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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 08:20


 

 

Si c’était horrible, ce serait facile de dire non, de monter la barre, de déclarer que l’on mérite mieux et que l’on n’accepte plus de se sacrifier. Oui, s’il n’y avait que des aspects négatifs, on n’hésiterait pas à faire ce qu’il faut pour se libérer.

 

 

C’est quand c’est tolérable que c’est plus difficile… Quand notre cœur nous demande un peu plus, ou un peu mieux, mais que l’on est tout de même relativement bien. Quand on n’est pas tout à fait dans notre élément, pas tout à fait comblé, mais que l’on retire tout de même un peu de positif de la situation que l’on aimerait changer.

 

 

C’est étrange à dire, mais il est souvent plus facile de s’élever au-dessus d’une douleur terrible qu’au-dessus de la médiocrité. Se libérer de la souffrance est un mouvement de survie. À peu près tout le monde a un instinct de survie. Mais renoncer à ce qui nous convient un peu, mais pas tout à fait – déclarer que l’on est digne d’être choyé, non pas seulement contenté – requiert beaucoup, beaucoup de force. Et d'amour, certainement.

 

 

Évidemment, si on a tendance à ne jamais être satisfait, notre sentiment d’insatisfaction nous suivra où que l’on soit. La clé première restera toujours d’apprendre à cultiver la paix et la gratitude exactement où l'on est maintenant. Cela dit, si l’on se sent profondément inspiré à avoir plus, sur quelque plan que ce soit, on peut tenir pour acquis qu'il y a une bonne raison. Ce n'est pas le caprice de l'enfant gâté, mais l'appel du héros qui reconnaît en lui le germe des plus belles possibilités, et qui sait qu’il ne tient qu’à lui de les concrétiser.

 

http://www.matinmagique.com

 

 

 

 

 

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 08:25

 

 

Avez-vous besoin d’être toujours en train de produire et d’avancer pour vous sentir bien?

 

 

Nous sommes nombreux à être habités d’un besoin d’être constamment en action… Une sorte de malaise nous habite lorsqu’on n’est pas en mouvement, comme s’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. On se dit peut-être qu’on aimerait avoir plus de temps pour nous, mais dès qu’on a l’occasion de s’arrêter, on trouve quelque chose d’autre à régler ou à cogiter juste pour se garder la tête et les mains occupées. Des choses souvent bien peu importantes, en réalité…

 

 

Vous reconnaissez-vous ici ? Il est possible que non… Cela dit, je serais étonnée que cela ne vous rejoigne pas à un certain degré. Peu d’entre nous sont capables de ne rien faire sans se sentir inutiles, ou sans ressentir une pointe de culpabilité.

 

 

 

 

Le fait d’être productif a toujours été très valorisé; c’est même une des qualités les plus admirées. Ainsi, on peut virevolter comme de petites mouches pendant longtemps avant de réaliser que notre besoin d’être constamment en action n’est pas une force, en réalité, mais une sorte de compulsion. Évidemment, être proactif et généreux est un bel élan de vie… mais nous savons tous les deux que ce n’est pas à un «bel élan de vie» que l’on a affaire, ici. Si on a besoin d’être occupé pour se sentir O.K., c’est parce que c’est la peur qui nous mène par le bout du nez. La peur du silence, peut-être. La peur de se rencontrer. Et qui a vraiment envie de vivre ainsi? Une fuite est une fuite… que l’on fuie dans l’alcool ou dans l’action. Et rien de ce que l’on gagne ainsi n’est aussi précieux que ce que l’on perd, même si on attire des regards approbateurs de nos pairs.

 

 

Nous sommes des rois, des reines. Nous ne sommes pas ici pour dépenser le maximum d’énergie possible, pour prouver notre valeur, ou pour justifier notre existence… Et tout ce que l’on fait dans cet état d’esprit est vide – vide de nous, vide de paix, vide d’amour. Si on n’est pas bien avec soi-même, cela se reflétera dans tout ce que l’on fera, et cela nous suivra où que l’on soit.

 

 

Ainsi, oui, un être humain qui accomplit une foule de jolies choses est certainement très inspirant. Mais il y a une autre chose qui l’est tout autant : une personne qui peut être assise sur une chaise, en silence, et se sentir remplie de sa simple présence. Une personne qui est capable de juste être, sans ressentir le moindre manque. Une personne qui a le courage d’accueillir les malaises qui remontent à la surface lorsqu’elle est seule avec elle-même, plutôt que de fuir vers l’extérieur ou vers l’avant. Oh, ce n’est pas le genre d’accomplissement pour lequel on distribue des médailles… mais en ce qui me concerne, je peux difficilement imaginer quelque chose de plus beau et de plus impressionnant.

 

 

Passez une belle journée!

 

 

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 07:57

 

 

Il nous arrive tous de ressentir du stress, de l’amertume, de la culpabilité – bref, de vivre des émotions plus ou moins agréables. Et nous aspirons à peu près tous à nous en libérer. Une vie sans celles-ci – ou plus réalistement, une vie comportant beaucoup moins de celles-ci – serait… Wow, imaginez. ;-)

 

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi nous nous permettons de cultiver ces états, merveilleuses petites créatures humaines que nous sommes? Oui, vraiment, pourquoi acceptons-nous de nous stresser alors que c’est si… stressant? Pourquoi choisissons-nous d’entretenir la colère plus longtemps que nécessaire alors qu’elle a un goût tellement amer? Comment en venons-nous donc à cultiver tous ces états qui font obstacle à la joie?

 

 

Il y a plusieurs réponses possibles à cette question, car on peut l’approcher à plus d’un niveau. Mais voici une des plus fondamentales : c’est parce que ces émotions nous vendent de jolies salades, tout simplement. Oui, ces petites bêtes sont extrêmement, incroyablement habiles à se prétendre utiles…

 

 

Prenons le stress, par exemple. Vous savez tout comme moi qu’il jure de nous rendre plus productifs et en contrôle… Comme s’il nous donnait de l’énergie, comme s’il nous aidait à performer. Ou encore, vous avez sûrement remarqué que l’angoisse promet de nous protéger des drames redoutés… Comme si en ayant peur maintenant, on s’assurait de n’avoir rien à craindre plus tard. La colère, quant à elle, prétend nous faire justice, bien sûr. C’est pourquoi on a parfois de la difficulté à la laisser aller. Et ainsi de suite.

 

 

Ces émotions lourdes et toxiques nous persuadent donc qu’elles sont une source de force et d’énergie. Et voici ce qui est absolument renversant : la réalité n’est pas seulement différente, mais complètement à l’o-p-p-o-s-é! Car alors même qu’elles nous convainquent de leur grande utilité, ces émotions nous enlèvent exactement ce qu’elles prétendent nous donner. Oh, le stress semble effectivement nous rendre plus productifs, car nos mouvements sont plus rapides sous son influence… Mais en réalité, on est beaucoup moins efficace et inspiré en sa présence que si on était calme et centré. La peur, qui prétend nous protéger, tire notre énergie vitale et nous fragilise. Même notre système immunitaire est affaibli lorsqu’on la cultive – ce qui n’est pas peu dire! Et la colère ne nous rend justice d’aucune façon… Elle nous amène au contraire à nous revancher sur nous-mêmes, en nous grugeant.

 

 

N’est-ce pas absolument fascinant?

 

 

Ainsi, plutôt que d’essayer de renoncer tout bonnement à ces émotions – ce qui n’est pas évident, car on a justement l’impression de renoncer à quelque chose de très important –, peut-être pouvons-nous commencer par les étudier plus méticuleusement, tout simplement. Oui, peut-être pouvons-nous les observer en action, et voir à quoi nous renonçons vraiment.

 

 

Quand on était enfant, nos parents nous répétaient de ne jamais aller vers les étrangers qui nous offrent des bonbons (on m’en a déjà offert, d’ailleurs… Je me demande bien où je serais aujourd’hui si j’étais montée dans le camion). Pourquoi ne pas suivre la même consigne chose avec nos émotions? Plutôt que de monter spontanément dans leur «camion», donc dans la souffrance, pourquoi ne pas garder une distance et examiner les promesses qu’elles nous font? Plus on le fera, plus on verra la vérité derrière leur petit jeu, et plus il sera aisé de leur dire non. (Évidemment, il n’est pas question ici de refouler les émotions lourdes qui nous habitent déjà – c’est bien la dernière chose à faire. On parle simplement de faire notre possible pour ne pas les nourrir ou en cultiver de nouvelles.)

 

 

En fin de compte, aucune émotion négative ne remplit ses promesses. Jamais, jamais, jamais. Leurs bonbons sont aussi toxiques qu’elles le sont. Aucune de leurs salades n’est comestible. Et c’est une chose merveilleuse, quand on y pense… Car il ne nous reste finalement qu’une option : cultiver jour après jour le maximum de paix et de joie possible. :-)

 

Passez une splendide journée!

 

Marie-Pier

 

http://www.matinmagique.com

 

 

 

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 09:24

00 1 er TEXTE MATIN MAGIQUE

 

On a tous appris que l’on gagne à accueillir les épreuves aussi sereinement que possible si on veut être en harmonie avec la vie. Et de toute façon, on sait que l’on ne peut jamais être vraiment certain qu’une chose est aussi négative qu’elle le semble… Même ce que l’on craint le plus au monde peut s’avérer être le plus beau des cadeaux, en fin de compte.

 

 En théorie, c’est tout simple et mignon. Mais au quotidien, il peut être assez difficile de se le rappeler, n’est-ce pas?

 

 

Depuis quelque temps, il y a un petit processus que je fais spontanément pour me reconnecter à ces vérités, quand j’ai l’impression que la planète ne tourne pas dans la bonne direction. C’est vraiment tout simple (et mignon…), et j’ai pensé le partager avec vous aujourd’hui.

 

Allons-y…

 

Pour commencer, pensez à une mauvaise surprise que vous avez eue récemment, un élément de votre vie qui ne va pas comme vous le voulez et qui vous amène à vous contracter. Cela n’a pas besoin d’être spectaculaire, il peut s’agir d’un simple bouchon de circulation.

 

 

Ensuite, pensez à une chose que vous voulez profondément… Une vision absolument délicieuse qui vous fait vraiment, vraiment vibrer. Il peut s’agir d’un objectif traditionnel, mais aussi d’un objectif plus «intérieur» – comme le fait d’être profondément serein et comblé.

 

 

Puis, voici ce que je vous propose : imaginez une façon par laquelle l’événement indésirable identifié tout à l’heure pourrait vous mener à l’aboutissement de ce magnifique désir. Même s’il n’y a apparemment aucun rapport entre les deux.

 

 

Par exemple, si vous venez de constater que votre enfant n’a pas de bons résultats scolaires et que cela vous donne l’impression que la vie s’est tournée contre vous, prenez une grande respiration, puis imaginez comment cette situation pourrait vous aider à concrétiser un de vos désirs profonds – celui de vivre de votre passion, disons. (Toujours par exemple : peut-être qu’en allant rencontrer les professeurs à l’école, vous tisserez des liens avec un autre parent, qui s’avérera avoir de bons outils à vous conseiller pour commencer à exercer cette nouvelle profession.)

 

 

Il faut parfois être assez créatif, et le trajet imaginaire entre la mauvaise surprise et l’aboutissement de notre rêve peut certainement sembler tiré par les cheveux, parfois. Ce n’est pas si important. Le but de cet exercice est de nous ouvrir l’esprit – de «casser» cette partie de nous qui peut être si rigide et si compacte. Il sème un petit doute, et ainsi, il nous libère de la certitude-béton que la mauvaise surprise est fondamentalement mauvaise. Et à partir de ce moment, il y a assez d’espace pour que la paix puisse commencer à s’installer.

 

 

On pourrait arriver au même résultat  simplement en imaginant diverses conséquences positives qui pourraient découler de la mauvaise surprise (ou en imaginant les conséquences beaucoup plus négatives qu’elle nous permet peut-être d’éviter sans qu’on le réalise), mais en ce qui me concerne, je remarque que connecter les événements indésirables à ce que je désire le plus au monde est souvent plus percutant. C’est même devenu un réflexe… En général, je n’ai plus vraiment besoin d’imaginer le trajet entre la mauvaise surprise et la concrétisation de mon rêve pour me libérer de cette impression de négativité. Le simple fait de savoir qu’il y a quelques trajets possibles – et il y en a toujours – est assez pour m’apaiser.

 

 

La vie est si douce lorsqu’on abandonne l’idée qu’elle puisse être contre nous…

 

http://matinmagique.com/mx22.html

    

 

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 08:37

00 novrllr image mistique


Un texte à méditer que je viens de recevoir d’un ami senior.

Lettre d'adieu de Gabriel García Márquez (1927-2014

 

 

 

« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais.

Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais.

Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles représentent.

Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu'en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière.

 

 

Je marcherais quand les autres s'arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient.

Si Dieu me faisait cadeau d'un morceau de vie, je m'habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme.

Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu'ils cessent d'être amoureux parce qu'ils vieillissent, sans savoir qu'ils vieillissent quand ils cessent d'être amoureux !

A l'enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul.

Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l'oubli.

 

 

J'ai appris tant de choses de vous les hommes... J'ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d'y arriver.

J'ai appris que lorsqu'un nouveau né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours.

J'ai appris qu'un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever.

 

 

J'ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c'est que malheureusement je serais en train de mourir.

Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses.

Si je savais que c'est peut être aujourd'hui la dernière fois que je te vois dormir, je t'embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme.

Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais "je t'aime" sans stupidement penser que tu le sais déjà.

 

 

Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c'est si c'est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t'aime, que jamais je ne t'oublierais.

Le lendemain n'est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux.

 

 

C'est peut-être aujourd'hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n'attends pas, ne perds pas de temps, fais le aujourd'hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n'avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir.

Garde ceux que tu aimes prés de toi, dis leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire 'je regrette' 'pardonne-moi' 's'il te plait' 'merci' et tous les mots d'amour que tu connais.

 

 

Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande la force et la sagesse pour les exprimer.

Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi.

 

 

Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd'hui. Et si tu ne le fais pas cela n'a pas d'importance. Le moment sera passé.

Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse."

 

Gabriel García Márquez

 

 

 

 

 

 


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13 janvier 2014 1 13 /01 /janvier /2014 13:51

 

DEUX ECUREUILS

 

Ô Enfant Éternel, en cet instant une envie t'empêche de te réaliser.

 

Cette tentation, aspiration commence à prendre une grande place en ton cœur. Cela va compromettre ta mission en ce monde si tu te laisses embobiner, tromper par celle-ci. Enfant de ma lumière, je comprends ton désarroi, ta détresse car ce qui vient te perturber c'est que tu n'as plus envie de vivre en ce monde.

 

En cet instant j'entends ta prière, tu attends un signe car tu es en train de perdre tout espoir et tu crois qu'en partant de ce monde, tu vas être enfin libéré de celui-ci. Il est vrai cher enfant qu'en ces temps de grand bouleversement, tu es mis à rude épreuve. Pourquoi en cet instant, tu sens et ressens le besoin de fuir ce monde? C'est que tu as épuisé toutes tes ressources, c'est que tu ne crois plus à ce monde, c'est pour cette raison que tu es en confrontation avec toi-même. Il y a une part de toi qui te dit ceci.

 

Auteur : Raphaël Juste Être

 

http://www.choix-realite.org/6779/o-enfant-eternel-en-cet-instant-une-envie-tempeche-de-te-realiser

 

 

                                      000 NOUVELLE SEPARATION

 

"Qui prend soin de votre parachute ?

 

Nous avons toujours besoin de quelqu'un pour prendre soin de notre "parachute" physique, émotionnel, mental ou même spirituel.

Et vous savez quoi ? Souvent sans le savoir, nous avons tous quelqu'un qui nous donnent ce dont nous avons besoin pour passer la journée, pour nous aider lors de moments difficiles, etc.

 

Parfois, en raison des vicissitudes de la vie quotidienne, nous oublions des petits riens importants. Nous oublions de dire "Bonjour", "S'il vous plaît", "Merci«, ou de féliciter une personne qui vient de vivre un événement important pour elle.

Nous oublions de faire tout simplement un compliment ou une gentillesse, uniquement pour le plaisir de le faire.

 

Charles Plumb

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 21:19

FLEUR COCCINELLE

 

 

 

Notre baluchon

 

A notre naissance, nous recevons tous un baluchon.

Que nous remplissons au fil des ans.

Un petit colis de chagrins, un autre de surprises.

Un gros de joies, un moyen de peines.

 

 

La vie est chaque fois un commencement.

A chaque âge elle nous apporte des naissances, des deuils.

Nous avançons toujours sans savoir que sera notre avenir.

Notre baluchon devient de plus en plus pesant.

 

 

Nos épaules se courbent sous le poids.

Parfois, nous laissons à d'autres le soin de le porter.

Mais il nous revient toujours, c'est notre baluchon.

Il fait partie de notre vécu, de notre cheminement.

 

 

A la fin de notre vie, il est rempli de souvenirs.

Des légers et des lourds, des joyeux et des tristes.

Notre voyage est plein, nous ne pouvons plus rien y ajouter.

Alors, nous le déposons dans le cœur de ceux qui nous aiment.

 

 

Jacqueline G. Bujold

 

http://motiviation-energie.skynetblogs.be/archive/2013/06/20/notre-baluchon.html

 

                                 

 

 

                                   000 NOUVELLE SEPARATION

 

 

 

 

Prévenir plutôt que guérir

 

 

Notre corps n’est pas une machine.

 

 

Nous le considérons trop souvent bien moins qu’une voiture, dans laquelle, nous pensons à rajouter de l’huile et de l’essence pour qu’elle fonctionne.

 

 

Nous exigeons souvent de notre corps qu’il continue à fonctionner alors que nous ne lui donnons pas le minimum pour qu’il fonctionne bien.

 

 

Vous avez par exemple souvent mal à la tête, au ventre, c’est trop de travail, nuits écourtées, les raisons sont nombreuses, Que fait-on ?

 

 

Hop une pilule et on a l’impression, que le mal va partir, on ne fait que masquer le mal.

 

 

Il faut faire attention, c’est le feu qui couve les malaises réapparaîtrons ailleurs et plus grave.

 

 

Il faut être à l’écoute de son corps.

 

 

En Chine cette pratique est courante, c’est là la principale différence entre nos deux médecines.

 

 

En Chine un bon médecin est à l’écoute du plus petit symptôme.

 

 

En Occident, notre philosophie est différente : nous nous rendons chez le médecin lorsque nous sommes malades et nous attendons du médicament qu’il nous donne la guérison. On cherche avant tout à effacer la douleur, effacer ce qui nous gêne.

 

 

STOP ! Nous demandons à notre corps d’effectuer des prouesses tous les jours, sans nous arrêter un instant pour l’écouter,

 

Je pense en particulier à une petite fourmi qui se reconnaitra.

 

On lève le pied, on écoute son corps !

 

http://motiviation-energie.skynetblogs.be/archive/2013/06/24/prevenir-plutot.html

 

 

 

 

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 21:11
0 NOUVELLE FLEUR
 
 
Le lâcher prise
 
 
Le lâcher prise, c’est quoi ?
 
 
 
Ce n’est pas fuir le réel par distraction "allez, change-toi les idées" ou l’auto persuasion.
 
 
 
"Détends-toi, tout ira bien" : ça nous savons déjà le faire et parfois d’ailleurs ça marche. Mais pas toujours,  lâcher  prise, c’est autre chose, de bien utile aussi, c’est rester-là, présent, dans une attitude mentale particulière.
 
 
 
Rester-là en renonçant à contrôler, à trouver une solution.
 
 
 
Pourquoi vouloir changer le problème ? Et si nous commencions par changer notre réaction au problème ?
 
 
 
Rester-là. Faire confiance à ce qui va arriver. Sans naïveté, mais avec curiosité, sans cesser d’être attentif, comme un nageur qui interrompt ses mouvements et se laisse porter par le cours du fleuve. Il ne s’agit pas de passivité, mais de présence !
 
 
 
Lâcher prise, ce n’est pas être passif, mais au contraire chercher principalement à tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
 
 
 
Anonyme
 
 
 
 
 
 
                                
 
                                  0000 SEPARATION MAYA
 
 
 
 
 

Un jour à la fois

 
00 UN JOUR A LA FOIS
 
 

Comme la maladie donne un teint terne à notre peau ou à nos yeux, les mauvais sentiments font leur marque sur notre visage et dans notre regard.

 

Si la haine et la colère déforment certainement nos traits de façon évidente, il est difficile de cacher indéfiniment d’autres sentiments peu enviables.

 

 

Même celui qui me sourit en face, mais qui me hait en secret, ne peut dissimuler longtemps ses vrais sentiments puisque, tôt ou tard, je finirai par me sentir mal en sa présence.

 

 

J’apprends à lire dans les yeux et à faire confiance à mon "sixième sens" afin de savoir vraiment à qui j’ai affaire, car je sais que je ne serai jamais mal à l’aise avec de vrais amis ou, à tout le moins, je serai capable de clarifier toute brouille ou incertitude qui se présentent.

 

 

Aujourd’hui, je cherche à être moi-même pareil à un miroir frotté pour que ceux et celles qui me regardent aient envie de me ressembler.

 

Hervé Dubois

 

http://motiviation-energie.skynetblogs.be/archive/2013/06/27/un-jour.html

 

 
 
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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 21:21

0 COMPETENCE

 

      Compétence

On voudrait tout savoir, tout maîtriser parfaitement sans apprentissage !

 

 

 

 

 

Nous aimerions déjà être compétents, sans avoir à apprendre.

 

 

 

 

 

Certaines personnes n’osent pas avancer dans leur vie, paralysées par la crainte de ne pas avoir les compétences requises.

 

 

 

 

 

Personne n’est censé avoir les compétences quand il démarre dans une nouvelle fonction.

 

 

 

 

 

Dans quelque domaine que ce soit, la compétence s’acquiert par l’activité et l’expérience.

 

 

 

 

 

C’est évident, la première fois que vous montez dans une voiture, vous n’êtes pas capable de la conduire. La première fois que vous faites un plat inconnu, vous avez besoin de la recette et de conseils, bref, tout ce que vous faites pour la première fois, vous n’êtes pas expert, c’est normal, c’est naturel.

 

 

 

 

 

C’est juste votre incertitude, votre défaut de confiance qui vous permettra d’apprendre mieux.

 

 

 

 

 

La question à se poser, n’est pas "ai-je la compétence" ? Mais "puis-je faire telle ou telle chose ?"

 

 

 

Et surtout avez-vous l’envie de le faire, chaque nouveau défi, va mettre en jeu différentes compétences.

 

 

 

 

 

Nous en maîtriserons certaines et nous essayerons d’en acquérir de nouvelles, petit à petit, nous montons l’échelle, mais toute notre vie, nous serons confrontés à faire face à l’incompétence, n’ayons pas peur des nouveautés, cela nous permet d’avancer.

 

 

 

 

 

Hop, on ose tout, même l’impossible !

 

 

 

http://motiviation-energie.skynetblogs.be/archive/2013/06/05/competence.html











                    barrepapillon

 

 

COQUELICOT DE MARCELINE

   

Mauvaise humeur

 

Quand nous sommes de mauvaise humeur, la vie semble un fardeau.

 

 

Tout nous semble noir.

 

 

Nous devenons susceptibles, tout nous irrite, un petit mot, un geste...

 

Nous ne sommes pas tous égaux dans les variations d’humeur. La bonne humeur est spontanée chez certains, pour d’autres, l’humeur penche souvent du côté négatif.

 

 

Notre moral fonctionne comme une météo mentale.

 

 

Suivant les changements favorables ou défavorables.

 

 

Certains se complaisent dans la mauvaise humeur.

 

 

Il faut agir, arrêtez-vous quelques minutes pour y réfléchir et posez-vous des questions.

 

 

Mon humeur est-elle légitime ?

 

 

Y a-t-il un souci ?

 

 

Essayez de faire un effort pour voir le bon côté des choses.

 

 

Essayez de changer d’humeur. On sera plus vite attirer par une personne de bonne humeur, que d’une personne qui n’est jamais satisfaite !

 

 

On sourit et on est tous de bonne humeur.

 

Voilà la bonne marche à suivre... !

 

http://motiviation-energie.skynetblogs.be/archive/2013/06/09/mauvaise-humeur.html

 

 

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 21:22

0 RUMINATION PETIT TEXTE

 

 

Ruminations

 

 

Une de nos grandes sources de nos souffrances mentales est le manque de conscience :

 

Ne pas réaliser que nous déformons souvent la réalité, on amplifie toujours les situations !

 

Les psys parlent de "distorsions" qui veut dire "ruminations".

 

Ils savent qu’il faut prendre conscience rapidement que notre esprit se fait piégé, d’autre part se désengager de ces pièges.

 

Parfois, on a beau savoir que l’on se fait du mal, on ne peut se détacher de nos obsessions et ruminations.

 

Le message de la pleine conscience est simple : si c’est trop difficile alors je renonce à expulser les pensées douloureuses par la volonté et j’élargis plutôt le champ de la conscience à tout le reste de mon expérience à l’instant présent.

 

Ne pas laisser tout l’espace mental à mes obsessions et ruminations.

 

On laisse les vaches ruminer. On respire on reste zen !

 

 

                                 5 SEPARATION

 

 

 

Dans une maison pleine d'enfants, le diable n'entre pas.

 

 Proverbe persan.

 

 

 

La maison représente l’Esprit Saint, les enfants ses innombrables vertus.

 

Quant au diable, il évoque la duplicité de l’homme ordinaire.

 

Mais en ce monde, combien parmi nous ont encore le Cœur empli d’intentions innocentes dans lequel l’hypocrisie ne peut germer ?...

 

 

 

http://www.phene.eu/blog/

 

 

 

 

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Présentation

  • : cheminphilosophique
  • : Je suis passionnée de philosophie, je partage avec vous ces textes et citations qui font partie de moi.
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Bienvenue sur mon blog!

Entrer chez moi, c'est découvrir mes idéaux, mes créations personnelles et d'autres thèmes qui me passionnent.
 

Bonne visite !

 

 

Ce blog a été créé le 22-08-2010 par mon adorable petit-fils Maxime


 

1 NOUVELLE SEPARATION

 

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