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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 18:55
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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 18:46

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Quand un avion ou un navire veut accélérer sa vitesse de croisière ou améliorer sa performance, ou lorsqu’il se trouve en situation d’urgence, il se débarrasse de tout poids superflu. C’est ce qu’on appelle le délestage.

 

 

Quand nous voulons poursuivre notre évolution, vivre plus légèrement, avancer plus rapidement, réduire le stress, nous devrions nous aussi utiliser la technique de délestage.

 

 

Comme se débarrasser de ce qui ne nous convient plus, de ce qui nous pèse, de ce qui nous ralentit dans notre vie, de ce que nous traînons comme un boulet à nos pieds.

 

 

Nous délester des relations qui nous étouffent, du matériel devenu trop lourd à supporter et qui gruge notre temps, quitter cet emploi où notre cœur n’y est plus, cesser cet engagement qui ne nous ressemble plus pris il y a longtemps alors que nous étions différents.

 

 

Dire non à ce qui ne nous fait plus vibrer, à ce qui ne nous élève plus, à ce qui prend trop de nos énergies, à ce qui nous semble une contrainte inutile.

 

 

Lorsqu’on se déleste de tout ce qui ne sert pas notre évolution, on ne conserve au final que le meilleur, que ce qui nous fait du bien, ce qui nous rend heureux, ce qui nous rend meilleurs.

 

 

 

Quand nous conservons dans notre vie ce qui ne nous convient plus, nous enlevons de la place à ce que la Vie nous réserve et qui rallumerait notre flamme intérieure, nous portons un poids trop lourd pour notre bien-être, nous grugeons notre qualité de vie et nous finissons par nous éteindre graduellement.

 

 

 

N’attendons pas d’être en situation d’urgence pour nous délester de tout ce qui nous encombre. Nous pouvons dès maintenant faire des choix plus sains pour nous, avant que la Vie ne nous force à les faire à contre cœur.

 

 

S’aimer, c’est aussi se délester de ce qui ralentit notre évolution. Et ça nous donne des ailes!

 

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 13:21
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16 novembre 2017 4 16 /11 /novembre /2017 13:08

 

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

 

 

Par définition, la solitude est l’état d’une personne qui vit seule. Ce peut être par choix ; dans ce cas, elle en est plutôt satisfaite et ne cherche pas vraiment à changer sa situation. Cela s’explique par le fait que certains individus ont une nature solitaire et ne sont pas enclins à communiquer avec les autres. Ils ont généralement en commun d’être très intériorisés et de vivre en quelque sorte dans leur monde. Cela ne veut pas dire qu’ils sont asociaux au point de refuser tout contact avec autrui, mais c’est dans le face à face avec eux-mêmes qu’ils se sentent le mieux.

 

 

 

Comme chacun sait, la solitude ne correspond pas toujours à un choix. Il arrive en effet que ce soit les circonstances de la vie qui conduisent une personne à être seule. Tel est notamment le cas de ceux qui perdent leur conjoint(e) et doivent poursuivre leur existence en l’absence de l’autre. Et si celui ou celle qui reste n’a ni enfant, ni famille, ni ami pour lui rendre visite de temps à autre, c’est l’épreuve de la solitude qui vient frapper à sa porte. Nous connaissons tous des personnes qui vivent cette épreuve, souvent dans le silence et la dignité. Et nous savons combien elles sont heureuses lorsqu’on vient les voir pour prendre de leurs nouvelles et parler avec elles de choses et d’autres.

 

 

Pour quelqu’un qui se plaît dans la solitude, elle est une présence qui le rend heureux et contribue à son bonheur. Il puise en elle de belles pensées et de beaux sentiments, mais aussi la force intérieure qui lui permet d’affronter et de surmonter les difficultés, voire les épreuves, de l’existence. Comme l’exprime si bien Georges Moustaki dans l’une de ses chansons, elle est alors une compagne, une amie, une confidente. Vous noterez d’ailleurs qu’une personne qui aime être seule est généralement une bonne compagnie pour elle-même. Mais rien ne s’oppose à ce qu’elle le soit aussi pour les autres quand elle est en leur présence ; tout dépend de sa capacité à s’ouvrir à eux, ne serait-ce qu’intérieurement.

 

 

Est-ce une bonne chose d’aimer la solitude ? Pas nécessairement. Si elle fait de la personne concernée quelqu’un d’asocial qui fuit la présence des autres et se montre désagréable en leur compagnie, on ne peut pas dire que ce soit là une attitude positive. En revanche, si ce besoin de solitude correspond à sa nature profonde, contribue à son équilibre psychologique, la rend heureuse et induit chez elle un comportement agréable à l’égard d’autrui, elle aurait tort de le réprimer, en supposant d’ailleurs que cela soit possible. Elle doit au contraire le satisfaire et puiser en lui le désir de se transcender pour être sociable lorsque les circonstances l’exigent.

 

 

Certaines personnes ne supportent pas la solitude. Dès qu’elles sont seules, elles s’ennuient, se sentent mal et même dépriment. La présence des autres leur est indispensable ; elles ont besoin de communiquer et de s’extérioriser. Là aussi, c’est une question de nature. Cela étant, tout comme une personne solitaire doit savoir être une bonne compagnie pour les autres lorsqu’elle se trouve en leur présence, quelqu’un qui a besoin du contact d’autrui doit pouvoir se sentir bien lorsque les circonstances font qu’il est seul. À défaut d’aimer la solitude, il faut faire avec lorsqu’elle se présente, d’autant qu’il est très rare de traverser toute une vie sans y être confronté.

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-de-la-solitude/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 novembre 2017 1 13 /11 /novembre /2017 16:48
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13 novembre 2017 1 13 /11 /novembre /2017 16:39

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

 

 

Devant chaque décision de notre vie, nous avons toujours deux choix : écouter notre cœur ou écouter notre peur?

 

 

 

La différence semble parfois difficile à trouver. Pourtant, nous avons très souvent tendance à écouter notre peur quand nous faisons nos choix basés sur l’extérieur : « Qu’est-ce que les gens vont penser? À qui ferais-je de la peine? Qu’est-ce qui est le plus sécure, le plus payant? Est-ce que je me suis déjà engagé? C’est plus logique ainsi, non? Mes parents diraient que c’est ce qu’il faut faire! »

 

 

Quand nous basons notre choix sur notre intérieur, les questions sont différentes : « Qu’est-ce qui me fait le plus vibrer? Qu’est-ce qui peut me rendre plus heureux? Qu’est-ce que mon intuition me dit? Comment puis-je mieux servir, mieux aimer? »

 

 

 

La peur semble nous procurer un (faux) sentiment de sécurité. Le cœur nous amène la liberté, la paix, la joie, le sourire aux lèvres. La peur nous fait dire :

« Je crois que c’est ça qu’il FAUT faire. »

Le cœur nous fait dire :

« C’est là que je dois ÊTRE ».

La peur nous rassure pour un temps.

Le cœur nous fait vibrer longtemps.

 

 

Comment savoir encore? En nous demandant : « Qu’est-ce qui me manquerait le plus si je ne l’avais pas dans ma vie? Qu’est-ce que je ferais si j’étais indépendant financièrement? Si j’avais une baguette magique qui effacerait toutes les contraintes, qu’est-ce que je choisirais?

 

 

 

Et pourtant, malgré; la clarté des choix à faire, nous continuons encore de faire des choix basés sur la peur. Et nous nous étonnons de ne pas être heureux.

Est-ce que vraiment ça prend du courage pour choisir avec le cœur? À moins que cela ne prenne beaucoup d’estime de soi? Et si choisir avec le cœur était justement le premier pas à faire pour développer son estime de soi? Pour enfin nous démontrer de l’Amour pour soi?

 

 

 

Le cœur a toujours raison. La peur a toujours des excuses.

Le cœur nous garde en vie. La peur nous maintient dans la survie.

Le cœur, c’est un pas vers le bonheur. La peur, c’est un pas vers les pleurs.

Choisir avec son cœur, c’est un merveilleux moyen d’apprendre à s’aimer.

 

 

Pour de vrai. Enfin!

 

 

 

www.dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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10 novembre 2017 5 10 /11 /novembre /2017 16:35
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10 novembre 2017 5 10 /11 /novembre /2017 16:29

 

 

 

Texte de Serge Toussaint

 

 

Grand Maître de l’Ordre de la Rose-Croix

 

 

 

 

 

Les êtres humains que nous sommes sont sujets à des illusions, ce qui nous induit parfois en erreur. D’une manière générale, on peut les classer en trois grandes catégories : les illusions sensorielles, les illusions mentales et les illusions spirituelles. Comme leur nom l’indique, celles de la première catégorie concernent les impressions qui nous proviennent par l’intermédiaire de nos sens, en particulier de la vue. À titre d’exemple, un arbre situé au loin paraît plus petit qu’il ne l’est en réalité ; les rails d’une ligne de chemin de fer semblent se croiser au loin ; le ciel et la terre donnent l’impression de se toucher à l’horizon, etc.

 

 

Les illusions mentales, quant à elles, proviennent d’une altération de nos processus mentaux, laquelle peut être due à un désordre pathologique ou à une prise d’alcool, de drogue, de médicaments, etc. Elles se traduisent souvent par des hallucinations, c’est-à-dire par la perception de choses, d’événements, de personnages, d’animaux, etc., qui n’existent pas dans la réalité. En règle générale, elles sont désagréables et angoissantes, voire menaçantes, car elles prennent leur source dans les niveaux inférieurs de notre subconscient, lesquels sont imprégnés de nos peurs, de nos craintes et de nos doutes.

 

 

Enfin, les illusions spirituelles sont “le lot” de ceux et de celles qui mènent une quête religieuse ou spirituelle. En effet, il peut leur arriver de s’illusionner sur la nature réelle de leurs perceptions, de leurs sensations ou de leurs impressions, et leur donner un caractère transcendantal, subliminal, voire mystique, alors que ce n’est pas le cas : être convaincu de voir les fantômes, d’entendre les défunts, de se rappeler ses incarnations passées, de connaître l’avenir, de deviner les pensées d’autrui, d’avoir atteint l’état de sagesse, d’être missionné par Dieu lui-même… Autant de convictions qui peuvent être illusoires.

 

 

Est-ce à dire que tous les exemples précités correspondent nécessairement à des illusions spirituelles ? Non. Certains font appel à des facultés psychiques avérées ou traduisent effectivement un niveau d’évolution très élevé sur le plan intérieur. Ceci étant, il est très important de savoir prendre du recul dans ce domaine et de ne pas se manipuler soi-même, au risque de se laisser entraîner dans ce que les psychologues désignent hélas sous le terme péjoratif de «délire mystique». Quiconque est en proie à un tel “délire” est à la limite de la pathologie et d’une déconnexion anormale et non maîtrisée du réel.

 

 

Le meilleur moyen d’éviter les illusions spirituelles consiste à faire sien cet adage : «Avoir la tête dans le ciel et les pieds sur terre». Cela signifie que quiconque mène une quête mystique, au sens noble de ce terme, doit rester ancré au monde matériel et ne pas prendre “pour argent comptant” les expériences psychiques et spirituelles qu’il peut lui arriver de vivre ; il faut toujours les soumettre à l’examen de la raison et se montrer, non pas méfiant, mais prudent à leur égard. De surcroît, le mieux est de ne pas en parler à qui veut les entendre, mais de les garder pour soi et d’en faire un élément intime de sa vie intérieure.

 

 

 

https://www.blog-rose-croix.fr/a-propos-des-illusions/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 17:09
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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 17:02

 

 

 

 

Texte de Diane Gagnon –

 

Auteur, Coach, Conférencière

 

 

 

 

 

Beaucoup de gens cherchent à découvrir quelle est leur mission. Pourtant, je crois que c’est notre mission qui nous trouve!

 

 

Mais si nous sommes impatients qu’elle se montre enfin à nous, nous pouvons l’attirer à nous en nous demandant chaque matin : « Comment puis-je servir aujourd’hui? » ou encore, « Comment puis-je aider, comment puis-je mieux aimer? »

 

 

 

Dès lors, il n’y a qu’à laisser la Vie nous guider le reste de la journée. Trop simple, vous croyez? Et pourtant, c’est souvent tout un défi! Car si notre demande est sincère, nous serons certes appelés à mieux aimer, entre autres ce patron en colère qui nous reproche une erreur. Ou nous serons confrontés à une situation où, même si nous sommes pressés, nous devrons prendre le temps d’aider une personne qui a eu un malaise ou un accident.

 

 

 

Le véritable défi, c’est de savoir dire oui quand la Vie répond à notre demande de servir, d’aider, de mieux aimer. Pas seulement quand cela fait notre affaire ou que nous avons le temps, mais tout le temps, chaque fois que la Vie nous le demande.

Nous nous mettons ainsi à l’écoute de la Vie, de ce qu’il y a de plus grand que nous, et nous apprenons petit à petit à accepter les choses que nous ne décidons pas, ouvrant ainsi notre cœur, et notre esprit, à ce que la Vie attend de nous.

 

 

 

C’est dans ce lâcher prise, dans cette maîtrise de l’ego que nous aurons plus de chances d’être contactés par notre mission, dans l’humilité et la sagesse qu’elle demande. Dans la simplicité parfois, dans la complexité pour certains.

 

 

Être au service de la Vie, c’est la meilleure manière de lui dire OUI!

 

 

www://dianegagnon.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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