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10 novembre 2016 4 10 /11 /novembre /2016 22:45

 

 

 

Source: Mickael J Roads,

 

Retour à l'unité...

 

www.lespasseurs.com

 

 

 

 

LE POUVOIR DE LA COMPASSION ( première partie)

 

 

 

 

J'étais en train d'observer une maison lugubre dans un quartier sordide.

Des papiers gras et des ordures jonchaient l'escalier

qui conduisait à la porte de derrière ; cette maison était un véritable taudis.

Malgré la crainte et la répulsion que suscitait en moi cette vision étrange  dans la bibliothèque publique, j'avais senti mon corps de lumière se lever de la chaise, marcher vers la maison et commencer à gravir l'escalier.

Dans ma conscience physique, je désapprouvais ce qui se passait,

mais mon corps de lumière a poursuivi son ascension avec une farouche détermination.

 

Je montais les marches en fer d'un long escalier,

qui partait du fond d'une ruelle. C'était pendant la journée,

mais il faisait sombre dans cette rue où le soleil ne  pénétrait presque jamais, cette rue étroite de la ruine et du désespoir.

 

Tout ce que je touchais était couvert d'une épaisse couche de poussière, comme cette rambarde branlante à la peinture écaillée.

 

C'était mon corps de lumière qui dirigeait mes actions, si bien

que malgré mon dégoût, j'ai ouvert la porte délabrée et je suis entré.

L'intérieur était encore en plus mauvais état que la porte.

Je regardais autour de moi, atterré par le désordre et la saleté qui régnaient en ces lieux.

C'était l'antipode de l'ordre et de la propreté auxquels j'étais habitué.

Des casseroles graisseuses, incrustées de restes de nourriture, s'empilaient dans un coin ; au centre de la pièce, se trouvait une table et deux chaises tout aussi dégoûtantes.

 

 

Le long d'un mur, un divan auquel il manquait un pied, se trouvait une table et deux chaises tout aussi dégoûtantes.

Les murs et les plafonds, souillés par de vastes taches d'humidité, laissaient voir une peinture décolorée qui s'en allait par morceaux.

L'odeur envahissante de la bière avait la suprématie sur celles de tabac et de moisissure.

 

 

C'était un spectacle effarant.

Quelque part en moi, une pensée cherchait à s'imposer :

 "Sors de là, vite ! » mais j'étais retenu par un engagement intérieur.

 

 

Plus que tout, c'étaient les occupants de la pièce qui incitaient à prendre la fuite.

Dans l'une des chaises, un homme était affalé, la tête et le torse reposant sur la table.

Une main sale serrait une bouteille de bière vide, tandis que la tête de l'homme se nichait sur l'autre bras.

Les yeux étaient clos et des lèvres entr'ouvertes s'échappait un filet de bave.

Une barbe de trois ou quatre jours formait un nuage gris sur son visage et une mouche solitaire se déplaçait tranquillement sur son crâne chauve.

Pour compléter ce tableau de dégénérescence, une chemise tachée, sous laquelle se tendait un ventre ballonné par la bière,

sortait en partie d'un pantalon miteux.    

                                                            

Cet homme incarnait tout ce que je détestais de plus chez les humains.

 

Il n'était pas seul.

Etendue sur le divan, une blonde décolorée, débraillée, les lèvres peintes en rouge vif, ronflait doucement avec un gargouillis monocorde.

 

Son visage était inexpressif et relâché, comme si tout amour-propre l'avait abandonnée depuis longtemps.

 

.

Affublée d'un corsage qui jadis avait dû être blanc et d'une jupe noire tachée et froissée, elle avait l'air d'une souillon.

 

De l'autre côté, quelque chose remuait.

Assis dans les cendres d'une cheminée, je vis un garçonnet sale et maigrelet, fourrageant d'un air absent dans un petit tas de bois calciné.

J'allai le rejoindre et m'agenouillais près de lui, profondément choqué.

 

 

Il pouvait avoir un an et demi/deux ans. Il ne portait aucune marque de violence, mais le manque d'amour et de tendresse donnait à ce visage vieilli une tragique expression de désespoir.

Il portait un simple tricot de corps.

Autour des organes génitaux, la peau était rouge, crevassée et squameuse.

Il sentait mauvais, et cette odeur de vomis et d'excréments  attirait autour de lui des essaims de mouches.

 

 

Je me redressai, dégoûté, le cœur soulevé.

La fureur m'emplit et pendant un long moment menaça d'éclater,

mais dans ce corps de lumière c'était impossible.

Le moi physique, personnel, serait parti ou aurait injurié l'homme et la femme, verbalement ; jamais, il ne se serait mêlé de cette histoire.

 

 

Mais il s'agissait ici d'un autre aspect de moi-même, dans un lieu et une situation qui, je le savais, étaient bien réels.

 

 

Pourquoi suis-je ici ? Plaidai-je silencieusement.

En quoi puis-je être utile ?

Avec la clarté d'un carillon, une voix angélique se mit à me parler intérieurement.

En même temps, je vis apparaître un Etre de lumière, qui était

exactement tel que j'imaginais les anges, les ailes en moins.

Il avait l'aspect d'un être humain de petite taille, et semblait éclairé de l'intérieur, si bien que je ne distinguais pas ses traits.

J'étais plus déconcerté que surpris car de cet Etre émanait une pureté quintessencielle.

 

Des questions se bousculaient dans mon esprit, mais c'est l'être de lumière qui posa la première.

 

 Pourquoi éprouves-tu autant de répulsion à l'égard de ces gens ?

 

 

Assez surpris par sa perspicacité, je répondis néanmoins avec honnêteté.

 

 Parce qu'ils représentent tout ce que je déteste chez les êtres humains, répondis-je mentalement.

 

- Oublies-tu qu'ils sont tout aussi humains que toi ?

 

- Non, bien sûr. Mais pourquoi sont-ils tombés si bas ?

 

- Ainsi, tu les as jugés et reconnus coupables ?

 

- Ce sont eux et personne d'autre, qui ont créé cet environnement sordide.

Il n'est donc pas question de jugement, mais d'évidence.

 

- Je ne réfute pas ce que tu vois.

Je te demande de réfléchir à ce que tu ne vois pas.

 

- Pourquoi me critiquer ? Demandai-je, quelque peu perplexe.

Après tout, ce n'est pas moi le coupable ici.

 

- Tu vois. Tu as prononcé le mot coupable.

 

- Tu m'as troublé. Où veux-tu en venir ?

 

- Compassion. Compassion et non pas condamnation.

 

J'étais de plus en plus perplexe.

 

- Je ressens certaines choses, et je n'y peux rien, n'est-ce-pas ?

Ces gens violent toutes les valeurs de décence auxquelles je crois.

 

- Tu affirmes être donc la victime de tes sentiments et de tes valeurs.

 

 

Ces gens ne pourraient-ils pas dire la même chose ?

 

A présent, j'étais en colère.

 

- Ecoute ! A quoi joues-tu ?

Tu essaies de m'avoir avec des mots, c'est tout !

 

Je n'essaie pas de t'avoir avec des mots.

Je te les retourne simplement pour que tu les réexamines.

Voilà à quoi je joue.

 

 D'accord ! Supposons que j'accepte cela supposons que je reconnaisse avoir jugé ces gens par inadvertance.

 

En quoi cela va-t-il changer les choses ?

 

 On ne peut véritablement changer une situation que si l'on est soi-même prêt à changer.

 

 Mais je n'ai pas besoin de changer !

Oh, tu veux dire, est-ce que je peux éprouver de la compassion plutôt que du dégoût ?

 

 Ne serait-ce pas un profond changement ?

 

Oui, je suppose.

 

A ce moment, j'ai ressenti un sentiment d'humiliation.

 

 Mais qu'est-ce que la compassion ?

J'ai honte de l'avouer, mais je ne sais pas exactement ce que cela veut dire !

 

 Mais si, tu le sais. Tu l'as éprouvée en lisant le livre au sujet du médecin.

Si tu es ici actuellement, c'est parce que tu as décidé de mettre en pratique ta compassion.

Ainsi tu l'accepteras au lieu de la nier continuellement.

 

Mardi la suite et fin de ce très beau texte à méditer.

 

 

 

 

 

LE POUVOIR DE LA COMPASSION ( première partie)
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7 novembre 2016 1 07 /11 /novembre /2016 22:50

 

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

A propos de l’humour

 

 

 

 

 

On dit que le rire est le propre de l’homme. Ce qui est certain, c’est qu’il est salutaire et qu’il contribue à notre bien-être physique et psychologique. De toute évidence, une personne qui ne rirait jamais tomberait rapidement neurasthénique, ce qui est confirmé par le fait qu’une personne neurasthénique rit très rarement. Rire est donc un besoin vital et une nécessité mentale, à tel point que la plupart des gens cherchent des occasions de le faire, d’où le succès des comédies et des spectacles humoristiques.

 

 

Mais si le rire est une bonne chose, notamment en cette période de crise et de morosité ambiante, la question maintes fois posée de savoir si l’on peut rire de tout demeure. La plupart des comiques et des humoristes interrogés sur cette question répondent que « oui ». Nombre de personnes le pensent également. Cela se comprend d’autant mieux que les uns s’emploient à faire rire et en font commerce, ce qui n’a rien d’immoral, et que les autres veulent rire, sans nécessairement s’imposer de limites.

 

 

Au risque de paraître rabat-joie, je pense que l’on ne doit pas rire de tout, car tout ne peut être tourné en dérision. Mais en admettant que cela soit possible, la manière de le faire est alors très importante. Or, de plus en plus d’humoristes utilisent le cynisme, l’ironie, l’insolence et la vulgarité pour faire rire. Et généralement, ils le font au détriment de telle ou telle personne qu’ils prennent pour cible, ce qui me semble à la fois facile et inconvenant. Naturellement, chacun est libre de pratiquer et d’apprécier ce genre d’humour, mais je pense qu’il ne grandit ni les uns ni les autres.

 

 

Sans doute suis-je quelque peu naïf, mais il me semble que l’humour, pour qu’il soit digne de ce nom, doit être exempt de méchanceté, de raillerie, de dénigrement, de vulgarité, et d’une manière générale de tout ce qui fait appel à des sentiments avilissants. En cela, je pense que l’humour le plus appréciable est celui qui met en évidence la bêtise et la faiblesse humaines en général, ou celui qui divertit d’une manière “bon enfant”, c’est-à-dire qui privilégie le comique de situation, la subtilité des mots, les quiproquos de la vie, etc. Or, cette forme d’humour a quasiment disparu, sans doute parce qu’elle exige un talent qui ne s’improvise pas.

 

 

Quoi qu’il en soit, n’oublions jamais que l’humour le plus salutaire est celui qui consiste à se moquer de soi-même. C’est également un bon moyen de prévenir et de soigner les “crises d’ego”. Malheureusement, se prendre au sérieux est devenu une maladie courante, d’autant que la tendance actuelle est au “nombrilisme” et au culte de la personnalité. À son époque déjà, Victor Hugo, s’appuyant sur une phrase biblique, déclara dans Hernani : « Pour un titre, ils vendraient leur âme. Vanité ! Vanité ! Tout n’est que vanité ! »

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-l-humour/

 

 

 

A propos de l’humour

 

 

 

 

 

« Qu'il soit bleu, gris ou orangé le ciel est toujours là,

au-dessus de nos têtes.

 

Reflet de nos humeurs, on y cherche l'inspiration, on l’interroge, on l’admire. »

 

 

Site Evene

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3 novembre 2016 4 03 /11 /novembre /2016 22:52

 

 

 

 

 

 

Texte de

 

SIRILIEL ET YONAHEL 

 

( maitres guides, et co-créateur de leur univers)

 

 

 

 

Comment ne pas absorber l’énergie négative de votre entourage

 

 

 

 

Règle numéro 1 : Ne pas essayer de plaire à tout le monde

 

En essayant de plaire a tout le monde, vous donnez à ces personnes du pouvoir sur vous. Vous dérégler votre équilibre, votre balance, afin de plaire à ces personnes.

 

 

Vous acceptez donc le pouvoir qu’ils ont sur vous et la négativité qui vient avec. Vous n’existez que dans leur regard et leur approbation. Vous cessez d’exister en être souverain et commencez d’exister en être soumis.

 

 

Vous ouvrez donc la porte (votre plexus solaire) à leurs démons et attaques. Vous êtes un être Unique et souverain, lorsque vous avez conscience de cela et que vous vous aimez à 100%, alors vous n’avez pas besoin de plaire à tout le monde !

 

 

Ne laissez personne avoir du pouvoir sur vous ! les gens n’ont alors plus d’autres choix que de vous aimer tel que vous êtes ou ils sortiront eux-mêmes de votre paradigme. N’oubliez jamais que lorsque vous êtes aligné sur ce que vous êtes : l’âme, le corps et l’ego, alors créateur éliminera tout ce qui vous empêche d’avancer.

 

 

Les gens qui ne sont pas dans votre alignement, c’est-à-dire qui ne sont pas capables de vous accepter à 100%: tel que vous êtes, n’ont rien à faire avec vous ! Ils ont choisi le chemin de la séparation et du chaos.

 

 

 

Règle numéro 2: Vigilance à l’invitation

 

Restez vigilant dans la sélection des personnes que vous côtoyer. Sélectionnez bien les gens à qui vous donner votre empathie et votre sympathie.

 

 

L’empathie est votre capacité à vous mettre dans les souliers de quelqu’un d’autre, vous vous accaparez alors les énergies de la personne et c’est là que cela devient dangereux ! En effet, vous absorber leur mal-être de par votre connexion emphatique,  il est important de vous protéger !

 

 

Les Anges le font consciemment afin de soulager la douleur des autres, mais c’est parce que nous avons la capacité de transmuter les ténèbres en lumière. Ce processus est extrêmement pénible et douloureux lorsque nous sommes dans la chair. C’est pour cela que nous déconseillons fortement aux petites vibrations et âmes humaines (1 à 9) de s’y essayer.

 

 

Donnez plutôt alors votre sympathie, car la sympathie vous donne la capacité d’avoir de la compassion pour quelqu’un, de la comprendre sans pour autant partager son mal-être et son énergie négative.

 

 

 

Règle numéro 3: Ne pas prêter attention !

 

Cet Univers a été crée avec les lois de l’équilibre et de l’échange. Nous fonctionnons avec cette image, il est donc important comme nous l’avons cité plus haut, de choisir avec qui vous échangez et la façon dont vous échangez avec eux.

 

 

Beaucoup de gens sont ce que nous appelons des parasites. Ils se nourrissent de vos bonnes énergies et les échanges avec leur mauvaise, ils vampirisent vos bonnes vibrations, juste le fait d’être dans la même pièce qu’eux, vous vide littéralement ! Ces personnes là exercent un pouvoir constant sur vous en vous faisant penser à eux de façon négative et se nourrissent de ces pensées la plupart du temps en attaquant et appuyant sur vos points sensibles.

 

 

Le simple fait de penser à eux vous épuise, le simple fait de penser que vous allez partager à nouveau un espace ou échanger avec eux vous draine, cela en devient même obsessionnel. Vous ne ratez plus une occasion de parler d’eux dès que vous le pouvez afin de vous vider de leurs énergies négatives.

 

 

Vu que cet Univers fonctionne sur les lois de l’échange entre la lumière et les ténèbres, chaque fois que vous pensez à eux négativement l’équivalent en lumière leur est envoyé, c’est pour cela que vous avez souvent l’impression que ces personnes sont bien alors que vous vivez l’enfer au quotidien.

 

 

En créant cet échange, c’est comme si vous aviez donné à ces personnes, le code de vos cartes bancaires ou les clefs de votre maison… Ne soyez ni la banque, ni le frigo de lumière de ces gens , ils sont des esprits lâches qui n’ont pas envie de faire leur travail et de créer leur propre lumière! Il est important de ne pas prêter votre attention à leurs actes ou vibrations, de créer le minimum de liens  avec eux, de vous aimer à 100% afin de ne pas être atteint par eux et de ne leur donner aucune empathie, juste de la sympathie … surtout si vous êtes une petite vibration.

 

 

 

Règle numéro 4 : Respirez !

 

Par respirer nous voulons dire, sortez, allez dans la nature, ressourcez-vous, le plus de fois possible ! Méditez, priez, riez, faites du sport, écoutez de la musique… Allez dans des endroits et entourez-vous de personnes qui augmentent votre vibration et vous accepte a 100%. En augmentant votre vibration vous vous mettez au-dessus et vous ne pouvez plus être atteint par les énergies négatives.

 

 

 

Règle numéro 5 : Prendre responsabilité de votre état

 

Si vous avez compris les 4 premières règles, vous aurez compris que vous êtes responsables et que vous avez le contrôle de ces échanges d’énergies, ne laissez pas vos egos vous berner !

 

 

Ils se nourrissent de ces énergies négatives de la même façon que vos âmes se nourrissent de lumière, nourrissez vos egos afin qu’ils n’aient pas besoin de se nourrir de ces énergies extérieures. N’oubliez jamais que tout ce qui vous arrive a  été crée ou accepté consciemment ou inconsciemment  par vous-même.

 

http://clairemedium.com/comment-pas-absorber-l-energie-negative-entourage/

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment ne pas absorber l’énergie négative de votre entourage
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31 octobre 2016 1 31 /10 /octobre /2016 22:42

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

A propos de la fin de vie  + vidéo ; "SOS D'UN TERRIEN EN DETRESSE"

 

 

 

 

 

Comme beaucoup d’entre vous, j’ai connu des personnes en fin de vie, certaines parmi mes proches, auxquelles je suis allé rendre visite alors qu’elles se trouvaient à l’hôpital ou à la clinique. Trop souvent, j’ai malheureusement constaté qu’elles manquaient d’attention de la part d’un personnel peut-être trop peu nombreux et trop affairé, mais parfois aussi occupé à discuter dans un coin de choses bien éloignées de son travail. En ces circonstances, j’ai eu le sentiment que ces personnes étaient davantage considérées comme des clients occupant une chambre et un lit, que comme des êtres humains vivant leurs derniers jours, voire leurs dernières heures.

 

 

Mon intention n’est en aucun cas de polémiquer et de généraliser, d’autant que j’éprouve une grande admiration à l’égard des infirmiers, infirmières et autres personnes impliquées dans les soins donnés aux malades. Dans la majorité des cas, leur dévouement est remarquable et traduit un profond humanisme. Cela étant, dans ce corps de métier comme dans bien d’autres, il y a des individus plus ou moins consciencieux et plus ou moins compétents. On y décèle aussi de plus en plus un souci de rentabilité et de profits. Et lorsque cela concerne des malades en fin de vie, les conséquences pour elles sont dramatiques.

 

 

C’est ainsi que dans un hôpital que je ne nommerai pas, une personne vivant ses derniers jours, très conciliante et peu exigeante, a servi de « cobaye » à des traitements médicaux qui se sont avérés aussi dégradants qu’inefficaces, sans parler des multiples piqûres faites dans des bras meurtris par de jeunes infirmières qui faisaient là leur apprentissage. Et lorsque, plus tard, la douleur l’amena à demander de l’assistance, elle dut attendre plus d’une heure. Ayant été témoin de cette situation, je n’ai pu m’empêcher de penser que ce cas n’était probablement pas unique. En fait, il est assez fréquent. Est-ce normal ?

 

 

Dans une société digne de ce nom, tout devrait être fait pour rendre la maladie et la fin de vie aussi acceptables et paisibles que possible pour les personnes concernées. Cela suppose que le personnel soit compétent et disponible, et par conséquent bien formé et en nombre suffisant. Quand je dis «bien formé», ce n’est pas uniquement sur le plan médical ; c’est aussi sur le plan psychologique. En effet, j’ai eu l’occasion de voir des infirmiers et des infirmières qui, de toute évidence, manquaient de psychologie à l’égard des patients, au point de les déstabiliser et de les angoisser davantage encore. Comment ne pas le déplorer ?

 

 

Autre point : Je ne comprends pas qu’en ce début de XXIe siècle, il y ait encore tant d’hôpitaux, d’hospices, de maisons de retraite, etc., aussi vétustes, lugubres et mal équipés. On dira que c’est une question de moyens financiers. Certes, mais alors pourquoi investir tant d’argent dans l’armement, sans compter les fonds qui sont gaspillés chaque jour dans des réalisations privées et publiques non indispensables, sinon inutiles. Là aussi, tout devrait être fait pour que les personnes malades ou en fin de vie bénéficient d’un environnement, d’un cadre et d’un confort matériels qui les aident à guérir ou à quitter ce monde dans les meilleures conditions. C’est là une question d’humanité.

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-fin-de-vie/

 

 

 

 

 

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27 octobre 2016 4 27 /10 /octobre /2016 21:36

 

 

 

 

Auteur

 

Kessani Iwen (énergéticien), Publication By L.b

 

 

 

L’autorité intérieure de la Joie…

 

 

Vous êtes un être divin… alors secouez la poussière de vos peurs et de vos craintes, et entendez le rugissement puissant de la Joie dans votre cœur… Le plus important n’est pas de plier le cours des événements selon votre vouloir et selon votre désir, parce que les événements ne sont pas toujours des filaments sauvages qui s’attachent à vos pieds et qui s’accrochent aux branches mortes sur votre chemin… il arrive aussi que les événements soient des repères dans le champ ouvert de votre destin, et encore des repères dans l’itinéraire de la force de la vie elle-même, tandis qu’elle croise votre chemin…

 

 

Le plus important est toujours d’apprendre à rester debout… non par la force de vos pieds ancrés dans le sol, parce que le réalisme ne signifie rien, sinon la soumission à la loi du monde qui est déjà là, et qui a été fait ainsi par des générations d’hommes aux pensées courtes ou aux pensées longues… rester debout : par la force de votre cœur qui est connecté par un lien indestructible à la Joie immanente, et qui se saisit de lui-même dans l’assise absolue de la Joie intérieure… Vous êtes un être divin… alors affirmez la Joie que vous êtes, et ne vous arrêtez pas jusqu’à ce que le dernier miasme de peur ou de crainte ait baissé la tête devant l’autorité de votre Joie…

 

 

http://www.choix-realite.org/8682/ressourcement-spirituel-lautorite-interieure-de-la-joie

 

 

 

 

 

 

L’autorité intérieure de la Joie…
L’autorité intérieure de la Joie…
L’autorité intérieure de la Joie…
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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 08:30

 

 

 

Diane Gagnon –

 

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

AVANCER

 

 

Lors de certaines prises de conscience importantes pour nous, on dirait parfois que le travail à accomplir nous semble tellement grand que nous avons tendance à nous décourager devant l’ampleur de la tâche. Lorsque la lumière surgit dans notre âme, et que nous voyons tout ce que nous devons corriger, améliorer, mettre en place ou décider pour s’aligner enfin sur notre Vie, la lourdeur des changements à apporter nous apparaît parfois si considérable que nous ne savons plus par quel pied commencer!

 

 

Pourtant dans tous les cas, il ne s’agit que de poser un premier geste, de faire un premier pas, d’amorcer un simple repositionnement pour que notre réalignement trouve son orientation et que tout se mette en place pour que nos prochains pas soient parfaitement en lien avec le précédent.

 

 

Notre plus grande peur à ce moment-là est de faire LE premier pas, car nous craignons de ne pas faire le bon! Pourtant, tout premier pas, aussi malhabile soit-il, demeure un premier pas. Et c’est toujours le plus important car c’est celui qui nous met en mouvement. C’est celui qui nous permet de passer de l’état de stagnation à celui d’ouverture, de passer du stade de victime à celui de responsabilisation pleine et entière de notre bien-être.

 

 

 Chaque nouvelle tranche de vie, chaque évolution,

 

chaque avancée commencent toujours par un premier pas.

 

 

 

 Quel que soit l’importance de la décision que nous devons prendre, l’essentiel est de faire UN premier pas, question de montrer à la Vie que nous sommes d’accord pour que les choses changent dans notre vie. Le reste, nous le ferons en harmonie avec la Vie pour que nous devenions enfin ce que notre âme aspire à être, une fois émancipée.

 

 

 

https://www.facebook.com/DianeGagnon.Auteur.Coach

 

 

 

 

 

 

 

AVANCER
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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 21:52

 

 

Texte de :

 

Serge Toussaint

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

À propos des centrales nucléaires

 

 

 

 

Les premières centrales nucléaires ont été construites dans les années 50 sans que l’opinion publique en soit vraiment informée. Au fur et à mesure que les gens ont pris connaissance de leur existence, la grande majorité, par insouciance ou par ignorance de ce qu’il en est, ne se sont pas questionnés sur la question du nucléaire et ont fait confiance aux “autorités”. Exception faite d’une minorité d’écologistes précurseurs, ce n’est qu’après la catastrophe survenue à Tchernobyl en 1986 que nombre de personnes ont commencé à s’interroger sur le danger que représente cette forme d’énergie. Avec celle de Fukushima en 2011, cette interrogation s’est transformée en une certitude pour la plupart : les centrales nucléaires sont dangereuses.

 

 

 

Face à l’ampleur de la catastrophe survenue au Japon et à l’émoi qu’elle a suscité dans l’opinion publique, les dirigeants politiques des pays impliqués dans l’énergie nucléaire se sont employés à rassurer les peuples, non sans leur promettre que les centrales en activité seraient contrôlées et sécurisées. Comme on pouvait s’en douter, et malgré l’évidence, les responsables de cette filière ont minimisé autant que possible les risques, et n’ont eu de cesse de réaffirmer qu’ils contrôlaient cette énergie et que les accidents survenus étaient dus à des causes exceptionnelles qui ne se reproduiraient (probablement) plus…

 

 

 

En réalité, personne ne contrôle et encore moins ne maîtrise l’énergie nucléaire et les centrales qui la produisent. Prétendre cela est à la fois mensonger et irresponsable. Que dire également des déchets radioactifs qu’elles génèrent en quantité et que l’on dissimule ici et là en sachant que leur nocivité durera des siècles. Mais tandis que l’on en est venu à appliquer le principe de précaution en maints domaines, parfois avec un zèle qui confine à l’absurde, on continue à privilégier le nucléaire dans nombre de pays pour des raisons économiques, politiques et corporatistes. En l’état actuel des choses, il faudra malheureusement une troisième catastrophe majeure pour que l’évidence s’impose à nouveau : le nucléaire est dangereux et n’est pas l’énergie de l’avenir. Parfois, je me demande si les inconditionnels de cette énergie ont des enfants et des petits enfants…

 

 

 

Il me semble évident que la sagesse voudrait que l’on sorte progressivement mais aussi rapidement que possible du nucléaire, sans pour autant revenir au charbon, solution de facilité très polluante que certains pays remettent malheureusement au “goût du jour”. Cela suppose de privilégier les recherches portant sur les énergies renouvelables (éolienne, géothermique, hydrolienne, houlomotrice, etc.), sans oublier le solaire qui, de mon point de vue, est l’énergie du futur. Cela implique également que chaque citoyen accepte de diminuer sa consommation d’énergie et que l’on en finisse avec le gaspillage sans mesure qui prévaut dans tous les pays développés. Dans ce domaine, les gouvernés ont autant de responsabilité que les gouvernants. Il s’agit là d’une question de citoyenneté d’autant plus importante qu’elle engage les générations futures et le devenir de notre planète…

 

 

 

 

http://www.blog-rose-croix.fr/20111021a-propos-des-centrales-nucleaires/

 

 

 

 

À propos des centrales nucléaires

 

 

 

La colère est un sentiment que chacun traverse, quels que soient l’âge et le tempérament.

 

 

 Elle se manifeste de façon souvent passagère et laisse derrière elle un sentiment de regret, d’inutilité ou d’impuissance.

 

 

 

Aurore Aimelet

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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 21:48

 

 

 

Texte de

 

Marie

 

 

 

 

 

 

La zone du «noui»

 

 

 

 

Je me suis procuré une nouvelle paire de ciseaux récemment. De gros ciseaux bien machos en acier inoxydable – heavy duty, comme on dit en english. Je les regarde en écrivant ces lignes, et ils me rappellent les Monsieur muscles de mon centre sportif…

 

 

C’était, croyez-moi, un achat 100 % justifié, réfléchi et mérité. Je n’avais auparavant qu’une paire de ciseaux en plastique de mauvaise qualité… Sans blague, je les voyais paniquer dès qu’il y avait un fil de plastique ou un morceau de carton épais à couper. Je ne vous dis pas la scène qu’ils faisaient lorsque j’arrivais avec un bouquet de fleurs… Ils craignaient tellement que je leur demande de tailler les tiges, c’est tout juste s’ils ne s’accrochaient pas à leur tiroir en tremblant de peur !

 

 

 

Depuis que j’ai mes nouveaux ciseaux tranchants et téméraires, tout ce qui semblait être une montagne est devenu de la petite bière. Chaque fois que j’ai un nouveau défi à leur lancer, ils exécutent leur tâche avec facilité, puis ils se mettent à genoux pour me remercier… Que demander de plus? Plus besoin de lutter; rien ne résiste à leurs gros bras musclés.

 

 

Ces ciseaux, ils venaient avec une garantie… Mais je peux vous le dire maintenant avec assez de recul : ils venaient surtout avec une belle leçon, aussi. Je les regardais s’activer joyeusement, hier, à couper les tiges des roses que je venais d’acheter, et je me suis dit que tout dans la vie devient tellement plus facile et agréable lorsque nos lames sont bien aiguisées. Il y a plusieurs occasions au quotidien où nous sommes appelés à dire oui ou à dire non – bref, à trancher… Et si on languit dans la zone du «noui», dans un oui ou un non ni affirmé ni senti, on augmente inutilement le quotient de difficulté.

 

Vos ciseaux sont-ils bien aiguisés ?

 

 Ou avez-vous tendance à ne couper qu’à moitié?

 

Quoique… Couper à moitié est une impossibilité, à bien y penser; soit on coupe, soit on ne coupe pas, il n’y a pas d’entre-deux. De la même façon : si on hésite entre écouter le 105,7 et le 107,3 et qu’on reste entre les deux stations, on se retrouve dans un no man’s land et ça nous "griche" entre les deux oreilles, jusqu’à ce qu’on prenne notre décision. C’est désagréable et fatigant de vivre dans l’indécision, entre le oui et le non.

 

 

On parle souvent de prendre une «bonne décision», ce qui nous amène à chercher la meilleure des options. Mais dites, et si une bonne décision était aussi une décision qui a été prise de la bonne façon? J’entends, par là, avec aplomb. Car même si on a le meilleur des plans, il sera ruiné par une attitude «molle» et hésitante. C’est la fermeté de notre engagement et de notre assurance qui donne leur pouvoir à nos actions.

 

 

On dit souvent : «Branche-toi!» Branchez vous, effectivement… Mais je veux dire par là : branchez vous pleinement à la force de vos décisions, quelles qu’elles soient; faites un avec elles. Le «noui» peut sembler bien attrayant, sécuritaire et joli, mais c’est dans nos «ciseaux» que se trouve la magie.

 

Sur ce, je vous souhaite un superbe mardi !

 

 

matinmagique.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Entre presque oui et oui, il y a tout un monde.

 

 

                     Alfred de Musset

 

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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 16:37

 

 

 

 

Jacques Regard

 

Extrait de “Les émotions tout simplement”

 

Publié par Christine

 

 

 

 

 

 

 

Accepter la réalité

 

 

 

A chaque fois que nous disons : “Non ; ce n'est pas vrai ; ce n'est pas possible ; on ne devrait pas voir des choses pareilles ; c'est trop injuste ; si seulement je n'avais pas ceci ; si j'avais cela ; si les choses étaient autrement”, nous sommes dans le refus de ce qui est. Refuser la réalité de ce qui est, c'est refuser de voir les bases à partir desquelles on pourrait faire quelque chose. Cela revient a vouloir construire une maison sans tenir compte de la nature du sol. On ne fait rien de solide en construisant sur du sable.

 

On peut être en désaccord avec certaines réalités. Par exemple il est inadmissible qu'au XXIème  siècle des gens meurent encore de  faim ou dans des guerres interminables.

 

Mais refuser ou nier la réalité de ce qui se passe (ou en rêver une autre) ne changera jamais rien a la situation présente si cela n'est pas suivi par une action concrète.

 

 Refuser la réalité de ce qui se passe ici et maintenant (y compris en nous-mêmes) est la matière première de la souffrance. Pleurer une perte, rêver d'une revanche ou ressasser ses angoisses ne sert a rien d'autre qu'à nous faire davantage souffrir. La souffrance est liée à ce décalage. Plus il y a de différence entre ce qui se passe ici et maintenant et mon désir ou mon refus de le voir autrement, plus la souffrance sera importante.

 

La souffrance est proportionnelle à la différence qui existe entre ce qui est et ce que l'on voudrait que cela soit (ou ne soit pas). Plus il y a de différence entre la réalité extérieure et ce que j'en pense, plus la souffrance est importante. Par contre la sérénité est manifeste dès que l'on est capable de sortir de son monde intérieur (et de ses jugements) pour voir le monde extérieur tel qu'il est. Sortir de son monde intérieur, c'est voir et accepter les choses telles qu'elles sont, aussi bien dans le monde extérieur et réel qui nous environne, que dans nos pensées qui apparaissent sans cesse sur les murs de notre caverne intérieure.

 

Accepter la réalité ne signifie pas se résigner ou subir ce qui se passe. Accepter la réalité de ce qui est, n'est pas une attitude passive. C'est simplement reconnaître que les choses sont comme elles sont. Accepter la réalité c'est être capable de ne pas porter de jugement et de ressentir ce qui se passe en le voyant tel que c'est et non tel que l'on aimerait que ce soit.

 

Accepter la réalité de ce qui est, ne change pas l'avenir, mais cela évite de la souffrance émotionnelle. Quand il n'y a absolument pas de différence entre ce qui est et ce que l'on perçoit, il n'y a plus de place pour la souffrance.

 

L'émotion que l'on peut ressentir pour quelque chose n'a jamais changé ou modifié le cours des évènements. L'inquiétude ne sert absolument a rien et n'empêchera jamais la venue de ce qui doit se produire. 98 % de ce que nous craignons ne se produit jamais, ce qui prouve bien encore une fois que l'inquiétude est inutile. Comme le dit la sagesse populaire : la peur n'éloigne pas le danger mais on peut ajouter avec certitude qu'elle produit de la souffrance.

 

Accepter la réalité de ce qui est, ne signifie pas non plus une absence totale d'émotion. Voir ce qui est, c'est la capacité de partager et de ressentir pleinement ce qui se passe ici et maintenant mais sans rester  collé  dans l'émotion. Quand on accepte ce qui est, on évolue en rythme avec ce qui se passe.

C'est ce qu'on appelle aussi la compassion.

 

http://du-tout-et-du-rien.blogspot.ca/2012/02/accepter-la-realite.html

 

 

 

 

 

 

 

Accepter la réalité

 

 

 

 

La leçon la plus difficile à apprendre:
  Quels sont les ponts qu’il faut traverser et ceux qu’il faut éviter.

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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 09:06

Je suis navrée  .

Je ne peut accéder  à mon administration  pour y mettre  le texte que  j'ai choisi. 

J'ai  tel à mon  technicien  pour je  l espère pouvoir ouvrir l administration. 

A très bientôt je l espère. 

Micheline. 

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