lumière.

 

Auteur : Raphaël Juste Être

 

http://www.choix-realite.org

 

 

 

 

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 20:58

0 A PROPOS DU PARADIS ET DE L ENFER

 

La plupart des religions enseignent que l’âme des défunts se rend au paradis, le plus souvent après un séjour au purgatoire, ou en enfer. La première destination post-mortem est promise aux fidèles qui se sont évertués à faire le bien et à suivre le credo de ladite religion ; la seconde est celle qui attend les impies, les païens, ou ceux qui ont fait trop de mal durant leur existence. Dans le premier cas, l’âme du défunt est censée connaître une après-vie de félicité, en présence de Dieu et des anges. Dans le second, elle est condamnée à souffrir éternellement et à subir toutes sortes de tourments infligés par les démons ou le diable en personne.

 

 

 De nos jours encore, des centaines de millions de personnes croient à l’existence du paradis comme de l’enfer, et agissent plus ou moins en conséquence. Certes, cette croyance n’est pas négative en elle-même, mais elle repose sur une vision très manichéenne de la destinée humaine et ne correspond pas à la réalité. Cela supposerait en effet qu’il y ait quelque part dans le ciel un lieu fermé ou vivraient ensemble les âmes des défunts les plus méritants. À l’inverse, il y aurait dans les profondeurs de la Terre un endroit où seraient prisonnières toutes celles, beaucoup plus nombreuses, qui auraient démérité au regard des religions concernées, et ce dans le but de les punir éternellement pour leur imperfection et leur impiété. Cela n’est-il pas en totale contradiction avec le Dieu d’Amour et de Miséricorde auquel se réfèrent les écrits dits sacrés ?

 

 

 Si chacun est libre d’admettre l’existence du paradis et de l’enfer, et s’il est vrai que cela n’a pas de conséquences graves pour le commun des croyants, il faut néanmoins mentionner le dévoiement que des fanatiques religieux font de ces deux concepts. Vous savez comme moi que certains d’entre eux se portent volontaires pour mourir en martyrs afin, croient-ils ou feignent-ils de croire, d’être admis directement au paradis et de vivre dans la félicité, aux côtés de Dieu Lui-même. Le drame, c’est qu’ils vont jusqu’à se faire exploser au milieu d’innocents, soi-disant en Son nom. Pour ma part, je regrette que les plus hauts responsables et les fidèles des religions concernées ne s’impliquent pas davantage pour condamner de tels crimes.

 

 

 D’un point de vue rosicrucien, l’âme des défunts ne se rend ni au paradis, ni en enfer. Lorsque survient la mort, elle quitte graduellement le corps physique qui fut le sien et retrouve l’état d’énergie-conscience qu’elle avait avant de s’incarner. Puis elle se fond progressivement dans la l’Ame universelle, laquelle intègre les âmes de tous les défunts, parmi lesquels celles des êtres chers qui l’avaient précédée dans l’“au-delà“. À un moment donné, elle en émane à nouveau pour se réincarner et commence ainsi une nouvelle vie terrestre, jusqu’au jour où elle atteindra l’état de Sagesse. Dès lors, elle ne sera plus dans l’obligation de se réincarner et vivra définitivement et en pleine conscience dans l’Immensité divine.

 

 

En réalité, c’est ici-bas que se trouvent le paradis et l’enfer. En effet, quand on a la chance d’être en bonne santé, d’aimer et d’être aimé, de bénéficier d’un certain confort matériel, d’exercer une profession qui nous plaît, etc., la vie est “paradisiaque”. À l’inverse, quand on souffre, que l’on est seul, que l’on est dans le dénuement, que l’on ne mange pas à sa faim, que l’on n’a pas de logement, etc., la vie est alors “infernale”. Vu sous cet angle, c’est avant tout aux hommes de faire en sorte que la Terre devienne un paradis où il fasse bon vivre pour tous. Cela pose tout le problème du libre arbitre, tant sur le plan individuel que collectif.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr

 

 

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 20:51

0 1 SOURIRE

Sourire rend attirant

Une personne souriante est toujours plus séduisante. C'est un facteur indéniable. On souhaite connaître la raison de ce sourire.

Le bien-être est attirant. Grimacer repousse,
sourire, attire.

0 2 SOURIRE   Sourire met de bonne humeur

 

La prochaine fois que vous vous sentirez un peu déprimé, forcez-vous à sourire. Il y a de grandes chances que votre état d'esprit change en même temps. Ça marche dans les deux sens : être heureux vous fait sourire et sourire vous rend heureux.

 

0 3 SOURIRE  Le sourire est contagieux

 

  

Lorsque quelqu'un sourit, il irradie. Son effet se répercute sur les autres. Une personne souriante apporte toujours un petit « plus ». Souriez beaucoup, et les gens rechercheront
votre compagnie.

 

0 4 SOURIRE  Sourire soulage du stress

 

 

Le stress laisse des traces sur le visage.
Sourire nous empêche d'apparaître fatigué, épuisé.

Quand vous êtes stressé,
prenez le temps de sourire.

 

0 5 SOURIRE  Sourire stimule notre système immunitaire

Sourire aide le système immunitaire à mieux fonctionner.

Évitez la grippe et les rhumes en souriant.

 

0 6 SOURIRE   Sourire baisse la tension artérielle

 

Quand vous souriez, il y a
une réduction notable de
la pression artérielle.  Essayez à la maison si
vous avez le matériel.

 

 

0 7 SOURIRE  Sourire est votre nouvelle drogue

 

Sourire relâche des endorphines, sérotonines et des calmants naturels. Les études ont démontré que sourire libère ces substances de manière naturelle et qu’elles sont responsables de la sensation de bien-être

 

 

0 8 SOURIRE     Sourire conserve la jeunesse

     

Sourire donne un lifting naturel et rend plus jeune.
Les muscles utilisés pour sourire dissipent les rides et rendent plus jeune. Pas de botox ou de chirurgie. Souriez plus et restez jeune.

 

  0 9 SOURIRE     Sourire donne l'impression d'avoir du succès

 

Les gens souriants semblent
être plus confiants, ont plus
de chance d'avoir une promotion et d'être approchés.

 Souriez pendant vos rendez-vous et réunions et les gens réagiront différemment avec vous.

 

010 SOURIRE Sourire vous aide à rester positif

 

Essayez ceci : souriez. Maintenant, essayez de penser à quelque chose de négatif sans perdre votre sourire. Difficile n'est-ce pas ?

Quand on sourit, notre corps envoie ce message :
« La vie est belle ».

Conception : Nicole Charest

 

Retrouvez d’autres textes et diaporamas inspirants sur mon site : www.lapetitedouceur.org

 

 

 

 

 

 

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 22:19

0 A PRPOS D ARGENT

 

 

Depuis l’époque très lointaine où il troquait un bien contre un autre, une marchandise contre une autre, un service contre un autre, l’homme a inventé une monnaie d’échange que l’on assimile de nos jours encore à l’argent. Comme chacun sait, il se présente dans la plupart des pays du monde sous la forme de billets et de pièces, auxquels on attribue des valeurs qui fluctuent en fonction des circonstances politico-économiques et du “marché”. Cette invention fut une nécessité, car le troc atteignit rapidement ses limites et n’était pas toujours équitable. Très tôt dans l’histoire humaine, il a donc fallu créer un système n’ayant dans l’absolu aucune limite et garantissant en théorie une certaine équité.

 

 

Le temps a passé depuis l’invention de l’argent, mais l’homme a rapidement perverti l’usage idéal qu’il aurait dû en faire. Conçu à l’origine pour servir de monnaie d’échange, il s’est transformé en une marchandise que l’on s’est employé à accumuler en tant que telle, de sorte que son acquisition est devenue une fin en soi, au mépris des valeurs morales et éthiques les plus élémentaires. Le « bon serviteur » qu’il aurait dû être s’est bien vite transformé en « mauvais maître », au point de révéler avec de plus en plus d’acuité deux faiblesses majeures de la nature humaine : l’avidité et la cupidité. De nos jours, tout laisse à penser que ces deux faiblesses ont atteint leur paroxysme dans les sociétés modernes.

 

La question qui se pose est de savoir pourquoi l’homme en général est si avide et si cupide. Cela revient à se demander pourquoi il veut toujours plus d’argent et de biens, au-delà même de ce qui lui est nécessaire pour vivre confortablement sur le plan matériel : La peur de manquer ? Le besoin de posséder ? Le désir de dominer ? Il est difficile de savoir ce qu’il en est vraiment, mais ce qui est certain, c’est que cette attitude ne le rend généralement pas heureux, ou alors pas longtemps et pas pleinement, d’où l’adage populaire : « L’argent ne fait pas le bonheur ». Cela étant, on ne peut nier qu’il y contribue activement, car il est une nécessité pour mener une vie ne serait-ce que “normale”.

 

Comme vous le savez, nombre de religions prônent la pauvreté, car elles considèrent que la richesse corrompt l’âme humaine et l’éloigne de Dieu. D’un point de vue rosicrucien, une telle approche de la spiritualité n’est pas fondée. Penser cela reviendrait à dire que le fait d’être pauvre rend plus spirituel, ce qui n’est pas le cas. Certes, c’est avant tout la richesse intérieure qu’il faut rechercher, mais une telle quête peut être menée sans pour autant mépriser l’argent. Ce qui importe dans ce domaine, c’est la manière dont on l’obtient et l’usage que l’on en fait. Quiconque en “gagne” malhonnêtement ou au détriment d’autrui avilit effectivement son âme. Il en est de même de quiconque l’emploie à des fins immorales ou négatives. Mais s’il est obtenu honnêtement et utilisé d’une manière positive, il permet à celui qui en possède d’être heureux et de rendre les autres heureux, ce que Dieu, quelle que soit l’idée que l’on s’en fait, ne peut qu’approuver.

 

Que faire pour que les hommes soient moins avides et moins cupides ? Je ne vois qu’une solution : leur expliquer dès le plus jeune âge que ce n’est pas dans les possessions matérielles qu’ils trouveront le bonheur, et que devenir riche n’est pas un but en soi. Cela pose tout le problème de l’éducation. Malheureusement, la société actuelle a élevé l’argent au rang de divinité et en a quasiment fait un objet de culte. Dans certains pays, il existe même des écoles où l’on apprend aux enfants à l’aimer au plus haut point et à en faire le compagnon de leur vie. Sans aller jusqu’à cet extrême, on ne peut nier que l’argent occupe une place de plus en plus importante dans les conversations courantes, les débats publics, les jeux télévisés, le sport, etc. En ce qui me concerne, je le regrette profondément.

 

Serge Toussaint

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

http://www.blog-rose-croix.fr

 

 

 

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