Le chemin de chacun vers une spiritualité vivante est unique. Certains trouvent un véritable maître qui les oriente vers leur propre maison ; d’autres sont guidés par une simple observation de la Nature.

Les religions, en général, n’ont pas réussi à nous amener à une véritable illumination. Elles nous divisent là où il n’y a pas de réelle division. Elles nous séparent les uns des autres quand nous avons des croyances différentes, et surtout nous séparent de Dieu justement parce qu’elles le placent à l’extérieur.

La relation à Dieu – qui est la spiritualité – est une chose très personnelle, intime et sacrée. L’aspiration à connaître Dieu est inscrite en chacun de nous et dans toutes les choses.

Une fleur connaît Dieu en s’ouvrant. Elle se fiche de savoir si quelqu’un la regarde. Un oiseau connaît Dieu en chantant son chant et en construisant son nid. Mais comment un humain connaît-il Dieu ? C’est une grande question.

Pour moi la réponse est : en devenant un être humain. Et pour cela il n’y a pas d’endroit en particulier, de vêtement ou de rituel spécifique. Simplement être humain. Mais nous avons perdu le sens de notre humanité. Nous sommes devenus des unités économiques, des consommateurs, des esclaves du salaire.

Nous vivons de l’extérieur vers l’intérieur, essayant de conformer nos vies à des idées et des images au lieu de vivre à partir de notre propre authenticité humaine. Nous sommes devenus les victimes de notre mental et de nos émotions, car nous avons perdu le sens de l’émerveillement devant le miracle de notre propre corps et perdu nos racines terrestres. Être humain c’est être de cette Terre.

Richard Moss

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Monsieur Fleming  était un pauvre fermier écossais.

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche. Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer. Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme. Un noble, élégamment vêtu, en sorti et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.

- "Je veux vous récompenser", dit le noble. - "Vous avez sauvé la vie de mon fils".

- "Non, je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait", répondit le fermier écossais.

A ce moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

- "C'est votre fils" demanda le noble.

- "Oui", répondit fièrement le fermier.

- "Je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers".

Et le fermier accepta.

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et au final, fut diplômé de l'Ecole de Médecine de l'Hôpital Sainte Marie de Londres. Il continua jusqu'à être connu du monde entier. Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage avait une pneumonie.

Qui lui sauva la vie cette fois ?... La pénicilline.

Comment s'appelait le noble ? Sir Randolph Churchill.

Son fils ? Sir Winston Churchill

La richesse et la pauvreté

Le hasard, dont on dit qu’il n’existe pas, fait qu’un jour la richesse rencontre la pauvreté au coin d’une rue.

La richesse, ignorant ce qu’il en est de la pauvreté, lui dit à mi-voix :

– Je suis vraiment très heureuse de vous rencontrer. Mais, dites-moi, est-il vrai que votre royaume s’étend au monde entier et que pas un seul pays n’échappe à votre emprise ? Quelle puissance ! Comme je vous envie !

– Si vous le souhaitez, lui propose la pauvreté, je ne demande pas mieux que de partager mon royaume avec vous.

– Je ne sais comment vous remercier, lui susurre la richesse. Soyez assurée que vous ne le regretterez pas.

–        J’en suis certaine…

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La tolérance et l’intolérance

Assises à la même table, la tolérance et l’intolérance déjeunent ensemble et engagent la conversation :



– J’adore la politique, dit l’intolérance. Tout le monde est convaincu d’avoir raison, ce qui donne lieu à de nombreuses disputes et fâcheries.



– C’est vrai, et contrairement à toi, cela me désole beaucoup, lui répond la tolérance.



– J’adore aussi la religion. Ses dogmes divisent les fidèles et les dressent les uns contre les autres.



– Je le regrette également. Mais dis-moi, en quoi cela te réjouit-il ?



– C’est ma raison d’être. Plus les hommes se querellent pour leurs idées et leurs croyances, mieux je me porte.



– N’as-tu jamais éprouvé de regrets à semer la discorde ?



– Si, lorsque tu interviens dans une conversation pour y mettre l’harmonie.



– Et que ressens-tu alors ?

– Tu le sais beaucoup mieux que moi…

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La douceur de ton âme est une notion qui ne peut se traduire par un mot humain ni même une phrase. Elle est le fruit d’un long parcours, de rencontres et de chemins infinis.

Elle coule telle une rivière paisible en toi. Rien ne peut modifier son essence pure. La douceur de ton âme est en toi et par toi elle coule vers son nouveau chemin, celui de ton incarnation. Dans celle-ci elle s’exprime comme elle n’a pu le faire dans les autres car c’est le fruit de tout son chemin qui s’exprime ainsi aujourd’hui dans ton royaume intérieur. Si tu lui fait barrage tu ne l’arrête pas. Tu n’es juste pas encore prêt à accueillir la suite de ton histoire, alors tu attires à toi les barrages pour retarder ce que tu dois vivre. Elle sait parfaitement pourquoi ces épreuves se dressent sur ton chemin et sait aussi que c’est par ces obstacles que tu apprends…et donc que tu avances.

Quand par cette douceur tu laisses s’exprimer l’Amour de ton âme alors tu peux ressentir un sourire intérieur que toi seul peux reconnaître. Ce sourire qui te stimule et te souffle que tu es dans le vrai, que tu es dans ta mission divine, c’est celui de ton âme. C’est elle qui s’adresse à toi. Alors prends le temps de répondre à ce sourire. Prends le temps de lui dire à quel point tu le ressens en toi et que tu es sensible à son indication. Quand tel est le cas ton énergie et ton taux vibratoire peuvent exprimer tout ton potentiel à Être, à Faire ce pour quoi ton âme est venue, par toi, expérimenter la matière.

Mets-toi au contact de ce sourire intérieur, celui qui te rappelle que tu as une partie divine.

Tu peux le ressentir quand tu tends la main à ton frère qui en a besoin. Tu peux le ressentir quand tu ouvres les fenêtres de ton royaume à ceux qui ont besoin de lumière.

Tu ressens ce sourire quand tu es ce pour quoi tu es là.

Frère, tu es aux portes de ce monde dans lequel tu as choisis, toi et les tiens, de venir apprendre et offrir par la voie du cœur.

Tu as la faculté par cette connexion avec ton âme de ne pas te perdre dans ce monde nouveau. Tu as la possibilité de guider celui qui cherche mais ne voit pas.

Frère, ton sourire intérieur est ta lanterne dans cette traversée. Le vent pourra souffler fort, tu as en toi une lumière intarissable qui, lorsqu’elle se manifeste ne laisse aucune place aux doutes et aux peurs.

Ressens sa présence car toi seul peut l’a reconnaître. Reste à l’honorer. Reste à lui répondre et à l’accueillir comme un enfant protège son trésor.

Ton âme et la douceur qu’elle te livre représentent ton cahier de vie. Celui sur lequel est inscrit ton chemin et qui se dessine par tout ce qui te fait vibrer. Celui vers lequel ton âme te guide. Toi seul sait quand ta lanterne brille et au contact de quoi tu peux l’a ressentir. Il n’y a rien de plus précieux que de pouvoir écouter et suivre la direction de cette lumière qui se manifeste par ce sourire intérieur.

Aime toi et soit doux avec toi-même quand cette douce lumière s’exprime.

Permet toi de passer par « tes » obstacles parfois douloureux pour que cette lumière prenne du sens.

Honore toi quand, après l’avoir entendue et suivie tu as accomplis la plus petite des actions qui t’as fait être celui que tu es venu être.

Tu es guidé par le haut, tout autour de toi et en toi-même.

L’illusion qui te fait voir tout en noir se dissipe dès lors où tu appelles toutes ces lumières avec ton cœur.

Tu as des capacités infinies quand tu es dans ta lumière. Ne juge pas ce que peut être ton chemin lumineux au regard d’une norme ou d’un oeil extérieur. De la même façon, ne juge pas celui qui avance sur un chemin différent du tien car sa lumière intérieure est peut-être en train de briller très fort en lui. Tu peux le voir quand tel est le cas car l’élan du cœur ne se dissimule pas.

Frère, ouvre tes sens et perçois ta lumière, celle qui raisonne en toi. Celle-ci est unique, c’est la tienne. Tu n’as pas à apprendre à l’a connaître car, elle, te connais mieux que toi même.

Avance car tu as en toi ce sourire, celui de ton âme qui te guide comme personne d’autre ne peut mieux te guider.

Auteur

Djwal Khul Par Paul Japman.

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Ton avenir est ton présent. Tu construits ton chemin de lumière aujourd’hui et chaque jour que tu débutes avec la force et la conscience qui te permet de voir ce jour qui se lève sur vous tous. Ne cherche pas à savoir de quoi sera fait ton lendemain car c’est dans ton présent que tu bâtis. Tu te libères de tes peurs lointaines et à toi seul tu peux libérer beaucoup de chaînes dont tu penses être prisonnier. En réalité ces dernières n’existent plus et tu dois être convaincu que rien ne te lie au passé. Ton nouveau monde est en toi et tu crées chaque jour ton lendemain et ce sans trace du passé.

Homme, ton cœur est pur et vous tous avez ce don, cette faculté à Aimer et à créer l’Amour par vos actes. La justice humaine apparaît et apparaîtra dès lors où la lumière recouvrira les croyances passées. Chacun d’entre vous, individuellement, peut en montrant sa lumière contribuer à cette justice. Pour ce faire tu ne dois pas porter de jugement à celui qui, près de toi, fait apparaître sa douleur et son ombre. Eveil toi, montre ta lumière, ouvre lui tes portes et tu éclaireras ton nouveau monde. Les conflits humains ne sont que le reflet de la mise en avant de l’incompréhension collective nocturne. Tu contribues à l’extinction de cette incompréhension en offrant ta lumière à ta journée. Tout ce qui vit, tout ce qui respire voit ta lumière, tout ce qui vit ressent ta clarté. Ne juge plus ce que tu vois de noir dans ton monde mais concentre toi sur la lumière que tu diffuses. Celle-ci est ta contribution personnelle à l’Unité vers laquelle vous êtes en marche.

Ce que tu perçois comme des signes dans ta vie va apparaître de façon significative aux yeux du monde. C’est collectivement que la prise de conscience est en train d’éclore. C’est la lumière humaine qui est en train de se lever sur la nuit de l’Homme. Si tu peux percevoir en toi cette lumière qui arrive alors offre autour de toi ce soleil de transformation. Honore ta lumière qui éclaire le chemin de celui qui ne voit encore que la nuit. S’il ne perçoit pas son chemin tu lui permettras ainsi de trouver sa propre lumière.

Hommes, vous êtes bénis, vous êtes à l’aube de cette belle journée de l’histoire humaine sur Terre. Hommes, voyez ce beau jour qui se lève, voyez ces voiles qui tombent et honorez-vous de votre présence, vous les acteurs de ce monde, vous les bâtisseurs de Vie.

Votre éveil est délicieux à contempler.

Le jour se lève sur votre présent. Le jour se lève sur l’humanité.

Bénit la nuit qui t’as mené jusqu’ici et respire la lumière qui t’est offerte. La Justice humaine réside en ta capacité à offrir par ton cœur, ce soleil d’Amour qui t’habite.

Soit confiant car ton avenir est le fruit de la lumière de ton présent.

Auteur

Lady Portia Par Paul Japman

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