La culpabilité est définie comme d’après le dictionnaire Larousse comme : « l’Etat de quelqu’un qui est coupable d’une infraction ou d’une faute. Ou encore un sentiment de faute ressenti par un sujet, que celle-ci soit réelle ou imaginaire ».
La culpabilité tant sur le plan personnel que dans le cadre des relations étatiques entre différents pays, peut effectivement limiter l’enthousiasme et l’exaltation de l’Homme à poursuive un état d’amélioration dans ses rapports avec son semblable.
La culpabilité nait des actions qui engendrent le regret. Elle nait également suite aux conséquences nocives des actions qui émanent des décisions prises par l’homme souvent à la hâte sans un réel aperçu sur leurs impacts futur. Ou encore provient des décisions réfléchies de l’homme, qui au moment de l’action ne peux mieux faire parce qu’il s’appuie sur des éléments qui semblent très importantes pour lui mais qui obstruent son appréciation aux choses à leurs justes valeurs.
La culpabilité vient des erreurs dues à l’imperfection humaine. L’homme évolue sur le plan terrestre qui le confronte à divers expérimentations et le conduit à des prises de décisions. Ces diverses expériences l’obligent très souvent à prendre des décisions positives ou négatives le menant parfois à des erreurs, à la justesse, à la lumière ou à la vérité sur différentes questions. Les expériences ont dans la subtilité aussi, un avantage celle de conduire l’instruction, car quoi de plus instructif que de vivre les expériences personnellement, vue que ceci permet de saisir pleinement les contours et de savoir si elles procurent la paix intérieur et extérieur. A titre personnel ou collectif elles permettent finalement aussi aux hommes de méditer et comprendre profondément l’impact de leurs actions bonnes ou mauvaises tout en leurs proposant les voies pour l’amélioration. Elles sont leçons de vie et des pédagogues elles donnent de s’assagir perpétuellement.
C’est pourquoi rester dans la culpabilité suite aux mauvaises expériences au lieu de chercher à saisir l’autre opportunité instructives et positive qui se présente, qui est la possibilité de s’améliorer, de réparer ou d’amoindrir les erreurs est à tort. Car non seulement l’erreur n’est pas restaurée mais son fardeau est davantage pensant par le temps que la conscience entraine à ressasser sur le sujet en suscitant divers extrapolations qui ranime les émotions négatives. Ce qui n’est pas sans conséquences sur la santé et les qualités relations humaines.
Certes la culpabilité donne d’accuser la responsabilité d’un acte blâmable propice à facilité le changement de manière positive. Mais son poids peut empêcher de de se libérer l’esprit afin de pouvoir édifier de nouvelles conditions bienveillantes, cordiales entre semblables. Mais comme le dit un autre dicton courant « l’erreur est humaine». Nous somme tous imparfaits, et les erreurs nous courtois quotidiennement. L’essentiel pour L’homme en quête de paix intérieur et extérieur, est de toujours poursuivre le chemin de l’amélioration vers bien. Et d’user continuellement de l’instrument pacifique qui est le pardon afin de se pardonner et demander pardon lorsqu’il cause du tort à son semblable.
Auteur Adassa Fepessi
Source ARCHANGEGABRIEL.wix.com
http://www.choix-realite.org/7327/enlever-le-poids-de-la-culpabilite